Participation aux discussions
Discussion : "Tu finiras seule, sans enfant, avec un boulot nul, dans ton appartement en location". Eloge de l'espoir par mes amis monogames heureux...

Raphaelle
le mercredi 16 octobre 2013 à 13h18
Bonjour Notomys.
Pour moi, tu es déstabilisée mais tu n'es pas folle, bien au contraire. En atteste, si besoin était, la cohérence de tes propos. On dit d'une personne qu'elle est folle lorsque celle-ci délire, lorsqu'elle tient des discours incohérents. Un discours paraît incohérent lorsque sa logique échappe à l'entendement. Puisque la logique est une chose hautement variable d'un individu à un autre, le même discours peut être qualifié de cohérent ou d'incohérent en fonction de la personne à laquelle tu le tiens. Autrement dit, il me semble que si tu en arrives à te demander si tu es folle, c'est en grande partie à cause de l'image de toi-même qui t'es renvoyée par la majorité de ton entourage et, plus largement, par la quasi-totalité de notre société. Malheur à qui ne cadre pas. Tu fais les frais de la pensée unique en matière de choix de vie. Mais tu n'as pas à continuer à en faire les frais ! Alors oui, tu es certainement perçue comme folle par une partie de la société mais, pour moi, et je crois pouvoir dire pour la plupart des personnes sur ce forum, tu n'es pas folle.
Si pour que la société me considère comme sain d'esprit je dois me comporter selon les normes établies, alors je suis heureux de me déclarer fou !
Bienvenue parmi les fous les plus sains d'esprit que je connaisse. :-D
Je te souhaite bon courage et, d'ici ton éventuelle participation à un café poly, n'hésite pas à venir poser tes questions ou, tout simplement, à venir chercher du réconfort.
Discussion : Soirée Open kiss & polysensuelle

Raphaelle
le lundi 14 octobre 2013 à 17h45
Ce fut une merveilleuse soirée. Ce fut une soirée où l'antagonisme entre donner et recevoir se trouva dépassé. Ce fut une soirée aux parfums complexes et délicats persistants, une soirée qui donne de l'énergie pour les combats et les projets à venir. Ce fut une soirée originale, stimulante et étonnante, une soirée GreenPixienne [les mots restent quand les statues tombent ;)].
Merci à GreenPixie d'avoir pris l'initiative de cette soirée et d'avoir su transformer des idées en des instants impérissables.
Merci à LiliLutin et à LiliLutine de nous avoir offert un cadre accueillant.
Merci à vous trois pour les moments partagés ensemble et merci à tous les autres.
Discussion : Polyamour et plaisirs associés

Raphaelle
le vendredi 11 octobre 2013 à 06h59
Etrange dissymétrie dans les questions que tu poses régis13 : tu parles d'orgasme pour les femmes et d'érection pour les hommes.
La forme des questions me pose aussi problème. Tu poses comme une évidence que les femmes atteignent plus facilement l'orgasme avec leur(s) amant(s) quand il faudrait au préalable se demander si elles atteignent l'orgasme plus facilement avec leur(s) amant(s). Je ne pense pas qu'il soit possible de généraliser. Et, une étude scientifique de la question me semble casse-gueule en raison de la multiplicité et de la complexité des paramètres à prendre en compte.
La question la plus intéressante, pour moi, serait de te demander pourquoi tu te poses ces questions (ça semble être davantage que de la pure curiosité). Libre à toi de me répondre :-) .
Dans Les Valseuses, si Marie-Ange (doublement sainte !!), le personnage joué par Miou-Miou, parvient à l'orgasme, ce n'est pas parce qu'elle est avec un nouveau partenaire mais parce que, cette fois-ci, pour la première fois, comme elle l'explique ensuite le long de la rivière, c'est elle qui a pris les rennes de sa sexualité, au lieu de se contenter d'une sexualité passive, de se "faire passer dessus" comme l'a écrit atthis.pachamama ci-dessus.
Si la nouveauté était la cause de son orgasme, elle aurait logiquement dû en avoir lors des premières fois avec Jean-Claude et Pierrot.
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.
Discussion : Jamais deux sans trois !

