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aime_mi_trente

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(France)

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Discussion : Les relations amoureuses sans sexe

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aime_mi_trente

le lundi 19 juillet 2010 à 20h34

@titane : j'ai un peu détaillé ce que j'avais dit d'abord dans le corps du post précédent. J'ai bien compris que je n'avais pas le droit de faire deux posts de suite et je ne savais pas encore que tu alllais poster :-) :-)

Je suis d'accord avec ta remarque sur la dégustation, je voulais juste dire que toi tu avais trouvé une sensation sans vraiment la chercher, mais que je ne me voyais pas pour ma part suivre un stage exprès pour cela : ESS avait d'autres raisons de le faire (c'est sa petite amie qui lui avait demandé... Et ils se sont séparés quand même après).

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Discussion : [Livre] "Le Souci des plaisirs" de Michel Onfray, 2008

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aime_mi_trente

le lundi 19 juillet 2010 à 20h28

C'est une sacrée bonne question ça... Je dirais que le sexe n'est pas QU'un sport... Mais on y retrouve pas mal d'ingrédients communs : condition physique, technique, expérience, dons innés, aptitudes corporelles... Surtout si on prend des sports "esthétiques" comme la gym ou le patinage, mais aussi pas mal de sports techniques "de toucher". Non ? Mais ça ne compte au maximum que pour 50%, l'essentiel reste dans la tête. Mais un peu moins de 50%, c'est déjà beaucoup, non ?

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Discussion : Les relations amoureuses sans sexe

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aime_mi_trente

le lundi 19 juillet 2010 à 20h23

L'orgasme masculin sans éjaculation : ce sujet est traité par Edouard Servan-Schreiber (eh oui, encore un) ici :
www.psychologies.com/Couple/Sexualite/Desir/Articl...

Je l'ai lu et rencontré, il est assez convaincant. J'aurais été prêt à suivre un tel stage mais ça n'existe pas en Europe. Et puis à vrai dire, je n'en ressens pas tellement le besoin. Il y a un côté mouton à 5 pattes dans cette histoire... Et je n'ai pas vraiment non plus, contrairement à lui avant, de problèmes de "durabilité" (à tous les sens du terme) ;-)

Cela dit, comme toi, j'aime "me retenir", et cela ne diminue pas le plaisir. D'ailleurs, après deux orgasmes "classiques" il m'arrive aussi d'avoir des "orgasmes secs" (désolé d'être aussi "technicien"), mais qui ne sont pas fondamentalement différents, il y juste une sensation supplémentaire un peu "extrême". Mais ce n'est pas ce que tu décris, qui est d'abord basé sur une forme de contrôle du périnée, à la fois musculaire et respiratoire.

Par contre, une relation amoureuse sans sexe, au moins pendant une certaine période, j'y crois bien volontiers. Je pense par exemple au cas des amants séparés par la force des choses. J'ai même inventé pour cela le terme de "chasteté torride".

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Discussion : Monogame jusqu'à présent, mais.... ?

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aime_mi_trente

le lundi 19 juillet 2010 à 20h08

Pudeur et discrétion c'est assez bien vu... Bon j'ai un peu l'impression en passant d'un idéal poly-amoureux à une réalité adultère cachée, de passer de la Ligue des Champions à la L2... mais en tant que supporter du PSG je sais gérer ce type de déception ;-)

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Discussion : [Livre] "Le Souci des plaisirs" de Michel Onfray, 2008

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aime_mi_trente

le lundi 19 juillet 2010 à 19h58

Rosalie
Mais pourquoi le 69 t'excites plus qu'un baiser sur la bouche ? Uniquement une sensation physique tu crois ?

Dans mon cas, la sensation physique n'est pas comparable DU TOUT entre les deux. Et je crois qu'il y a des raisons "bio-mécaniques" avant tout. L'interdit peut "épicer" certaines situations, mais le plaisir me semble avant tout sensuel - dans l'exemple précis que tu cites.

