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Rennes (France)

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Discussion : Esquisse de réflexion sur l’amour — Joris, 1997

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artichaut

le dimanche 27 octobre 2019 à 09h27

Ce qui m'intéresse dans ce texte c'est cette manière qu'à Joris, de disséquer « l'amour ». Et malgré la modestie de l'auteur (« Je ne suis pas à proprement parler un écrivain-philosophe-essayiste (…), mais simplement quelqu’un qui a pris l’habitude de réfléchir ») j'ai lu peu de textes aussi précis sur l'amour dans nos sociétés occidentales.

On pourrait rattacher ce texte à un certain courant qui tente une « critique de l'amour ». Mais pour une fois je trouve qu'il a le mérite de rester dans le sujet qu'il se donne.

Il pose également un début de distinction entre « l’amour-passion classique » et « l’amour en général » (les mille et une manière d’aimer). Et c'est bien surtout cet "amour-passion classique" qu'il dissèque ici habillement, pour mieux « réconcilier l’amour », même s'il ne s'attarde pas trop, ici, sur cet enjeu.

Le texte reste une « esquisse », donc, mais que je trouve d'une rare précision.

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Discussion : Deux lettres sur l’amour libre — Simone Nijboer & Rymke Wiersma, 1997

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artichaut

le dimanche 27 octobre 2019 à 09h00

Ce qui m'intéresse dans ces Deux lettres sur l’amour libre c'est de voir à quel point la relation entre ces deux metamours* (le terme n'existant pas à l'époque) est intense et construite.

Il y a ce journal mis en place entre elles.

Il y a cette lucidité sur elles-même et ce qu'elles construisent.

Et il y a cette approche de « l'amour libre » qui me semble bien plus proche de ce qu'est le polyamour aujourd'hui, que de ce qu'à pû être l'amour libre, souvent idéalisé, des années 70.

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Discussion : Filmographie sur le polyamour #1

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artichaut

le dimanche 27 octobre 2019 à 08h23

…alors en fait, la Filmo est devenue trop longue, je dois la scinder en plusieurs articles.

Cela vous semble t-il +pertinent :
- par nombre de coeurs (un article avec les 5 et 6 coeurs, l'autre avec les 3 et 4 coeurs) ?
ou
- par années (un article avec les films de 1927 à 2000, l'autre avec les films de 2001 à aujourd'hui) ?


D'ailleurs le classement chronologique actuel, vous trouvez ça bien ?

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Discussion : Filmographie sur le polyamour #1

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artichaut

le dimanche 27 octobre 2019 à 08h19

alinea7
je trouve ça bien que le synopsis ne soit pas spoilant.

Oui, c'est le cas.
Seul le premier 1/4 d'heure est parfois spoilé. Comme le font habituellement les synopsis, …et moins que certaines bandes annonces.


Et donc @Siestacorta, n'hésites pas à compléter ta liste senscritique (sans spoil).

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Discussion : Filmographie sur le polyamour #1

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artichaut

le samedi 26 octobre 2019 à 23h52

Merlyn
Sauf que y a pas de balises spoiler non sur ce forum ?

Non y'a pas.

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Discussion : Filmographie sur le polyamour #1

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artichaut

le samedi 26 octobre 2019 à 20h50

…et puis j'ai enfin pris la décision de ne plus m'interdire d'intégrer du spoil : pour pouvoir décrire plus précisément en quoi le film est poly ou non, en quoi il me semble intéressant (ou pas) d'un point de vue poly, etc

Reprenant l'idée testée sur la page des séries, il y aura désormais
- un synopsis sans (ou avec très peu de) spoil
- un commentaire ouvertement spoilant (et sans le re-mentionner à chaque fois)

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Discussion : Filmographie sur le polyamour #1

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artichaut

le samedi 26 octobre 2019 à 20h01

Je viens de rajouter :
- Cabaret de Bob Fosse, 1972
- Charlie et ses deux nénettes, de Joël Seria, 1973
- Préparez vos mouchoirs, de Bertrand Blier, 1978
- Nous étions libres, de John Duigan, 2003
- Crustacés et Coquillages, d'Olivier Ducastel, 2005
- Saint-Amour de Benoît Delépine et Gustave Kervern, 2016
- Colette, de Wash Westmoreland, 2018
- Curiosa de Lou Jeunet, 2019

Mon coup de coeur de cette liste est Charlie et ses deux nénettes.

