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Siestacorta

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Discussion : Café poly à Toulouse samedi 13 avril 2013

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Siestacorta

le vendredi 12 avril 2013 à 14h24

Même mission que pour les strasbourgeois : si vous pouviez, pendant l'évènement, motiver quelqu'un à organiser régulièrement cette rencontre à Toulouse (un jour fixe tous les mois ou deux mois), vous feriez beaucoup avancer la cause, camarades.

Là vous avez GreenPixie, qui passe en ville dispenser de la bonne polyaporle, mais si une ou deux personnes prennent sur elle de monter un rendez-vous, les poly visibles et les polytentés seront de plus en plus nombreux !

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Discussion : Paumée avec un polyamoureux

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Siestacorta

le mercredi 10 avril 2013 à 22h56

(Aviatha, désolé, on squatte, tu reprends la main quand tu veux et on ira jouer ailleurs, hein)

MetaZet
Mais c'est vrai que j'ai développé quelques idées sur le sujet que je cherche modestement à partager et à confronter... Il est vrai que ça ne parle pas franchement à tout le monde, car on est tous différents, mais est-ce que ça rend cette quête et ses résultats sans valeur pour autant ?

Pour ce qui est de confronter, au moins, j'ai essayé, on peut pas dire le contraire :-D

Non, ta recherche est pas sans valeur, et, il y a bien sûr des aspects de polyamour et d'amitié qui méritent d'être communément interrogés, des raisons de penser que des amitiés amoureuses seraient plus faciles à gérer qu'une multiplication des passions.
D'autres polys parlent de leur désir de brouiller les limites entre plusieurs types de relations, ce qui, dans un sens, signifie qu'ils ont aussi envie de se démarquer des pratiques de l'amour et des pratiques de l'amitié. Tu n'es donc pas seul à espérer qu'il y ait des modes de relations qui faciliteraient le polyamour.

Désolé si j'ai donné l'impression de te nier toi.
C'est pas l'absolutisme de ta vérité qui me fait argumenter... Je crois que si t'en étais là, tu n'essaierais même pas de débattre en forum, tu serais déjà en train de construire un phalanstère sans chercher à en débattre.

C'est plutôt le côté "l'amour mental est sans issue", qui me fait réagir : la contradiction de cette passion du raisonnement pour conclure... que la passion ne doit pas prendre de place en toi.

(La théorie est un super pays, parce qu'en Théorie, tout se passe bien.)

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Paumée avec un polyamoureux

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Siestacorta

le mercredi 10 avril 2013 à 20h08

MetaZet
Il se peut aussi qu'on ne donne pas exactement le même sens aux mêmes mots. C'est pas évident d'user d'un vocabulaire précis et univoque quand on parle de sentiments...

C'est aussi que les sentiments sont des trucs assez imprécis eux-mêmes... On peut faire le point dessus, s'exprimer, s'écouter, décrire quelques grandes tendance, mais chercher un comportement optimal universel (comme tu tends à le faire pour imaginer les amitiés polyamoureuses), c'est un peu vouloir que tous les 365 jours, on retrouve la même météo puisque se serait plus simple à gérer.

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Discussion : Paumée avec un polyamoureux

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Siestacorta

le mercredi 10 avril 2013 à 16h00

Bon, et sinon, tant qu'à dévier du sujet, mon amitié n'est pas similaire pour tous mes amis, pas toujours les mêmes affects, pas toujours les mêmes implications... Et il y a des amitiés fusionnelles, même si la question de l'exclusivité sexuelle s'y pose rarement. Bref.

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Discussion : Paumée avec un polyamoureux

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Siestacorta

le mercredi 10 avril 2013 à 09h26

Merci pour les compliments. Que ce soit d'une inconnue ou de quelqu'un avec qui je ne suis pas facilement d'accord, ça me rassure, parce que souvent, j'ai juste envie de me dire "mais ta gueule, siesta, ta gueule...".

