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Rennes (France)

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Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

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artichaut

le mercredi 28 novembre 2018 à 09h36

en fait pour préciser un peu ma pensée sur les notions de liberté

quand quelqu'un.e (comme IrisBubulle) dit : je donne la liberté à ma partenaire de faire ce qu'elle veut sexuellement (oui je sais c'est pas exactement ce que t'as dis), no soucis

mais si, inversement, un partenaire, sous couvert de liberté, dis : "je fais sexuellement (ou relationellement) ce que je veux", pour moi ce n'est plus du tout la même chose (et même, pour moi, on quitte le champ du polyamour pour celui de "l'amour libre" …enfin appellez-le comme vous voulez : …"non-exclusivité dogmatique" si vous préférez)

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Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

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artichaut

le mercredi 28 novembre 2018 à 09h26

…oui vaste débat l'adoption, d'autant que en tant que poly (ou non hétéro) autant dire qu'à moins de se déguiser, les démarches sont justes pas faites pour nous

alors pour revenir au sujet du fil…

en arrivant sur ce fil "Liberté sexuelle de mes partenaires" je m'attendais à y trouver autre chose, à savoir :
indépendamment de la compersion, indépendamment de l'aspect sexuel (en quoi le sexe est différent du reste), je m'attendais à ce que ce fil questionne (creuse la question de) la "liberté", à savoir, comment/pourquoi nos partenaires sont libres (ou pas) de faire ce qu'ils/elles veulent…

mais peut-être que ça touche au relationnel, plus qu'au sexuel (car effectivement ce fil a choisis de questionner le sexuel)

je ne voudrais pas non plus détourner le fil de son sujet

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Discussion : Aimer un histrionique

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artichaut

le mercredi 28 novembre 2018 à 08h47

…et merci Aina de reproblématiser du point de vue des personnes concernées
(non pas concernées par le fait de fréquenter/quitter telle catégorie de personne, mais bien concernées par le fait d'être une personne, possédant certaines de ces caractéristiques communes)

Intéressant cette idée de "sous-personnalités" (malgré le "sous" qui fait péjoratif), même si j'ai l'impression que ce n'est pas la personnalité (dans son ensemble) qui est contenue en nous, mais nous qui serions construit avec une partie de ces différents archétypes.

Et en effet ce ne sont pas des personnalités étiquettables, ce sont des approximations servant à (essayer de) comprendre, non à stigmatiser, qu'il faut prendre avec beaucoup de pincettes

Personne n'est histrionique en soi. Personne n'est que histrionique. Il y a juste des personnes, qui, entre autre choses, possèdent certaines des caratéristiques que l'on met derrière le mot "histrionique".

Et c'est à chacun.e de se définir comme tel (comme tu dis "Nommer pour pouvoir les appeler par leur nom et les accueillir.") ou, si on valide cette pratique, à un professionnel de poser un diagnostique (à condition que ce professionnel ne se contente pas d'étiquetter).

Sinon c'est juste de la stigmatisation.

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Discussion : [Le site] Bientôt 10 ans

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artichaut

le mercredi 28 novembre 2018 à 08h34

PolyEric
chaque personne qui se sent une âme d'organisateur, pourrait éventuellement se regrouper avec d'autres organisateurs, pour organiser un événement à l'intérieur du "non événement".

C'est très Anar comme fonctionnement !

(je précise pour les non initiés que je ne le dis pas de manière péjorative, mais bien de manière conceptuelle : l'anarchie théorise justement cette manière de fonctionner par fédération de groupements affinitaires)

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Discussion : [Le site] Bientôt 10 ans

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artichaut

le mardi 27 novembre 2018 à 22h02

PolyEric
Ce ne serait pas un événement au sens propre du terme. Chacun se débrouillerait pour réserver et payer le camping à son propre nom. Du coup, pas de charte, pas de règle autre que celle du camping et bien entendu les règles de droit commun.

