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Discussion : [Site] poly-empire, Nouveau site de rencontre pour polyamoureux

pkd
le mardi 12 mars 2019 à 18h53
bidibidibidi
On ne dit pas d'une personne qu'elle est transexuelle femme, on dit juste qu'elle est une femme. Le fait d'être transexuelle ne change pas ce qu'elle est.
Alors ça c'est d'une hypocrisie bien pensante. Le fait quelle soit transgenre, en effet ne change pas le fait qu'elle est intérieurement une femme. Mais je suis désolé et sans vouloir vexer qui que ce soit. Physiquement, une femme transgenre a quelques différences. Et ce n'est pas transphobe, ce que je dis. Je n'ai aucune, mais alors aucune, pensée à la l'encontre des personnes transgenre qui passent à travers des difficultés énormes pour assumer et vivre ce qu'ils sont.
On parle d'un site de rencontre, donc on doit avoir des informations sur des critères qui comptent pour certains. Libre à chacun de les remplir ou pas.
Sinon, on fait un site de rencontre en double aveugle "genre blind date" et puis on découvre qui se cache derrière les messages en allant prendre un verre.
J'ai l'impression que certains confondent des informations pour aider à faire converger les attirances avec des informations administratives qui engagent la situation quotidienne des personnes.
Jena
"politiquement correct" = parler des gens avec respect. On peut faire cette substitution dans toutes les phrases. Les gens qui s'élèvent contre le "politiquement correct" ne veulent pas parler des gens avec respect.
Oui comme on dit "Sans domicile fixe" à la place de "Clochard", "Personne à revenu modeste" pour des pauvres, "Sans emploi" pour des chômeurs, "Non-voyant" pour des aveugles... la liste de la novlangue est longue. Elle est certes à la base partie d'un bon sentiment et d'une volonté de respect. Mais c'est aussi une langue émolliente qui amène à minimiser les choses, à les rendre plus faciles...
Jena
Anatomie : tu n'en sais rien. Rien n'indique de l'extérieur quelle est la biologie d'une personne à l'intérieur. "Genre biologique" est un non-sens.
La transition de genre social peut s'accompagner d'une transition médicale qui rend l'anatomie indifférenciable, et ça ne regarde que la personne concernée.
Alors là on est dans un bel exemple de confusion entre le biologique et le psychologique. Le genre biologique pour 96 à 98% de la population est défini par le caryotype génétique. Ce n'est pas un non-sens. Mais il arrive que le genre biologique ne soit pas en corrélation avec le genre "psychologique". Je mets des guillemets car je ne sais pas si c'est le bon terme.
Donc pour toi, un "pénis" ou une "vulve" ne sont pas des manifestations visibles du genre biologique? Et ce ne sont pas les seules.
De plus si le genre biologique n'existait pas, il n'y aurait pas besoin d'appliquer des traitements hormonaux...
Pour ce qui est des opérations de changement de sexe. C'est certes une opération qui permet un alignement, mais indifférenciable il ne faut pas exagérer. Mais je t'accordes que cela regarde la personne et ceux ou celles avec qui elle va avoir des relations sexuelles.
Jena
Là, distinguer les femmes trans (note l'ordre des mots en français) des "femmes", c'est transphobe, parce que le groupe "femmes" inclut déjà les femmes trans.
Le terme que tu cherches est "femmes cis".
Le site est à vocation de rencontre, et nous cherchons à rencontrer des humains, pas des organes génitaux sur pattes. Libre à ces humains de nous raconter leur anatomie ou leur histoire médicale, mais je ne pense pas que ce soit une bonne idée de demander à les afficher en clair sur tous les profils.
Pour la même raison qu'on demande aux hommes cis d'arrêter d'envoyer des photos de leur pénis sans demander l'autorisation.
Je comprends la logique interne de tout ce discours qui vise à normaliser et je l'approuve en partie. Pour moi, il ne devrait y avoir aucune discrimination sur la base de l'orientation sexuelle ou du sexe. Mais il faut faire attention à ne aller jusqu'à nier certaines réalités.
Donc pour ne pas qualifier quelqu'un de "Trans", on va qualifier le reste de la population de "Cis". Je trouve cela assez amusant si ce n'était malheureusement une conséquence directe du politiquement correct.
Certes on rencontre des humains. Je ne connais pas tes attractions, ni ce qui te motives. En ce qui me concerne si je rencontre quelqu'un et qu'il arrive que je sois sexuellement attiré. La question de organes génitaux à un minimum d'importance...
Moi, je n'appelle pas "hommes cis" ceux qui envoient des photos de pénis sans demander, mais des hommes vulgaires qui manquent de finesses et de sensibilité.
Message modifié par son auteur il y a 6 ans.
Discussion : [Site] poly-empire, Nouveau site de rencontre pour polyamoureux