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Discussion : Essai... erreur

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aime_mi_trente

le lundi 19 juillet 2010 à 19h45

Je vais vous faire rire mais je suis un authentique Bisounours... Finalement qu'on me mente ou pas je m'en fiche, ce qui compte pour moi c'est de faire du mal aux autres ou pas. Je préfère quelqu'un qui va mentir pour faire du bien à quelqu'un d'autre que l'inverse (faire souffrir en disant la vérité). Quelqu'un qui ment dans son propre intérêt contre celui des autres, il me fera le coup une fois, mais je saurai m'en souvenir la fois suivante.

Donc Siestacorta, bien sûr que ça ne me gênerait pas qu'elle me mente si c'est dans le bien de tous. Quand elle m'a quitté, je lui avait proposé de tester de continuer à vivre en famille "comme si", pour se donner le temps de voir si ça durait vraiment avec son amant (elle n'a pas voulu, mais ça n'a pas duré quand même).

Elle se dit incapable de corriger sa jalousie, et comme elle est Bretonne (OK, cliché), j'ai tendance à me résigner. D'autant plus qu'elle n'est même pas jalouse par principe, au contraire, elle me dit qu'elle ne demanderait qu'à ne pas l'être, mais que c'est quelque chose qui la dépasse.

@titane, j'admets que les exemples que tu donnes (homosexualité...) sont assez justes. On pourrait rajouter le cas des enfants. Les choses seraient sans doute différentes si j'avais mieux verrouillé mon histoire et donc évité de me faire rattraper par la patrouille. J'aurais pu continuer à pratiquer le mensonge par omission, tandis que là je risque de passer au mensonge "délibéré" : fausses réponses aux questions... De quoi ruiner la relation de confiance qui me semble fondamentale dans un couple. En tous cas le mien était basé sur une telle relation de confiance.

Ce qui inquiète le plus ma femme c'est l'idée que je la quitte pour une autre. Comment peut-elle me croire, si je lui dis que je n'en n'ai en aucun cas l'intention, si elle sait que je lui mens déjà par ailleurs ? Et pourtant, là c'est la vérité...

J'ajouterai que nous avons tous deux lu le livre de Sylvie Brunel, et qu'elle se dit que si une femme aussi intelligente que SB s'est faite "avoir" par son mari, elle-même n'est pas du tout à l'abri non plus. Comment lui faire admettre que je n'ai aucun point commun avec ce $*@# d'Eric Besson ? Les apparences sont contre moi.

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Discussion : Essai... erreur

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aime_mi_trente

le lundi 19 juillet 2010 à 15h38

Le scénario que tu cites à la fin est malheureusement celui que j'ai "testé" en début d'année... Je la croyais aussi capable de bien le prendre. A l'arrivée, elle a fouillé mon mail, que je n'avais pas bien protégé tellement je la croyais incapable de faire ça. Et les conséquences sont assez tragiques, car elle a lu des choses qui ne sont pas faites pour être lues par d'autres, et encore moins par sa femme. Depuis, et c'est logique, tout ce qu'elle a lu est devenu un moteur hyper-puissant pour sa jalousie.

Sinon, pourquoi cette aversion au mensonge ? Je pourrais te retourner la question dans le sens inverse. Pourquoi cela te semble-t-il si naturel ? Non, je n'ai pas de jalousie cachée ni de peur qu'on me mente (j'ai des clients, j'ai des enfants, j'en donc déjà vu des vertes et des pas mures de ce côté-là). Au contraire, je considère que le fait de ne pas mentir fait que les gens qui me connaissent depuis longtemps savent qu'ils peuvent me faire confiance. Et je préférerais de loin que ma femme sache que j'ai des relations avec une autre plutôt que de devoir lui cacher... En craignant le pire si elle s'en rend compte une fois de plus.

