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Siestacorta

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Paris (France)

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Discussion : Comment vivre libre en ayant tant besoin de contact ?

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Siestacorta

le dimanche 07 novembre 2010 à 23h36

Si la liberté était satisfaisante, l'être humain serait déjà libéré de tout : autorité, société, besoins... :-)

La liberté la plus totale, pour un individu, c'est celle de se suicider (ou non). En effet : choisir de mourir, c'est prouver qu'on ne doit rien et qu'on ne devra plus jamais rien.
On choisit généralement de vivre.Donc de faire avec cette absence de liberté absolue.
Pour qu'il reste de la liberté, on joue avec des choix, des contraintes plus ou moins grandes, plus ou moins compensées par du plaisir.
On satisfait les besoins qu'on doit satisfaire parce qu'on a pas la liberté de faire autrement.

(#pirouette, #existentialisme)

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Discussion : Les sentiments par les hommes

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Siestacorta

le dimanche 07 novembre 2010 à 23h26

Tigre : ça peut te donner de la force, une énergie, et même un genre de méthode de base, ce que tu as pratiqué.

Mais devant un psy, on ne découvre pas seulement que ce qu'on ne voyait pas seul, mais aussi (surtout) ce qu'on savait et qu'on ne disait jamais.

Il y a des choses dont on est conscient intellectuellement, qu'on peut penser seul (méditation, introspection, calumet de la paix, conversation avec un chien) mais qui ne prendront assez de sens pour nous qu'une fois prononcées face à quelqu'un. Avant, tant qu'on ne les à dites à personne, on est persuadé qu'on gère : si on en parle pas, c'est qu'on en a pas besoin. Si les blessures se sont cicatrisées, c'est qu'elles n'avaient pas besoin de soin. Quitte à ce que les cicatrices restent visibles et qu'on ait perdu des moyens, et tant pis si on boite tout le temps après... C'est tellement plus fort d'avoir tout fait tout seul.

La peine, la honte, la colère... Même si on se connait, tant que les émotions ne sont pas exprimées en même temps que les mots, on peut s'autopersuader que les émotions ne sont pas si fortes et que les mots ne sont pas si importants.

Tandis qu'une fois qu'on a parlé, on a montré à quelqu'un les sentiments qui vont avec. Et à quelqu'un qu'on s'engage à revoir pour en reparler encore, histoire de pas s'oublier dans le fameux présent (bosser beaucoup, faire beaucoup de sport, agiragiragir, Tigre, ça te rappelle rien ?).

Enfin, je ne pense pas que le processus analytique et la méditation s'opposent, ni ne soient équivalents en termes de résultats. Par contre, je crois qu'elles peuvent agir en synergie l'une avec l'autre, que les utiliser ensemble peut amener des résultats meilleurs, et que les prises de conscience pourraient bien être plus claires et motivantes ainsi.
Justement parce qu'une pratique "post-industrielle" de la méditation n'est pas un renoncement, c'est un équilibre d'yapporter une philosophie de soin de soi.

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

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Discussion : Compagne d'un polyamoureux et jalousie

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Siestacorta

le dimanche 07 novembre 2010 à 23h12

Bah, lui foutre la paix, ça veut pas dire qu'il n'y aurait plus de relation avec lui.
Ca changerait, forcément, mais ça ne s'effacerait pas.
Et si ça devait s'effacer, c'est que ça aura mieux valu pour toi...
Bref, aucune raison de pas tenter, malgré la peur.

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Discussion : [Le site] Amélioration de l'annuaire des membres

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Siestacorta

le dimanche 07 novembre 2010 à 14h13

Bravo et merci pour l'amélioration.
Je serai très intéressé par un mode "région" : pour organiser les cafés et pour des usages perso, je pense que c'est une échelle d'annuaire utile...
Au fait, faire du publipostage pour un café ou RV public, c'est bon esprit ou pas ?

