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Discussion : Les hommes poly et prêts à se lancer dans un projet de vie existent-ils ?

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bouquetfleuri

le samedi 15 mars 2014 à 20h36

Il y a plusieurs poujadisme, mais le plus constant est l'anti-intellectualisme qui borde le populisme le plus stérile par des artifices démagogiques dangereux. Il faut vraiment faire attention de ne pas l'alimenter, personne n'a rien à y gagner.

Un enfant qui ne se sent jamais à sa place à l'école, cela n'existe pratiquement pas, l'idée de l'école étant par excellence l'accompagnement du développement naturel de l'enfant.
En revanche un enfant peut ne pas se sentir à sa place dans une certaine école, ou dans le système de l'école publique par exemple.
Il existe des alternatives, d'autres ressources pédagogiques. Les écoles Montessori, les Freinet ou les Steiner proposent d'autres approches. Les parents ont aussi, légalement, la possibilité d'enseigner à leur enfants les rudiments du programme.

Cela dit, bien souvent, les enfants qui ne se sentent pas à leur place dans une école reproduisent la méfiance des parents devant le système éducatif qui ne leur a pas permis de s'épanouir au mieux et qui se considèrent eux-même en échec.
C'est un peu la panne de l'Éducation Nationale telle qu'on la diagnostique de plus en plus. L'ascenseur social ne fonctionne plus comme avant.
Si on assortit cela à la pression sociale adossée à la hiérarchie dont les diplômes représentent grosso modo les paliers, cela peut créer une situation assez limite en terme de reconnaissance de l'individu et de droits de l'homme.

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Discussion : Les hommes poly et prêts à se lancer dans un projet de vie existent-ils ?

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bouquetfleuri

le samedi 15 mars 2014 à 19h01

Mais tu es un beau mouton noir, Éric !

L'ambition de l'école, l'Éducation Nationale, en France du moins, et cela la distingue d'autres pays proches est de former des individus libres plus que des travailleurs. On peut contester cette ambition, on peut acter qu'elle n'y arrive pas à la hauteur de ses projets, on peut choisir collectivement de mener une autre politique. Sans doute.
Mais verser dans le poujadisme en opposant intellectuels et manuels est juste une faute. C'est une opposition qui n'a pas de sens.

Il y a des travailleurs intellectuels habiles de leurs mains et il y a des travailleurs manuels qui réfléchissent.
L'école a juste permis depuis plus d'un siècle de retirer les enfants des mines et à en propulser certains vers d'autres horizons, eux et leur descendance. Pas assez, on est d'accord.

Message modifié par son auteur il y a 11 ans.

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Discussion : Les hommes poly et prêts à se lancer dans un projet de vie existent-ils ?

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bouquetfleuri

le samedi 15 mars 2014 à 15h15

LuLutine, si l'école formate, et on peut facilement tomber d'accord là-dessus, elle reste le meilleur outil pour échapper au formatage.

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Discussion : Les hommes poly et prêts à se lancer dans un projet de vie existent-ils ?

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bouquetfleuri

le samedi 15 mars 2014 à 14h32

Avoir et Être sont deux auxiliaires... j'ai appris cela à l'école, hihihi

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Discussion : Les hommes poly et prêts à se lancer dans un projet de vie existent-ils ?

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bouquetfleuri

le samedi 15 mars 2014 à 13h24

L'école n'est pas si récente que cela, les Égyptiens déjà avaient un système scolaire.
L'école est un peu l'inverse de "l'école de la vie" où l'apprentissage se fait rudement, par la confrontation et l'imposition d'un modèle; l'origine grecque du mot parle d'arrêt de travail, l'origine latine parle elle de loisir.
En tous les cas, l'école antique est l'institution où on côtoie des semblables et des personnes qui peuvent former.

On a parfaitement le droit de revendiquer une distance par rapport à l'école, mais il faut arrêter de prétendre manier des concepts complexes alors, parce que seule l'école nous apprend à le faire, on ne naît pas avec les outils nécessaires.
Le combat contre l'école est un faux combat, comme le combat contre les psy, d'ailleurs. En revanche on peut bien essayer de distinguer pourquoi et comment l'école formate les individus et par exemple comment elle apprend à "devenir" une fille ou un garçon. On se rendra compte qu'en ce moment par exemple, une tentative peine à se mettre en place pour plus d'égalité entre les filles et les garçons.

Message modifié par son auteur il y a 11 ans.

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Discussion : Nos plus beaux témoignages d’Amours de poly-heureux ☺

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bouquetfleuri

le vendredi 14 mars 2014 à 09h31

LuLutine
Parce que les femmes ne peuvent pas être de belles personnes ?