Aviatha, je comprend ce que tu veux dire par "ce n'est pas forcément souhaitable de guerir mes plaies".
Je crois que tu as jusqu'ici réagi comme il fallait, en faisant de ton démon ton meilleur ami... Franchement, c'est la meilleure façon de s'en tirer.
Je ne te parle pas d'anesthésier les plaies, mais de comprendre ce qu'elles te conditionnent aujourd'hui à faire alors que ta volonté et ton intérêt devraient te faire réagir autrement.
Il ne s'agit donc pas de s'anesthétiser, mais d'être plus en accord avec soi, quitte à ce que "soi" soit une personne mois colossale.

Ce n'était pas "dit" que, dans votre couple fusionné parfait, tu étais celle qui affrontait les tempêtes. Et ce qui se passe aujourd'hui, c'est que ton amoureux vit en autonomie ; donc, quand l'entité couple avec ses rôles écrits est remise en cause, ce rôle auquel tu t'identifiais, qui te donnait du sens, est menacé... et toi aussi. Si tes émotions personnelles ne s'exprimaient que dans un rôle, étaient canalisées dans ton couple et ton "art", elles sont sans repères dans des circonstances imprévues, et tu te retrouves avec des stratégies "absurdes" (suicide et déni de tes propres besoins - déni dans le sens où tu les sens moins légitimes que ceux de ton amoureux alors qu'ils existent assez pour que tu les vives mal). Mais "toi", ça dépasse le rôle que tu te donnais.
Faire plaisir, c'est parfois "vivre le bien-être par procuration" en même temps qu'une capacité d'empathie. Ca peut être trop "par procuration", c'est déséquilibré, si soi-même on a pas une facilité à se faire plaisir, à comprendre que les autres nous fassent plaisir... Si on a pas egoïsme ET empathie en même temps.

Sinon, le fusionnel et la distance en kilomêtres n'empêchent pas, au contraire, de bâtir les rapport sur un idéalisme trop vulnérable. Tu fais plein de gestes quotidien qui renforcent l'idée d'être ensemble, mais ça ne fait pas disparaître "pour de vrai" le réel. Donc il arrive qu'à 250 km de là, il se passe des trucs qui ne correspondent pas à votre fonctionnement motorisé à l'idéal, ou, après un certain temps vraiment en vie commune carburant aux émotions amoureuses (la période de "limérence" comme on l'appelle parfois), le réel devient de nouveau aussi sensible que l'idéal.

Bref : il s'agit de comprendre comment on a favorisé une construction mentale trop simplificatrice pour être souple, et comment en faire une qui mette plus en phase ce qu'on ressent et ce qui se passe devant nous au présent.

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Paumée avec un polyamoureux

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Siestacorta

le mardi 09 avril 2013 à 21h19

Coucou, aviatha.

C'est pas facile de te répondre de façon "poly", parce que tu n'as pas envie de ça, parce que tu as compris la situation (ce qui est déjà bien plus que beaucoup de ceux qui viennent ici exposer leurs peines), mis des mots assez clairs... Bref, tu es à un niveau de reflexion assez poussé.

Donc, moi, je suis poly, j'y crois.
Et je te le dis : c'est pas une faute de ta part de pas avoir envie de ça. Si c'es pas ton truc, que ça ne le devient pas, et que la situation perdure, c'est pas toi qui es en tort de ne pas "bien" ressentir. Tu essayes de comprendre, tu as de l'empathie pour ton amoureux, on ne peut que te féliciter.

