Anecdotes plurielisantes, amoureuses ou amusantes
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(compte clôturé)
le vendredi 26 février 2010 à 16h15
Eric, parler d'une situation n'est pas forcément une demande de trouver une solution.
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Jena
le vendredi 26 février 2010 à 16h15
Eric, clairement ta logique oublie un composant essentiel, qui est qu'avec elle, soit je suis heureux, soit c'est elle...
C'est une raison suffisante de se retenir de faire des bêtises avec elle, autant faire en sorte de moins souffrir, quand on peut l'éviter.
Que je l'aime et qu'elle m'aime ne fait pas de notre couple une possibilité pour autant.
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ERIC_48
le vendredi 26 février 2010 à 16h17
Clem: je suis convaincu du contraire, mais c'est vrai que pour s'en apercevoir, il faut fuir en avant, et non en arrière.
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ERIC_48
le vendredi 26 février 2010 à 16h19
Clementine
Eric, parler d'une situation n'est pas forcément une demande de trouver une solution.
Qui cherche une solution là ? et à quel problème ? j'ai pas pigé.
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(compte clôturé)
le vendredi 26 février 2010 à 16h19
Je veux dire, pas besoin de tenter de trouver une solution aux situations évoquées ici, ton écoute et ta compréhension sont déjà précieuses. :-)
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Jena
le vendredi 26 février 2010 à 16h23
Je suis d'accord avec Clem : on échange des anecdotes, on ne cherche pas à résoudre quoi que ce soit. Je suis sorti de l'auberge, si, ça fait 6 mois que nous ne sommes plus ensemble, précisément pour arrêter les frais.
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tentacara
le vendredi 26 février 2010 à 16h31
ERIC_48
Tentacara : J'ai bien peur de n'avoir strictement aucun pouvoir sur la situation; je me doute que tu l'as compris, et que le message était surtout destiné à Aurelien.
Si tu sais comment le recoler, donne lui le mode d'emploi, pour qu'il essaye de se recoler lui-même au fur et à mesure.
Message modifié par son auteur il y a 10 minutes.
Tu n'as en effet aucun pouvoir sur une situation dont tu ne connais ni les tenants ni les aboutissants.
Je m'occupe de la colle.
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ERIC_48
le vendredi 26 février 2010 à 16h35
A ça y est, j'ai compris.
En fait, je ne dit pas que quelqu'un m'ait demandé quelque chose, c'est juste une sorte de déformation personnelle. Je cherche toujours à trouver des solutions, quel que soit la situation. Je suis comme ça. Ca n'a pas de rapport avec vous, ni avec la situation.
Apparemment, c'est un problème. Me demander vous que j'y trouve une solution, ou puis je rester moi-même ?
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(compte clôturé)
le vendredi 26 février 2010 à 16h36
Reste bien à l'écoute, et on t'écoutera bien en retour, ça va dans les deux sens :-D
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tentacara
le vendredi 19 mars 2010 à 21h46
J'aurais bien une histoire à raconter..
Six polyamoureux sur un bateau.. drame en trois actes.. ou comment passer du Radeau de la Méduse au Bonoboat..
Mais je peux pas, là.. j'ai un canard sur le feu..
Aux protagonistes qui l'ont vécu avec moi (+ Patate) si on en racontait chacun un bout.. histoire de montrer à nos chers Bisounours qu'il faut parfois se faire la guerre pour arriver à se faire l'amour... ?
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Junon
le vendredi 19 mars 2010 à 21h49
Le Bonoboat...hmm, j'embarquerai bien, moi.
Pour la guerre avant Cythère, je te crois. Absolument. Ô que oui.
(rien à voir mais je t'ai trouvé charmante ainsi que tes bonoboat people)
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(compte clôturé)
le vendredi 19 mars 2010 à 21h54
tentacara
J'aurais bien une histoire à raconter..
Six polyamoureux sur un bateau.. drame en trois actes.. ou comment passer du Radeau de la Méduse au Bonoboat..
Mais je peux pas, là.. j'ai un canard sur le feu..
Aux protagonistes qui l'ont vécu avec moi (+ Patate) si on en racontait chacun un bout.. histoire de montrer à nos chers Bisounours qu'il faut parfois se faire la guerre pour arriver à se faire l'amour... ?
Ouah, raconte, je suis déjà pliée... Mes salutations distinguées au canard, tu me fais baver!
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Tchu
le vendredi 19 mars 2010 à 22h46
I do. Mais bon, pas tout de suite, j'ai quelque chose sur le feu qui sonne à la porte.
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tentacara
le samedi 20 mars 2010 à 00h04
Bon, j'ai livré mon canard (à titre informatif, j'étais sur le point d'entrer en studio.. rien de culinaire, ni de sexuel.. hélas!) J'ouvre donc le bal.
Acte 1
Un vendredi soir de mars, mes amours et moi avons entrepris un périlleux périple à bord de notre Shortbus d'apparat afin de rejoindre quelques polys de nos amis dans d'hostiles plaines orientales.
Après de longues heures de route, nous arrivâmes fourbus mais heureux de l'accueil chaleureux de nos hôtes sur la scène flottante de cet épique aventure (pléonasme redondant, je sais, mais elle mérite tous les superlatifs).
Le souvenir de notre première rencontre bisouteuse avec l'équipage nous avait à tous laissé espérer un délicieux week end de luxe, de calme et de voluptés.
L'un de mes amoureux avait affiché l'ambition de monter à l'assaut d'une charmante autochtone. Forte d'avoir su "communiquer avec amour", j'envisageais cette perspective avec une relative sérénité.
Mais déjà le drame se jouait sur un autre front.
C'est que mon autre amour aussi nourrissait des espoirs d'une chasteté douteuse à l'endroit de notre hôtesse (et je l'appris plus tard, à l'envers de notre hôte). Sauf qu'au fait de mes premières craintes quant aux amours naissantes de mon autre trésor et inquiet de ma réaction face à cette nouvelle configuration, il avait omis de m'en faire part, attendant le pied du mur pour m'informer de son escapade.. à deux pas de mon lit.
Tremblante de colère et, je l'avoue volontiers, d'une jalousie que n'aurait pu apaiser, s'il avait été temps, qu'une longue discussion ponctuée de câlins, je montai sur le pont confier mes tourments à l'aube naissante.
Le décor est posé, l'intrigue prend tournure et déjà sonne à nos oreilles la question dont la réponse se fera attendre tout un week end d'hiver :
"Mais qu'allions nous donc faire dans cette galère?"
Acte 2
Chers amis, c'est à vous!
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
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Tchu
le samedi 20 mars 2010 à 00h13
Acte 1, Même soir, autre lieu.
Je ne suis pas encore entrée en scène,
je dors du sommeil du juste dans mon boudoir joli,
épuisée par ma semaine,
bienheureuse, dans l'attente du charmant assaut
et du lendemain
inconsciente du drame qui se jouait un peu plus loin.
(trop fatiguée pour les alexandrins, désolée)
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
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tentacara
le samedi 20 mars 2010 à 00h22
Junon
(rien à voir mais je t'ai trouvé charmante ainsi que tes bonoboat people)
Tous charmés itou! Le récit des heures qui ont précédé notre (trop brève) rencontre t'expliquera j'espère nos mines fatiguées et quelque peu déconfites. Nous sommes habituellement plus riants, je n'attends que l'occasion de te le montrer.