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Paris (France)

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Discussion : [Site] OkCupid : qu'en pensez-vous ?

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bidibidibidi

le mardi 07 mai 2019 à 13h08

En fait, c'est plus simple que ça. Pour lutter contre le spam des femmes, il faut augmenter le nombre de match (vu que spam = 1 / nombre de match). Pour augmenter le nombre de match, il faut éliminer toutes les personnes qui ne rentrent pas dans les recherches (trop petit, trop vieux, trop ceci, trop cela) ou qui ont des recherches trop spécifiques. Donc, favoriser les personnes "vendables" qui ont des recherches classiques. On va clairement vers un truc de plus en plus crade où les sites de rencontre vont déterminer eux-même qui tu es censé rencontrer et si tu refuses, tu es invisibilisé (bannis, mais sans le dire).

Par exemple, j'ai vu que sur OkCupid, tu es invisibilisé si tu es trop petit. C'est vicieux, parce qu'ils ne le disent pas, mais c'est ainsi.

Message modifié par son auteur il y a 6 ans.

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Discussion : [Site] OkCupid : qu'en pensez-vous ?

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bidibidibidi

le mardi 07 mai 2019 à 12h41

pkd
Euh, moi j'avais a une époque un profil Tinder avec Polyamoureux écrit en clair. J'ai pas été éliminé par l'application.
Et au final pas beaucoup moins de matchs utiles qu'en ne le spécifiant pas en clair.

J'ai pour ma part "épuisé le réservoir de femmes vivant à moins de 30km de Paris" en 3 jours. L'application m'a éliminé car je n'avais pas assez de matchs :-)
Et je serai pas étonné de tomber sur la même chose pour OkCupid. J'ai regardé leur nouveau système de message, et ça génère le même effet : Les personnes qui ont des critères de recherche qui sortent un peu trop des rails sont invisibilisés. Les sites de rencontre généralistes deviennent de plus en plus stigmatisants...

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Discussion : [Site] OkCupid : qu'en pensez-vous ?

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bidibidibidi

le mardi 07 mai 2019 à 10h23

Faudrait que je reteste avec leur dernier changement pour éviter le spam. Mais j'ai la sensation que ça va faire comme Tinder, sur lequel toute recherche qui ne rentre pas dans le sacro saint idéal du couple est juste éliminée par l'application parce que n'amenant pas un taux de match suffisamment élevé.

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Discussion : [Site] Poly Match Maker (polymatchmaker.com) site de rencontres poly (en anglais)

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bidibidibidi

le lundi 06 mai 2019 à 17h44

Je trouve ça aussi hyper bizarre :
La présence de peu de genres par rapport aux orientations sexuelles (PS : Celibate veut dire chaste).
Le statut relationnel pour un poly, c'est quand même carrément hallucinant, poly est un statut relationnel...
Le seeking avec les cases célibataires, pour des polys ? Poly est un statut relationnel !
Le "relationship dynamic" qui ne veut rien dire... On a l'impression que c'est ce qu'on veut créer : Un couple, une triade, un groupe (??) ou un réseau (??).

Je suis pas sûr que ça ait été fait par un poly.

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Discussion : Jeune femme de 24 ans. Polysexualité

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bidibidibidi

le lundi 06 mai 2019 à 17h08

PolyMel
Peut être parce que je ne considère aucun sentiment comme réellement négatif mais comme faisant partit d’un tout qui nous imbrique dans un ensemble.

Tu m'as mal compris. Je parle de sensation négative. Je pense que personne n'aime être jaloux, c'est désagréable. Mais ton message parle d'une forte imbrication entre jalousie et attachement.

Tu dis : La jalousie m'a toujours prouvé que j'avais de l'attachement pour la personne. Normalement, on a pas besoin de la jalousie pour savoir si on est attaché à quelqu'un.
Et aussi : Le jour où je n’en avais plus c’etait next. Donc on sent bien à ta phrase que ta jalousie te permet de mesurer ton attachement.

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Discussion : Lexique

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bidibidibidi

le lundi 06 mai 2019 à 13h45

Je suis pas certain qu'il y ait besoin de mettre le vocabulaire BDSM dans un lexique poly. Les deux ne sont pas liés directement. Et le BDSM ne se penche absolument pas sur la structure des relations, il n'est pas plus compatible avec le poly qu'avec le mono. Pour moi, ce serait étrange, voir déplacé.

