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Discussion : [Texte] Responsabilité affective : « Tu sais, bébé, mon cœur n’est pas sur liste d’attente », par Solène Hasse (26/11/2011)

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bonheur

le lundi 29 janvier 2018 à 11h26

Merci bidibidi, je n'ai besoin de personne pour agir à ma guise, seulement de moi. Je ne vois pas ce qui dérange, ce coup ci, dans ma façon de rédiger mes messages.

Je ne crois pas que l'auteur est indiqué une quelconque volonté de régir l'énergie d'autrui, juste que si l'autre ne fait pas sa part de chemin, la relation est déséquilibrée.

Je ne sais plus quel auteur que j'ai lu (développement personnel) qui comparait le nous à une écharpe. Le je tiens un bout de l'écharpe et le tu, l'autre bout. Le fait est que l'on doive entretenir son côté, son bout de l'écharpe et pas vouloir tenir ou entretenir le bout de l'autre. Toutefois, l'auteur faisait remarqué que si l'un des deux entretenait trop bien ou pas du tout, l'écharpe n'aurait plus de sens. Encore là, un déséquilibre.

Honnêteté, franchise, sincérité, authenticité, complicité, respect, responsabilité, gratitude, joie... sont des ingrédients non négligeables. Je place la réciprocité au même niveau. Apprenons à ne pas lâcher, ramasser, relâcher, reramasser, son bout d'écharpe (on peut tenir plusieurs écharpes en même temps, notre main est adaptée à cela)

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : Accompagner son conjoint Poly.

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bonheur

le dimanche 28 janvier 2018 à 20h43

Je crois que chacun-e fait ce qu'il peut, surtout en matière de vie amoureuse. Personnellement, je dirai qu'il vienne s'installer avec toi, pourquoi pas... tout en gardant sa possibilité de s'échapper si nécessaire (ou pas, si pas nécessaire). Je veux dire par là, tenter, essayer, tout en gardant l'opportunité de ne pas être dépendant l'un de l'autre.

La souffrance, un sujet récurrent en amour. Tellement récurrent que je conçois que la souffrance fait partie intégrante de l'amour : l'un et l'autre s'accompagne.

Je suis d'accord, l'autruche est un bel animal, mais ne pas désirer voir une réalité est humainement assimilable à "dégoupiller une grenade"... tôt ou tard, ça explose.

Après, comment comprend-il la démarche ? Est-ce un oui ou non définitif de ta part ? Mets le tu au pied du mur ? (ce n'est pas l'impression que j'en ai, mais ai-je compris correctement)

S'il se sent acculé, faire l'autruche permet de continuer une vie sans prise de décision concrète... encore un grenade (à mon sens)

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Discussion : L'embarras du choix

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bonheur

le dimanche 28 janvier 2018 à 19h48

Je peux me trompée, mais je crois que les propos de Merlyn sont : il y a une option différente et elle n'a pas été même abordée. Pourquoi ? Par tabou ?

Je ne pense pas qu'il remette en cause le fait que l'on ne soit pas tous poly et même pas tous en résonance avec cela.

Je crois que j'aurai réagi pareil. Je ne connais pas non plus ce film.

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Discussion : Mixed feelings comme disent les anglais !

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bonheur

le dimanche 28 janvier 2018 à 19h42

:-)

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Discussion : Mixed feelings comme disent les anglais !

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bonheur

le samedi 27 janvier 2018 à 19h16

Hey WARP !

J'ai tout lu et j'ai découvert une autre personne qui met des parenthèses à gogo :-D .

Je ne reviens pas sur ce qui a été dit. Les réponses sont en toi et en te lisant, je crois y avoir trouvé toutes les réponses. Tes réponses (pas celles de ceux-celles que tu aimes)

Sur les émotions, elles sont toutes bonnes. Nous sommes également constitués de cela, un système émotionnel. Le dénie de soi, c'est allé à l'encontre de qui l'on est.