Sinon, mon opinion, valable à ma seule échelle : je crois que si le site réussit son coup, le côté "rencontre" en fera partie. En cas de succès, le nombre deviendra trop grand pour pas que ça arrive, et c'est une fonction secondaire de la plupart des forums de communautés affinitaires...
Autrement dit, si ya beaucoup de gens, ya des gens qui cherchent à se rencontrer de façon un peu systématique.
Les frontières seraient : écrire à plein de gens pour avoir un succès statistique, harceler alors que la personne ne cherche pas la rencontre, faire de la messagerie rose sur les threads du forum.

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Discussion : Un polyamour réduit au silence

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Siestacorta

le vendredi 05 novembre 2010 à 17h31

On peut débattre et se référer à l'état de nature, pourquoi pas, mais ce ne sera jamais un argument d'autorité qui suffira par lui-même à dire quoi faire. C'est même pas un argument, c'est un constat... Qui ne peut être que dépassé dans la suite d'un débat.

Mettons : dans la nature, il n'existe pas de cuisine. Tout cru et sans sel.
Dans la nature, on n'a pas d'outil. On doit tout faire avec ses mains, l'artisanat est à peine tolérable.
Dans la nature, on accouche sans anesthésie, et on utilise pas plus de contraceptif.
Dans la nature, on se menace et on cogne direct au premier désaccord. Et c'est pas celui qui a raison qui gagne, juste celui qui cogne le plus fort.
Dans la nature, il n'existe pas de notion de beau, ni de bien. Ces dernières sont tout humaines.

Voilà ce que pourrait signifier de favoriser la nature "pure" ou "saine" sur une culture "impure" ou "malsaine". Bref : qu'un comportement soit une construction sociale n'en fait pas quelque chose que tout le monde devrait démonter. La construction sociale est une petite partie de l'analyse, pas un argument conclusif...

Me voilà à re-citer le fameux passage ou Baudelaire fait l'Eloge du maquillage...

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

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Discussion : Les sentiments par les hommes

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Siestacorta

le vendredi 05 novembre 2010 à 11h31

Rosalie

Non, ce que je n'aime pas du psy, c'est que sa "fonction" est d'aider à te comprendre et qu'il a cette prétention aussi.

Ca fait quelque jours que je passe sur tes réponses sur le thème, et je ne trouvais pas où creuser. Mais après avoir lu un autre de tes posts - où tu parles de soupe inconsciente dont tu préfères ne pas connaître tous les ingrédients - je crois avoir mis le doigt dessus.

Le côté "je suis le mieux placé pour me comprendre moi-même" a son contraire logique. Pouvoir s'analyser soi-même est une contradiction dans les termes : on est celui qui analyse et l'objet analysé, donc on a tout pouvoir de s'échapper à soi-même, comme de toujours gagner - et toujours perdre - aux échecs si on joue contre soi-même.
Mais ça, la présence de l'autre, ça ne me semble pas le coeur du truc. Après tout, tu aimes débattre, discuter, tu es ouverte aux idées des autres... Un type diplômé et payé pour le faire ne signifie pas qu'il sait qui tu es, mais qu'il sait comment te faire causer, et qu'il a quelques idées à te proposer sur le fonctionnement humain. A part ça, il est comme les autres, faut juste rencontrer quelqu'un avec qui on apprécie de parler.

Je crois qu'il y a un truc à dénouer plus important que ça : tu donnes je crois un valeur presque superstitieuse à l'inconscient. Attend, attend, c'est pas une critique : j'ai mes superstitions intellectuelles aussi, j'en ai même plein. Ca n'empêche pas de penser correctement...

Tu aimes ta spontanéité et ton naturel. Tu te reproches un peu ton impulsivité, mais tu l'assumes finalement assez fièrement, comme manière de faire bouger les choses pour les autres ou pour toi.
Derrière cette spontanéité et derrière la sexualité, tu vois un inconscient à l'oeuvre. Le ça... Un soi inconnu. Et tu penses que les secrets de l'inconscient sont la source de son pouvoir, de l'énergie qu'il te transmet, une matière première du désir.