pkd
le mardi 12 mars 2019 à 14h51
Je rejoins Laurent59, il serait surement bien de pouvoir préciser qu'il s'agit d'un compte de couple, de trouple ou autre (on revient alors sur les multiples possibilités des combinaisons possibles de genres et de d'orientation).
Il s'agit de raisons pratiques qui doivent être en phase avec la diversité des polyamoureux. On ne peut pas simplement s'arrêter aux structures des sites de rencontre mono habituels.
Discussion : [Site] poly-empire, Nouveau site de rencontre pour polyamoureux

pkd
le mardi 12 mars 2019 à 14h49
Certes, il ne faut vexer personne. Cependant, à vouloir être 'politiquement correct' on abouti des fois à des choses étranges.
En quoi est-ce choquant ou transphobe de dire qu'une personne est transexuelle femme?
Je comprends entièrement que sa personnalité intérieure est celle d'une femme, mais il reste que l'anatomie ne l'est pas entièrement et qu'il s'agit dune transition d'un genre biologique vers le genre que l'on ressent comme le sien.
De plus on peut être attiré par les trans-femmes et pas par les femmes ou réciproquement ou indifféremment. Mais ce n'est pas neutre pour un site à vocation de rencontre.
La solution est peut-être de découpler la chose en deux temps, comme sur OkCupid, je crois.
La définition biologique:
Cis-homme, Cis-femme, Trans-homme, Trans-femme, neutre, ne veut pas dire...
puis l'attirance sexuelle
hetero, heteroflexible, gay, lesbian, bi, genderfluid, sapiosexuel, demisexuel, queer... questionning?
et d'autoriser la coche de plusieurs catégories.
On peut être Cis-homme, heteroflexible et sapiosexuel par exemple
ou bien Trans-femme et Lesbienne
Enfin c'es pour faire avancer le schmilblick...
Discussion : Amour, attache, déséquilibre.. Blessure.

pkd
le lundi 11 mars 2019 à 14h38
Certes, je suis d'accord avec vous. Mais je trouve quand même que toxique est inutilement violent et j'avais cru comprendre qu'il y avait eu communication de son ressenti. Et si jamais il n'y a pas communication. Ben je dirais qu'il est en proie avec des tensions internes qu'il essaye de résoudre en discutant ici. Il ne s'agit alors que d'une auto-toxicite. Cela devient toxique si l'on accable l'autre de reproches et de plus sans moyens de comprendre d'où vient le problème et qu'elles en seraient les solutions. Est-ce le cas? Je ne sais pas.
Sortons du cadre polyamour. J'aime beaucoup un objet de ma déco. Ma partenaire ne l'aime pas et décide de le jeter. Sans aucune intention de me nuire, mais simplement car cet objet lui déplaît. Lui reprocher d'avoir fait un acte qui entraîne chez moi du déplaisir est ce toxique? C'était son droit de le jeter, disons qu'il ne m'appartenait pas. Dois-je digérer mon déplaisir dans mon coin, en considérant que c'était son droit? Ou bien lui dire, "Tu aurais pu considérer mon ressenti et prendre soin de me consulter avant?".
Message modifié par son auteur il y a 6 ans.
Discussion : Amour, attache, déséquilibre.. Blessure.

