Participation aux discussions
Discussion : J'ai juste besoin de partager ce moment compliqué
artichaut
le mardi 25 novembre 2025 à 16h51
ah les joies de la monogamie et de ses petits arrangements !
le mensonge (par omission) a déjà commencé entre W et B
la trahison ne devrait plus trop tarder…
surtout au vu du cahier des charges
et si tu 'participes' il y a fort à parier que tu sera le bouc émissaire de la colère de B
alors qu'en l'état c'est clairement à W de faire ses choix et les assumer.
on a bon dos les "poly", à accepter de tels revirements de situation
et en même temps, je ne vois pas comment agir autrement
celle/celui qui met le+ pression gagne souvent en premier
mais à quoi bon, pour en arriver où ?
à mon sens, on a tout intérêt à s'éloigner des ces dynamiques
tant pis si on y perd quelques relations au passages
on reste dans notre cohérence
et on respecte les choix de l'autre
à lui d'assumer les conséquences de ses choix
Discussion : Monogame marié en dilemme
artichaut
le dimanche 23 novembre 2025 à 11h08
Roki
Je fais partie de ceux qui ne peuvent pas imaginer avoir plusieurs amoureux...
À te lire (pas juste cette phrase) j'ai l'impression que tu as besoin d'une personne qui t'aime pour t'aimer toi-même. une personne qui t'aime.
C'est un peu comme un miroir qui te permet de t'aimer. Là le miroir est brisé, et c'est insupportable.
Aimer plusieurs personnes te semble inconcevable pour toi-même (de même que pour l'autre).
Être aimé par plusieurs personnes te semble inconcevable pour toi-même (de même que pour l'autre).
Peut-être ce serait comme fragmenter ta personnalité, ne plu être un. unique et indivisible. et t'éparpiller en morceaux dans le monde ?
Discussion : Monogame marié en dilemme
artichaut
le dimanche 23 novembre 2025 à 10h58
Roki
pour moi le fait de flirter est déjà une trahison.. un coup de couteau en plein cœur.. (…)
je n'arriverai pas à supporter ne serait-ce que ce côté flirt, autre amour, (…)
c'est tellement horrible pour moi à imaginer,(…)
ce qu'elle me demande me brise de l'intérieur, une douleur incommensurable.. (…)
je ne le suis pas et ne veux pas le subir...
En soi tu as déjà toutes les réponses.
Il y a quelque chose en toi qui refuse, qui ne veut pas, qui ne peut pas.
Roki
Elle s'est fait un ami qui l'a emmené au resto ( j'étais au courant bien sûr ), complimenté et avec qui ils ont un peu flirté aujourd'hui.. on en a parlé directement. Le problème c'est qu'en rentrant elle rayonnait, elle était plus heureuse que d'habitude, elle m'a même montré directement beaucoup plus d'amour, elle était comme rechargée...
J'ai le sentiment que le problème c'est qu'elle soit heureuse sans toi.
Roki
Encore une fois je peux comprendre, mais comme je lui ait dit, au final c'est pas de moi qu'elle avait besoin da s sa vie, je peux pas la combler, je ne peux que la freiner et la rendre malheureuse...
Qu'elle puisse être heureuse sans toi, te fait ressentir qu'elle ne t'aimes pas ?
Et peut-être même tu aurais envie qu'elle l'assume et le dise ainsi : elle ne t'aime pas et ne t'as jamais aimé ?
Au moins ça serait clair. Tu pourrais acter la trahison.
Roki
un sentiment réservé à nous deux
Voilà la trahison.
Il y a avait une bulle, un contrat +ou- tacite.
Tu lui a livré ton coeur (tu t'es oublié au passage).
Et là tout à implosé.
Roki
Soit je ne l'accepte pas et je sais que je rendrais malheureuse ou au moins pas totalement heureuse la femme que je veux le plus voir heureuse, soit je me laisse mourir de l'intérieur de la voir s'épanouir dans les bras d'un autre que moi..
Aucune solution n'est satisfaisante. Tu n'as que des mauvaises solutions.
Pour l'aimer elle (la rendre pleinement heureuse), tu dois te désaimer toi (ne plus être aimé par elle, à qui tu as donné ton coeur). Ce qui est insupportable.