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Discussion : Aimer un histrionique

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artichaut

le vendredi 25 octobre 2019 à 13h35

Pour élargir les débats, je signales ces fils :
- NeuroAtypie ET Polyamorie
- Polyamoureux et surdoués?!
- TDA/H chez les adultes

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Discussion : Polyamoureux et surdoués?!

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artichaut

le vendredi 25 octobre 2019 à 13h27

Signalons aussi ces fils :
- NeuroAtypie ET Polyamorie
- TDA/H chez les adultes

et pourquoi pas celui-ci :
- Aimer un histrionique

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Discussion : NeuroAtypie ET Polyamorie

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artichaut

le vendredi 25 octobre 2019 à 13h24

je signale aussi ces fils :
- TDA/H chez les adultes
- Aimer un histrionique

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Discussion : TDA/H chez les adultes

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artichaut

le vendredi 25 octobre 2019 à 13h23

Merlyn
étendre ce sujet de discussion à toutes les neuroatypies ?

y'a déjà ce fil : NeuroAtypie ET Polyamorie


et +ou- dans le sujet :
- Polyamoureux et surdoués?!
- Aimer un histrionique

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Discussion : TDA/H chez les adultes

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artichaut

le jeudi 24 octobre 2019 à 13h48

Siestacorta
Ce qui passe un moins bien, lié à mon anxiété et aussi au tda, c'est ma difficulté avec les appels téléphones. Je peux faire le compromis d'appels hebdo ou bihebdo, je peux décrocher si on me texte avant pour me dire "j'appelle à telle heure", mais je déteste tellement le téléphone, le côté "t'es dispo à tout moment" (alors que déjà j'ai du mal à être dispo pour moi de façon suivie), que ça a souvent engendré des ralentissements, des non-dits sur une disponibilité attendue, des rancoeurs.

Alors me concernant je ne sais pas s'il y a anxiété, tda ou autre chose, mais… je suis pareil avec le téléphone. C'est déjà parfaitement insupportable cette intrusion sonore dans notre univers intime et quotidien… alors l'injonction à répondre c'est juste, pour moi inentendable.

Ma stratégie (que j'ai mis du temps à élaborer) c'est :
- je ne réponds plus jamais au téléphone (gros soulagement de ne plus avoir à me poser la question !)
- pour les rares personnes auxquelles j'accepterais éventuellement (et rarement) de répondre, je donne mon "mode d'emploi" :

M'envoyer un texto avant me demandant si c'est possible de m'appeler, m'indiquant en quelques mots de quoi il sera question, et combien de temps environ durera l'appel.
M'envoyer ce texto signifie de fait accepter :
- que je ne réponde pas rapidement au texto
- que je puisse dire non à l'appel
Dans tous les cas :
- je ne prends aucune décision au téléphone
- je ne partage pas d'intime au téléphone (donc s'attendre à ce que je sois froid, factuel et expéditif)
Par contre, c'est possible de me laisser des messages vocaux (sur répondeur, ou via une appli). Je les écoute et y réponds par texto ou mail.

Le truc des messages vocaux y'a des gens avec qui ça marche plutôt très bien : les personnes peuvent parler dans leur téléphone au lieu d'écrire (ce que visiblement y'en a qui aime faire ?!) et moi je peux écrire au lieu de parler (ce que j'aime faire) et tout le monde est content·e.

