Polyamour.info

Tchu

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Paris (France)

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Discussion : Vers un polypacs ? Idées, suggestions et éléments positifs issus de divers modèles

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Tchu

le dimanche 08 juillet 2012 à 18h25

Un foyer fiscal commun.

Aucune obligation de cohabitation à plein temps, sinon les célibataires géographiques ne pourraient pas se marier civilement.

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Discussion : La solitude comme postulat ?

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Tchu

le jeudi 05 juillet 2012 à 14h36

Ben, être célibataire, c'est quoi alors ?

Sans relation aucune ?
Avec des plans culs ?
Ou juste "non marié" ?

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Discussion : Polyamour sans couple, sans relation centrale/primaire

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Tchu

le mercredi 23 mai 2012 à 09h34

Je n'ai pas très bien compris le sens de ton propos.

Est ce que tu pense que la satisfaction est une marque de faiblesse ?

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Discussion : Polyamour sans couple, sans relation centrale/primaire

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Tchu

le mardi 22 mai 2012 à 23h53

Outre le fait que je sois un peu effrayée par vos mots, que je trouve assez violents, de part et d'autres, je suis très embêtée car ce que j'ai lu s'apparente selon moi à quelque chose qui m'a toujours dérangée profondément depuis que je suis entrée en polyamour : l'autoétiquettage.

Je m'explique.

Je suis arrivée ici il y a trois ans, car mon amoureux de l'époque, qui se partageait entre moie t son épouse, se sentait polyamoureux et voulait avoir des conseils sur la façon de gérer ses deux relations.

Pour ma part, j'ai toujours eus vis à vis de nos amours plurielles un esprit que je qualifierai d'assez, heu, pas ouvert mais disons bienveillant. Je n'ai jamais souffert de la situation, sauf par empathie, quand les deux autres étaient malheureux. Je l'ai toujours très bien vécu.

Je ne me suis jamais demandé si j'étais polyamoureuse, monogame, queer, etc. Il m'a toujours déplu de me coller une étiquette sur le dos, dans le but d'intégrer un groupe, une communauté.

Alors certes, le cercle des polyaimants était exactement ce qu'il me fallait. Je m'y sens toujours bien, d'une certaine façon ...

Bien, oui, sauf lorsque je lis des choses comme "Non, non, the one n'arrivera jamais, c'est des conneries de monogames qui se leurrent dans un model sociétal qu'on nous impose depuis des années"

Je paraphrase.

On dirait de la foutue propagande politique O_O
Ou alors une secte.

Il se trouve que j'ai fais le choix en ce moment de m'engager amoureusement avec une seule personne.

C'est bon pour moi, je le sens, j'en ai besoin. J'ai toujours su ce qui était bon pour moi, et je me suis toujours par conséquent laissé porter par mes propres envies, parfois certes au détriment de celles des autres.

Je n'ai pas / plus envie de frayer amoureusement ou de faire du sexe avec d'autres personnes.

D'ailleurs, même quand j'étais d'avantage engagée dans mes amours plurielles, j'ai eus ces périodes de monogamie où je n'avais envie que d'une seule personne, quand bien même j'avais la liberté d'en rentrer d'autres.

Je n'ai jamais dis de mal contre la monogamie. Ça ne me convenait plus à une période de ma vie, ça me convient d'avantage maintenant. Je ne me sens ni emprisonnée, ni limitée dans ma libertés, ni attachée comme par des chaines, ni bridée dans ma manière de penser.

Je me sens simplement complète, épanouie, portée et plus heureuse que jamais.

Je n'ai pas non plus l'intention de tourner le dos à ceux et celles que j'ai rencontrés et plus si affinités en polyamour. Les liens, les relations, se feront autrement. Je sais que la plupart d’entre eux sont d'une exquise tolérance et d'une ouverture d'esprit incroyable.

En fait, je continues à croire que l'homo polyamorus est une espèce plus évoluée que l'homo sapiens sapiens ;-)

J'ai simplement envie de vous dire ce soir, que parfois, le polyamour vous enferme aussi dans un schéma de vie, de pensée, dont on a du mal à s'extirper pour envisager d'autres relations.

Y compris celle de ne pas se considérer comme "en couple".
Y compris considérer le retour à des amours non pluriels comme un échec.
Y compris rompre, mais ça, je l'ai déjà exprimé sur le post "les vertus de la rupture."