Et tu as raison de dire que la 1ère option n'en est pas une si elle "s'imagine des trucs" qui la rendent malheureuse même s'il ne se passe rien. Encore que j'ai remarqué que ses périodes de doute n'étaient jamais dues au hasard : on se connait trop bien, au bout de 20 ans. D'ailleurs, quand je me suis fait prendre (une 1ère fois avant le mail), je n'ai même pas cherché à nier, j'ai tout de suite dit, presque soulagé, la vérité. Disons que je n'ai menti que... par omission.

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Discussion : Essai... erreur

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aime_mi_trente

le lundi 19 juillet 2010 à 14h49

Je vous dispense de tout l'historique... Toujours est-il que j'ai 46 ans, que j'ai cru pouvoir introduire le polyamour dans mon couple. J'ai reconnu dans les livres de Françoise Simpère une vision qui m'était immédiate, naturelle. J'ai fait partager ces ouvrages à ma femme (depuis plus de 20 ans maintenant, avec deux ans d'interruption "dure" il y a 4 ans). Elle ne semblait pas fermée, à ce moment nous étions elle et moi suivis par une psy (dont nous sommes très contents).

J'ai vécu une très belle expérience amoureuse en ce début d'année, puis les choses se sont très mal passées avec ma femme. J'ai dû rompre avec mon amoureuse de rencontre, et ma femme m'a depuis affirmé qu'elle se sentait jalouse au plus haut point, et qu'elle ne pensait en aucun cas que cela pourrait changer.

Elle me donne pour ainsi dire (nous venons d'en parler) trois possibilités :
- abandonner mes velléités "d'amour pluriel". J'ai effectivement été capable d'exclusivité pendant plus de 15 ans, au prix d'une (trop) grande implication dans mon travail. Je ne me sens pas pour autant capable de reprendre ce chemin que j'ai déjà parcouru, et qui a mené à l'époque à son départ pour un autre homme
- nous séparer. Je m'en sens incapable, les embuches que nous avons rencontré en 20 ans n'ont jamais entamé l'amour profond que nous nous portons, et qui grandit chaque jour. C'est la femme de ma vie.
- la tromper, mais "sans me faire prendre" car elle dit qu'elle ne le supporterait pas : elle a peur de la dépression si ce qui s'est passé en début d'année se renouvelait. Or j'ai été élevé dans la haine du mensonge, et donc je le fais très mal. De plus la "relation adultère" n'est pas ma tasse de thé, ça ne m'excite pas, bien au contraire.

La vraie différence entre elle et moi repose dans la jalousie. C'est une notion qui m'est étrangère. Je n'ai JAMAIS souffert que mes partenaires aient d'autres relations (c'est arrivé plus d'une fois). J'en suis même heureux pour elles, et ce depuis que le cas s'est présenté, soit depuis mes 20 ans. On est donc dans un cas de dissymétrie totale, mais ce qui me fait mal c'est de réaliser aussi tardivement à quel point ce sujet peut être une impasse. A 25 ans je sais quelle décision j'aurais prise (la séparation). Aujourd'hui je n'en veux pas. Je me sens prêt à "m'abîmer" dans mon travail, et/ou à lui mentir si j'ai d'autres aventures.

Mais que tout cela me semble misérable, uniquement à cause d'un sentiment précis (la jalousie), qui me fait penser à un poison, moi qui ai la chance pour ma part de toujours voir le bon côté des choses.

Je n'ai même pas d'idée de question à vous poser, tant je me sens "coincé". L'image de l'espadon dans une baignoire d'Alain Souchon me revient obstinément. Je revois ma psy demain, je n'ai pas non plus d'espoir d'entamer un travail productif là-dessus.

Le pire, c'est que je me sens prêt à changer pour elle, alors qu'elle me dit se sentir incapable de changer. D'une certaine manière, ça me choque et j'ai peur de lui en vouloir de plus en plus, jusqu'à atteindre un point de rupture.