pkd
le lundi 11 mars 2019 à 11h52
Je trouve ta réaction à qualifier une attente d'attention de comportement toxique un peu excessive, surtout si on relit en détail les différents messages échangés, y compris ta réaction antérieure et non pas simplement une phrase hors contexte.
L'approche individu centrée type "Own your own shit", qui veut que le mal-être que l'on peut ressentir face au comportement vrai ou ressenti de son ou sa partenaire n'est que le problème de celui qui le ressent et pas de celui qui en est considéré la cause à des limites qui doivent être regardés avec finesse.
Dans le cas présent, le déclanchement initial était semble t'il une transition mono-poly très (trop?) rapide sans ou avec peu de réassurance. Certe on peut toujours tout excuser avec la NRE et dire qu'un être entier est autosuffisant et ne doit pas être touché par le comportement des autres fussent-ils nos partenaires, mais ne s'agit t'il pas d'un idéal que très peu de personnes atteignent ? Si c'était si fréquent, ce forum serait assez vide.
Je pense que chacun doit faire son travail sur soi et ses failles, mais les partenaires doivent également tenir compte de celles ci et des remous créés pour aller vers des relations épanouissantes pour chacun. Sinon, on peut toujours avancer et dire, il ou elle n'a qu'à s'adapter à la situation sinon ça veut dire qu'il ou elle est n'est pas autonome et que ses demandes pour mon attention sont une manifestation toxique de sa dépendance affective... ouf un peu rude. Cela reviendrait à dire, on s'aime mais tes ressentis c'est ton problème, pas le mien.
Il me semble difficile dans ce cas de prétendre vouloir aller vers des relations poly-fonctionnelles. Une position médiane entre le "Own your own shit" et "You are responsible for my feelings" est souvent plus correcte surtout au début d'une transition.
Discussion : [Outil] Le Spectre des relations amoureuse de Kirstin Rohwer, en Français.

pkd
le lundi 04 mars 2019 à 09h07
On peut ne pas aimer le terme 'polyfidélité', mais c'est un mode de fonctionnement relationnel choisi par certains.
L'alternative serait quoi? Polyamour exclusif? N-ouple fermé ? (N =2:couple; N =3:trouple ou triade; N =4:quatuor ou quad, ...)
Je pense qu'il ne faut pas trop s'arrêter sur les questions d'étymologie, mais juste sur les réalités que représente le mot.
Discussion : Polyamour et retraite

pkd
le dimanche 03 mars 2019 à 14h09
Euhh quand on a plus 50 ans, on est loin de la retraite, surtout maintenant... Le titre est un peu trompeur.
Je préfère pour ma part ne pas faire de catégories d'âges, de genres ou autres. J'apprends plus en confrontant aux différences et aux nouvelles visions. J'ai plus d'affinités culturelles et de codes sociaux partagés avec les personnes plus jeunes que moi. Ce qui est amusant car quand j'étais plus jeunes, j'avais plus d'affinités avec ceux qui étaient plus âgés haha. Peut-être que je fais du surplace.
En plus beaucoup de poly de plus de 50ans, on des partenaires qui en ont moins... du coup, ils ne seront pas invités ?
Néanmoins, je vous souhaite du succès dans cette expérience.
Message modifié par son auteur il y a 7 ans.
Discussion : [Outil] Les langages de l'amour

pkd
le dimanche 03 mars 2019 à 13h54
Oui Guy Chapman est pétri de catholisme et une vision du couple très mono. Cependant, les 5 langages de l'amour est d'une lecture intéressante et j'ai trouvé très instructive. Ça peut s'appliquer à plein de cas relationnels. Il y a une version pour les ados qui applique cette notion aux relations amicales.
La logique de base est qu'il existe plusieurs façons de dire et de recevoir l'amour et que si les partenaires n'ont pas les mêmes ou ne comprennent pas leurs languages respectifs chacun peut s'épuiser à exprimer de l'amour que l'autre ne comprends pas. On peut aussi faire des demandes à l'autre qu'il ou elle ne comprends pas. Par exemple pour certains participer aux tâches domestiques est une marque d'affection, tandis que pour d'autres il ne s'agit que d'une tâche routinière...
En tout cas, j'ai appris des trucs
Discussion : Entrée dans un nouveau monde