Et je vous embrasse chaleureusement, tiens :)

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Discussion : Les vertus de la rupture

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Tchu

le vendredi 11 mai 2012 à 22h34

Non, ça ne nous empêche pas de l'aimer. Personne ne peut rien contre ça.

Mais parfois, il faut être lucide, toutes les histoires ne sont pas destinées à aboutir ou à durer.

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Discussion : Ma femme tombe en polyamour, comment le gérer

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Tchu

le vendredi 11 mai 2012 à 22h32

Sinon, tu as toujours la solution de la désinvolture.

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Discussion : Les vertus de la rupture

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Tchu

le jeudi 10 mai 2012 à 00h49

Je n'aurais que deux remarques :

1/ AMEN TO THAT.

2/ J'ai souvent eus l'impression, qu'en territoire polyamoureux, choisir la rupture comme solution finale pour résoudre l'incompatibilité entre la monogamie de l'un, et le polyamour de l'autre, était considéré comme un terrible échec. Comme si on avait pas su trouver les mots pour convaincre ...

D'ailleurs, en territoire monogame, la rupture est elle aussi considérée comme l'échec d'une relation, comme si on avait pas su trouver les bonnes raisons pour rester ensemble.

Je me souviens, à titre personnel, d'une tante qui m'a dit : "Mais vous n'avez fait aucun effort !"

En quoi rester ensemble et s'aimer devrait t il représenter un EFFORT. On ne s'aime plus, on se quitte, voilà tout.

Enfin même lorsque le polyamour est partagé, la rupture reste un moment douloureux. Comme si on avait pas su "garder" les deux (ou trois, ou plus) amours, comme si on se dévaluait.

Comme si on avait du CHOISIR. (Le mot qui fait peur, n'est ce pas ?)

AND SO WHAT ?

On a le droit de se tromper les uns les autres (jouons un peu sur les mots) non ?

On a le droit de préférer une relation à une autre, parce que la personne s'harmonise mieux avec nos désirs, nos instincts, nos besoins, nos envies ? Parce que cette personne est plus belle, baise mieux ou whatever ?

Tant qu'on tire les conséquences de ses erreurs et qu'on s'efforce de ne point les reproduire avec le prochain amour.

Donc oui, rompons, restons en là, ne gâchons pas nos vies.

(à titre personnel, à l'auteur de ce message, ma foi, c'est précisément ce que j'aurais du dire à ce moment là. Sans rancunes, avec toute mon admiration.)

Pour finir, sur le chapitre des enfants, moi même enfant de parents divorcés, qui auraient très bien pu rester ensemble pour "préserver le noyau familial" et qui auraient fini par se déliter, notamment ma mère, je crois pouvoir affirmer aujourd'hui, que, 15 ans plus tard, nous allons tous bien, merci.

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Discussion : Blindage post larguage ou de quoi je me mêle...

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Tchu

le lundi 23 avril 2012 à 09h17

Une réflexion me vient, qui j'espère ne sera pas hors sujet.

Après une rupture, il faut pouvoir se donner l'autorisation de souffrir.

J'ai tendance, pour ma part à affecter l'indifférence, à tenter de ne voir que le gros positif de ma vie, à mettre mes peines dans ma poche et mon mouchoir dessus, pour ne surtout pas offrir une image de pathétique petite personne qui vient de perdre l'amour.

Si l'effet auto suggestif est indéniable, au bout d'un moment, il faut (enfin, selon moi) se laisser à aller au chagrin, au deuil, et ça, je n'ai pu le faire pleinement que très récemment (quand bien même je considère ma vie comme "reconstruite" après cette rupture) envers des amis neutres, c'est à dire pas très impliqués dans ma relation amoureuse de l'époque.

Le blindage et sa forme d'abstinence sexuelle et/ou amoureuse est une étape nécessaire, et je n'aurais pas supporté qu'on vienne me "cheer up" de façon ostensible.

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Discussion : Sur la différence d'âge

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Tchu

le samedi 21 avril 2012 à 14h23

Je fais la différence entre "nombre d'années" et "écart générationnel".