L'aimer vraiment revient à ne pas être aimé par elle, ce qui revient à cesser d'exister (à ses yeux, donc vis à vis de toi-même, donc au monde).
Discussion : Lutter contre une IST : la gale
artichaut
le mercredi 19 novembre 2025 à 15h57
merci pour ce récap' et partage d'expérience
j'ai beaucoup fréquenté de (mi)lieux où des épidémies de gale sont récurentes.
j'ai eu la chance de toujours passer au travers.
quelques règles d'higiène de base m'ont sans doute aidé.
Aki
- évitez de serrer la main aux inconnu-es qui se grattent manifestement beaucoup et/ou ont des lésions de grattage aux mains.
j'aurais dis "évitez les contacts physiques, a fortiori peau à peau" et pas seulement "évitez de serrer la main"
et j'aurais dit :
- prenez l'habitude de laver vos vêtements à 60°C (pas seulement ceux récupérés d'occasion), c'est valable pour d'autres parasites
tu pourrais aussi ajouter :
- utilisez votre propre serviette de toilette
Discussion : Les images qui pourrissent la vie
artichaut
le dimanche 16 novembre 2025 à 10h54
Mouse
J’ai peur ( au moins là il y a une peur 😅) qu’en me recentrant sur moi je me ferme et mettes de la distance. Ce qui serait d’autant plus injuste vers mon amoureux qui est très attentif à mes besoins même s’il ne peut tous les satisfaire.
il y a peut-être un truc genré dans tout ça
avoir peur de disparaître / avoir peur d'être injuste
avoir peur pour soi / avoir peur pour l'autre
je pense que si +de femmes s'autorisaient à penser d'abord à elles
et que si +d'hommes se préocuppaient aussi des autres
le monde s'en porterait mieux
(et le 1er n'a pas à attendre le second pour s'enclencher, car l'un entretient l'autre)
"penser d'abord à soi", n'est pas un égoïsme pour moi (ou alors j'aime l'égoïsme), mais la condition nécessaire pour ne pas s'oublier dans la relation, donc pour vivre de saines relations
l'empathie et l'amour, nous permettant ensuite de penser aussi à l'autre, aux autres
à mon sens, ce n'est pas injuste de se recentrer sur soi, c'est indispensable
et +on le fait rapidement quand c'est nécessaire, +ça peut être court, et on peut revenir au lien
au lieu de rentrer dans des cycles infinis où l'on s'oublie, se raccroche à l'autre, se fait des reproches, et ainsi de suite
que ton amoureux soit très attentif à tes besoins me semble juste normal, et la conséquence de son amour
ce n'est pas le punir que penser à toi, mais au contraire —a fortiori dans un contexte poly— prendre tout le monde en compte y compris toi-même
mais peut-être que mon vécu genré n'est pas transposable…
Mouse
Concernant rencontrer ma meta j’ai peur ( encore une finalement) de l’effet inverse. Tant que je ne la vois pas je n’ai aucun problème de comparaison.
dans mon expérience c'est le contraire
ou disons que rencontrer l'autre, ouvre la porte de la connaissance (de l'autre) et de l'empathie, ce qui endigue la compétition, donc la comparaison compétitive
Discussion : Les images qui pourrissent la vie
artichaut
le samedi 15 novembre 2025 à 19h27
Mouse
dès que je sais qu’il va y avoir de l’intimité entre lui et ma meta j’ai plein d’images désagréables qui tournent en boucle dans ma tête
est-ce que tu connais ta meta ?
parfois connaître la personne aide à endiguer nos fantasmes envahissants
Mouse
J’ai beau chercher le besoin ou la peur derrière ces émotions je ne trouve pas.
les fois où j'ai vécu ce que tu décris, c'est des fois où j'étais en fragilité dans le lien avec la personne, ou en fragilité dans le lien avec moi-même (où je me perdais dans la relation)
mon besoin était de me recentrer, de m'ancrer, de me donner de l'auto-empathie, de me faire plaisir, de retrouver l'amour de moi-même (et plutôt pas auprès d'une autre personne, ce qui sinon déplace le problème, et souvent l'accentue)
ma peur était de disparaître (l'autre disparaît donc je disparaît, car je suis trop dépendant de l'autre, de l'image de moi-même par l'autre : s'il ne veut plu de moi, s'il n'est pas avec moi, c'est que je n'existe pas)
ma solution perso, à toujours était de revenir à moi
(au sens propre et au figuré)
Discussion : Violence, rejet, humiliation, trahison : comment un homme se perd… et cherche à se réparer (témoignage sans réserve)
artichaut
le samedi 15 novembre 2025 à 19h10
Topper
Tu es une personne extrêmement toxique.