Perso c'est exactement ce que je ne veux pas organiser (ou exactement le contraire de ce que je veux organiser) en matière d'événement poly.
Donc je ne participera à l(a non)orga du truc.
Mais si c'est l'événement "10 ans du site", il est possible que je vienne quand même… (à titre individuel).

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Discussion : Projets d'amoureux lorsqu'on est poly ?

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artichaut

le mardi 27 novembre 2018 à 10h05

oui je partage aussi ce point de vue :
prévoir des choses / garder en tête que c'est éphémère

et cela, sans cesse, dans un court-terme/long-terme paradoxal

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Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

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artichaut

le mardi 27 novembre 2018 à 09h58

alinea7
J'avais préparé une réponse mais en l'écrivant je me suis rendu compte que c'était finalement assez personnel donc j'hésite à le publier. Pas que ce soit spécialement intime mais je me dis qu'il y a peu de chance que quelqu'un se retrouve dans ce que j'exprime. Il vaut sûrement mieux que chacun réponde pour lui/elle-même

Ah dommage, ça m'aurais fait plaisir de lire ta réponse.
En même temps, c'est peut-être pour les même raisons que je n'ai pas non plus apporté mes bouts de réponses à ces questions…

IrisBubulle
ce désir, de posséder quelque chose d'unique et de précieux qui pose problème.

…à la fois "posséder" ça me fait penser au capitalisme et au consumérisme, …qui à tout intérêt à nous frustrer (ou nous convaincre que l'on est frustré.e) pour nous pousser à vouloir posséder (de préférence un truc impossible à obtenir), et donc à consommer sans fin

…à la fois "quelque chose d'unique et de précieux" ça me fait penser à… la vie
alors quoi ? ce serait la peur de la mort, qui nous pousse à vouloir posséder ?

et si on inversait la tendance ?

intégrer la peur de la mort (ou d'autres peurs associées : rejet, abandon, dévalorisation, misère affective et sexuelle, solitude…), en même temps qu'une réticence à la possession (et au consumérisme) dans nos relations ?

comment ça se conjugue tout ça, au delà des réponses (qui me semble) simplistes du christianisme (toujours moins ici et maintenant) ou du capitalisme (toujours plus, toujours plus vite) ?

comment éviter ces deux écueils ?

frustration vs libéralisme relationnel

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Discussion : Je ne sais pas comment faire aidez moi je vous en prit

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artichaut

le mardi 27 novembre 2018 à 00h58

Bienvenue ici Mr Andy .

Et bien peut-être voir cette femme ailleurs que chez elle (pour ne pas rencontrer l'autre gars), et pour un temps essayer de défocaliser (oublier l'existence de) cet autre gars, et profiter pleinement de ce que tu as à vivre avec cette femme

Et puis ensuite, travailler sur ta jalousie (y'a plein de ressources sur ce site pour ça).

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Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

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artichaut

le mardi 27 novembre 2018 à 00h45

Je prends la discut en cours de route…

bidibidibidi
Le sexe déclenche pas l'émotion. Le sexe révèle l'émotion.

Maintenant, il te reste à te demander d'où vient vraiment cette émotion, ce que le sexe représente pour toi.
Déjà, quelle émotion est ce que ça révèle ?

Ceci me semble intéressant oui.
Pourquoi c'est (presque tjs) le sexe qui pose problème ??

(comme dit bidi : )
- Qu'est-ce que le sexe représente pour nous ?
Qu'est-ce qu'il révèle comme émotion ? Et pourquoi est-il si souvent le centre de la jalousie ? (même si voir le sentiment amoureux ou le contact physique peut provoquer la même chose)

bidibidibidi
Ben oui, c'est ce raisonnement que je critique. Si les deux ressentis ne peuvent être satisfaits, tu choisis de suivre celui du partenaire originel. Le métamour, il prend les restes. Et si le métamour a besoin de sexe pour sentir que la relation existe, et bien c'est lui qui poireaute.

Vaste question !