A 28 ans, je suis sortie avec un homme qui en avait 40. Même si nous avions beaucoup de choses en commun, je n'arrivais pas à me départir de ce sentiment d'être une gamine frivole à ses côtés. C'est devenu gênant, et nous nous sommes séparés en partie à cause de ça.

Maintenant, j'ai tendance à fréquenter des hommes un peu plus jeunes que moi (quatre ou cinq ans de différence) parce que nos centres d'intérêt, notre façon d'envisager la vie sont similaire : même si je suis déjà dans la trentaine et qu'eux ont encore un peu de temps devant eux avant d'y accéder, nous faisons partie de la même génération.

Je ne me vois pas encore fréquenter quelqu'un de la génération de mes parents mais plus je vieillirai, plus l'écart se réduira : j'en fais l'expérience avec ma mère, qui a 50 ans cette année : nous serons toutes les deux dans le "troisième âge" en même temps ;-)

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Discussion : Vos âges ...

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Tchu

le mercredi 14 mars 2012 à 10h37

J'ai 32 ans ... dans quelques mois.

J'ai eus très tôt le sentiment qu'avoir plusieurs relations était plus simple pour moi, mais je m'en suis longtemps empêchée au nom d'une fausse morale et d'un couple à "préserver". J'ai rencontré un homme qui m'a permit de concrétiser le polyamour (et surtout de mettre des mots sur des actes), de façon parfois chaotique, mais toujours plus sereine et en accord avec moi même.

Aujourd'hui notre relation fait partie du passé, mais tout ce que j'ai acquit de bon reste, et je suis surtout fidèle à moi même, je me sens plus libre que jamais.

En ce moment, j'ai une relation "amicale mais avec du sexe et putain qu'est ce qu'on déconne bien ensemble" et une autre relation plus profonde, plus passionnée mais plus épisodique, car à distance. J'ai enfin une amie-amante pour qui je ressens quelque chose de plus durable, de plus serein, et de moins "obligatoire" qu'avec les garçons. Je trouve important de la mentionner ainsi, car j'y tiens, mais elle même me dit qu'il n'est pas utile de nous qualifier, tant que nous nous gardons une place mutuelle dans nos vies.

J'y trouve un bon équilibre, parce que ces relations me permettent aussi de préserver un espace d'individualité dont je ne saurait me passer (la vie de couple traditionnelle avec cohabitation ne m’intéresse pas vraiment.) et me comblent suffisamment pour que je n'ai pas le désir constant de "chercher ailleurs." comme lorsque j'étais monogame par défaut.

Message modifié par son auteur il y a 13 ans.

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Discussion : Tout se dire ?

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Tchu

le mercredi 01 février 2012 à 09h42

Je suis d'accord avec cette phrase d'Eric : "la vérité est bonne à dire à ceux qui ont envie ou besoin de la connaitre"

Le week end dernier, j'avais indiqué à un de mes amoureux que je ne serai pas joignable jusqu'au dimanche midi, sans préciser pourquoi (j'ai le sentiment que je n'ai pas de compte à lui rendre sur chacune de mes activités, pour moi, quand on n'est pas ensemble, chacun est libre d'organiser son temps comme il l'entend).

Il m'envoies donc un petit texto dimanche midi pour me demander s'il peut me téléphoner, mais, en vérité, j'étais en train de prendre mon petit déjeuner avec mon autre amoureux, et je lui ai répondu que je le contacterai plus tard.

A mon retour, j'ai du subir un véritable interrogatoire sur la façon dont j'avais occupé ma nuit et ma soirée.

J'aurai pu céder au mensonge par omission en répondre "je n'étais pas chez moi, c'est tout" mais, connaissant le penchant de cet amoureux à se faire des films et à s'inquiéter, je lui ai donc dis la vérité, même si j'avais le sentiment qu'il interférait un peu dans ma liberté d'action.

C'est aussi ce que je lui ai dis, je lui ai demandé pourquoi il tenait tellement à savoir, il m'a expliqué qu'il s'était senti délaissé toute la soirée (pas forcément à cause de moi) et qu'il était un peu mécontent de savoir, rétrospectivement que MOI j'avais passé la soirée à m'amuser ET EN PLUS avec un autre.

Je crois l'avoir rassuré, et je n'ai pas eus l'impression de mentir.

Ma conclusion c'est "au cas par cas".