Donc, c'est là que ça devient de la pensée magique, trop comprendre le désordre, le flou et le sombre, ce serait se dévitaliser, et se banaliser en tendant vers la simplicité. Priver l'inconscient de pouvoir serait te priver de ton "irréductibilité", donc de liberté.
Alors que non.
Le désir reste le désir, même si on a levé le voile d'illusion... D'abord parce qu'on en a levé que la partie qu'on peut lever. On est pas tous voués à devenir des bouddhas tranquilles et immobiles. Si c'était seulement ça, le monde serait devenu un grand monastère, à un moment où l'autre.
On jouit aussi très bien en sachant pourquoi on jouit, et il y a toujours du désirable, puisque qu'on ne jouit jamais de quelque chose (ou de quelqu'un) de façon permanente. Ca nous échappe, ça passe, et de nouveau, on veut en reprendre. Et que ce soit inutile, on s'en fout.

La liberté est là, dans le fait de ne pas être déçu de ne pas pouvoir posséder longtemps. On est pas censé décider d'arrêter de courir après, contrairement à ce que conseille la sagesse. Parce que c'est rigolo, parce que c'est un jeu et que ce qui joue change toujours.
Pour reprendre l'image des échecs, tu peux connaître à fond les règles, la logique, tu seras toujours défié. Et tu aimeras donc toujours jouer, même si tu es le meilleur.
Alors qu'un psy te rende un peu gagnant face à l'inconscient, c'est pas décevant, voilà.

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

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Discussion : Projet Goffio

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Siestacorta

le mercredi 03 novembre 2010 à 09h23

Goffio
Au départ, on vivait nus et poilus ! Puis par la chasse, on s’est vêtus de peaux de bêtes, pour se prémunir contre le froid. On ne s’est jamais habillé dans le besoin d’un cache-sexe… Celui-ci est la conséquence d’une société chargée en règles morales, comme si c’était de toute évidence alors que c’est une prothèse : qui prévaut par la difficulté de notre culture, ayant maintenant le plus grand mal à dégager un référentiel de compréhension de la Nature, dans son expression ou intuition.

Moué. Je me méfie de la possible inspiration manichéenne derrière :
Nature = bien
Civilisation = perversion de l'origine et de la bonne essence du monde.

C'est pas comme ça.... Ou simplement en débattre sur internet serait une manifestation du Mal.
Ce n'est pas parce qu'on peut faire référence à la nature, jouer de notre part animale, qu'on DOIT le faire. Ce n'est pas parce qu'il y a des règles sociales impensées, et de une répression quand elles sont remises en cause que les gens qui respectent les règles ont tort de le faire. Ce serait vouloir remplacer un ordre social par un autre, sous prétexte d'un naturel impensé aussi.

L'intimité est une construction sociale, progressive, pas très vieille aux yeux l'Histoire. Elle est essentiellement bourgeoise, c'est pour une bonne part une conséquence de la notion de propriété privée. Pour ce qui est de la pudeur, ça remonte à plus loin : la fin des société tribales, à peu près.
Je comprend qu'on puisse remettre ces construction en cause, essayer de les adapter à notre liberté... J'éprouve pas la nécessité de les abolir pour autant.

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Discussion : Un polyamour réduit au silence

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Siestacorta

le mercredi 03 novembre 2010 à 08h36

madeline59
<<<< Siesta, tu n'est pas un modo, parce que je pensais que....

Non... Juste un ancien qui passe régulièrement.

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Discussion : Soirée,stage ou voyage en compagnie du massage tao et du tantra rouge

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Siestacorta

le mercredi 03 novembre 2010 à 08h34

mgmgngrmmmm sensualité / spiritualité grmeblll.

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Discussion : Doit-on le dire ? Pièce polyamoureuse de Labiche

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Siestacorta

le mardi 02 novembre 2010 à 22h25

Yep.
Alors, ben c'était bien.
Petite salle très intime (on est à 5 m max des acteurs), ce qui donne beaucoup d'effet aux jeu de scène.
La troupe est un peu hétéroclite (c'est du propre...), il faut suspendre assez solidement son incrédulité pour accepter qu'un rôle de barbon est tenu par un (bel) homme du genre Jack Sparrow. Ou qu'un bon gros capitaine d'industrie soit joué par un garçon dont le charisme "frais" rappelle un peu "La tortue" de la Nouvelle Star (c'est pas méchant, hein, j'explique ma première impression).
Mais le burlesque l'emporte, et je chipoterai pas plus : c'était drôle, léger, prenant, et j'adore sentir le comique passer progressivement du badin à l'hystérie. Mention spéciale aux clownerie des acteurs pour les rôles que je viens de citer, d'ailleurs, dont la prestation louche du côté de Tex Avery.