pkd
le samedi 02 mars 2019 à 08h56
Bonjour, autant je trouve que la requête initiale n'est peut-être pas dans le bon forum... Autant, Bonheur, je trouve ta réaction hyper moralisatrice déplacée.
Il n'y a pas lieu d'être juge de ce qui est du polyamour ou pas, ni de ce qui est bien ou pas.
Tangebat avait bien dit que Rac avait l'air respectueux et qu'il lui faisait confiance pour continuer.
Il n'y a pas de lieux 'dédiés' à la séduction et aux rencontres. La séduction n'est peut-être qu'un jeu de dupes, mais il se joue à au moins deux et les hommes ne sont pas nécessairement les maîtres en la matière.
Je ne connais pas Rac, mais s'il dit qu'une des femmes lui a fait du pied et qu'il a répondu en faisant de même. Est-ce choquant? A l'heure du # comme tu dis, il est difficile pour un homme d'initier ce genre de chose.
On fait très très bien la différence entre deux pieds qui se frôlent par erreur et de faire du pied. En tout cas, j'espère que Rac fait la différence.
Sinon quoi, on ne doit se séduire que dans des lieux dédiés et privés ? Fini les rencontres au café, au supermarché, dans le train ?
L'amour n'est pas la règle absolue en la matière. Avoir de l'amour sans sexe, n'est pas supérieur par essence à du sexe sans amour si les personnes concernées en sont heureuses.
Ce que je dirais à Rac, c'est qu'en la matière le plus important c'est en effet d'être respectueux et transparent sur tes attentes avec tes relations éventuelles et principalement avec ta conjointe.
La séduction est une part importante des interactions, qui n'est d'ailleurs pas réservée à l'espèce humaine. Ce ne sont pas nous qui avons inventé les parades nuptiales et les jeux de séduction que l'on rencontre dans tout le monde animal. Ce n'est pas une série de mensonges ou d'ego booster, mais également une phase qui permet de mesurer le degré d'attirance de chacun et un jeu (au sens d'échange de signaux).
Toutes les relations ne peuvent pas démarrer sur une attraction inexplicable ou une séduction intellectuelle.
Rac je n'ai pas beaucoup de conseils à donner et comme je l'ai dit, je ne suis pas certain que ce soit le bon forum.il existe beaucoup de ressources en ligne sur le sujet
Mon seul conseil c'est de ne jamais être lourd, insistant et même je dirais en dehors des situations de rencontre explicite (type RdV Tinder ou autre) de ne pas être celui qui initie le jeu. Être prêt à faire des rencontres est différent de vouloir faire des rencontres. Être dans un couple ouvert ou être polyamoureux permet de laisser la porte ouverte à des rencontres, cela ne n'implique pas que l'on doit être dans une recherche active de relations. Enfin chacun fait comme il veut si c'est dans le respect et l'honnêteté.
Message modifié par son auteur il y a 7 ans.
Discussion : En désaccord depuis 9 ans... Que faire ?

pkd
le mardi 22 janvier 2019 à 09h02
Bonjour, pour quelle raison avouer ou parler de relation finies?
Le souci de transparence est bien souvent une envie de se décharger sur l'autre du fardeau du non-dit ou du mensonge.
Comme ça, on peut se sentir plus léger et honnête. Mais en face l'autre prend se fardeau dont il n'est pas responsable.
Je pense qu'il faut vraiment réfléchir à la motivation et ce que l'on attend de la transparence, surtout sur le passé.
Il y a plus de chance de blesser inutilement que d'en retirer un nouvel élan.
Alors que l'on peut penser:"regarde je peux parfaitement aimer plusieurs personnes sans t'aimer moins. La preuve, je l'ai fait à plusieurs reprises et tu n'en as pas souffert." L'autre personne va entendre:"regarde, j'ai eu plein de relations sans que tu t'en rendes compte." Et penser:"Il/elle s'est joué.e de moi et ma berné."...
La conséquence peut être aucune avancée et une personne à qui l'on tient durablement blessée et avec des doutes sur ses propres capacités à voir ce qui se passe avec sa.son partenaire.
Bref, ne parler des faits passé que si cela apporte un bénéfice à la relation, mais pas pour décharger sa conscience sur l'autre...
Attention, je ne dis pas que c'est l'intention. C'est pour contribuer à la réflexion.
Discussion : Polyamour, polygame, en plein questionnement !