Si, si... Quand je rencontre une belle personne, c'est souvent une femme...
Allez savoir à quoi ça tient, ma brave dame

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Discussion : Création d'un site de rencontres polyamoureuses

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bouquetfleuri

le vendredi 14 mars 2014 à 09h03

Je ne comprends pas bien ce besoin de confort dans l'installation d'une relation amoureuse, ou plutôt, je ne comprends pas bien cette revendication.
Avancer dans sa vie vers une expérience que l'on peut qualifier de poly-amoureuse, n'est-ce pas justement prendre ses distances avec un schéma prêt à l'emploi, ce que vivent presque tous les mono-amoureux ? Or ne rencontrer que des poly-amoureux, c'est bien rentrer dans un schéma relationnel installé

Certes, c'est difficile, mais la beauté d'une histoire réside-t-elle dans un objectif de réalisation ou dans la découverte et l'enrichissement de chaque partenaire, donc dans la façon de faire dialoguer et vivre ensemble des différences, y compris celles, majeures, liées à la posture amoureuse ?

En fait, je comprends parfaitement le besoin de confort dans une relation amoureuse, mais je ne suis pas sûr qu'il soit garanti par le label "poly-amoureux". De la même façon, je ne crois pas que ce label garantisse que la relation fonctionne.
Et quelle curieuse rencontre où

bodhicitta8
il n'y aurait pas besoin de débattre pendant des soirées,

quelque soit le sujet débattu... et surtout celui-ci !

Message modifié par son auteur il y a 11 ans.

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Discussion : La douleur.

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bouquetfleuri

le jeudi 13 mars 2014 à 14h12

Kaya
Aujourd'hui il ne reste plus rien puisque pour que ces moments aient existé, ils doivent vivre en lui aussi

Mais c'est ce qui se passe. Le déni d'un événement n'a jamais empêché celui-ci d'exister et de continuer à produire ses effets. La mémoire fait aussi partie des choses que l'on ne contrôle pas aussi bien que son langage ou ses tables de multiplication.
C'est une des questions fortes que je pose à la fin de chaque histoire mono amoureuse qui se termine dans la fureur : vous vous êtes aimés, comment pensez-vous détruire tout ce que vous avez produit d'amour, surtout pour être libres de démarrer une autre histoire ?

Il n'assume pas en ce moment peut-être. Parfois l'urgence dicte des comportements dans lesquels on ne se reconnaît pas par la suite.
Le temps seul dira s'il n'assume vraiment pas. Le temps lui fera peut-être prendre conscience que s'ils sont heureux dans leur vie, c'est parce que vous vous êtes rencontrés, parce qu'il a pu un instant considérer qu'il y avait une autre façon de vivre ses relations amoureuses.

Tout ceci n'a rien à voir avec le plaisir maintenant tari ou la douleur présente que tu nous exposes. Une histoire d'amour ne disparaît jamais, mais elle n'est jamais rangée au fond de nous comme on l'a vécue.

Message modifié par son auteur il y a 11 ans.

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Discussion : La douleur.

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bouquetfleuri

le mercredi 12 mars 2014 à 19h32

Et surtout, surtout, il n'y a aucune faute à s'aimer.

Pas de faute, pas de culpabilité ! Non mais...

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Discussion : La douleur.

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bouquetfleuri

le mercredi 12 mars 2014 à 16h48

Ben oui, le poly-amour est avant tout de l'amour, donc de la vie, non ?
Peut-être qu'elle aime la baguette moins cuite. Alors, c'est celui qui l'achète qui choisit !

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Discussion : Quant on laisse partant sans vraiment le vouloir

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bouquetfleuri

le mercredi 12 mars 2014 à 16h38

comme KittyN : pourquoi divorcer ?

Parce S y tient et que tu fais un dernier cadeau amoureux, ta tristesse infinie ?
Le mariage n'est pas honteux, la convention ne vient pas du statut

Et ce que tu dis n'est pas dingue, c'est une vraie question

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Discussion : La douleur.

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bouquetfleuri

le mercredi 12 mars 2014 à 14h40

Si Siestacorta, tu comprends bien

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Discussion : La douleur.

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bouquetfleuri

le mercredi 12 mars 2014 à 14h38

La responsabilité est un des piliers de l’éthique, à savoir la volonté et la capacité de répondre par devers soi de ses actes et de son engagement dans la conduite de sa vie.
L’émergence d’une relation ne dilue pas la responsabilité, mais elle en fait dialoguer les termes.

Construire son éthique pour remplacer une morale contraignante ou incapacitante est nécessaire pour s’autoriser une expérience polyamoureuse (cela sert à mille autres choses aussi ). Dès lors, la responsabilité qui s’exerce entre deux personnes peut s’étendre à trois personnes, quatre voire plus, parce qu’ils répondent de leur bien-être dans la ou les relations qui les lient.