Et en effet le metamour est trop souvent "l'oublié de service"…

Franklin Veaux et Eve Rickert disent
« Lorsque deux partenaires ne sont pas à la même vitesse dans leur évolution vers l'ouverture du couple ou pour l'ajout de nouveau partenaire, le meilleur gage de succès est d'aller à la vitesse de la personne la plus lente. »

Ce qui peut vouloir dire que le metamour poireaute, certes. Mais il y a une différence entre une relation déjà en cours et une relation qui commence (j'exclue ici, pour simplifier, le cas de l'adultère révélé). Donc oui la lenteur me semble de mise pour la nouvelle relation, même si ça fait que le metamour doive poireauter.

Après ne peut-on peut pas penser cette lenteur, pour toutes les personnes concernées (quitte même à réintroduire ici le cas de l'adultère révélé)… ?

Aina
J’ai bien compris la démarche analytique et pragmatique du post de départ, et j’avais pris un autre chemin plutôt « spirituel » ou « métaphysique » pour aboutir aux mêmes conclusions, et pourtant, mon cerveau reptilien me rattrape je crois.
Du coup, je pose la question du conditionnement : on est d’accord ici je crois pour dire que nous avons été globalement conditionnés pour la plupart d’entre nous à un schéma « mono », et pour ma génération plutôt « hétéro ».

Moi, au contraire, j'ai le sentiment que notre "cerveau reptilien" est plutôt poly et bi

Je ne suis pas loin de penser que l'on naît toutes et tous, poly et bi (voyez les enfants…), et que le conditionnement sociétal (mais aussi notre parcours de vie personnel) nous transforme…

alinea7
Récemment je me faisais un peu la même réflexion. Je me rends compte que j'adopte un comportement autonome et indépendant qui fonctionne très bien pour moi et m'empêche d'avoir envie de proximité affective quand ça n'est pas possible. Mais c'est finalement un apprentissage de comment ne pas être confrontée aux émotions négatives associées à une envie de proximité affective frustrée.
Je suis bien là dedans mais je trouve que je perds de vue les autres et je ne m'aime pas dans cet égocentrisme.

…et là j'ai l'impression qu'on rejoint le point de départ (de mon post) :
- Qu'est-ce que le sexe (ou la proximité affective) représente pour nous ?

et que l'on pourrait prolonger donc, en reprenant certains des termes d'alinea7 par :
- Comment se sentir bien et se sentir soi, tout en s'accordant avec les envies et non-envies de proximité affective des autres (amour, metamour & co) ?

.
—————
(désolé, j'ai conscience que pour une fois, mon post, est assez peu limpide, et surtout développe assez peu les questions que j'aborde)

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Discussion : Projets d'amoureux lorsqu'on est poly ?

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artichaut

le lundi 26 novembre 2018 à 23h55

…euh moi j'ai l'impression de faire des "projets" (même si ce terme est particulièrement polysémique …ou vide de sens, au choix) avec tout le monde (et bien plus qu'un café ou un restau…)

être en relation (amicale, amoureuse, peu importe) avec quelqu'un.e, pour moi, c'est faire des choses ensembles, avoir envie d'en faire d'autres, se projeter à en faire encore d'autres, construire (politiquement même) ce monde dans lequel on vit, construire déjà la relation en train de se vivre et à venir, et ainsi de suite

sinon, si c'est juste papillonner (ou "consommer de la relation" ?), et j'ai envie de dire "à quoi bon ?"

…enfin, sans doute qu'il y a plein de façon de faire, et que c'est à chacun.e de trouver la sienne…

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Discussion : Aimer un histrionique

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artichaut

le lundi 26 novembre 2018 à 23h37

hum, je ne sais pas très bien ce qu'est un.e histrionique, mais je me demande si ce fil n'est pas en train de devenir un défouloir pour neurotypiques ?

catégoriser ainsi des personnes, et dire que la seule solution est de les quitter me semble un tout petit peu trashos

je ne dis pas que ce n'est pas parfois le cas dans la vie, mais de là à en faire une généralisation sur une catégorisation, ça fait un peu peur

bref, une relation toxique, ça se stoppe, oui (pour soi-même en premier lieu), mais de là à généraliser…

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Discussion : [Rennes] Café poly-pop#7 (au bar La Bascule). Novembre 2018.