pkd
le dimanche 20 janvier 2019 à 10h03
Bonjour, je rejoins Bonheur sur pas mal de points. Mais puisque l'on est dans les définitions... Je ne trouve pas que le terme d'adultère soit le bon.
L'adultère (nom masculin) est « le fait pour un époux de violer son serment de fidélité, de partage, et d'avoir des relations sexuelles avec une personne autre que son conjoint envers qui il a affirmé ce serment ».
Lorsque que l'on est en couple, on n'a pas forcément fait de serment de fidélité, donc à proprement parlé l'adultère qui est une notion culpabilisante nie la liberté individuelle de disposer de son corps et de son esprit.
Je dirais plus qu'il s'agit d'une infidélité ou l'introduction d'un non-dit ou de mensonge (selon ce que l'on raconte ou pas). Cette infidélité peut être ou pas un problème selon sa durée, son implication. Mais elle risque de mener à des distorsions de la relation de couple car les deux ne sont plus sur le même niveau d'engagement ou de compréhension de la relation.
Natuuure compte tenu de votre âge et de votre durée de relation. Je dirais qu'il était quasiment certain qu'à un moment vous alliez toi ou ton amoureux rencontrer de nouvelles personnes avec leurs nouveautés si attirantes.
Tu ne dit pas, si ton partenaire et toi avez discuter de votre vision du couple, de la fidélité sexuelle ou émotionnelle, de la conduite à tenir en cas d'attraction hors du couple. Ce sont des choses indispensable à discuter sérieusement dans tout couple mono ou pas.
Maintenant, tu as franchi le Rubicon et tu as une relation hors de ton couple, à l'insu de ton partenaire. Que veux tu en faire? Était ce un écart que tu ne veux pas renouveler ? Dans ce cas, ce n'est pas forcément nécessaire d'en parler à ton partenaire. Mais il serait bon de commencer à discuter entre vous sur votre vision du couple.
Est-ce une relation que tu veux garder et essayer de garder aussi ton couple "historique"? Dans ce cas, il va falloir en parler à ton partenaire car les chances qu'il le devine ou l'apprenne sont grandes et c'est mieux que ce soit toi qui en parle et présente ta vision, tes envies, tes attentes. Mais il y a un risque que ton partenaire ne l'accepte pas.
Tu peux aussi tâter le terrain en initiant une discussion sur le couple ouvert, poly ou autre.
C'est toujours plus compliqué quand tu as déjà une personne en tête...
D'ailleurs, tu ne parles pas des attentes, envies de ton 'amant'. S'il veut juste s'amuser, prendre la place de ton conjoint ou bien se voit dans une relation poly cela change aussi la situation.
Dans tout les cas, tu es jeune. Laisse toi et laissez vous le temps de vivre avant de vous engager.
Bon courage, Pkd
Discussion : Un couple à trois

pkd
le vendredi 18 janvier 2019 à 14h09
Je crois que Bidibidibidi a voulu pointer sur la difficulté de votre recherche à travers sa question. Tu/vous cherches quelqu'un pour faire ce que toi tu exclus de faire ...
Discussion : Je ne suis pas libertine et j'ai une relation avec un libertin, comment gérer cette relation ?

pkd
le vendredi 18 janvier 2019 à 14h03
Bonjour Sophie,
Merci de ton témoignage. Je rejoins Bidibidibidi sur beaucoup de points.
Concernant le libertinage, c'est une pratique que j'ai testé et apprécié dans le passé sans le pratiquer actuellement.
Au départ, ce n'était pas une recherche de ma part, plus de ma compagne.
Au final, j'ai aimé le respect et la liberté dans ce milieu. Mais ce n'est pas pour tout le monde (comme tout) et ça peut être un espace de jalousie. Si ton compagnon est libertin et que tu as envie d'explorer ce monde. Il vaut mieux que tu sois à l'aise avec la nudité des autres et la tiennes. Et que vous définissez vos limites et surtout les tiennes pour une première sortie. Par exemple, on regarde mais on ne pratique pas. Ou bien, on ne fait que de la séduction soft sans relation sexuelle. En club, on peut très bien simplement danser, regarder, s'exhiber un peu et puis s'amuser. Mais sans pratiquer.
Par contre, toute relation est faite de quelques accords ou compromis. Si tu as du mal avec les relations de ton partenaire avec des femmes seules. Il pourrait s'en abstenir au moins pour le temps où votre relation, ta découverte de ce milieu et la gestion de la jalousie se mettent en place. Énormément de couples libertins excluent les relations solo...
Il est normal que tu te dises, que s'il va voir des libertines, tu ne lui suffis pas.
Mais premièrement c'est principalement c'est lié à lui et pas à toi et deuxièmement oui, une personne ne comble pas nécessairement les recherches de son ou sa amoureux(se). Et je reviens que cela provient souvent d'une recherche interne à ton partenaire et pas de toi.
S'il a besoin/envie d'une diversité de peaux, de physiques. A moins d'être polymorphe, tu ne pourras pas le lui donner. Mais il doit aussi se poser la question de ce qui motive sa recherche et pourquoi une modalité différente ne lui apporterai pas. Tu as certes été informé dès le départ qu'il était libertin, mais lui a également été informé que tu ne l'étais pas, donc tout le chemin pour se trouver ne peu pas être fait que par toi.
Et comme le dit Bidibidibidi, tout ça est dynamique. Il faut trouver des accords qui peuvent changer dans le temps en fonction de la construction de la recherche, de la compréhension et du ressenti de chacun.
Discussion : Tourner la page ou se laisser une chance ?