Pour ton histoire de skype, Fripon, j'aurais tendance à dire à ton amoureuse à distance : "Ok, un petit moment avec toi, mais juste un petit coucou, après, je dois partir." sans préciser d'avantage, sauf si elle le demande, et dans ce cas, prendre le temps de la rassurer "oui, j'ai rendez vous avec X. je te recontacte demain."

Message modifié par son auteur il y a 14 ans.

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Discussion : Comment être poly lorsqu'on a du mal a trouver une personne ?

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Tchu

le mercredi 25 janvier 2012 à 17h17

Ben, on fait pas exprès, déjà.

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Discussion : Acceptation puis refus

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Tchu

le lundi 16 janvier 2012 à 10h33

miss
il a accepté pendant plus de deux ans et aujourd'hui il me demande de choisir...comment est ce possible ? on m'explique qu'il a certainement dû accepter pour me faire plaisir et ne pas me perdre..mais qu'aujourd'hui c'est devenu trop de souffrances pour lui de me partager...il ne peut vivre me sachant ainsi..il me demande donc de choisir entre lui et mon Autre

La réponse est dans la question.

On se ment beaucoup à soi même quand on est amoureux. Il a trouvé le chemin de sa propre vérité, c'est comme ça et ce n'est pas de ta faute.

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Discussion : Bientôt la Saint Valentin, les polyamoureux y seront-ils plus à la fête ?

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Tchu

le jeudi 12 janvier 2012 à 22h32

Ne pas fêter ce jour consumériste et aimer ses amoureux toute l'année ?

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Discussion : Polyamour et réseaux sociaux

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Tchu

le jeudi 05 janvier 2012 à 21h04

J'ajoute que c'est même le principal avantage des réseaux sociaux. On peut refuser ou supprimer un contact ou un abonnement pour ne pas lire ce qu'on n'a pas envie de lire.

Ce qui n'est pas le cas sur un forum.

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Discussion : Tout le monde pleure sur la route de Madison ? (ou plaidoyer pour le polyamour)

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Tchu

le mercredi 04 janvier 2012 à 10h04

Junon
Pas moi. Non pas que j'ai un cœur de pierre (il est plutôt chouinegomme) mais le cinéma d'Eastwood me hérisse le poil de manichéisme et de monolithisme.
Dans le genre amours impossibles, Nuits d'ivresse printanière m'avait autrement bouleversée...

Message modifié par son auteur il y a 4 jours.

Indeed (+) pour Nuits d'Ivresses printanières.

Parce que l'autre, franchement, qui a envie d'être une Francesca ?

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Discussion : Polyamour et réseaux sociaux

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Tchu

le mercredi 28 décembre 2011 à 19h52

Cher Popol, je pense simplement et sans méchanceté aucune que, ayant dit toi même, je cites "Je twitte pas Je fesse pas les boucs" tu n'es peut être pas la personne la plus indiquée pour répondre à la question initiale posée par Junon qui concernait la gestion des relations polyamoureuses sur ces réseaux, précisément.

"Quoique je trouve certaines marques d’intimité prodiguées en public de l’ordre de l’exhibitionnisme."

Là, je suis d'accord avec toi, mais tout dépend des situations, bien entendu. Sur les réseaux sociaux, je persiste à trouver ça très mignon ;-)

Message modifié par son auteur il y a 14 ans.

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Discussion : Polyamour et réseaux sociaux

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Tchu

le mardi 27 décembre 2011 à 20h20

Pour résumer vos dernières interventions, ne surtout pas oublier que les réseaux sociaux sont des outils de communication et qu'ils ne doivent pas se substituer au message qui est transmit.

Toujours se demander si ce message ne peut pas être transmit par un autre moyen qu'un outil de communication semi-public.

Ne pas non plus diaboliser les réseaux avec des termes comme "ostentation" "m'as tu vu" etc.

Quand il s'agit d'échanger des marques d'amour, certains aiment à le faire en public, parce que ça participe à la dynamique de leur relation : est ce qu'il vous viendrait à l'idée de méjuger deux personnes qui s'embrassent fougueusement dans la rue ?

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Discussion : Polyamour et réseaux sociaux

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Tchu

le vendredi 23 décembre 2011 à 21h45

Mon ancien amoureux n'était pas jaloux pour un sou, et, un peu à l'instar de tentacara, amusé par d'éventuels flirts sur ma timeline twitter.

