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Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

bonheur
le jeudi 29 novembre 2018 à 20h51
bonheur
La liberté. Qu'est-ce au juste ?Je croise quelqu'un avec un super petit cul dans la rue, j'ai envie, je lui saute dessus et je fais ce qui me plait !
Bien sûr que non. Cette autre personne, elle, a aussi sa liberté. Celle de refuser mon attitude, mon envie.
On ne va pas jouer, en tant qu'adulte, les gosses capricieux qui font un caca nerveux parce que maman (ou papa, ou tatie, ou nounou, ou mamie) n'achètera pas la moitié du magasin.
Pour moi liberté ET respect d'autrui (je ne reprend pas le discours d'Artichaut) vont de paire. D'autre part, la liberté de quitter parce que l'un ou les deux ne sont plus heureux doit s'offrir également... tout comme l'amour et le rapprochement.
Quand deux personnes poly se rencontrent, la liberté n'est pas assurée. Ce n'est pas parce que l'on est poly que l'on est dans l'optique "fais ce qu'il te plait, tout me va". Si la communication est valorisée, c'est justement parce que l'on reconnait le caractère humain et émotionnel de soi, de l'autre. Par contre, on tombe les tabous et on est franc, honnête, sincère. On pousse la communication à son maximum et on ose se dire les choses (ou écrire).
Alors évidemment, que quand une personne mono, avec cette optique de "ne pas dire", rencontre une personne poly et en est... pouf... amoureuse ça coince, surtout si celle-ci est déjà en lien heureux avec une autre personne mono.
Statistiquement, combien de chance que des polys ne ressentent des pouf que pour des polys, même en se rencontrant par "critères". La vie met sur notre route tellement de personnes différentes :-D (+) qui évolueront ou non (et l'amour d'origine aussi, s'il y a).
Même un célibataire n'a pas toute sa liberté. La liberté est un sentiment, mais au fond personne n'est jamais libre vraiment.
J'aimerais être relu correctement, avec la tournure du fil de discussion.
Je parle de la liberté. Hein ! Enfin, du fait qu'en réalité, on ne peut pas être 100 % libre, parce que l'on tient compte des autres.
Dans un viol, il n'est pas je pense question de liberté mais au contraire de prendre de force (car je suppose, en me mettant dans la peau d'un violeur, ce que je ne peux évidemment pas, puisque je suis d'une nature opposée à cela). Je pense que la psychologie du viol est beaucoup plus complexe et sincèrement, je ne m'y aventurerai pas. Alors, je désirerais que l'on ne prenne pas mes propos pour faire un parallèle, merci !
Egalement, que l'on tienne compte de l'ensemble de mon propos et éviter de faire surgir et sortir de son contexte une "petite phrase" qui seule, sera évidemment mal interprétée. Merci également !
Voilà ma réflexion :-/ :-(
Discussion : Projets d'amoureux lorsqu'on est poly ?

bonheur
le jeudi 29 novembre 2018 à 19h14
Qu'est-ce qu'un projet ? Le fait-on pour soi ? (ou parce que c'est dans la continuité normale d'une évolution "programmée")
Le consentement à un projet partagé (on peut avoir un projet seul) doit tenir compte de l'individualité de son consentement et de son éventuel remise en question. Par contre, un projet partagé peut être assimilé à un projet collectif et là je crois que l'on a tort. On fait ensemble pour soi et non pour faire plaisir à l'autre ou parce que l'on se "sent obligé".
Les enfants, puisqu'il en est question. J'ai eu il y a quelques semaines une discussion de groupe, dans laquelle j'étais la seule à avoir été parent (mes enfants étant majeur, le ne me considère plus comme une mère, mais plus comme une personne faisant partie de leur entourage particulier, ou pas d'ailleurs pour l'aîné). Ils disaient qu'ils en avaient marre de cette pression pour qu'ils deviennent parent alors qu'ils n'en n'ont pas envie. Ils disaient vouloir "qu'on les lâche avec ça !".
intermittent
Et il faut reconnaitre qu'il est beaucoup plus facile de gérer des enfants quand on habite ensemble.
Je me permets une remarque, car je ne suis pas d'accord avec cette phrase. Je m'explique. Etre mère ou père, c'est très énergivore et ça demande de l'organisation. Evidemment, ce ne sera pas le cas pour tout le monde, mais l'absence d'enfant(s), ça peut faire un bien fou. On a cette possibilité de vivre un peu pour soi, de lâcher le rôle de parent. Alors, si on parent toujours ensemble, ben ça ne soulage en fait jamais complètement. Si les tâches sont partagées, elles sont moins lourdes à porter, mais elles sont quotidiennes malgré tout. Par contre, une alternance de parentalité, permet une alternance de célibat et donc un réel soulagement. Et puis, on confie à une personne qui tient autant que nous au bonheur de nos enfants, puisque c'est l'autre parent. Faciliter par une habitation géographique proche, oui. Dire qu'habiter sous le même toit rend la parentalité plus "facile", non. Je ne suis pas d'accord.
Discussion : Je ne sais pas comment faire aidez moi je vous en prit