pkd
le vendredi 28 décembre 2018 à 15h05
Bonjour HeavenlyCreature,
En lisant ton texte, je ressens que tu as besoin d'une réflexion sur ce que tu attends de votre relation.
Tu as souhaité une relation ouverte, mais tu considères une fille qui comme tu le dis à friendzoné ton ami comme une rivale... Est-ce parceque ton ami a des sentiments pour elle? Ne voulais tu que des relations de type sexfriend ?
Tu dis que tu as rompu, mais vous continuez en mode sexfriend... Ce qui n'est pas une véritable rupture, mais une transition. Elle ne semble pas te convenir.
Pour ce qui est de discuter, c'est toujours bon. Mais il faut que tu saches ce que tu veux et ce que tu ne veux pas.
D'autre part, on ne sauve pas une relation. On fait en sorte que chacun soit "heureux"... Donc si vous pouvez être heureux ensemble à vous de définir quelle relation serait bonne et sinon, peut-être que vous serez heureux sans être ensemble.
Sinon, je pense également, qu'il faut te laisser une période sans contact pour vous poser. En général quelques semaines à 1 mois sans aucun contact (ni suivi sur les réseaux sociaux ;). Permet aux émotions de se poser et de mieux voir où on en est.
Bon courage
Discussion : Dieu est polyamour

pkd
le jeudi 20 décembre 2018 à 00h29
kill-your-idols
Personnellement, quand j'ai entendu les gens se plaindre de la religion, c'était uniquement par rapport à la question de la monogamie/hétérosexualité.
S'il y a des autres points que j'ai oublié, ça m'intéresse de les connaître!
Non, tu es vraiment sérieux en écrivant ça ?
Tu penses que les athées et les agnostiques ne le sont que parceque les religions en général prônent la monogamie ? Ou que ce sont les seules choses à leur reprocher?
Tu crois vraiment que la religion, en tout cas les grands monothéisme, ont apporté de la paix et de la résilience dans le monde? Combien de massacres dans l'histoire et encore quotidiennement aujourd'hui sont le fait de la religion et des personnes qui ne supportent pas que d'autres ne pratiquent pas la leur ou pas de la même manière.
Ah un autre problème avec la religion... Il faut croire en dieu et accepter de suivre des règles édités par on ne sait qui.
La liste est tellement longue que quiconque ayant un sens critique ne peut adhérer à une religion.
Et puis, il ne faut pas confondre religion et morale ou bienveillance. On peut aider ses proches, ses voisins, des inconnus sans l'aide d'aucune religion.
Le raccourci non religieux=individualiste est tellement inepte que je ne sais même pas comment on peut le penser.
Message modifié par son auteur il y a 7 ans.
Discussion : Un double couple
Discussion : Dieu est polyamour

pkd
le lundi 17 décembre 2018 à 22h23
kill-your-idols
Oui, cela a un'importance. Le futur appartient aux communautés qui font beaucoup d'enfants.
https://unherd.com/2018/06/amish-shakers-can-teach...
Donc, il est fondamental d'avoir une communauté qui soit bien soudée, qui consomme peu d'énergie et qui fasse beaucoup d'enfants (j'avoue que les Amish me fascinent, et j'aimerais bien vivre comme ça).
Après, si des autres personnes souhaitent vivre dans l'individualité, et ne donnent pas d'importance au futur de leur descendance, je respecte leur choix (mais ce n'est pas la mienne).
Kill your Idols tes idées sonnent de manière assez forte avec une approche sectaire ou survivaliste. La référence aux Amishs et tes avis sur la pensée religieuse résonnent en tout cas en ce sens. Est-ce le cas?
La planète croule sous la population humaine et les religions dans leurs archaïsmes continuent de prôner la multiplication humaine comme si nous étions encore dans la terre d'il y a plusieurs millénaires. L'idée que des communautés doivent se reproduire plus que les autres pour gagner une course est quelque part aberrante et en plus une approche sans espoir ou sans effet pour un groupe familial. Nous sommes plus de 7,5 milliards d'humains sur cette planète.
De plus, penser que l'on peut décider des croyances de ses descendants est une vision un peu étroite... En effet les athées ou les agnostiques viennent tous de famille qui ont été ou sont encore croyantes. Ce n'est pas comme si les croyants ne produisaient que des croyants, qui de plus adhèreraient au crédo de leur famille...
Bref, tout ça pour dire que je ne vois vraiment plus en quoi ce fil de conversation à un rapport avec le polyamour ou les amours plurielles. Ni pourquoi, il faudrait absolument considérer de façon binaires les approches familiales et les approches individuelles.
Discussion : Dieu est polyamour