Je le sais, à 20 ans j'ai pris la pire des décisions (enfin pas tant que ça) en faisant un choix amoureux. Le bon, c'est que j'ai fait ma vie avec un homme qui m'aime, me respecte et m'accepte avec ma polyaffectivité (polyamour affectif, sans sexe en dehors de mon couple, dans mon cas très à part) et mon ambi-genre (fille, enfin garçon manqué, comme on disait autrefois) et toutes mes particularités. A 39 ans, mon autre amour d'autrefois, m'a lui mise en situation d'adultère affectif (et adultère sexuel ne l'aurait pas dérangé) après que j'ai refusé sa proposition de divorcer pour (enfin !) être avec lui. Du coup, il en a épousé une autre, sans m'en parler avant (et même un peu après) et surtout sans que madame n'ai vent de ma présence affective. Autrement dit, sa seule façon de me "posséder" était l'adultère, dépité que de mon côté, je l'aime dans la franchise. Inutile de préciser qu'il voulait plus m'avoir que m'aimer, puisque je lui offrais cette opportunité et qu'il l'a saisi différemment. Ma désastreuse décision, ne le fut donc pas tant que ça. Ce qui m'est venu spontanément à 38 ans, après 18 ans de mariage, aimer au pluriel, ne m'était pas venu à 20 ans. Pourquoi ?

Aussi, débuter une vie amoureuse en se renseignant sur les différentes formes amoureuses et en s'écoutant, je dis bravo !

Pour ce qui est du saut en parachute, sans avoir trimé pour le financement, je peux dire que non, nous n'avons pas tous cette sensation que tu décris. Perso, j'ai pris mon pied et je me suis jetée dans le vide avec la plus grande sublimation, délectation, sensation d'ivresse... Peut être pas pour rien que les instructeurs se sont méfiés de ma capacité d'autonomie (à faire la poignée témoin au bon moment) et du coup, 17 sauts en automatique :-/ . A chaque fois, la même non appréhension au moment de sauter (mais je confirme, c'est haut :-D ) et la même sérénité, paix intérieure à voler (au point d'en oublier d'ouvrir le parachute). Ensuite, j'ai continué à prendre mon pied de temps à autre dans les manèges à sensation d'où je descend limite transcendée, quand nombreux sont ceux qui se retiennent de vomir.

Donc, non, nous ne sommes pas tous semblables. C'est pour cela que la communication est indispensable dans le relationnel. Ce texte, tes amours devraient le lire, d'autant que ça les concerne également. Tu appréhendes ces retrouvailles et cette "confrontation" (je ne trouve pas de mots exacts, désolée). C'est normal. Elle sera le point de départ d'une nouvelle période de ta vie.

Je te souhaite que cette "nouvelle vie" est plus de joies que de souffrances. Toutefois, en amour, s'il n'existe pas d'amouromètre, la souffrance est l'indicateur le plus flagrant, car on est largement autant marqué par les blessures que par les joies. Sans vouloir finir sur une touche pessimiste, l'un et l'autre vont de paire, ils sont des composantes de l'amour.

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Discussion : Problème de compersion et arrivée de la jalousie :-(

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le samedi 27 janvier 2018 à 16h20

Camille_B

Oui, il n'y a rien de pire que le mutisme. Qu'il soit brutal, ou plus "dilué". Le mutisme dans une relation est l'un des plus grand facteur d'insécurité.

Je n'utilise pas le terme de "silence", car j'aime bien ce mot ;) Il y a une beauté et un bienfait du silence, savoir ne pas parler quand il le faut ( et sur ce point j'ai du boulot XD ), prendre du temps pour soi etc.

(+)

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Discussion : Problème entre 2 poly et 1 mono

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bonheur

le samedi 27 janvier 2018 à 16h19

Je te souhaite de te reconstruire sans animosité envers les amours plurielles. En te souhaitant un bel avenir, la vie continue !

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Discussion : [Texte] Responsabilité affective : « Tu sais, bébé, mon cœur n’est pas sur liste d’attente », par Solène Hasse (26/11/2011)

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bonheur

le samedi 27 janvier 2018 à 16h15

J'ai pu constater que des personnes vivaient suivant leur émotionnel et d'autres suivant leur raison.