Que l'un se casse une jambe ou le cœur, l'autre va tout faire pour lui permettre d’aller mieux, répondant de son engagement pour satisfaire les besoins qu’ils ont identifiés et qui se résument par « aller bien ensemble ». Quand il y a un tiers en cause, c’est assez simple à imaginer, mais cela fonctionne de la même façon dans chaque couple, polyamoureux ou pas.

La responsabilité conduit à prendre soin de l’autre, quelle que soit l’origine de sa douleur ou sa nature. scampidu l'illustre bien dans ce fil.

Et à l'instar de Erich Fromm qui l'a écrit bien mieux et plus complètement dans l'Art d'Aimer, je pense que sans cette responsabilité, il n'y a pas d'amour.

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Discussion : La douleur.

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bouquetfleuri

le mercredi 12 mars 2014 à 13h27

Siestacorta
l'empathie d'un partenaire quand un autre laisse des blessures, c'est une des vraies richesses du polyamour

gcd68
Etre là quand l'autre ne va pas bien, c'est aussi cela aimer.

Je ne suis pas loin de penser que c'est cela, la responsabilité. Sans préjuger de l'origine des blessures.

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Discussion : Les hommes poly et prêts à se lancer dans un projet de vie existent-ils ?

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bouquetfleuri

le mercredi 12 mars 2014 à 10h46

Projet de vie, projet de la vie, projet de vivre et finalement, projet d’être…

J’appréhende la question du projet de cette manière, pas en juxtaposant deux souhaits qui se ressemblent ou pas, même si cela nécessite de parler pour le savoir mais en extériorisant ma recherche intérieure.
Mon projet de vie est d’essayer de connaître, découvrir l’inconnu qui est en l’autre, pour ce qu’il est, en sachant que c’est une correspondance, un éclairage de l’inconnu qui est en moi.
Le projet que je peux avoir avec une femme est une réponse que l’on abonde en commun à la question inaltérable et perpétuelle de savoir si nos parcours, nos histoires, nos sexualités, nos identités s‘articulent, entrent en résonance et, comment en vivant dans notre espace amoureux nous nous offrons les éléments nécessaires pour avancer, pour devenir meilleurs ou du moins ceux que nous désirons être. Cela peut se faire chacun de son côté, cela peut se faire en vivant ensemble. Cela peut se réaliser avec une, deux ou trois amoureuses. Les contingences matérielles entrent peu en considération.

Ce qui constitue le cœur du projet est le choix commun de nous chercher et l’espoir commun de nous trouver, en matérialisant jour après jour la promesse éternelle que se font les humains.

Empiriquement, il ne s’agit pas d’acheter ou non une maison, ni de délimiter un espace de vie intangible, ni d’accueillir ou non un enfant.
Il ne s’agit pas plus d’effacer nos différences, il s’agit simplement de les harmoniser, de permettre leur expression.
Il s’agit de nous offrir du quotidien, le plus possible, pour laisser nos inconscients se déployer à la conscience de l’autre. Il s’agit de réduire l’asymétrie fondamentale entre deux personnes qui ne se connaîtront jamais totalement.
Il s’agit de respecter scrupuleusement ce que nous découvrons comme étant une face cachée de nous-mêmes. C’est pour moi, la seule façon satisfaisante de rester entier et de vivre entièrement une histoire d’amour avec chacune des femmes qui m’acceptent.

Mon projet de vie tient en quelques mots : j’essaie de nourrir notre relation pour nous découvrir sans cesse. Il n’existe que parce qu’il est partagé.

Dans ce projet de vie, je me lance et m’engage à corps et à cœur… en permanence.
Parce que ce projet n’est pas principalement matériel, la jouissance n’est pas principalement matérielle, elle est surtout spirituelle, elle est sentimentale, elle identifie notre pulsion de vie.

Et s’il doit y avoir une matérialité, la sonorité douce des baisers qui signent un instant de tendresse en est une, autrement plus importante que beaucoup d’autres.

Message modifié par son auteur il y a 11 ans.

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Discussion : La douleur.

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bouquetfleuri

le mardi 11 mars 2014 à 12h40

C'est ici que tu peux écrire ta douleur, Kaya, ici que tu peux verbaliser ce qui ne ressemble pas à tes attentes. Le soulagement de ce poids commence souvent de cette manière.

Pour autant, personne ne pourra prendre en charge la moindre once de ta douleur et les conseils éclairés (ils se développent comme dans un bouillon de culture) ne seront que le reflet d'une expérience qui n'est pas la tienne.

J'espère que tu trouveras au fil des réactions quelques éléments qui te permettront d'avancer par toi-même, en te les appropriant ou en les reconnaissant pour ce qu'ils sont.