J'ai deux pistes à te donner, contradictoire de prime abord, à toi de dire où ça colle
- (quelque chose que je ne pensais pas dire en parlant du côté poly) tu te laisses un peu trop faire, dans ce que tu décris. Ca vient complètement comme une fatalité, pas comme un rapport entre toi et ton amoureux... Tu ne souhaites pas être poly, ce n'était pas votre contrat de départ, il n'y a rien qui t'oblige en principe à céder tout ce terrain. C'est comme si, avant même les évènements, les désirs de ton amoureux comptaient plus que les tiens. C'est un peu logique que tes émotions te dépassent maintenant : tu les as gardées "enfermées" avec toi, elles sont devenues "affamées de réalité".
- tu parles du cercle parfait, de la complétude de départ. Bon, là, par contre, tu le sais probablement, tu es dans une vision "absolue" du couple. Le myhte des hermaphrodites de Platon, des être parfaits au départ séparés en amant qui, en se retrouvant, se complètent juste parfaitement bien. L'ennui, avec ce mythe, c'est que si on ne fait plus qu'un dans un couple, c'est lequel qui a disparu ? Une partie de la douleur vient du réel, que tu n'as pas choisi, mais aussi d'un idéal que tu as en tête qui était "fait" pour être remis en cause par une réalité : oui, il y a au moins deux personnes qui ont des vies différentes, et en plus, il se passe des trucs dehors. Si on veut une sécurité, il faut la chercher dans une façon de traiter avec le réel, pas en se réfugiant dans une perfection fantasmée.

Et tu vois, ton "effacement" que je remarquais peut être une stratégie pour faire correspondre ton idéal et le réel sans passer par le réel.

En soi, c'est pas "mal", il n'y a pas de tord ou de raison là dedans. Par contre, avec ta mention d'un suicide "pour laisser la place", l'allusion à ton poids plume au point qu'il faille faire gaffe... je crois qu'on parle là d'une sensibilité exacerbée.
Et que cette blessure dont tu parles, au delà de la résolution de votre situation amoureuse, il faut que tu en soignes la partie qui vient de toi. Si votre couple "devait" être aussi protecteur pour toi, même du temps où il n'y avait pas encore d'autre fille à l'horizon, c'est pour protéger des plaies qui étaient déjà là.
Je suis pas devin, hein, on en est tous plus ou moins là.
Mais dans ton cas, on parle d'une souffrance morale aigue, et dans une situation assez bloquée.
Donc une partie du travail va être de comprendre de quoi tu as tellement peur qu'il faille absolument un refuge.
L'étape suivante, ce sera de te rendre compte du boulot qu'il y a comprendre que ce dont tu as peur, c'est en grande partie une construction mentale, pas le réel.
Et pendant tout ce temps, il va falloir expliquer ça à ton homme, pas pour qu'il porte ta peur à ta place, mais pour qu'il sache ce qu'il se passe... parce que si ça reste entre toi et toi, construire une relation à deux (ou plus) devient impossible.

Tiens, pour la première et deuxième étape, je te recommande chaudement la lecture de "se libérer du connu", de Krishnamurti. C'est un bouquin qui fait réfléchir tout en posant un questionnement perso, dans l'idée que ce qui nous fait mal, c'est d'avoir des désirs et des peurs qui travaillent "en autonome", sans tenir compte d'un présent généralement plus simple à prendre au coup par coup (je reformule façon hyper-prosaïque).

Bon courage.

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Les lundis poly - 8 avril - Paris - Bubble Bar

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Siestacorta

le mardi 09 avril 2013 à 15h16

Si jamais ya des gens qu'ont pris des notes sur deux trois choses dites, hein, zézitez pas. C'était très intéressant, les témoignages...

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Discussion : Les lundis poly - 8 avril - Paris - Bubble Bar

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Siestacorta

le mardi 09 avril 2013 à 00h51

Bon, je vais éviter de veiller trop tard, mais aller au dodo sans exprimer toute la gratitude bébête que j'ai à chaque café poly, c'est pas possible, je dormirai pas.