bonheur
le jeudi 29 novembre 2018 à 14h13
Bonjour Mr Andy.
Voici ce que je ressens de ton intervention. C'est plus de l'ordre de l'impression et du ressenti que de l'exactitude. Ne pas m'en vouloir donc si j'ai tort.
Tu vis quelque chose de wahoo ! Il ne faut pas que l'incertitude prenne le dessus là-dessus, ce serait gâcher un peu l'instant présent.
Il y a du bienfait et du moins bon dans tout vécu. Et là, tu vis de l'exceptionnel. Et je pense, c'est cela qui te fait peur. Situation inconnue et où à la fois tu désires te perdre sans réfléchir (coup de foudre) et à la fois, tu ne désires pas complètement perdre pied.
La jalousie, elle vient peut être justement du caractère exceptionnel de tes émotions. En tout cas, je trouve ton attitude géniale. Comprendre les causes de cette jalousie (inédite et nouvelle), est une bonne chose pour avancer avec. Je ne pense pas que l'on puisse chasser ses sentiments et ses appréhensions sans un minimum de travail à faire. Donc bravo de remonter tes manches et de te "mettre au boulot" :) .
Après il y a aussi la nouveauté de son polyamour à elle. A ce niveau-là, il faut comprendre qu'il existe autant de forme de vie polyamoureuse qu'il existe de polyamoureux. Seule la définition générale nous réunis (voir rubrique "poly-quoi ?"
Tu trouveras également de l'aide sur www.amours.pl
Si tu lis, il existe également des livres consacrés au polyamour (développement personnel et d'autres sur des témoignages). D'une manière générale, tout ce qui tourne sur le développement personnel et le bien être, du moment que "ça te parle", est intéressant.
Message modifié par son auteur il y a 7 ans.
Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

bonheur
le jeudi 29 novembre 2018 à 12h13
L'analogie est intéressante même si perso, la cuisine... je l'aime dans mon assiette. Mais bon, je comprend cette passion à travers mon chéri de vie, qui la pratique.
Disons, que dans cette analogie, il faut faire ressortir deux choses. Une, cette forme d'ennui et d'usure ressenti sur le long terme si on ne se renouvelle pas. Deux, je pense que si la personne qui s'offre un partage de cuisiner avec une nouvelle personne n'empiète pas sur le partage qu'il avait à la base, il ne soustrait rien (désolée de le dire d'une façon aussi mathématique). Et puis, il peut au contraire apporter de la nouveauté dans le partage de cuisine initial. Ca s'appelle la transmission.
Je ne vois pas en quoi un partage enlève à un autre, alors que l'enrichissement provient des deux et que par ricochet on en fait profiter tout le monde ?
L'enrichissement, la transmission, l'apport par ricochet... ça ne compte pas ?
Après oui, le temps est incompressible.
Attention, mon discours ne tient lieu que pour le partage d'une passion commune. Je ne considère pas le sexe comme une passion, puisque j'y associe autre chose de plus personnel, de plus émotionnel, que de manipuler des casseroles (je simplifie).
En fait, c'est la complicité, l'harmonie, que l'on voudrait exclusive, dans ce cas là... Une complicité ne peut être identique. On en revient à l'unicité de l'instant, de chaque instant et à l'unicité du ressenti présent (renouvelé).
Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