je corrigerais par :
Tu es une (bonne) personne avec des comportements extrêmement toxiques.
on ne peut pas changer de personne
mais on peut changer nos comportements
Discussion : Violence, rejet, humiliation, trahison : comment un homme se perd… et cherche à se réparer (témoignage sans réserve)
artichaut
le samedi 15 novembre 2025 à 01h51
Jojodabro
Je précise?: je n’ai pas de budget pour une vraie thérapie classique,
C'est quoi une vraie thérapie classique ?
Aller voir un·e psychiatre c'est remboursé, donc gratuit si t'es inscrit à la sécu.
Et si tu veux pas un·e psychiatre, ben tu payes.
Je suis au RSA, ça ne m'empêche pas de consulter. Tu touches moins qu'un RSA ??
Qu'est-ce qui t'empêches vraiment d'entamer une thérapie ?
La thunes me semble une fausse excuse.
Une amie m'avait dit la même chose. Je lui ai dit "je te paye tes séances" (elle qui gagne plus que moi). Ça a dû créer un déclic, elle a finalement consulté.
Je ne vais pas te proposer la même chose, je ne te connais pas. Mais franchement, je pense que y'a surtout un très gros tabou en France autour de ça.
Tout le monde aurait besoin de séances, psy, pas que toi. Et toi sans doute plus qu'un autre. Et depuis longtemps.
Donc bouges-toi. La violence n'est pas une fatalité. Ni celle qu'on subit, ni celle qu'on exerce.
T'as demandé du sans filtre. Voilà.
Discussion : L'amour passe par l'amour de soi
artichaut
le vendredi 14 novembre 2025 à 19h43
— je réponds à ce fil qui date de 2009 —
Clementine
L'amour (en-dehors de celui, "social" qu'on porte aux autres individus) me paraît une chose non-nécessaire, un accident complet et qui apporte de la plus-value à l'existence;
je ne partage pas ce point de vue, du post-initial. mais j'aime bien le titre L'amour (de l'autre) passe par l'amour de soi
pour ma part je ne peux aimer l'autre si (ou tant que) je ne m'aime pas moi-même
et à tord ou à raison, j'ai tendance à le penser comme un trait générique
je ne pourrais pas prendre au sérieux une personne qui me dit "je t'aime" et qui ne s'aime pas soi-même.
on peut être accroc (à une substance, à la présence d'une personne, à ses mots, ses gestes, etc) mais aimer me semble relever d'autre chose
au reste, moi-même il m'arrive de désaimer une personne, si/quand le lien avec celle-ci me fait me désaimer (par exemple suite à un conflit, et notamment si c'est moi qui ai merdé). il me faudra alors retrouver le chemin de l'amour de moi-même pour être capable de re-aimer à nouveau cette personne
c'est très fort chez moi, et ce n'est pas quelque chose sur lequel j'ai le sentiment d'avoir prise
aimer l'autre, un·e autre, voire des autres, pour moi c'est m'aimer suffisamment moi-même pour être capable de ressentir une empathie, une connexion à l'autre et vouloir son bien autant que je veux mon propre bien
sans cet ancrage dans l'amour de moi, aucune connexion à l'autre n'est possible. aucun amour ne peut s'attacher à du vide en moi.
je ne peux aimer l'autre +que moi-même. et la parentalité ne fait pas, pour moi, exception à cette règle.
j'imagine qu'il y a bien des personnes qui peuvent avoir le sentiment d'aimer, tout en ne s'aimant pas soi-même (et je serais ravi que de telles personnes s'expriment ici, plutôt les concernées que celles qui connaissent des concernées), perso j'aurais peur que cet amour ne soit que dépendance affective, que miroir déformé d'un amour de soi que l'on se sait incapable d'avoir seul·e
je me dit qu'à défaut d'aimer, on peut alors au moins être aimé·e
Clementine
La jalousie dans ce contexte peut survenir quand il y a sentiment de déprivation,
et du coup je pense que je peux ressentir de la jalousie de l'autre envers moi-même. je veux dire entre moi-à-l'autre et moi-à-moi. de la jalousie si je sens que je devrais aimer l'autre +que moi-même.