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Discussion : [Texte] Plaidoyer pour la RTT des couples, par Luc Le Vaillant, Libé, fév. 2010

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artichaut

le dimanche 20 octobre 2019 à 10h27

Le voici dans son intégralité :

Plaidoyer pour la RTT des couples

Saint Valentin revient nous caraméliser l’attention coiffé de son auréole en sucre candide. Et voilà que trompettent à l’unisson les odes à l’amour passion, à l’amour fusion. Et voici qu’on célèbre la chute du multiple dans le gouffre de l’unique, et l’absorption goulue de l’individualité par le duo constrictor.

Les idéologies périclitent, les monothéismes s’hystérisent, mais il est une religion qui prolifère et enfle sa baudruche charmante, le culte de l’amour toujours. Comme toute religion, celle-ci est un opium qui deale sa rasade d’éternité à qui veut bien y croire. Addiction, désintox, on y repique, on repart en rehab. Ou si vous préférez : union, séparation, retrouvailles, divorce, recomposition, et cet ennui qui saisit à nouveau.

Pour éviter ces montagnes russes du tout ou rien, il peut être intéressant d’aborder les choses en mécréant libidineux et en artisan paradoxal de la paix des ménages. Pour une alliance impromptue d’Eros et d’Agapè.

Il s’agit d’instaurer une RTT du couple, autrement dit une réduction du temps de couple (RTC) afin de préserver la pérennité de celui-ci, à tout le moins de lui permettre d’élargir son horizon, de morceler son territoire, de reprendre son souffle. Cela se passera comment ? Les partenaires conjugaux se mettront autour d’une table de cuisine égayée de chandelles et négocieront les périodes respectives qu’ils prélèveront au duo-entreprise pour en doter l’individu non salarié. Ensuite, chacun gérera ses jours de RTC à sa guise, selon la durée déterminée et le calendrier stipulé par les accords de couple.

Et quel usage, sera-t-il fait de ce temps ainsi libéré ? Ne nous cachons pas derrière notre petit doigt, l’intérêt premier sera de pouvoir vivre des amours contingentes et des sexualités nécessaires. Ou l’inverse…

Cette proposition part bien sûr de la conviction que la fidélité des corps et des esprits est peu tenable, si tant est qu’elle soit souhaitable. La victoire actuelle de la monogamie à tempérament sur la polygamie à accommodement, autrement dit du séquentiel soit disant féminin sur le cumulatif soit disant masculin, provoque quelques désagréments (immobiliers, financiers, éducationnels) dont on pourrait se passer. Surtout, on fait le pari que l’émancipation féminine en cours (maîtrise de la procréation, indépendance économique) permettra aussi à la midinette qui est en chacun de nous, de s’affranchir de l’idéal du prince charmant et du père de la nation réunis. Il est temps que l’autonome démocrate et hédoniste succède au tribal englué dans ses croyances, que le goût de la découverte remplace la pulsion d’accaparement. Auquel cas, la polygamie-polyandrie devrait imposer sa logique joueuse.

Rappelons que le but n’est pas de faire sortir du placard les doubles vies, car personne ne sera tenu de détailler ses RTC, pas plus que vous n’êtes obligés de raconter à votre patron ou à vos collègues ce que vous avez fait de vos RTT. Et il sera bien sûr loisible à chacun-chacune de ne pas exercer ce droit nouveau et de rester pelotonnés sous la couette, à se renifler le nez et à se frotter la truffe, façon baiser eskimo.

Evidemment, tout n’est pas sentimentalo-sexuel dans la vie. Et les RTC pourront être mises à profit pour reconquérir une solitude nécessaire ou pour revendiquer des embardées que le consensus forcément mou du couple tolère mal. Se faire ermite des alpages quand l’habitude est au bronzage tropézien. Revoir des copains-copines mis à l’index par la doxa commune. S’esquiver en tête à tête avec un enfant toujours perçu comme un tiers- étant, un tiers-exclu. Ou vivre dans le désordre le plus complet quand le chasse-poussière est l’occupation usuelle.

