Et si on parlait de l'absence...
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ERIC_48
le jeudi 11 mars 2010 à 21h07
Allez, je fais un effort.
Moi je pense que l'amoureux ambivalent est amoureux du type évitant, avec plein de souffrances livrées avec dans le même colis.
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Drya
le jeudi 11 mars 2010 à 21h26
Je vois très bien: il va voir ailleurs par dépit piske son ours ne veut pas se rendre disponible...
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Amande
le jeudi 11 mars 2010 à 21h36
Possible Drya , mais surtout il est malheureux parce qu'il a l'impression de ne pas être aimé alors que son amoureux est du type évitant ce qui ne veut pas dire qu'il ne l'aime pas.
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Amande
le jeudi 11 mars 2010 à 21h39
Je mets tout au masculin pour simplifier mais bien sur le féminin ou le mélange des genres est admis.
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Amande
le vendredi 12 mars 2010 à 11h57
La seule solution c'est de gérer l'absence due au caractère évitant de votre amoureux tout en restant certaine de son amour.
Pour moi , c'est de convenir à chaque rencontre d'un prochain rendez-vous , Le fait de savoir que je vais le revoir à telle date m'aide .
Et puis d'avoir un autre amoureux que je chérie tout autand et qui est plus présent.
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lam
le vendredi 12 mars 2010 à 17h19
Siestacorta
Junon, si tu connais un truc pour détecter les femmes qui aiment les ours, tu dis, hein.
(Si Junon avait sa Biopic, ce serait donc "danse avec les ours")
Junon
Un truc ? Il me semble qu'en général , elles n'ont trop de relations maternantes ou soignantes avec les autres. A part ça....
(Huhuhu, danse avec les ours, j'adore ! Call me la Zingara des Vosges)
Tu voulais dire "elles ont trop de relations soignantes" Junon? Dans ce cas je pense comme toi (j'ai le chic pour trouver des ours aussi) et j'ajouterai en plus du coté soignant-maternant, des femmes qui aiment aussi le défi et le challenge... Qui ont tendance à se mettre la barre haut - parfois trop. Enfin, là, je parle pour moi.
Perso je me demande si ca ne vient pas d'une partie de mon égo qui me pousse à vouloir changer les autres, relever le défi.
Un ours m'attire toujours plus que quelqu'un qui fait du rentre dedans: là je me dis "même pas marrant"...
Bref, comme dit Amande, les mécanismes à l'œuvre ne dépendent pas du genre, mais dans tout ça je ne sais pas vraiment me situer entre ambivalent et évitant, j'ai l'impression d'avoir des facettes des deux
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Junon
le vendredi 12 mars 2010 à 17h34
En fait, j'ai oublié le "pas" de ma phrase soit "elles n'ont pas trop de relations maternantes ou soignantes avec les autres".
Je trouve que les polyamoureuses sont plutôt des femmes affranchies, qui recherchent une relation d'égal à égal avec les autres et pas de dépendance.
mais je te rejoins sur l'aspect "elles aiment le défi" :-D
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Romy
le vendredi 12 mars 2010 à 17h39
La femme qui s'identifie au syndrôme de l'infirmière ne m'apparait pas comme une femme dépendante opposé à affranchie. Plutôt, elle aime que son assisté (comme dit Siesta) soit dépendant d'elle. Elle aime que l'autre ait besoin d'elle, elle aime lui apporter des bienfaits, sentir qu'elle lui fait du bien et le rend heureux. Plus le type est malheureux, plus il y a du défi. J'en soupçone certains de jouer le jeu. :-)
Message modifié par son auteur il y a 16 ans.