Maintenant, Labiche et les amours plurielles...
Pour moi, la morale de la pièce c'est "ça peut marcher, sur un malentendu".
Au sens strict, c'est plus des moeurs libérales que du polyamour. Il y a des passages au sens ambivalent ("aimons nous à trois"), mais les personnages ne finissent pas dans une situation de transparence.
Il y a des femmes ayant plusieurs amants, des amants que l'existence d'un mari arrange, et des cocus heureux dans l'ignorance. Presque classique, sauf que le texte pousse les personnages à désirer la présence des "troisièmes" : mari, autre amant, ex... Un bon esprit hédoniste.

Ca touche au débat sur la portée de l'honnêteté et de la vérité dans le polyamour.
Faudra que je repasse sur ce thème là... Je crois que Titane en a reparlé il y a quelques jours. Autant je n'exige pas la transparence de mon amante, ni envers moi, ni envers son autre, autant je maintiens que cet horizon d'honnêteté sert la qualité des relations, et aussi la libération des moeurs...

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

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Discussion : Un polyamour réduit au silence

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Siestacorta

le mardi 02 novembre 2010 à 14h40

Lulutine est modo, elle a donc les clés du forum.

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Discussion : [Vocabulaire] Relation ou pas ?

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Siestacorta

le lundi 01 novembre 2010 à 12h12

Je crois qu'aurel demande à partir à de combien de temps, de rencontres et à quel repère avec quelqu'un on considère être dans une relation, au lieu d'être dans la période "avant", où on se drague et où on se connait pas tellement (le "casual dating" évoqué dans le strip)

Message modifié par son auteur il y a 6 ans.

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Discussion : Doit-on le dire ? Pièce polyamoureuse de Labiche

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Siestacorta

le lundi 01 novembre 2010 à 12h06

Bon, finalement, budgété (merci Billetréduc, même si je trouve leur système de résa un peu complexe), réservé.

J'y sera avec mon amie.
Pour info, il doit rester 5 places dispo sur billetreduc (mainternant que j'en ai pris 2).

Par contre, je le dis à l'intention de Marc que j'ai déjà croisé (enfin je crois, j'ai un naturel confus...) et qui me reconnaîtra probablement de vue, on pourra pas être là longtemps en plus de la pièce, donc si tu me vois juste arriver 30 mn avant et puis filer après le spectacle... C'est normal, c'est une journée pressée qu'on fait pas trop durer pour que la dame puisse aller bosser le lendemain.

Je sais, c'est moins sympa comme ça, dé-sorry...

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Discussion : [Vocabulaire] Relation ou pas ?

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Siestacorta

le lundi 01 novembre 2010 à 10h59

Sur le dessin, je retombe sur l'expression "significant other". A la fois très précise, bien pratique, et un peu politiquement correcte...

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

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Discussion : Luc Ferry, en retard d'une révolution

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Siestacorta

le lundi 01 novembre 2010 à 03h16

Gin
alors, si je te dis que j'ai plusieurs amants tu vas me répondre expéditivement que donc je suis une salope ? ! ;)

A vrai dire, je pourrais : ça dépend où cet échange aurait lieu.
Si c'était ici, et que je te répondais ainsi, ce serait alors en partant du principe que ça ne peut pas vraiment être dit sérieusement sur un site polyamoureux... D'autant qu'on peut lire d'autres de mes interventions, et que celle-ci serait contradictoire avec elles. Donc que je ne serais pas en train de répondre en mon nom, mais en caricaturant l'opinion contraire à la mienne.