Pour ma part, je ne m'en suis jamais cachée, j'opérais une veille discrète de ses échanges, et si quelque chose m'interpellais, je lui en parlais directement.

J'étais par exemple très agacée quand, au détour d'un tweet, j'apprenais qu'il avait passé une excellente soirée dans d'autres bras, sans m'en parler au préalable.

D'ailleurs sur twitter, c'est terrible. C'est un message qui est posté en public. Toi, et tous les abonnés peuvent le lire. Par conséquent, à qui est destiné ce message ? Dans quel but est il posté ?

Ainsi il y a quelques jours il a fait allusion à un moment intime avec sa nouvelle compagne, et oui, ça a piqué, et j'ai un peu lâché mon venin dans une série de messages ironiques ...

Naturellement, mon accès de jalousie cachait quelque chose de plus douloureux, et comme tout accès de jalousie, c'est un travail que je dois faire sur moi.

Cependant, dans l'ensemble, il se "censure" beaucoup plus que moi sur le plan amoureux via les réseaux sociaux.

De mon côté, je fréquente quelqu'un depuis quelque temps, qui est également sur twitter, et que mon ancien amoureux suit. Nos échanges deviennent explicites, et j'ignore quel est le sentiment de mon ancien amoureux à ce sujet. Puisqu'il n'en dit rien, j'imagine que ça ne le dérange pas et que même, ça lui fait plaisir que je sois à nouveau heureuse.

Je n'ai pas vraiment de règle ou de solution à t'apporter, si ce n'est celle des mots en face à face : ne pas hésiter à dire à l'autre

"Lire ceci m'a blessée, j'aimerai t'expliquer pourquoi, est ce que tu veux bien m'écouter ?"

Concernant les compagnes / compagnons je les suis sur twitter uniquement si le contenu qu'ils/elles diffusent m’intéresse, au delà des discussions publiques qu'ils/elles entretiennent avec mon amoureux.

Finalement c'est comme dans la vraie vie : si je partage quelque chose avec l'autre amoureux, au delà d'un homme ou d'une femme, j'ai peut être envie de le fréquenter "en dehors". Si ce n'est pas le cas, alors cette personne restera simplement "l'autre amoureux / l'autre amoureuse" et ce n'est pas grave, des amis, des contacts intéressants, j'en ai déjà beaucoup.

Ce qui pose la question : quelle relation doit on avoir avec l'autre amoureux. Faut il forcément avoir une relation, d'ailleurs ? etc etc etc.

Message modifié par son auteur il y a 14 ans.

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Discussion : Comment nous convertir ?

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Tchu

le dimanche 04 décembre 2011 à 20h46

Didix
Oui avec toi, Popol, mais, enfin, pourquoi DDa2 serait-elle sans retenue et disponible avec les autres et effacée avec moi... C'est pas pour m'imaginer ce qu'elle fait, à la rigueur ce n'est pas mon problème, mais plutôt pour comprendre la différence de traitement. Or, je pense, mon sacro-saint couple (encore une fois je pense qu'elle sacralise du fait de son échec à elle) constitue un frein rédhibitoire. C'est là où je ne dois pas aller chercher midi à 14h. Car même si je "faisais le ménage" pour me retrouver moi, je n'ai aucune garantie (le mot est fort, certes) de fonctionnement, d'autant que je repartirai dans un MA... Bref, le serpent se mort la queue !

Je pense que DDa2, quelle que soit la nature de son passé amoureux, des pierres qu'elle porte, n'a tout simplement pas envie de gérer indirectement, ta relation avec DDa1.

Pour avoir été quelques temps dans la position de DDa2, si j'ai refusé de me mêler des histoires de couple de mon ancien amoureux et de son épouse c'est parce que, attention, gros scoop : ça ne me regardais pas et je ne me sentais pas impliquée.

Effectivement, je le voulais lui, dans ma vie, et la façon dont il gérait tout ce qui n'était pas nous m'importait peu.

C'est une réaction qui peut sembler égoïste (je sens comme une ironie lorsque tu évoques son indépendance, comme si tu la vivais comme de la frivolité de sa part) mais qui moi me semble assez normale, si on tient compte du fait qu'elle est d'avantage serial monogame que polyamoureuse.

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