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Discussion : [Podcast] Amours Plurielles

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bidibidibidi

le lundi 06 mai 2019 à 10h47

Caoline
Il me semble que les 2 sont ok, c’est un titre pas une phrase tel qu'il est écrit ça sous-entend "on peut être maman et non-exclusive"

Ha oui. Etrangement, je l'avais pas lu dans le premier sens. Mais je crois que j'ai du mal à utiliser le mot "maman" avec des adultes, j'aurais dit "Mère et non exclusive". C'est un mot enfantin, donc en lisant "Maman et non exclusive", j'avais la sensation qu'elle parlait à ses enfants :-)

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Discussion : Relation en V à distance et NRE

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bidibidibidi

le lundi 06 mai 2019 à 10h45

Ton message me donne envie de dire plein de choses :
- Tes relations sont différentes et ne doivent pas être liées par des histoires de pseudo-hiérarchie. Tu as le droit de plus penser à ta seconde relation qu'à ta première, ça n'invalide pas tes sentiments pour la première, et ça peut changer avec le temps, s'inverser par exemple. Je te conseillerai d'arrêter de lier les deux par la pensée, tu mélanges des choses qui doivent rester séparées.
- Il est normal d'avoir des hauts et des bas dans les relations. Tu as un bas avec la première alors que tu as un haut avec la seconde. Ca arrive, et il n'est même pas dit qu'il y ait un lien entre les deux.
- L'amour est un sentiment composite. C'est un mélange d'émotions primaires. Ton amour pour ta première relation peut se révéler dans des moments que ta situation actuelle ne permet pas de recréer.
- Tu ne dois pas influencer tes sentiments par la pensée. Laisse les vivre. Si tu ne dois plus aimer ta première relation, autant que tu fasses ça bien plutôt que de te forcer à avoir pour elle des pensées qui te rassurent sur tes sentiments à son encontre alors que ceux-ci disparaissent. Laisser tes sentiments vivre te permettra aussi d'être plus juste si vous devez vous séparer.
- Parler. J'ai l'impression que tu l'as fait, déjà. Mais il faut lui dire. Elle le sent, et ne doit pas en être hyper heureuse. Donc parle lui, explique lui que la distance nuit à votre relation, que tu as du mal à la sentir (loin des yeux loin du coeur) et qu'il te faudra certainement du temps pour te retrouver avec elle quand tu rentreras.

Voila, dans le désordre :-)

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Discussion : Jeune femme de 24 ans. Polysexualité

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bidibidibidi

le lundi 06 mai 2019 à 10h09

PolyMel
Mais en ce sens il est jaloux de quoi alors ?

Il n'existe pas une seule forme de jalousie. J'aime beaucoup cet article d'Hypatia que je donne souvent : https://hypatiafromspace.com/la-jalousie-vue-comme...
Donc il est jaloux d'autre chose.

PolyMel
moi personnellement la jalousie m’a toujours prouvé que j’avais de l’attachement toujours présent pour la personne...

Je trouve cette phrase dérangeante. Parce que tu lies une sensation négative (la jalousie) avec quelque chose de très positif (l'attachement). Pourquoi ne pas vivre l'attachement sans douleur ?

PolyMel
le jour où je n’en avais plus c’etait next..

Et là, c'est carrément super violent. Il faut donc que ton partenaire évite de te mettre trop en confiance, sinon next...

Ma réaction et lecture sont peut-être un peu extrêmes, mais je trouve un côté sadomasochiste dans ton lien d'attachement.

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Discussion : Libertinage depuis 20 ans et jalousie aujourdhui...

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bidibidibidi

le samedi 04 mai 2019 à 09h12

Je ne pense pas que ce que tu vis soit aberrant, par contre, je pense que tu en as une mauvaise lecture.
Ta jalousie te parle d'un manque : Manque de vie de famille, manque de lui, manque de sécurité. Devenir monogame, c'est trancher le noeud gordien : Plutôt que de travailler à comprendre tes manques, à les exprimer et à les combler proprement, tu choisis la solution extrême qui te permet à toi de satisfaire ce dont tu as besoin sans que lui n'ait son mot à dire.