Raphaelle
le mercredi 09 octobre 2013 à 18h52
Tes deux partenaires actuels sont-ils "poly-acceptant" ou tolèrent-ils ta pratique poly par défaut ?
Discussion : Soirée Open kiss & polysensuelle

Raphaelle
le mercredi 09 octobre 2013 à 18h46
@ GreenPixie :
Zut, j'avais loupé ton message du 29 septembre, je viens seulement de le voir. C'est peut-être trop tard pour cette fois-ci mais je prends quand même le temps de te répondre.
Je n'ai absolument aucune idée du temps que pourrait prendre les activités que j'ai proposées. Je pense que ça dépend des participants. En y réfléchissant, je dirais que la deuxième activité doit prendre un temps considérable si chaque personne passe entre les mains de toutes les autres, ce qui serait l'idéal. 15 minutes par personnes me semble vraiment un minimum pour avoir le temps de commencer à découvrir l'autre. Pour 11 participants (c'est facile à calculer avec 11), ça prendrait donc 150 minutes, soit 2h30 !! Hum, passer par toutes les mains risque d'être fatiguant (répétitif ? pas sûr...). En pratique, il serait peut-être préférable de diviser le groupe en deux.
GreenPixie
ce serait mieux si la personne 'passive' avait les yeux bandés, et la personne 'active' les yeux découverts, non ?
Non. Tout dépend de ce sur quoi on veut insister mais je pense que c'est mieux si les deux ont les yeux bandés. D'une part, si les deux personnes ont les yeux bandées, ça les met sur un pieds d'égalité. La personne "passive" n'est ainsi pas dévisagée. D'autre part, au moment d'inverser les rôles, si la personne "active" a eu les yeux découverts, elle se sera déjà faite une idée de la personne qui va la toucher.
Discussion : Les lundis poly - 7 octobre - Paris - Bubble Bar

Raphaelle
le mardi 08 octobre 2013 à 17h48
Tcheloviekskinoapparatom
nous nous sentons libres quand les contraintes effectives de notre vie (on peut dire : les données objectives) correspondent avec notre volonté - du coup elles ne sont pas ressenties comme "contraintes", et la "nécessité est abrogée"
Bien dit en peu de mots !
Le verbe "sentir" est bien choisi.
Discussion : Les lundis poly - 7 octobre - Paris - Bubble Bar

Raphaelle
le mardi 08 octobre 2013 à 16h48
Je crois que nous sommes d'accord mais je formulerai ça autrement.
Par définition, une contrainte est ce qui nous oblige à agir contre notre volonté. Un horaire à respecter ne devient une contrainte horaire que si le respect de cet horaire est vécu comme une obligation à laquelle nous serions forcés. Si l'entrée dans une nouvelle relation est ressentie comme une contrainte, ne vaudrait-il pas mieux fuir la nouvelle relation en question ?
J'entre en relation, je m'engage librement sur un certain nombre de points dont, a minima, celui de considérer l'autre.
L'honnêteté ne va pas nécessairement de paire avec la spontanéité et c'est tant mieux. L'honnêteté, c'est dire ce que l'on pense mais il y a différentes manières de le dire, certaines délicates, d'autres indélicates.
J'ai toujours souhaité (mais pas toujours réussi par le passé...) être honnête envers les personnes auxquelles je ne suis pas indifférent. C'est justement parce qu'elles ne me sont pas indifférentes qu'il est important que je sois honnête avec elles.
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.
Discussion : Les lundis poly - 7 octobre - Paris - Bubble Bar

Raphaelle
le mardi 08 octobre 2013 à 14h51
Hier soir je n'ai pas eu de retour quand j'ai parlé de mon étonnement à entendre plusieurs personnes parler de l’honnêteté comme d'une contrainte. Pour faire court, j'avais dit que, de mon point de vue, je ne voyais pas en quoi l'honnêteté pouvait être une contrainte pour soi mais que je concevais que l'honnêteté pouvait être vécue comme une contrainte par ceux qui nous entourent.
Ah..., une idée de sujet pour un prochain débat : polyamour & honnêteté radicale.
@ Siestacorta :
De mon côté, je t'assure qu'il n'y a vraiment pas matière à s'excuser, au contraire :). Et, ce serait vraiment dommage que tu "fermes ta gueule".
Discussion : Des relations & des courts ou longs métrages ?