j'ai même l'impression que tout sentiment de jalousie que je ressens, m'indique le danger de moins m'aimer moi-même. et que cette émotion est là pour m'indiquer de ne pas m'oublier dans la relation.
accepter la jalousie et la traverser c'est me reconnecter avec moi et moi seul. seulement alors, après de l'auto-empathie et de l'auto-amour, je peux retourner dans l'amour de l'autre, et l'empathie pour l'autre.
comment s'aimer soi-même ?
et peut-on s'aimer soi-même sans avoir réçu précédemment de l'amour, sans avoir été aimé·e ?
sans doute que non. et il y a donc bien quelque part un cercle (que j'espère vertueux) qui se fait.
de même qu'aimer (au sens de cette empathie gratuite, qui n'attend rien et ne demande rien) provoque bien souvent de l'amour par contagion (pas forcément en retour vers soi-même, mais augmente l'amour dans le monde)
et j'espère qu'une personne qui ne s'aime pas, puisse un jour commencer à s'aimer soi-même. peut-être en arrêtant —dans un permier temps— d'aimer les autres, et de juste receuillir l'amour des autres quand il y en a.
cet "égoïsme" me semble en quelque sorte un chemin obligé avant de pouvoir aimer (les autres) à son tour. et peut-être faut-il renoncer à l'injonction à aimer les autres, pour accéder à cet "égoïsme", donc parvenir à l'amour de soi.
peut-être que je me plante complétement. mais en tout cas, j'ai l'impression que c'est comme ça que ça fonctionne pour moi.
je peux aimer une personne qui ne s'aime pas (donc dans ma logique, une personne qui ne m'aime pas). mais je ne pourrais croire une personne qui dit m'aimer alors qu'elle ne s'aime pas.
c'est du reste ce qui parfois me fait prendre de la distance, ou carrément me faire stopper une relation (si je sens que l'autre s'abîme en moi, s'abîme en ma présence, si je sens que j'accède à un pouvoir sur la personne qui me fait peur).
Discussion : [Lexique] Amour(s)
artichaut
le vendredi 14 novembre 2025 à 13h00
ravi que mes posts puissent attirer ici des personnes depuis un champ +vaste que l'entre-soi du polyamour. alors bienvenu ici Allyah148.
et n'hésites pas à fouiller le forum, ce fil n'en recense qu'une infime partie.
Discussion : Désamour
artichaut
le jeudi 13 novembre 2025 à 12h53
hypothèse : et si ce désamour dont tu parle, ces pensées moroses, ces défauts pas tout à fait vrais, étaient en réalité… un désamour de toi ? ou un désamour de l'amour ? voire une grande flemme…
Discussion : Dis...c'est quoi l'amour ?
artichaut
le jeudi 13 novembre 2025 à 11h16
L'amour est en soi multiple, infini, sans frontière
- l'amour n'a nul besoin d'être poly il est en lui-même multiple ; penser 'poly' c'est penser avec la grille de la monomagie, et ça mène souvent à la poly-monogamie
- on peut aimer autant que l'on veut, et même s'aimer soi-même
- on peut aimer des humains, des animaux, un travail, des choses, et même des entités ; certaines personne vont jusqu'à aimer l'amour
L'amour ne fait pas mal
ce qui fait mal c'est la possessivité, c'est l'engagement (trahi)
et éventuellement la jalousie résutante (ou +généralement les émotions dérivées de la possessivité, de nos peurs)…
L'amour est écologique, pas économique
(cf Françoise Simpère)
le nombre (de 'relations', de liens validés comme amour·eux) n'a rien à voir avec l'amour, c'est de l'arithmétique ou du capitalisme
L'amour n'est pas une ressource fossille, il est en soi inépuisable, c'est une 'énergie renouvelable'
(idem)
Selon la monogamie l'amour serait unique, exclusif, éternel. Et beaucoup de violences se justifient au nom de cette idée de l'amour.