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Discussion : Tantrisme et polyamour

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bouquetfleuri

le mardi 11 mars 2014 à 10h55

Ceux qui parlent de calembredaines à propos du tantrisme font fi de la quête universelle des hommes pour relier leur corps à leur esprit, tout simplement.
C'est l'objet philosophique par excellence et il se décline de plusieurs façons. Dans la culture orientale, c'est le tantrisme, dans la culture occidentale, c'est de Platon à Reich en passant par Freud et Jung, le travail de découverte de l'inconscient, du plaisir etc.
Il y en a d'autres, le ho'oponopono en est une illustration.

Cela dit, je crois qu'il faut bien prendre le tantrisme comme un apport à notre culture, un complément, un autre regard, plus que comme une doctrine new-age ou un mystère insondable

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Discussion : Candaulisme

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bouquetfleuri

le dimanche 09 mars 2014 à 20h30

À mon sens, et sans vouloir créer un débat (mais cela restera peut-être un voeu pieu), je crois que tout ce qui interroge le corps, l'exploration des pratiques sexuelles, depuis l'asexualité jusqu'au fin fond des fantasmes obscurs, tout ce qui permet de mettre en perspective le parcours individuel dans la relation à l'Autre et aux autres, tout ce qui conduit à examiner la nature des sentiments et leur genèse concerne l'humanité des amoureux et fait donc partie de la problématique du poly-amour.

Et tout le monde, avec ses moyens, a voix au chapitre, même si on ne le comprend pas. C'est cela qu'il faut préserver ici, parce que cela on peut le définir et s'accorder dessus.

gcd68
...s'il désire s'exprimer intelligemment...

là tu t'aventures sur un terrain glissant, ce qui paraîtra intelligent à certains ne le sera pas pour d'autres. Comment le définir sans créer de chapelles ou étiqueter les gens ?

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Discussion : Réaction des gens

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bouquetfleuri

le vendredi 07 mars 2014 à 09h29

L'annonce de "qui on est", l'affirmation du choix de notre conception de la vie amoureuse à des proches, parents, amis, famille est une pierre de touche, un révélateur et une borne sur le chemin de l'individuation. L'affirmation de soi contrebalance l'aliénation à la société (la famille par exemple) et c'est forcément agressif (au sens où Fromm l'emploie, biologique). Il s'agit de déployer la force qui permet de survivre, de s'affirmer. Dans certaines familles, le travail de désaliénation a déjà commencé et tout paraît plus simple, une parole différente peut être entendue comme une richesse, dans d'autres elle instruit un conflit parce qu'elle est porteuse de danger ou au moins d'inconnu, dans d'autres encore, cette parole nouvelle est insignifiante, et n'existe pas plus que les sujets d'ailleurs.

Pour ma part, je n'ai jamais eu besoin d'adoubement ou d'une validation quelconque de ma famille. Je dis simplement où j'en suis et ce que je fais, dans tous les domaines de ma vie, si j'en ai envie ou je ne le dis pas et l'information vient au détour d'un autre dialogue, concernant les vacances, la situation du petit-fils, ou l'influence du pape sur la politique sociale etc. Le credo de mes parents a toujours été de faire confiance à leurs enfants pour trouver leur voie.
Cela fait quarante ans que nous jouons, quarante ans que nous marquons nos différences, mais quarante ans aussi que le jugement est banni de nos dialogues (pas des têtes, je pense). Par exemple, quand je présente mon amoureuse à ma mère, c'est un sourire bienveillant qui l'accueille suivi plus tard d'une question pernicieuse : "vous connaissez Nicole, c'est une femme remarquable ?". Éclat de rire, j'explique à ma maman qu'on a décidé de vivre dans le péché et que le paradis ne nous attend pas. Et que c'est bien meilleur.

Bon, elle est montée au paradis assez directement, peu de temps après que je lui ai présenté la dernière lumière de ma vie, je ne la reverrai plus jamais...

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Discussion : Est-ce que la tromperie existe chez les poly amoureux ?

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bouquetfleuri

le jeudi 06 mars 2014 à 16h33

Et je vois aussi des conditions de tromperie quand le travail de libération n'est pas fini, quand on fait rimer poly-amour avec poly-baise en substituant l'un à l'autre, (vous savez les histoires qui ne durent que deux mois, à répétition) quand on parle de NRE pour ne plus parler de découverte d'un nouveau corps, bref quand on n'est pas clair avec soi-même et que l'on se prive à la fois d'une envie de baiser assumée et d'une NRE dévaluée et par là-même d'un joli début d'histoire d'amour, alors que tout peut coexister sans dommage... Tromperie aussi dans le "ça dépend" qui traduit une forme de désespoir devant la difficulté relationnelle que le poly-amoureux s'impose.

En fait je ne parle pas de la tromperie valant infidélité, je suis d'accord avec toi Siestacorta, cela ressort de la structure mono amoureuse. Et le problème de la tromperie pourrait bien être qu'il existe plus que des passerelles entre les deux schémas.

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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