Reconnaissons que les RTC existent déjà. Les initiateurs inconscients en sont les VRP en tournée, les turbo-profs et les non-cohabitants. Mais, il n’y a aucune raison que cette évolution des mœurs soit réservée aux itinérants et aux privilégiés immobiliers. Le dedans a aussi droit au grand dehors, l’intérieur peut s’ouvrir à l’extériorité. La RTC est une affaire privée, c’est entendu. Et la demande n’est pas que l’Etat se mêle de ce qui ne le regarde pas. Mais, à l’heure où les programmes politiques s’uniformisent, cette thématique peut intéresser les élus attachés à l’épanouissement de leurs administrés. Il ne s’agit pas de légiférer, mais de lancer le débat, de populariser l’option, d’en favoriser l’acceptation culturelle.

Si elle veut vraiment rompre avec les régressions autoritaires des Valls et compagnie, la gauche est la mieux armée pour soutenir ce genre d’utopie concrète. Elle a déjà donné l’exemple avec les RTT. Il serait assez intéressant que Martine Aubry qui a déjà changé la vie au travail, ose un bis repetita en un domaine, la chambre à coucher, où on l’attend peu. Reste qu’il serait assez farce que ce soit nos amoureux à la Peynet de l’Elysée qui déclenchent la mutation. La Carla Don Juanne aurait pu en être l’instigatrice. La Carlita épouse parfaite paraît moins transgressive. A voir…

En attendant, cher Valentin, chère Valentine, bonne RTC à vous.

Luc Le Vaillant Journaliste à Libération

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Discussion : [Texte] Plaidoyer pour la RTT des couples, par Luc Le Vaillant, Libé, fév. 2010

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artichaut

le dimanche 20 octobre 2019 à 10h27

Plaidoyer pour la RTT des couples
par Luc Le Vaillant, Journaliste à Libération
12 février 2010

source : https://www.liberation.fr/societe/2010/02/12/plaid...

J'ai trouvé ce texte cité ici et sur le forum.

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Discussion : Polyamour - en anglais dans le texte

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artichaut

le samedi 19 octobre 2019 à 21h41

Bonne question (et je ne sais pas pour la réponse).

Mais oui, ça permetrait de compléter le lexique (où tu aurais éventuellement pu poser ta question).

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Discussion : [Socio] Questionnaire sur les jeunes poly', oct 2019

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artichaut

le samedi 19 octobre 2019 à 14h19

Bienvenue ici @Cerise_Sauvage.

Cerise_Sauvage
j'ai l'impression qu'il y a une grande proportion de gens bien ancrés dans l'âge adulte, mariés, en couple depuis longtemps, pour qui le conjoint se déclare finalement poly

C'est en effet une grosse proportion des gens qui viennent chercher de l'aide ici.
Mais d'une part il n'y a pas que ça, d'autre part ça ferait justement du bien que ça s'enrichisse d'autres expériences.

Concernant la tranche d'âge citée, il y a parfois des posts, mais assez peu.
Quelques exemples :
- Polyamoureux à 18 ans
- Premières aventures polyamoureuses à 20 ans
- Bientôt 17 ans et certainement polyamoureuse..
- Jeune homme en quête d'identité.
- De jeune poly amoureux sur lyon ?
- Jeune fille de 24 sa besoin d’aide et de réponses Polysexualité

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Discussion : [BD] Corps Sonores, de Julie Maroh (Glénat, 2017)

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artichaut

le vendredi 18 octobre 2019 à 22h19

Mon avis :
C'est chouette tous ces corps et personnages non-normés (même si ça finis un peu par faire catalogue…).
Par contre j'ai été un peu frustré de la brièveté de ces histoires. Chaque histoire (y compris les monos) donneraient envie qu'elles se prolongent et qu'elle prenne vraiment corps.
Celles sur le polyamour, comme les autres semblent du coup un peu survoler un sujet, une émotion, mais nous laisse un peu sur notre faim.