Raphaelle
le mercredi 25 septembre 2013 à 03h56
LuLutine
Un truc qui me gêne dans cette suggestion, c'est que je ne vais pas "essayer d'aimer" quelqu'un qui ne m'attire pas...
+ 1
La nuit étant bien entamée, je vous épargne le pavé que j'avais rédigé en pensées. Deux phrases suffiront.
L'envie de nouvelles expériences ne doit pas nous faire renier ce que nous sommes, ne doit pas diluer les traits de caractères qui font la spécificité de chacun.
Osons nous engager, oui !, mais nous engager dans les relations qui ne nous laissent pas tiède à l'idée d'y penser (vive l'intensité en court, moyen ou long métrage !).
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.
Discussion : Vers un retour vers la simplicité des discussions autour du PolyAmour ?

Raphaelle
le lundi 23 septembre 2013 à 20h40
Le polyamour n'est pas nécessairement d'abord une approche sensuelle. Pour moi, ce fut d'abord, en grande partie, une position politique.
Pourquoi toujours opposer les sentiments et l'intellect ? Les deux sont liés. Et certaines personnes trouvent autant d'intensité dans les idées que dans les autres sens.
Si on écrit sur ce forum ce que l'on ressent, on est déjà dans l'explication, dans l'intellectualisation ;).
C'est en partie la complexité du polyamour qui en fait son intérêt, sa richesse.
Réfléchir ne devrait jamais être une torture :-( .
Le site ne me semble pas élitiste en raison de la multiplicité des intervenants. Sur les discussions les plus complexes, on se rend compte qu'il y a souvent les mêmes idées qui sont exprimées de plusieurs manières, dans divers niveaux de langages, par plusieurs intervenants (ce qui est une bonne chose).
Discussion : [Texte] PolyAmour ou PolyEmpathie par Sébastien Bages (sept 2013)

Raphaelle
le lundi 23 septembre 2013 à 17h36
Quelques idées intéressantes qui nécessiteraient d'être développées et, surtout, précisées ; l'article ressemble à un dernier brouillon avant la rédaction finale.
Discussion : Des relations & des courts ou longs métrages ?

Raphaelle
le lundi 23 septembre 2013 à 17h29
Je suis d'accord avec aimerplusieurshommes, avoir plusieurs relations rend plus facile la construction de relations longues.
J'ai constaté que, parfois, l'intensité d'une relation peut augmenter sur la durée. J'ai l'impression que, parfois, certains d'entre nous ne donnons pas assez de chances à une nouvelle relation de se développer si elle n'est pas très enrichissante dès le début, c'est dommage.
La Horde du Contrevent se trouve facilement en poche (coll. Folio SF). Et oui, être comparé à Caracole est un compliment.
A. Damasio a écrit un autre excellent roman intitulé La Zone du dehors qui raconte la réalisation d'une utopie anarchiste.
Discussion : Systèmes de valeurs

Raphaelle
le jeudi 19 septembre 2013 à 12h07
Bonjour Cendre. Juste une idée en passant. Tu écris avoir parfois des difficultés à appréhender la manière dont ton compagnon pense et perçoit certains de tes comportements. Il y un a exercice de reformulation que je trouve efficace, et que tu dois certainement déjà connaître, qui consiste à laisser l'autre exprimer ce qu'il ressent puis à traduire avec nos propres mots ce qu'il vient de dire. On se rend compte qu'il y a souvent des écarts, plus ou moins importants, sur lesquels il est possible de travailler. Cet exercice ne permet pas forcément des rapprochements mais il permet, au minimum, une meilleure compréhension de l'autre.
@ Janis : j'ai trouvé très juste ce que tu as écrit sur la dépression.
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.
Discussion : Des relations & des courts ou longs métrages ?