Merci à tous ceux dont j'arrive à retenir le prénom, et à tous les gens que si je vais pas les voir, croyez-moi, vraiment, c'est que j'ai des blocages timides, sisi, en vrai ! parler en public pose aucun problème, être cash et limite pas civilisé avec quelqu'un qu'on connait pas, fastoche, mais dire "bonsoir je suis content qu'on se parle pour la première fois", je galère toujours.
Donc, merci à tous ceux avec qui j'en suis encore là aussi, merci pour tous qui affirmez sans faux fuyants l'honnêteté comme les doutes ("les gens qui doutent" c'est les mieux, j'en doute pas).

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Discussion : Un peu paumée entre deux monogames

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Siestacorta

le lundi 08 avril 2013 à 17h59

invité
oula désolée d émettre une opinion contraire a la tienne ..bon courage donc avec ta culpabilité

En même temps, "tu veux le beurre et l'argent du beurre et le sourire de la crémière", c'est émettre une opinion "contraire" sans dire grand chose. Un truc aussi lapidaire, tu t'attends pas à ce que l'autre travaille vraiment dessus, si ?

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Discussion : Paumée avec un polyamoureux

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Siestacorta

le lundi 08 avril 2013 à 17h04

sur le classement, un jour, ça vaudra la peine d'avoir un débat là-dessus.
Un jour où j'aurai un peu plus de peps.
Parce qu'à la fois, c'est super difficile d'admettre et d'exprimer l'existence d'un tel classement, à la fois, ne pas dire qu'effectivement telle relation a concrètement plus de poids que les autres, c'est souvent faux...
Et en même temps, même une relation aux modalités très peu contraignantes n'est pas "sans importante", et ne pas pouvoir la conserver peut être considérer comme un problème essentiel.

Bon, bref, on laisse pour plus tard, ailleurs, mais faudrait pas qu'on ait un tabou ou un angélisme là-dessus.

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Discussion : Un peu paumée entre deux monogames

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Siestacorta

le lundi 08 avril 2013 à 15h31

En fait c'est plutôt courant.

Il n'y a pas d'un côté des exclusifs qui sont à deux et qu'à deux, de l'autre des polyamoureux qui butinent, n'ont pas de relation construite et ne vivent jamais ensemble.
La plupart du temps, la vie fait qu'on s'engage, puis qu'on se trouve dans des situations où on veut redéfinir l'engagement, rassurer sur la valeur de ce qu'on a fait jusque là, et sur celle de ce qu'on compte faire par la suite.

C'est pas tout l'un tout l'autre.

L'indépendance, c'est pas l'autarcie !

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Un peu paumée entre deux monogames

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Siestacorta

le lundi 08 avril 2013 à 15h11

Il faudrait dire comment tu l'interprètes ?

Moi je lui posais la question, non pas pour la mettre devant un choix qu'elle dit justement ne pas vouloir faire, mais pour tenter de m'imaginer comment son amant a pu "vivre" leur début de relation, quel ordre de sentiment on pu être exprimé, quelles attentes peuvent être comprises.

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Discussion : Un peu paumée entre deux monogames

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Siestacorta

le lundi 08 avril 2013 à 14h54

Je ne comprend pas exactement quel est le reproche qui est fait à Chlo ?
- s'être mise en couple avant de s'ouvrir à la rencontre d'autres amants ? elle n'aurait pas le droit d'éprouver des difficultés dans cette démarche, ou n'aurait jamais dû s'engager avec personne ?
- être polyamoureuse à la base ? Ne pas aimer comme chez Disney serait le problème ?

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : stage sur les choix amoureux : exclusivité ou non exclusivité sexuelle ou affective

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Siestacorta

le lundi 08 avril 2013 à 14h43

Vi, yavait sûrement moyen de présenter ça tout en respectant le côté "non commercial" du forum, un façon de dire "c'est pas organisé par des membres du forum, on garantit pas une philo commune entre cet évènement et le forum, mais c'est dans le sujet".
Quelque chose comme ça.