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Discussion : [Texte] Polyamour dans Libération du 5 juillet : "Poly, polissons" Par Anne-Claire Genthialon — juill. 2010

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aime_mi_trente

le mardi 06 juillet 2010 à 11h03

Je l'ai lu hier, j'étais un peu mitigé. D'un côté j'étais content de l'existence de l'article (il se peut que j'y sois pour quelque chose ??? :-) ), et de sa longueur plus que correcte pour Libé. De l'autre j'étais déçu de l'impression d'ensemble obtenue au final.

Ce qui m'a un peu choqué c'est la manière de mettre la femme qui se dit "revenue du polyamour" en avant-dernière position. Ca crée une espèce de progression qui met en avant la thèse de l'immaturité, le truc dont on finit par revenir. Globalement, les interviewés sont jeunes, seule Françoise (dans le corps de l'article) donne une vision "mûre" du polyamour. Pour les autres, par exemple, on peut en déduire que c'est incompatible avec les enfants.

C'est assez subtil comment la manière de choisir ses sources et de les trier suffit à orienter un article.

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Discussion : Le nectar des fils de discussion

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aime_mi_trente

le mercredi 09 juin 2010 à 10h53

Je me permets une seconde fois d'être offensif... Dans la musique, l'auto-citation, (ou l'auto-parodie), c'est le début de la décadence... Signe qu'on tourne en rond. On sort des chansons qui reparlent des mêmes histoires, on sort des compilations.

Je ne dis pas que c'est le cas ici, mais je n'ai toujours pas compris quel est l'intérêt REEL de la chose. Mais j'ai l'impression que personne ne l'a vraiment expliqué, vous semblez tous convaincus d'emblée. Donc il doit bien s'en trouver un ou une pour essayer de le faire (au moins) pour moi ! Merci de l'effort !

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Discussion : Le nectar des fils de discussion

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aime_mi_trente

le mardi 08 juin 2010 à 01h41

Je déteste être négatif quand quelqu'un prend une initiative, mais là, il y a quelque chose que je ne comprends pas. Il faudrait m'expliquer la valeur ajoutée d'une telle compilation par rapport à ce site, où on a accès à des fonctions de recherche via google. J'ai sans doute raté quelque chose.

Si le but est de faire une sorte de "best of" des meilleurs fils de discussion, il faudrait peut-être mettre au point un système de notation des "topics", ça aurait l'avantage d'être "vivant".

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Discussion : Chansons pas forcément poly mais parce qu'elles valent le coup

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aime_mi_trente

le samedi 05 juin 2010 à 19h27

La chanson parle en fait de la jalousie mais le titre est joli dans ma propre vision du PA :
"Satellite of love" de Lou Reed

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Discussion : La non-exclusivité dans le couple

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aime_mi_trente

le jeudi 03 juin 2010 à 13h43

titane
Je n'ai pas vraiment d'avis sur la personne qui m'importe peu... mais ce que j'entends m'intéresse et m'aide à aller plus loin dans mon "cheminement" et pas forcément dans "sa" direction, soit dit en passant.

(+) Tout pareil. Quand il s'agit de se stimuler le cortex, mieux vaut un con qui ne pense pas comme moi, qui écrit mal (je parle pas pour Onfray là), voire qui argumente mal, mais qui aide à déclencher une réflexion, qu'un avis consensuel ou trop proche du mien, aussi superbement écrit soit-il.

Pour passer un bon moment avec quelqu'un, là c'est autre chose bien sûr.

• Sur le lien entre philosophie et PA, je plussoie aussi. Je me suis vu chez mon psy, me demandant si je n'étais pas en train de me faire un cours de philo. Mais c'est vrai que sur les principes mêmes du PA, on touche à des valeurs philosophiques (le bonheur, la place des autres, l'épicurisme...) Sans parler du fait qu'on étudie la psychanalyse en philo en terminale.