bonheur
le jeudi 29 novembre 2018 à 09h56
La liberté. Qu'est-ce au juste ?
Je croise quelqu'un avec un super petit cul dans la rue, j'ai envie, je lui saute dessus et je fais ce qui me plait !
Bien sûr que non. Cette autre personne, elle, a aussi sa liberté. Celle de refuser mon attitude, mon envie.
On ne va pas jouer, en tant qu'adulte, les gosses capricieux qui font un caca nerveux parce que maman (ou papa, ou tatie, ou nounou, ou mamie) n'achètera pas la moitié du magasin.
Pour moi liberté ET respect d'autrui (je ne reprend pas le discours d'Artichaut) vont de paire. D'autre part, la liberté de quitter parce que l'un ou les deux ne sont plus heureux doit s'offrir également... tout comme l'amour et le rapprochement.
Quand deux personnes poly se rencontrent, la liberté n'est pas assurée. Ce n'est pas parce que l'on est poly que l'on est dans l'optique "fais ce qu'il te plait, tout me va". Si la communication est valorisée, c'est justement parce que l'on reconnait le caractère humain et émotionnel de soi, de l'autre. Par contre, on tombe les tabous et on est franc, honnête, sincère. On pousse la communication à son maximum et on ose se dire les choses (ou écrire).
Alors évidemment, que quand une personne mono, avec cette optique de "ne pas dire", rencontre une personne poly et en est... pouf... amoureuse ça coince, surtout si celle-ci est déjà en lien heureux avec une autre personne mono.
Statistiquement, combien de chance que des polys ne ressentent des pouf que pour des polys, même en se rencontrant par "critères". La vie met sur notre route tellement de personnes différentes :-D (+) qui évolueront ou non (et l'amour d'origine aussi, s'il y a).
Même un célibataire n'a pas toute sa liberté. La liberté est un sentiment, mais au fond personne n'est jamais libre vraiment.
Discussion : Une polyamour veut que je dégage car on continue une relation d'amour depuis 20 ans avec mon homme

bonheur
le mercredi 28 novembre 2018 à 12h54
Elle aime deux personnes simultanément (honnêtement ?) et elle refuse que ces hommes aiment en dehors d'elle... Elle désire une polyagamie subie et non du polyamour. C'est différent !
Discussion : Une polyamour veut que je dégage car on continue une relation d'amour depuis 20 ans avec mon homme

bonheur
le mercredi 28 novembre 2018 à 08h04
Il existe une relation en V et ici ce serait ton homme qui serait à la pointe du V. Par contre, si tu l'acceptes par dépit (et non par compersion) et que son autre amour n'accepte pas... il y a un long chemin et travaille à faire en perspective pour que la situation se transforme d'elle-même en polyamour.
Déjà, El, si tu viens ici, c'est que tu fais la démarche allant dans un sens favorable au polyamour. Toutefois, tu ne pourras pas "obliger" qui que ce soit à quoi que ce soit. Les démarches doivent se faire dans une dynamique commune à tou-te-s. Autrement, vous stagnerez toujours... ce qui ne veut pas dire qu'il ne faille pas laisser le temps au temps.
Discussion : Projets d'amoureux lorsqu'on est poly ?

bonheur
le mardi 27 novembre 2018 à 17h09
Tu sais intermittent, il y a des parents mono qui ne vivent plus ensemble ET des parents poly qui ne vivent plus ensemble ET des co-parents qui n'envisagent pas leurs enfants commun avec un vie commune (garde alternée prévue à la base). Sincèrement, avoir des enfants ensemble est-ce une garantie à quoi que ce soit ?
Discussion : Projets d'amoureux lorsqu'on est poly ?

bonheur
le mardi 27 novembre 2018 à 17h05
@Aina : ne peut-elle pas avoir cet enfant avec un partenaire autre ?
Renseigne toi sur la co-parentalité. Elle pourrait vivre une semaine sur deux avec vous (pendant que bébé est chez papa) et une semaine "chez elle" avec son enfant. Ainsi elle serait mère tout en étant intégrée à votre projet de vie commune à 3 sans enfant. Facilement réalisable non ?
Discussion : Donner à son couple la priorité

bonheur
le mardi 27 novembre 2018 à 17h01
Aina
Et elle ? Qu’en pense-t-elle?
Oui, et lui également. qu'en pense-t-il et dans quelle posture est-il ?
Par contre, je dirais chaque chose en son temps et il est normal que Allgoods réagisse par rapport à lui-même en avant première. Mais oui, ne pas oublier qu'en matière de polyamour, il y a trois personnes concernées.
Merci pour ce rappel Aina !
Discussion : Donner à son couple la priorité