Le coup du "donc tu es de droite" est un cliché, dans les débats politiques avec les gauchisss dans mon genre. Pour dire ça autrement, du point de vue de quelqu'un dont les idées sont très (très) à gauche, n'importe qui est à droite, surtout quelqu'un qui n'accepte pas la classification. C'est une position caricaturale où je me place d'emblée en juste, et tous les autres dans l'erreur.

C'est bien sûr d'un manichéisme assez éloigné de mon rapport au débat.
Maintenant, il y a aussi une part d'autodérision. Je suis effectivement très à gauche, et si j'y mettais pas un peu plus de bonne volonté, j'arriverais très facilement à penser aussi expéditivement que je déconne.

Du coup, que ce soit dit : je ne te met pas en case, ni ne met en doute que tu puisse t'impliquer... Je dis une connerie plus grosse que moi en espérant qu'elle sera lue comme telle.

Il est tard, et je crois que je devrais jamais essayer d'être subtil, ça me réussit pas du tout, je manque trop souvent mon effet.

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

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Discussion : Luc Ferry, en retard d'une révolution

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Siestacorta

le dimanche 31 octobre 2010 à 23h56

Gin : c'était juste pour le plaisir d'une réplique expéditive, et merci de pas l'avoir pris trop personnellement.
A vrai dire, c'est moins l'oriGINalité que l'apolitisme qui me fait toujours un peu réagir comme ça.

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Discussion : Luc Ferry, en retard d'une révolution

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Siestacorta

le samedi 30 octobre 2010 à 11h52

Donc, tu es de droite :-D

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

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Discussion : Les sentiments par les hommes

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Siestacorta

le samedi 30 octobre 2010 à 11h50

Drya
Pourquoi tous les PA semblent fourrés chez le psy ?

Espoir : en fait, c'est dans l'autre sens que ça se passe.
On va chez le psy, on assume mieux certaines de ses tendances, on s'autorise à devenir PA. Donc beaucoup de PA passent du temps chez le psy.

Ca ne doit être vrai que pour ceux qui le sont déjà au fond... Mais si ça marchait systématiquement, je serais prêt à payer des gens pour qu'ils y aillent...
...
En fait, même sans ça, je crois que je suis prêt à payer des gens pour qu'ils fassent une thérapie. C'est VOUS les malades, je suis vivant et vous êtes tous morts, HAHAHAHA !

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

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Discussion : Confiance vers l'amour multiple

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Siestacorta

le vendredi 29 octobre 2010 à 12h49

Y'en a deux qui sont plus des prophètes que des sages, et le statut de Bouddha est limite (la réincarnation n'est pas une métaphore).

Les "sages" nés après l'invention de l'imprimerie sont peut-être plus difficile à reconnaître, et on ne parle peut-être plus de la même sagesse...

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Discussion : Les sentiments par les hommes

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Siestacorta

le vendredi 29 octobre 2010 à 08h09

Duchesse_Anne

je crois qu'à force de pas vouloir le dire, il a mis beaucoup plus de sens et de portée qu'il n'en a réellement. Il était en overdose de jean-jacques très certainement :-)

Ou il est cohérent, et pour lui dire "je t'aime" est une expression de quelque chose qu'il ne pense pas avoir à "assurer" quand il ne sent pas de danger.


Duchesse_Anne
ça doit pas être une obligation mais c'est pas non plus une demande en mariage de dire je t'aime. C'est léger pour le bonheur ressenti et fort pour l'intensité de l'émotion , et surtout dans l'instant présent, non ?

Oui, mais la demoiselle semblait ne pas comprendre pourquoi quelqu'un ne se sentait pas obligé de lui dire...

Duchesse_Anne
De toute façon, un type dont le boulot est d'écrire des chansons qui proclame que "les mots ne servent à rien", il est pas crédible ;-)

C'est pas un paradoxe ! Quand tu as une certaine expérience des mots (et en particulier des mots d'amours, mis en chanson et tout), tu constates aussi leurs limites : malgré la force que tu y mets, l'effet du discours est rarement à la hauteur, on embellit le monde avec, mais on ne change pas la manière qu'il a de tourner.

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