Je pense qu'il faut que tu lui parles de tes manques. Peut-être sont ils là depuis longtemps mais que l'accumulation progressive atteint un niveau critique. Ou peut-être arrives-tu à une nouvelle phase dans ta vie. Peut-être, aussi, a-t-il changé de comportement envers toi, imperceptiblement au fil des années, au point de ne plus satisfaire ce qu'avant il satisfaisait.

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Discussion : Le "polyamour" n'est-il pas en fin de compte une escroquerie intellectuelle?

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bidibidibidi

le samedi 04 mai 2019 à 09h06

alinea7
Je trouve ça triste j'espérais avoir une dimension de vie et au moins une personne avec qui il n'y aurait pas de conflit et uniquement la recherche bienveillante d'un mieux commun (dans le sens, pas au détriment l'un de l'autre).

Pour moi, ça, c'est un peu le fantasme de la mère et l'enfant. Le problème, c'est que l'un est inféodé à l'autre (la mère à l'enfant). Sans relation de domination, ça n'est pas vraiment possible. Tu ne rencontreras jamais personne qui, à tout moment, est exactement dans le même état d'esprit que toi et souhaite les mêmes choses que toi.
La recherche bienveillante d'un mieux commun passe par l'acceptation de l'altérité. Si tu n'admets pas que l'autre est différent de toi, tu rentres dans une relation de contrôle. C'est certainement ça le plus dur, accepter les différences de l'autre, toutes ses différences.

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Discussion : [Podcast] Amours Plurielles

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bidibidibidi

le vendredi 03 mai 2019 à 16h12

Maman et non exclusive ? Ou maman est non exclusive ?

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Discussion : Lexique

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bidibidibidi

le vendredi 03 mai 2019 à 16h04

Caoline
La non-exclusivité ce n'est pas forcément sexuel, si ?

Normalement non. On peut dissocier non-exclusivité sexuelle et non-exclusivité sentimentale.
Mais je pense que dans la bouche de beaucoup de gens, c'est la non-exclusivité sexuelle qui arrive en premier (les gens ne comprennent en général pas le concept de sentiments sans sexe).

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Discussion : La monogamie ne marche pas

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bidibidibidi

le vendredi 03 mai 2019 à 13h46

Caoline
Une précision @bidibidibidi je ne sais pas si tes articles généralisent ou si ils parlent de majorités et que tu généralises mais je t'assure que épanouissement sexuel ce n'est pas forcément uniquement les premières années, c'est plutôt quelque chose de très fluctuant en fonction de plusieurs choses. Pour nous pour l'instant les meilleurs années ont été entre 18 et 25 ans.

Plusieurs choses :
- Il n'existe pas d'indicateur précis de satisfaction sexuelle. Certaines études se fixent sur le nombre de rapports, d'autres sur la satisfaction rapportée par les partenaires, rien de fondamentalement scientifique. Surtout que, comme le signale Bonheur, moins de rapport peut amener à plus de satisfaction sexuelle pour certaines personnes.
- Comme dans tous domaines, il existe des exceptions. Mais en général, c'est ce qu'on lit partout, aussi bien scientifiquement (autant que faire se peut) que dans la culture populaire.
- Je parle des relations monogames. Vous ne l'étiez plus je suppose à cette période.

Caoline
La question que je peux me poser c'est est-ce que le fait d'être devenus ou plutôt d'avoir vécu concrètement le fait d'être poly permet à mon couple historique de perdurer ? Je n'en suis pas sûre du tout car je ne sais pas si j'aurais mis fin à cette relation si mon compagnon n'avait pas bien vécu que j'en ai d'autres, peut-être me serais-je résignée à rester exclusive physiquement. Mais ce dont je suis certaine c'est que ça me permet d'être plus épanouie, plus heureuse et par compersion lui aussi.

Clairement. Dire que la monogamie ne "marche pas", ça ne veut pas dire que le polyamour marche.
Et si tu es plus épanouie, plus heureuse et lui aussi, c'est fort possible que ça ait eu un impact positif sur la survie de ton couple. Ce ne fut dans tous les cas pas négatif.