pkd
le mercredi 12 décembre 2018 à 22h05
Non, j'ai beau essayer. Il n'y a pas à dire Prière.Tu es un superbe exemplaire de Troll. Peut-être même une variété de Troll qui ignore qu'il en est un... Une rareté.
Discussion : Dieu est polyamour

pkd
le mercredi 12 décembre 2018 à 16h10
prière
Il y a ce qui nous dépasse encore en 2018 et même après!Croire en Dieu n’empêche pas du tout d'avoir l'esprit critique.Il existe des écoles,universités et formations qui enseignent la science de qualité et qui sont rattachés à des communautés religieuses et qui ont sorti de grands scientifiques depuis des générations!La tolérance est une grande qualité quand elle est profondément liée à notre humanité, elle n'est pas terne !
Croire en Dieu est une forme d'abdication de l'esprit critique au minimum sur certains aspects de l'univers. Croire c'est abdiquer l'esprit critique, surtout quand on croit à un phénomène ou une entité invisible et inattegnable.
Certes il existe des universités "confessionnelles", ou les critères de la recherche effectuée sont les mêmes que ceux des autres universités. D'ailleurs, la plupart des chercheurs et/ou enseignants de ces universites ne sont pas plus croyants que les autres. Il s'agit d'une appellation et d'un mode de gouvernance.
Pour revenir à la thématique initiale...
Dieu est polyamour... Je ne vois toujours pas à quoi ça sert, ni ce que l'on en fait. Un dieu sans croyance et sans culte en plus car comme la dit Prière non rattaché à une religion. J'espère que vous ne croyez pas au moins à un dieu anthropomorphe qui s'intéresse à notre petite vie quotidienne. Et s'il s'agit une force cosmique. Il me semble que nos modes de relations, de pratiques sexuelles, que l'on ait 1,2, 30 partenaires n'est d'aucun intérêt pour cette force. Comme ne lui est d'aucun intérêt que l'on soit bon, mauvais, croyant, agnostique, athée ou psychopathe. Ces différentes choses sont d'importance pour la société et les êtres vivants autour de nous.
Bref...
Discussion : Dieu est polyamour

pkd
le mercredi 12 décembre 2018 à 07h42
@kill your idols
Que vient faire la marche pour le climat dans l'affaire ?
Je m'interroge... Climatoseptique ?
En dehors de ce point, désolé mais la science ne peut être une croyance que pour ceux qui ne comprennent pas ou pire ne veulent pas comprendre son mode de fonctionnement.
Il n'y a pas de croyances en sciences au même titre que la foi religieuse. Il s'agit d'un cycle interactif entre faits/théories/modèles pour faire en sorte que les théories et les modèles convergent vers les faits observables.
Ainsi certains confondent théories et modèles avec des vérités. Mais ce n'est pas du fait d'une approche scientifique honnête.
Si certains veulent penser que la science est une religion, grand bien leur fasse. Ce n'est pas la faute à la science, mais à leur propre et au manque général de culture scientifique dans la population et les décideurs.
La science ne demande pas de croire, mais de douter!
Tout bon scientifique qui se respecte passe son temps à douter, de ses résultats, de ses thèories et de celles des confrères... C'est la base. Mais, douter d'une conclusion scientifique quand on n'a pas les connaissances nécessaires pour remettre en question les résultats, c'est du niveau d'une discussion de comptoir. Après chacun est libre de prendre du temps pour acquérir les connaissances et avoir une opinion éclairée.