— SPOIL —

Les histoires contenant du polyamour sont :

7. Polyamour, polyamitié
Un mec est tombé sous le charme d'une nana. Manque de bol elle est poly. Mais lui n'est vraiment pas fait pour vivre ça.

8. Sex-friends
> L'un des personnages est marié et adultère. L'autre « fréquente des gens » et dit : «  Je suis honnête avec chacun de mes partenaires. », c'est lui aussi qui demande « tu la préviens quand ta femme ? ».

9. L'aveu
Un personnage déclare son amour aux deux membres d'un couple hétéro avec qui une belle relation a débouchée un soir, un plan a trois. Ça tombe bien, ils n'attendais que cette déclaration !

14. Maladie incendie
La femme de ce couple hétéro est malade et a des aventures extraconjugales. Elle ne s'en cache pas. Et même si ça crée des disputes, son mari l'aime et la comprends.
L'histoire se finit sur une scène où elle écoute la radio qui diffuse une émission sur le polyamour :
« Acceptons le fait… que nous attendons de l'amour qu'il guérisse les frustrations et les traumas que nous vivons dans notre vie. »

Enfin une dernière histoire, peut s'en rapprocher, en ce qu'elle traite de l'amour filial :
18. De l'importance du rire

…et on peut voir l'image de couverture, comme une situation poly

— Fin du SPOIL —

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Discussion : Quand le passé revient, gérer et vivre le présent.

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artichaut

le vendredi 18 octobre 2019 à 00h50

ourscalin
J'attends les précisions de artichaut

Euh, bah, …les autres ont précisé il me semble.

On est inter-dépendants les un·e·s des autres. Donc ce qui est fait par l'un·e déteint sur les autres (ou en tout cas les affectent).

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Discussion : Modèle de contrat de fidélité ?

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artichaut

le vendredi 18 octobre 2019 à 00h41

Ben tu n'es pas le seul.
Et moi-même je ne suis pas certain d'en comprendre vraiment le sens.

Ma manière de pratiquer le polyamour est très proche de ce que je comprends de l'anarchie relationnelle : pas ou peu de hiérarchisation, y compris entre relations dites d'amitié et d'amour, spécificité particulière de chaque relation, no-script, etc et qui empêche nullement qu'il y ai des règles posées, qu'il y ai de l'engagement, qu'il y ai de l'inter-dépendance, qu'il y ai prise en compte de toutes les personnes concernées, etc.
Pour autant ce terme d'anarchie relationnelle ne me convient pas.

J'aime bien polyaffectivité et j'aime bien polyamour (car j'aime aussi mes ami·e·s).

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Discussion : Modèle de contrat de fidélité ?

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artichaut

le jeudi 17 octobre 2019 à 23h17

Merlyn
que finalement, je suis anarchiste relationnel et que je vis mes relations comme je l'entends :-) .

Pour moi n'est pas ça anarchiste relationnel.
Vivre tes relations comme tu l'entends ce serait de l'égoïsme, ou du "couple libre" (avec plein de guillemets)… ou du polybéralisme

Anarchiste relationnel, de ce que j'en comprends, c'est ne pas hiérarchiser les relations. Mais ça n'empêche nullement d'avoir des règles ou même des contrats.

Mais c'est intéressant que tu dise ça. Si on peut entendre ce terme avec le sens que tu donne là, ça m'éclaire un peu, sur peut-être pourquoi j'ai du mal avec ce terme là (=non pour ce qu'il est —pour les gens qui le pratiquent— mais pour ce qu'il connote).
Bon c'est peut-être le mot anarchie qui me dérange (galvaudé, ultra connoté, utilisé à-tout-va, insuffisamment compris, trop axé sur la seule lutte anticapitaliste, etc).

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