Message modifié par son auteur il y a 6 ans.

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Discussion : Jeune femme de 24 ans. Polysexualité

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bidibidibidi

le vendredi 03 mai 2019 à 11h57

Gloriette
Je me suis toujours dit que j’étais horrible parce que je pouvais avoir envie physiquement d’autre personne que mon amoureux alors que tout se passait bien, autant sur’ le plan sentimental que sexuel avec l’homme avec qui j’étais en couple.

Je réagis surtout sur cette phrase là, personnellement.
Pourquoi serais-tu horrible ? Te sens-tu "horrible" parce que tu veux manger la dernière part de gâteau ? Te sens-tu horrible parce que tu réalises que tu as oublié un article au fond de ton panier et ne l'a donc pas payé ? Te sens-tu horrible parce que tu aimerais vraiment que ton patron soit malade pendant deux mois histoire d'avoir un peu la paix ?
Tu n'es pas horrible, tu as des pulsions, des désirs, des envies, comme tout un chacun. Pour moi, la première chose à faire, c'est de réaliser que tes pulsions ne disent rien sur ton éthique. D'ailleurs, la preuve, tu as résisté les deux fois, donc tu n'es pas horrible, tu es héroïque.

La sexualité se heurte souvent à la morale à un moment, que ce soit dans le pluripartenariat, dans les pratiques, dans la fréquence, on est presque tous "horribles" quand ça parle de sexe.
Il faut donc que tu décides ce que tu veux vivre et comment, et ce, indépendamment de la norme et des choix des autres. Si ne pas vivre ta sexualité te frustre au point de pourrir tes relations, alors, clairement, la vivre est la seule manière de les faire durer. A toi de faire comprendre à ton aimé que c'est quelque chose de personnel, pas quelque chose en rapport avec lui.

Quant au fait que tu sois toi-même jalouse, c'est un autre sujet, et une autre discussion. Si ton copain n'a pas envie d'autres femmes, ta jalousie n'est pas un souci. Ouvrir ta sexualité risque d'être une négociation, et les demandes de ton copain peuvent n'avoir aucun rapport avec le sexe. Dans tous les cas, le plus important est d'ouvrir le canal de communication. Beaucoup de couples ne communiquent pas assez, tu risques de découvrir que lui aussi a beaucoup de choses à te dire.

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Discussion : La monogamie ne marche pas

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bidibidibidi

le vendredi 03 mai 2019 à 09h54

Lenah
Je trouve ta définition de la monogamie très étriquée bidibidibidi, ça doit être rassurant de proposer une définition tellement négative du système qu'on rejette que seul le système qu' on a choisi fonctionne. ;)

J'ai pas eu le temps de répondre, ayant eu beaucoup de choses sur le dos ces derniers jours, mais je le fais maintenant.
Alors, déjà, je ne sais pas ce que tu appelles ma définition de la monogamie. Pour moi, c'est le fait d'être exclusif sentimentalement et sexuellement. La relation que tu décrivais (40 ans de couple avec des accrocs assumés et acceptés) touchait au polyamour, vu qu'il y avait non exclusivité consentie. Mais ce n'est effectivement pas ce que tu vis, si j'en crois ta description.

En fait, ce qui m'a fait prendre tant de temps à répondre, c'est que je n'ai pas envie de jouer l'oiseau de mauvaise augure. Fondamentalement, je te souhaite le meilleur dans ta relation.

Quand on discute de la monogamie, les gens sont assez réalistes quant aux divorces, aux tromperies, à la baisse de l'intensité sexuelle. Mais... "ça n'arrive qu'aux autres". Et je pense que c'est du à la nature des relations monogames : Comme les bonbons au poivre, on commence par le sucre. On ne peut juger de ce que nous a apporté une relation qu'une fois qu'elle est terminée, quelque part. Et souvent, à ce stade là, le bilan est loin d'être glorieux.