bonheur
le mardi 27 novembre 2018 à 08h23
Allgoods
J'ai tout envisagé afin de respecter ses envies, sa personne. Le polyamour dans notre couple est peut-être la solution la plus acceptable pour nous deux, je ne veux pas vraiment accepter cette idée. Sans entrer dans les détails de toutes les peurs qui me tétanisent, je voudrais avoir votre avis sur la question de priorité du couple.
Comment peut-on s'engager émotionnellement sans en faire subir les conséquences à notre couple primaire ? Envie d'enfant ailleurs, de périodes d'exclusivité, de voyage..
Désolé si la question a déjà été traitée.
Il y a la tête (le polyamour est peut-être la solution la plus acceptable...) et il y a les tripes (je ne veux pas vraiment accepter cette idée). Il va falloir faire la lumière et définir à ce niveau-là ce qui sera de l'acceptable ou non. Attention, ne pas lire mes mots et décider. Laisse le temps au temps. Juste, j'ai relevé ce qui peut s'assimiler à une contradiction.
Les peurs : dans ces cas-là, il est naturel d'avoir des peurs. Sauf qu'elles sont la clé de ton avenir, ces peurs. Donc, entrer dans les détails (pas obligatoirement ici, mais de toi à toi) ce serait bien. La peur exprime que tu ressens une menace. Et devant une menace, la meilleure des attitudes est de se réconforter (ou qu'autrui nous réconforte). Ta chérie a ici son rôle à jouer, celui de savoir où elle en est (elle peut être également un peu perdue et avoir ses propres peurs). Pour devenir polyamoureuse et toi polyacceptant, dans un premier temps), il me semble judicieux de beaucoup communiquer et affronter à la fois les faits et à la fois vos émotions et ressentis divers.
Le couple primaire va être impacté, ça il ne faut pas se voiler la face. Une transition mono-mono en mono-poly ne peut se faire sans affronter la réalité que nous offre la transparence. La communication vous permettra d'avancer. Ce qui implique d'entendre et écouter attentivement, y compris ce que l'on désirerait ignorer. Faire face, ensemble.
Devenir polyacceptant, c'est avant aussi s'auto-satisfaire et trouver son autonomie. Prendre soin de se retrouver avec soi-même, hors du couple, pour son bonheur personnel. Ta chérie va à la piscine car elle aime la natation : elle s'absente sans que ça te dérange ? Ses absences pour passer du temps en amoureux avec quelqu'un d'autre, s'assimilerait à cela : s'offrir un moment de bonheur qui fait du bien. Bon donc, là encore, il y a la tête et il y a les tripes. Bien sûr que ce n'est "pas pareil". Mais si tu n'as plus peur de ses absences, vous en retirez toi un moment privilégié (avec toi-même, avec les enfants, autres) et elle un moment de bonheur différent.
Discussion : Projets d'amoureux lorsqu'on est poly ?

bonheur
le lundi 26 novembre 2018 à 13h07
Perso, je crois que me projeter dans une vie avec plusieurs amoureux pourrait se faire (ce serait chouette) qu'à condition que je sois en relation pérenne (disons 10 ans au moins) et satisfaisante pour mes amours. Là oui, j'envisagerai peut-être plus de commun et du projet sur du plus long terme... d'autant que comme TrioBulle, une fois que tous les garçons auront leur propre toit, j'aurai des chambres de libre à la maison et donc des espaces individuels en plus des espaces communs appropriés à vivre à plusieurs.
En gros, remplacer les enfants (bon jeunes adultes dans notre cas) par d'autres personnes que l'on aime ou apprécie. Pourquoi pas ? Ce n'est pas pour tout de suite en tout cas !
Discussion : Projets d'amoureux lorsqu'on est poly ?

bonheur
le lundi 26 novembre 2018 à 13h03
Beau projet, la frappe de ce mémoire familial... et oui, c'est découvrir l'autre d'une façon à la fois belle et à la fois originale :)
Discussion : Projets d'amoureux lorsqu'on est poly ?