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artichaut

le lundi 12 novembre 2018 à 14h59

@Miel

ce n'est pas en hyper-centre, donc oui y'a généralement de la place pour se garer en face du bar, ou dans les rues adjacentes

@Galahad

pas souci
tout le monde ne s'inscrit pas de tte façon

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Discussion : [Rennes] Café poly-pop#7 (au bar La Bascule). Novembre 2018.

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le lundi 12 novembre 2018 à 08h40

c'est demain !

première fois dans ce bar.

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Discussion : Le polyamour : j'ai testé, mais je n'y suis pas arrivée...

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artichaut

le samedi 03 novembre 2018 à 22h46

Merci de revenir donner des nouvelles (tout le monde ne le fait pas).

En plus c'est des chouettes nouvelles.

Et oui, on progresse mutuellement à essayer de faire les choses bien (pour soi et pour l'autre).
Même une rupture, on a tout à y gagner. C'est des moments où l'intensité relationnelle est à un point haut. C'est parmi les moments où on a le plus à apprendre et où il est donc d'autant +important de ne pas faire les choses "juste pour sa gueule".

Pour moi c'est une illustration, même, de ce qu'est, de ce que peut être le "polyamour", de ce que peut être une poly-rupture.

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Discussion : "Tour de France" de la polyamorie

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artichaut

le mercredi 24 octobre 2018 à 18h30

Merci pour le compte-rendu !

Zgrub
l'organisation rigoureuse qui permet a tous de prendre la parole

Concrètement c'est quoi qui est mis en place ?

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Discussion : [Orga] Rencontres à la Ferme

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artichaut

le mardi 23 octobre 2018 à 11h55

L'événement a eu lieu. En voici le compte-rendu.

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Discussion : [Le site] Bientôt 10 ans

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artichaut

le mardi 23 octobre 2018 à 11h54

…du coup le "plus petit événement" à eu lieu. En voici le compte-rendu.

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Discussion : Le polyamour : j'ai testé, mais je n'y suis pas arrivée...

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artichaut

le lundi 22 octobre 2018 à 17h59

@bidibidibidi
Ah ben désolé si je t'ai énervé, et si tu l'as ressenti comme des assomptions sur ton éducation. Je ne le nommerais pas comme ça, mais bon je ne vais pas chipoter. Et je comprends que mon "oui je sais, pas toi" puisse être énervant, dis comme ça (ouais je reconnais c'était même un peu condescendant, et c'est pas joli-joli).

Ton message, pour le coup, m'a +dépité qu'énervé (quoique si… ok… ton PPS m'a énervé). En l'occurrence c'est plus le message de calinou696 qui m'a énervé : il semble lui-même avoir des griefs contre des (néo-?)féministes, et vient troller ce fil, où aucune d'entre elles ne s'expriment. Bon passons.

Certes, je sais bien que ce fil n'a pas été initié comme un sujet sur le genre, mais je ne vois pas en quoi ça invalide le fait de convoquer des grilles d'analyses sociologiques, pour l'étude de cas, dont il est question ici. Ça se fait beaucoup sur ce forum, et ça ne pose généralement pas de problème. C'est quand même pas comme si les recherches sur les questions de genre, était un truc que l'on peut aujourd'hui ignorer, ou balayer d'un simple revers de déni.

Et j'avoue que j'ai du mal à entrevoir que l'on puisse encore penser aujourd'hui que nos comportements (jusque dans nos lits) ne sont pas éminemment façonnés par ce social dont nous sommes pétris. Le genre n'est que un parmi d'autre, mais tout de même, non des moindre en matière de sexualité et de relation (poly)amoureuse !

Après, une analyse sociologique reste une analyse sociologique, c'est à dire une approximation (ou du domaine du "typiquement" comme tu dis). On pourra toujours trouver des contre exemples à la règle. Mais les nommer n'a aucun intérêt. La sociologie ne s'intéresse pas à ça.