Raphaelle
le jeudi 19 septembre 2013 à 11h55
L'oeuvre est un peu littérale mais intéressante. Qui en est l'auteur ?
Juste une remarque en passant : la zone dans laquelle peut advenir la magie se trouve être un cercle, figure de l'instabilité opposée à la zone de confort qui est un rectangle, figure de la stabilité (le carré serait plus approprié mais les toiles carrés sont relativement rares). A l'occasion, je reviendrais sur cette notion de zone de confort, peut-être dans une autre discussion pour ne pas être trop hors sujet ici.
Je ne résiste pas à l'envie de recopier l'une de mes citations favorites qui me semble très appropriée ici : "L'oubli de l'utopie a un prix : la résignation au monde comme il va." (Fredric Jameson, Archéologie du futur. Le Désir nommé utopie). Pour moi, l'important est moins d'atteindre un but que le chemin parcouru pour l'atteindre. Échouer en chemin me paraît tout à fait acceptable ; renoncer à ce que je souhaite faire avant même d'avoir essayé, ce serait m'amputer d'une partie de mon énergie, de mes rêves... Beaucoup de projets n'aboutiront jamais, ils resteront des courts métrages que j'essayerais peut-être de transformer de nouveau en long métrage, à l'échelle d'une vie.
@ GreenPixie : tu me rappelles Caracole, un personnage créé par Alain Damasio dans La Horde du Contrevent, un roman qui pourrait te plaire. Caracole est un troubadour qui a un besoin vital de changements. Il est fluide, changeant. Il invente et réinvente le langage en permanence.
Si une certaine routine peut être utile dans le travail pour automatiser certains processus de traitement des données, il est vrai qu'elle est souvent néfaste dans une relation. Cependant, une relation longue peut être un moyen d'éviter la routine car il me semble que la routine vient souvent de nous-même et qu'être en contact avec une autre personne génère plus facilement du dynamisme (en théorie, on devrait être deux à combattre la routine).
Les sentiments ne s'assèchent pas nécessairement sur la durée, ils peuvent se renouveler. Pendant combien de temps ? Pour l'instant je n'ai jamais dépassé cinq ans avec quelqu'un, ce qui est déjà relativement long mais demeure court à l'échelle d'une vie.
Discussion : Des relations & des courts ou longs métrages ?

Raphaelle
le mercredi 18 septembre 2013 à 10h34
LuLutine
Pour moi, si tu continues à voir l'autre même "comme un(e) ami(e)", tu n'as pas mis un terme à la relation justement ! Je prends le terme "relation" dans un sens plus général que ce que "la majorité" appelle "relation amoureuse".
Je suis complétement d'accord avec toi. Je me suis juste mal exprimé, merci de l'avoir relevé.
Discussion : Systèmes de valeurs

Raphaelle
le mardi 17 septembre 2013 à 18h11
Beaucoup de choses pertinentes ont déjà été écrites, je vais faire court.
Tu écris ne pas voir la continuité entre les deux systèmes de valeur mono et poly. Je dirais que c'est normal. Ces systèmes ne sont pas opposés mais radicalement différents, d'où l'impossibilité d'un entre-deux (ce n'est que ma manière simplifiée de les appréhender et tout le monde ne sera pas d'accord avec moi). Conséquemment, le reproche d'extrémisme à ton encontre ne tient pas. Même en plaçant le curseur à la frontière poly, tu restera dans un système étranger au sien. Le curseur ne peut passer d'un système à l'autre malgré toute ta bonne volonté.
Encore une fois, et tu en es consciente, tu n'as pas à être LA responsable de votre relation.
Cendre
Je sais que ça ferait très mal, mais je sais aussi aujourd'hui que la douleur ne dure qu'un temps, et qu'il ne reste que son souvenir, une fois passée.
Le penses-tu vraiment ou essayes-tu de t'en persuader ? Si la douleur s'atténue généralement avec le temps, il reste toujours des cicatrices qui chez certains se réouvrent aisément.
Point plus positif : je ne vois pas pour quelles raisons sa confiance serait nécessairement perdue à jamais, alors que tu es dans une démarche des plus honnêtes même s'il ne l'a perçoit pas ainsi.
Si tu as d'autres "pavés" à expulser, je les lirais. D'ici là, je ne peux que t'exprimer mon soutien.
Discussion : Des relations & des courts ou longs métrages ?