bonheur
le lundi 26 novembre 2018 à 09h56
yayo
Une question me taraude… : que considérez-vous être des projets d’amoureux ? de couple ? lorsqu’on est polyamoureux…
Tout dépend ce que l'on considère comme projet. Pour moi, se retrouver pour aller boire un café est de l'ordre du projet... puisque l'on projette de faire quelque chose ensemble.
D'ailleurs, on peut faire des projets avec des amis, de la famille...
Ceci dit, jusqu'à présent, je n'ai eu de "projets de vie" qu'avec mon amoureux principal. Enfants, maison, voitures, meubles, compte bancaire... commun. Parce que pour moi, projet = faire ensemble, se projeter ensemble.
En matière de relation secondaire, j'ai pu faire quelques projets de court terme. Des week-end (et faire des activités ensemble) ; quelques jours de vacances ensemble (idem) mais ça c'est arrêté là.
Le fait est que je n'est jamais eu de relations secondaires suffisamment impliquées pour vraiment réaliser des projets plus impactant. Car je crois que derrière la réalisation d'un projet, il y a l'envie et la faculté à réaliser ensemble. Et ça, ça dépend des deux personnes (ou plus) à se donner la peine d'arriver à construire suffisamment pour aboutir à la réalisation.
Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

bonheur
le dimanche 25 novembre 2018 à 20h38
Aina
Tu trouves que c’est hors-sujet?
Non, non, c'était un constat humoristique justement. Désolée si j'ai été mal comprise :-D .
Bien au contraire, je t'invite à continuer cette démarche de t'exprimer. (+)
Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

bonheur
le dimanche 25 novembre 2018 à 19h32
Ne pas s'enfermer dans un autre schéma ? C'est bien pour ça que je lis, aussi bien des livres destinés au polyamour que des livres tout public.
Retrouver son libre arbitre et sentir vibrer en soi, un mot, une phrase, un paragraphe ou un ouvrage tout entier. C'est comme ça, que moi je fais pour déconstruire et reconstruire suivant moi, et non suivant un schéma. Je trouve important de ne pas sortir d'un moule pour se mouler ailleurs, tout bêtement.
Par contre, je m'aperçois que l'émotionnel revient dans cette discussion !
Discussion : Tomber amoureux de son metamour

bonheur
le dimanche 25 novembre 2018 à 19h25
Je suis aussi de celles qui dit difficilement, car oui la peur, bien qu'elle n'évite pas le danger. Parfois, le pas en avant détruit tout, mais oui, il faut le faire
Discussion : Emotions

bonheur
le dimanche 25 novembre 2018 à 19h23
Ils en parlent beaucoup dans les livres de développement personnel. Je parle des larmes
Quant au coup de foudre, que je considère comme une émotion primaire à part, je viens d'en découvrir la parfaite représentation dans un film d'animation. Le Zing (orthographe ?) du comte Dracula dans l'Hôtel Transylvania (dernier sortie). Et oui, on peut avoir plusieurs Zing au cours de sa vie, qu'ils soient alternatifs ou alors en juxtaposition l'un de l'autre. Pour moi, c'est ça l'amour... sans obligatoirement la bague de fiançailles au bout, évidemment.
Discussion : L'important
Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

bonheur
le samedi 24 novembre 2018 à 15h47
Désolée de ne pas être d'accord. Développé un terrain propice, je connais, donc ça ce n'est pas un mythe.
Par contre, si attrapé une mycose dans des toilettes berk, c'est un mythe (ce que mes médecins n'ont pas considérés comme un mythe, mais une réalité qu'ils constatent souvent), alors c'est que mon mari me trompe, puisque je n'ai perso de rapports qu'avec lui. Ce que je ne pense pas. Egalement, comme je parle des toilettes à mon travail (celui des femmes, qui sont très très berk), j'avais mis les pieds dans le plat ET je n'avais pas été la seule infectée, plus de la moitié d'entre nous avions reconnu avoir eu un soucis, et dans l'autre moitié, il y a les trop pudiques pour admettre. Sur le lot, ça devait faire un pourcentage important. Donc, mythe ou réalité, je pencherais pour la réalité.
Ma "différence" avec les autres, est que j'étais malade et que je ne le savais pas. Ma maladie avait créé un terrain propice et je n'arrivais pas à me débarrasser de ces saloperies (localisées à l'intérieur, donc vaginal, comme à l'extérieur, vulve et lèvres...). Depuis que mon nouveau médecin a décelé ma maladie (diabète de type 2), un mini-traitement en parallèle à celui du diabète a suffit à ce que ces merdes disparaissent enfin définitivement.
Après, chacun interprétera ma mésaventure comme il le désirera. Deux options possibles en fait. Mais les faits eux, ne sont pas le fruit de mes suppositions ou de mon imagination.
Si je déballe tout ça, c'est parce que ce n'est pas tabou et que je ne suis pas pudique, mais c'est surtout pour éviter à d'autres le même type de mésaventure