J'ai souvent entendu que l'on ne pouvait pas savoir ce qui nous convenait avant de l'avoir essayé et qu'en plus tout peut nous convenir si on en a envie. Je ne me sens pas en accord avec ça. Surtout si l'expérience en question nous fait du mal ou en fait à autrui. Tenter pour tenter, ça peut être destructeur. Ce n'est pas parce que l'intellect trouve cela génial que l'émotionnel le vivra bien.

Je sais que l'on n'a pas tous la même faculté à se projeter et pas tous la même capacité d'anticipation (je nomme par là le 6ème sens). Toutefois, ça permet d'être pleinement en accord avec soi-même. Il hic avec la perception qu'il y a un beug, c'est qu'on le ressent sans en définir la cause. Alors on ne s'écoute pas et on se jette à l'eau... pas toujours pour notre bien.

Trouver un équilibre entre sa perception, son émotion et la raison est difficile, mais je crois que c'est indispensable pour vivre heureux.

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Discussion : [Texte] Responsabilité affective : « Tu sais, bébé, mon cœur n’est pas sur liste d’attente », par Solène Hasse (26/11/2011)

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le samedi 27 janvier 2018 à 16h05

Camille_B
Le problème de cet article, selon moi, c'est qu'il mélange des problèmes à différents niveaux pour aboutir et justifier une vision qui me semble caricaturale du monde poly et qui s'appuient, en arrière-plan, sur les problèmes personnels ( que je ne méprise pas ) de l'auteure.

Il y a trop de plans imbriqués les uns dans les autres.

Entièrement d'accord. Aussi, ce texte est issu, si j'ai bien compris d'un blog personnel. Il a donc une juste place, je pense.

Oui, ça amènerait à beaucoup de réflexions diverses.

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Discussion : [Texte] Responsabilité affective : « Tu sais, bébé, mon cœur n’est pas sur liste d’attente », par Solène Hasse (26/11/2011)

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le samedi 27 janvier 2018 à 16h02

Concernant le côté, les beaux ont de l'amour et pas les moches, je suis dubitative. Je ne vois pas le rapport entre les deux. C'est sans doute parce que j'attache peu d'importance au physique. Un bel éclat dans un regard ou un beau sourire m'emballent beaucoup plus. Aussi, le rayonnement et ce que la personne dégage.

L'auteur a semble-t-il un différent avec les personnes tatouées, percings, dreads, et c'est curieux, parce que ces personnes sont chouettes (à mon sens) dans leur philosophie de vie. Peut être s'agit-il pour l'auteure d'un aperçu lié à une seule personne ou un petit groupe distinct de personnes. C'est un avis tout personnel.

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le samedi 27 janvier 2018 à 15h52

Ce texte date de 2011. Une année importante pour moi qui vivait en situation de polyamour, sans savoir que ça existait. Cette année là, j'ai mis une soupape à mon vécu. J'ai libéré en apprenant n'être pas seule à avoir des émotions et en même temps des émotions. L'extraterrestre trouvait une planète où l'air devenait respirable, enfin !

Depuis, je suis une autre. La responsabilité j'espère que je l'ai toujours assumée, sauf que j'ignore comment les amoureux avec lesquels j'étais en relation l'ont ressenti. Je suis certainement pas aussi parfaite que cela, mais je souhaite avoir fait et accompli sur ce point.

On m'a parlé il y a quelques jours d'écoute attentive. Ai-je assurée à ce niveau-là ? J'ai fait de mon mieux !

Je crois que l'investissement est là : faire de son mieux, un maximum viable suivant ses capacités personnelles.

Ce que je peux indiquer, c'est qu'il faut décupler l'investissement personnel à chaque relation. Et oui, le facteur temps compte. Aménager sa vie en fonction, j'ai déjà entendu cela, dans le discours de certains poly. C'est ce que j'ai fait également. Je m'accorde du temps pour le côté relationnel, y compris en dehors de mes relations amoureuses ou amicales. J'ai "rétrogradé" dans ma vie professionnelle afin de retrouver un contact humain direct, plutôt que celui d'un bureau avec isolement. Le plus marrant, c'est que j'ai connu ma première situation poly lors d'une formation professionnelle pour devenir "super manager" (hihihi !!!)