(cf Brigitte Vasallo)
au contraire l'amour est multiple, sans frontières, renouvelable.
Le capitalisme est né au XVIIe-XVIIIe siècle comme la monogamie, telle qu'on la connaît, telle qu'on la pratique aujourd'hui.
tout ça est très récent …et périssable.
— je ne cherche pas ici à séparer l'amour des conditions matérielles de son existence, et surtout des conditions matérielles de notre existence, mais je trouve qu'on oublie un peu trop souvent ce qu'est l'amour, qu'on le confond avec les symptômes de son abscence et qu'on l'enferme à l'aune de nos blessures et de nos peurs ; ou bien qu'on l'idéalise, qu'on le sanctifie et qu'on l'innaccessibilise —
L'amour pour moi c'est un carburant, inépuisable et toujours à disposition, mais juste un carburant. rien de+.
Et à force de considérer que l'amour est rare, que l'amour fait mal, que l'amour est innaccessible, à force de considérer que l'amour est un bien matériel (qui s'achète, se vend, s'échange, se négocie, se protège), on finit par désapprendre à le convoquer.
Un carburant gratuit et inépuisable, c'est étrange. On a perdu l'habitude. Et c'est vrai que notre muscle d'amour il est bien engourdi parfois.
Discussion : [Lexique] Amour(s)
artichaut
le jeudi 13 novembre 2025 à 10h24
…n'hésitez pas à proposer des choses pour compléter cette liste…
Discussion : [Lexique] Amour(s)
Discussion : [Lexique] Amour(s)
artichaut
le jeudi 13 novembre 2025 à 10h00
Quelques liens sur le forum :
- Amour, Manque, Amitié, (poly)amour-amitié, par @clown.et.lapin, mars 2009
- L'amour passe par l'amour de soi, par Clementine (compte clôturé), juin 2009
- La confiance, condition de l'amour multiple et de tout amour, est-elle innée ??, par @titane, janv 2010
- La fin de l'amour, par @Romy, sept 2010
Discussion : [Lexique] Amour(s)
artichaut
le jeudi 13 novembre 2025 à 09h50
Des outils :
- [Outil] Les langages de l'amour, par moi-même, mars 2029
- [Outil] micro-moments d'amour, l'amour amour comme une émotion passagère (Barbara Fredrickson et Marine Duvouldy), par moi-même, mai 2024
-> voir aussi le fil qui recense les outils pour relations non-normées
Discussion : [Lexique] Amour(s)
artichaut
le jeudi 13 novembre 2025 à 09h50
Autres façons de désigner l'amour :
- Les 7 degrés de l'amour, par Patrice van Eersel (compte clôturé), mais 2010
Des concept autour de l'amour :
- Amour libre
- Amours plurielles
- Définition(s) du polyamour et de la Polyamorie
- Monogamie(s) — définition(s) — et Poly-Monogamie
- l'amour®
Des concepts associés :
- Amitié — définition(s) —
Discussion : [Lexique] Amour(s)
Discussion : [Lexique] Amour(s)
artichaut
le jeudi 13 novembre 2025 à 09h50
Qu'est-ce que l'amour ? Qu'avons-nous ici à en dire ?
Il m'a paru utile de créer cette entrée et recenser ici ce qui se dit de l'amour sur ce forum. Ranger, classer, pour y voir +clair.
Discussion : Être en couple(s), ça peut être chouette
artichaut
le dimanche 02 novembre 2025 à 15h58
Alabama
Moi je me sens exclue oui, dans une société qui valorise autant le couple, et je me retrouve à faire pareil, (…) on retrouve ce réflexe du couple, qui n’est jamais complètement remis en question.
la NRE est un réflexe de couple.
la relation socle est un réflexe de couple.
l'hétéro-normativité est un réflexe de couple.
…
moi-même, pourtant très loin de la conjugalité et de la couplitude, il m'arrive d'avoir des réflexes duals : aller vers ce que je connaît déjà, interagir avec les/la personne/s avec qui j'ai déjà vécu certaines choses, avec qui de la confiance s'est installée. par confort, par paresse, par facilité. créer des hiérarchies inconscientes, des comparaisons involontaires, qui nous fait petit à petit glisser vers le fait de privilégier une personne en particulier, et en creux d'en dé-privilégier d'autres.