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Discussion : stage sur les choix amoureux : exclusivité ou non exclusivité sexuelle ou affective

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Siestacorta

le lundi 08 avril 2013 à 14h28

heu, bien... Juste que mon post était une question ouverte pour vous et pour les modos, je n'ai pas de réponse toute faite sur "on fait quoi du coup", et je ne suis qu'un usager, j'ai pas de responsabilité technique, ici...

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Discussion : stage sur les choix amoureux : exclusivité ou non exclusivité sexuelle ou affective

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Siestacorta

le lundi 08 avril 2013 à 13h11

Je suis... heu... mi-figue mi-raisin, sur ce post ?
L'aspect commercial, déjà, puis la responsabilité de "prescription" que ça nous fait prendre.

En même temps, on peut pas dire, c'est bien qu'il y ait des gens qui en parlent. Mais en "usager du forum", ce type d'annonce, ça me fait bizarre.

Ou alors sur un fil très particulier, comme pour les médias ? Bon, si c'est que moi, c'est peut-être pas grave.

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Les lundis poly - 8 avril - Paris - Bubble Bar

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Siestacorta

le lundi 08 avril 2013 à 12h14

Bien : a priori, mon calendrier interne et celui du reste de l'humanité semblent se correspondre.
"Allons-y" !

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Discussion : Un peu paumée entre deux monogames

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Siestacorta

le lundi 08 avril 2013 à 11h42

Salut, Chlo.

Vous êtes apparemment dans une période assez "cruciale", tous. J'ai aucune méthode pour que ça réussisse à coups sûrs, mais c'est une période où chacun de vous va devoir être très très honnête, très calme, très compréhensif.
Case compte triple, quoi.

Peut-être, sachant que les deux sont sur la brèche, est-ce un moment opportun pour faire une rencontre à trois. S'imposer la réalité des uns des autres, pour pas vivre uniquement avec ses projections.

Par contre, tu n'as pas à t'en vouloir, hein. C'est pas toi qui fais mal la démarche, c'est la démarche qui n'est pas facile. Tu as expliqué d'emblée ce que tu faisais, et tu le fais dans des contextes où l'ouverture à l'autre était déjà admise (les aventures de l'un, le fait que l'autre ait commencé une relation avec toi, une femme mariée).
Tu n'a pas, je crois, à regretter ce que tu as décidé, mais à être attentive à ce que tu es en train de vivre. Oui, ça peut être aussi douloureux, mais c'est une façon de ne pas voir la chose comme un acte de tragédie mais comme une situation au présent, sur laquelle ne pèse pas un "destin", une "faute originelle", ce genre de conneries.

Deux questions, sinon :

- le rapport fusionnel, c'est un constat fait chez le psy, ou il y va pour s'en occuper ? Parce que faudrait pas partir du postulat que c'est le monogame qui pose problème. On va chez un psy pour s'apprendre soi, donc si ça se trouve se découvrir que c'est bon pour pour notre santé psychique d'être mono.

- en pratique, si tu n'étais pas déjà mariée, est-ce que tu te serais mis en couple "classique" avec le second ? Qu'est-ce que le second peut raisonnablement attendre, concrètement, de plus ? Mise à part l'existence de ton mari, quelles sont les choses qu'il ne vit pas avec toi et qu'il voudrait vivre ?

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Discussion : Action contre NRJ12 et Chérie 25?

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Siestacorta

le samedi 06 avril 2013 à 12h13

Shamal : oui, l'indifférence, ce serait la sagesse, t'as sans doute raison.

Mais disons que si on pouvait tomber sur une petite méthode dissuasive, un petit sentiment de justice serait pas malvenu non plus...

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Discussion : Envie de parler polyamour à Strasbourg~~ (30 ou 31 Mars)

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Siestacorta

le vendredi 05 avril 2013 à 18h19

Alors, c'était comment ? Pas de nouvelles, bonnes nouvelles, ou personne a pu se blairer ?

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