Raphaelle
le mardi 17 septembre 2013 à 17h52
Je pense au contraire que c'est épanouissant. Il me semble cependant qu'il faut être conscient des raisons qui nous poussent à nous éparpiller, à céder à toutes nos curiosités (attention aux logiques de fuite).
Discussion : Des relations & des courts ou longs métrages ?

Raphaelle
le mardi 17 septembre 2013 à 15h34
L'avantage des courts métrages réside justement dans leur durée plus courte ! Conséquence : non seulement tu peux en regarder davantage dans le même laps de temps que des longs métrages mais tu es aussi plus aventureux et persévérant parce que tu perdras moins de temps si le film est mauvais. Je crois vivre les amours multiples avec une dynamique similaire. Je pense m'engager d'autant plus facilement que si une nouvelle relation ne me stimule pas, j'espère pouvoir y mettre un terme d'une manière douce et continuer à voir la personne comme un/une ami(e). Sur ce point, j'ai conscience que j'idéalise. Dans la pratique, je me retrouve peut-être parfois à trop prendre en compte les désirs asymétriques.
Pour changer de domaine, j'aime beaucoup les nouvelles mais je ne pourrais pas me passer de lire des romans. Ce n'est pas nécessairement une question d'intensité car l'intensité peut-être maintenue pendant des centaines de pages ou tomber au bout de trois pages. Tout simplement, ce ne sont pas les mêmes modalités de lecture (le rapport au temps est notamment différent et ses implications nombreuses).
Certaines expériences nécessite une connaissance de l'autre qui ne peut être atteinte que sur la durée.
La recherche d'inédit est intéressante mais peut se révéler à double-tranchant. J'ai l'impression que parfois nous nous perdons, plus ou moins longtemps, à vouloir tester de nouvelles choses sans autre intérêt que la nouveauté. A creuser...
Ce que j'aimerais dans les relations ? Qu'elles ne soient jamais figées, toujours mouvantes ;).
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.
Discussion : Comment dynamiser nos échanges ?

Raphaelle
le mardi 17 septembre 2013 à 15h08
Je ne sais pas si le forum est calme en ce moment. Ce que je sais c'est que je n'arrive pas à trouver le temps pour tout lire et surtout pour répondre aux discussions qui m'intéressent.
L'idée d'une newsletter me semble bonne. Elle pourrait notamment inciter les membres non-actifs à revenir sur le forum. Cependant, je connais peu de gens qui lisent les newsletter qu'ils reçoivent. Manque de temps ou newsletters pas assez intéressantes/accrocheuses ? Je serais curieux de voir ton projet et peut-être d'y participer.
L'élargissement des thèmes est souhaitable mais je pense qu'il faudrait veiller à ne pas trop s'éparpiller et savoir relier les nouveaux thèmes abordés de manières non artificielles au polyamour.
Affiner le tri des discussions et en synthétiser les enjeux/questions serait très intéressant mais demanderait un travail de fond de longue haleine.
Discussion : Puis-je choisir les partenaires de ma partenaire ?

Raphaelle
le lundi 16 septembre 2013 à 17h03
Pour les exemples que tu donnes ci-dessus, une relation avec un membre de ta famille proche ou un de tes clients peut être sujet à discussion et chacun ici aura ses propres limites. Les autres cas sont effectivement problématiques. Cependant, il y a peu de chances qu'ils surviennent (suis-je trop optimiste ?). Et, si c'était le cas, ne crois-tu pas que ta partenaire serait capable de ne pas s'engager d'elle-même dans des relations de ce type, c'est-à-dire toxiques pour toi et pour elle-même ? Personnellement, je préfère faire confiance à mes partenaires pour appréhender les situations au mieux plutôt que de fixer des limites. D'autant plus que lui interdire une relation ne garantie pas qu'elle ne s'y engagera pas (elle s'y engagerait peut-être d'autant plus que tu aurais cherché à le lui interdire). Enfin, si ta partenaire se faisait réellement manipuler, à mon sens, la question d'un veto de ta part ne se poserait pas ; il serait nécessaire d'intervenir.
[Toutes les sectes sont dangereuses puisqu'elles placent l'ensemble de leurs adeptes en position de sujets intolérants, ouverts à une unique doctrine.]