Peut on parler d'implication, d'investissements ou tout simplement de vivre suivant ce qui convient personnellement. Après, si on chemine ainsi, et que l'on se retrouve avec une personne, comme c'est de nouveau (épisode 2, que je laisse mourir) le cas face à une personne qui n'est pas dispo en semaine (sauf pour un peu au téléphone le soir, et encore, pas toujours), qui est trop occupée les week-end... ben on se lasse. Il y a en effet une faible réciprocité. Aussi, quand la personne refait surface, évidemment on est heureux de l'attention qu'elle nous porte, mais doit-on accueillir celle-ci, peut-on accueillir celle-ci, sans aigreur ? Etre présent quand ça arrange, ou plutôt quand l'autre soudainement se rappelle que l'on existe ? Personnellement, ça me fait plus de mal qu'autre chose... alors je préfère rien du tout. Non que je cesse d'aimer, ce qui est ancré en moi demeure. Les souvenirs magnifiques aussi. Sauf qu'avoir l'impression d'être un "jouet" ou un "doudou" que l'on oubli au fond d'un placard et que l'on retrouve par hasard, c'est hyper désagréable.

Ca me rappelle un ancien fil de discussion : je t'aime... je te quitte... (qui est le titre d'un livre)

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : Ode à la JOIE

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bonheur

le vendredi 26 janvier 2018 à 15h05

C'était peut être bien cela, en effet !

Un bel exemple de dérision.

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Discussion : Ode à la JOIE

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bonheur

le vendredi 26 janvier 2018 à 07h59

Je ressors cet ancien fil de discussion en plus des trois cité par moi en avril 2015. Ils se complètent.

Rien de neuf dans les notions de responsabilités, de respect, de gratitude et de joie.

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : Amour et Respect

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le vendredi 26 janvier 2018 à 07h58

Je ressors cet ancien fil de discussion

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Discussion : Amour et Gratitude

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le vendredi 26 janvier 2018 à 07h57

Je ressors cet ancien fil de discussion

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Discussion : Amour et Responsabilité

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le vendredi 26 janvier 2018 à 07h56

Je ressors cet ancien fil de discussion

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Discussion : L'individualisme et le polyamour — La mauvaise influence

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bonheur

le jeudi 25 janvier 2018 à 20h41

Certainement. La mienne de "passion" s'arrêtera ici. Je trouve que je l'ai déjà que trop déchainé, alors ça suffit, pour ma part.

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Discussion : L'individualisme et le polyamour — La mauvaise influence

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bonheur

le jeudi 25 janvier 2018 à 14h35

On vit suivant ses prérequis et ce que l'on peut. Non, nous ne sommes pas responsable des émotions d'autrui. Par contre, on peut accompagner autrui s'il vit mal ses émotions. Désolée, mais je ne retrouve pas dans ton article ce que tu exprimes juste ci-dessus.

L'article oppose plus qu'il n'encourage tous les points de vue. Et non, pas de moule, les polys, je dirais naviguent à vue, sans méthode ou schéma type. C'est pour cela également, que je ne comprend pas.

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Discussion : L'individualisme et le polyamour — La mauvaise influence

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bonheur

le jeudi 25 janvier 2018 à 08h23

Un titre comme (par exemple) : "polyamour : deux orientations se dessinent... qu'elles en seront les influences..." seraient beaucoup moins polémique, piquerait plus la curiosité et il n'y a pas de parti pris.

Je ne comprend pourquoi, on affuble souvent ici lorsque l'on donne son avis ou que l'on fasse un constat d'un "ouh ! tu juges !" et que l'on dise, l'article dit ce qui est mauvais ou bon, mais là c'est politiquement correct.

Il faut être cohérent.

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Discussion : L'individualisme et le polyamour — La mauvaise influence

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bonheur

le jeudi 25 janvier 2018 à 07h52

Ca rejoint ce que je dis, il faut avoir des compétences. La polémique n'aide à rien, sinon à la créer :-/ mais bon, si ça doit être l'état d'esprit, encore une fois, pourquoi ? Désolée d'être conne et de ne rien comprendre !

Les articles sont la première visibilité de ce site. On en revient aussi à ce "détail" qui a son importance !

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