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Discussion : Recherche films dont "Pourquoi Pas" de Coline Serreau

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aime_mi_trente

le mardi 01 juin 2010 à 00h10

Prenez-le comme une blague, mais j'aimais bien ce titre : "Deux garçons, une fille, trois possibilités"
www.cinemovies.fr/fiche_film.php?IDfilm=4378

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Discussion : Recherche films dont "Pourquoi Pas" de Coline Serreau

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aime_mi_trente

le lundi 31 mai 2010 à 18h59

"Jules et Jim" évidemment

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Discussion : Cultiver son indépendance affective dans une relation fusionnelle

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aime_mi_trente

le dimanche 30 mai 2010 à 17h40

Francoise
à aime mi trente : je ne crois pas avoir écrit qu'il fallait espacer les rencontres au début d'une relation, au c ontraire.

Je m'en veux de mon manque de rigueur, je suis parti de vos propos pour échafauder mon propre raisonnement. Je faisais allusion à votre passage sur la passion (p.110). "La supercherie est d'appeler 'amour' cet état provoqué par un rush hormonal massif [...] Or il est impossible de construire quoi que ce soit quand on passe son temps à se dévorer des yeux."

Je partage votre avis (on l'a tous vécu), d'où mon idée de la jouer "piano moderato" dans cette phase initiale où on a tendance à s'enflammer comme de l'amadou. Comme j'écrivais de mémoire, mon raccourci était trop brutal.

Par ailleurs, merci à insognare d'avoir rappelé que la passion [n']était [qu']un des "7 degrés de l'amour". Celui qui conduisait certains Epicuriens à s'en défier car "les histoires d'A finissent mal en général" (de la célèbre philosophe épicurienne Catherine R.).

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Discussion : Le polyamour est il féministe ?

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aime_mi_trente

le dimanche 30 mai 2010 à 16h49

Titane, je suis évidemment d'accord avec toi. Je ne dis pas que l'écriture de Benoite Groult ne parle pas aux hommes (puisque c'est une de mes héroïnes absolues), juste que CE livre précis ("Les vaisseaux du coeur") parle plus aux femmes qu'aux hommes, au moins quand on n'a pas encore lu de livre où BG évoque sa propre vie. Tant il est vrai que ce livre est écrit à la 1ère personne, même s'il contient une part d'imaginaire et de fantasme (assez peu cela dit quand on a lu "Journal à quatre mains" où elle décrit entre autres ses relations avec les militaires nord-américains basés à Paris à la Libération).

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Discussion : Cultiver son indépendance affective dans une relation fusionnelle

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aime_mi_trente

le dimanche 30 mai 2010 à 16h38

Dit autrement, quel que soit le type de lien qu'on établit, un des aspects essentiels est le choix de l'autre. C'est d'ailleurs ce qui explique mon attirance zéro pour le libertinage polarisé sur le sexe.

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Discussion : Un petit mot sur ma présence ici

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aime_mi_trente

le jeudi 27 mai 2010 à 22h11

Non Eric 49, ce fil était sur MA présence à moi, j'ai juste fait retirer mon ancien pseudo du nom du fil pour des raisons de "privacy".

N'en profite pas pour squatter, petit Bernard L'Hermite malin. ;-)

PS : bon anniversaire quand même :-) :-)

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Discussion : Cultiver son indépendance affective dans une relation fusionnelle

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aime_mi_trente

le jeudi 27 mai 2010 à 22h08

Je viens de recevoir "Aimer plusieurs hommes" (j'avais lu les autres livres de Françoise sur le PA, il me manquait celui-là). Elle évoque l'importance d'espacer les rencontres dans la première phase, celle des 3 premiers mois où on a tendance à foncer à cent à l'heure. Le vrai test est de savoir quelle est l'attirance une fois cette période passée.

(là, je ne me base plus sur le livre) Si on continue à être accro, il faut effectivement se poser la question de l'équilibre du reste de sa vie et de ses centres d'intérêt. Facile à dire, je sais. :-/

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