Alors oui, comme toute grille d'analyse, elle à sa limite. Mais elle me semble parfois tellement pertinente ça et là, qu'il serait dommage de ne pas la convoquer.

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Discussion : Le polyamour : j'ai testé, mais je n'y suis pas arrivée...

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artichaut

le lundi 22 octobre 2018 à 15h22

Ce que tu écris me semble assez simpliste et binaire. Ça vise le zéro charge mentale et le moindre effort.

Moi ça me semble plus complexe que ça.

Déjà entre Accepter et Se forcer il y a un monde au delà de la binarité.
Ensuite il y a des gens qui "se forcent" (oui je sais, pas toi) par construction sociale. Et que les aider à aller vers un chemin où moins se forcer, ce n'est pas juste en disant "C'est facile, il suffit de ne pas le faire. Regardes moi j'y arrive bien !".

Et puis tout ça me semble assez triste et manquer d'empathie ou je sais pas… d'humanité (à savoir quelque chose de vivant, de non figé dans le temps et dans l'espace, etc).

Si on reprend ton exemple précédent :

bidibidibidi
Tu lui demandes de t'écrire des textos, parce qu'il ne le fait pas.
De là, il peut :
- T'écrire des textos parce que ça lui fait plaisir de te faire plaisir.
- Ne pas t'écrire de textos parce que ça l'ennuie et que ce n'est pas lui.
- T'écrire des textos parce qu'il se "force".

On pourrait dire (et j'en oublie forcément) :
De là, il peut :
- T'écrire des textos parce que ça lui fait plaisir de te faire plaisir.
- Être en empathie avec toi, et s'étonner lui même de se mettre à t'envoyer des textos avec plaisir
- T'écrire des textos un peu plus souvent
- T'écrire des textos à des moments où il sait que tu en a plus particulièrement besoin
- Ne pas t'écrire de textos parce que ça l'ennuie et que ce n'est pas lui.
- Ne pas t'écrire de textos parce que c'est l'un des trucs qu'il déteste profondément dans la vie
- T'écrire des textos parce qu'il se "force".
etc

Et d'ailleurs c'est une de ces choses que tu dis faire au final (écrire des textos, ou mots doux, un peu plus souvent) …mais en gardant le contrôle d'affirmation ("Non je ne le ferais pas"), en restant dans le binaire et l'inamovible théorique, et en refusant de prendre en charge la complexité de la question.

En outre une demande de "+de textos" peut vouloir dire plein de choses (cf le post de Siesta sur le langage amoureux) et on peut y répondre de plein de manières (pas que en envoyant des textos !). Juste répondre "Non je ne le ferais pas parce que ça m'ennuie et ce n'est pas moi", me semble tellement froid, distant et déshumanisé…


PPPPS : Non c'est sûr, rentrer dans les débats sur le genre des comportements, ça n'aide pas… la personne qui ne veut pas se forcer, …ni changer ses comportements.

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Discussion : Le polyamour : j'ai testé, mais je n'y suis pas arrivée...

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artichaut

le samedi 20 octobre 2018 à 00h31

…bah, il y aura tjs des réfractaires dès qu'on porte une analyse un tant soit peu sociologique…

et oui, pourtant, on est pétri de ce monde qui nous façonne…

pour aller plus loin, l'empathie me semble liée à la confiance-en-soi

la logique serait qu'elles fonctionnent ensemble, et pourtant c'est rarement le cas

quand elles se rejoignent ça donne quelque chose de beau, comme la compersion

d'ailleurs, travailler son empathie (pour les uns) et travailler la confiance-en-soi (pour les autres) me semble d'ailleurs +positif que de dire "travailler sur la jalousie" (qui a tout de suite un air +rébarbatif)

.
perso, la confiance-en-soi m'a été (socialement) donné, quand à l'empathie, j'ai du la conquérir (ou pour être +précis, on m'a aidé à la conquérir)
y'en a d'autres c'est le contraire…

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