La monogamie ne marche pas. Effectivement, il faut préciser en quoi.
Sexuellement, que ce soit 2, 3 ou 5 ans suivant les articles, la monogamie se termine par l'abstinence. Donc si la sexualité est importante pour une personne, la monogamie ne la comblera pas dans ce domaine.
Au niveau des projets, enfants entre autre, la monogamie permet d'en faire, mais la probabilité de les éduquer ensemble est assez faible. 60% de divorces en ville, c'est la loterie. Là encore, on pourrait faire un constat d'échec.
Au niveau de la confiance en soi et en l'autre, on est à 30% d'infidélité environ, là encore les chances de morfler sont non négligeables.
Donc, si on a une âme de joueur, on peut tenter de passer entre les gouttes (tant qu'on espère pas s'éclater au lit). Dans les autres cas, on remet en cause le système, et on se demande ce qu'on peut y améliorer.
Voila.

Sinon, je ne pense pas que la "monogamie ne marche pas". Je suis plus cynique que ça, je me demande si ce ne sont pas les relations sentimentales qui ne marchent pas. Donc, je continue mon petit bonhomme de chemin en espérant un jour pouvoir apporter une réponse à cette question :-)

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Discussion : [Lexique] polyacceptant·e (ou poly-acceptant·e) poly-compatible — pertinence et définition —

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bidibidibidi

le mercredi 01 mai 2019 à 20h31

Je trouve, personnellement, le terme très juste. Dans polyacceptant, il y a la notion de processus (une acceptation, c'est un processus), contrairement à polycompatible, qui donne l'impression qu'on naît ainsi. Je pense que la polyacceptance se crée en général. Il y a, il est vrai, le sens de se soumettre, qui est pour moi assez vrai : Dans une société monogame, une personne monoamoureuse a vraiment la possibilité de vivre ses relations sans être polyacceptante. Donc, quelque part, en étant polyacceptante, la personne monoamoureuse se soumet à une contrainte, celle d'accepter le côté poly de son partenaire. Donc, j'avoue, j'aime bien le terme.

Et, aussi, je pense qu'il faudrait plus parler de la polyacceptation. On est quasi obligé de compter sur la polyacceptation pour être poly : La communauté poly est trop petite pour se suffire à elle-même. Il faudrait des discussions sur la polyacceptation, comment la mener à bien, les différentes choses qui aident. C'est vrai que les sujets "appel au secours" contiennent plein d'info dessus, mais je voulais insister sur son importance.

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Discussion : Reconnaissance du polyamour dans la société ?

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bidibidibidi

le mardi 30 avril 2019 à 14h18

J'ai du le rajouter a mon dictionnaire sur mon portable pour qu'il arrête de le considérer comme une faute. Mais c'est même pas du niveau d'acceptation de la société là, c'est carrément son existence qui est remise en cause si ça n'existe pas dans le dico.

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Discussion : Le "polyamour" n'est-il pas en fin de compte une escroquerie intellectuelle?

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bidibidibidi

le jeudi 25 avril 2019 à 19h11

Être exclusif, c'est dire : Je ne peux aimer qu'une personne en même temps.
Être possessif c'est dire : Je ne peux supporter qu'une personne que j'aime en aime une autre que moi.

Si on lit le texte de Laancelot, il est centré sur le fait qu'il ne supporte pas que sa partenaire ait quelqu'un d'autre dans sa vie. A aucun moment il ne signale que ça lui serait impossible à lui d'aimer quelqu'un d'autre.

Si je devais réécrire son texte pour le centrer sur l'exclusivité, ça donnerait :
"Mais sérieusement, qui peut prétendre en conscience que lorsqu'on aime et désire profondément une personne on est capable d'accepter dans son coeur et dans ses tripes une autre personne avec qui on aille en we, qu'on embrasse, lèche, caresse, pénètre, et pour qui on éprouve des émotions et des sentiments d'amour en toute sérénité?
Foutaise intégrale, mensonge personnel et habillage intellectuel.
Quand on aime et désire profondément, on est naturellement exclusif.
All the rest is total bullshit. :-)"

Donc une personne possessive mais non exclusive suivrait la règle du one-penis, par exemple. Une personne polyacceptante, quant à elle, est exclusive mais non possessive.

Message modifié par son auteur il y a 6 ans.

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Discussion : Le "polyamour" n'est-il pas en fin de compte une escroquerie intellectuelle?

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bidibidibidi

le jeudi 25 avril 2019 à 17h52

artichaut
— J'aurais juste volontiers changé le "alors qu'il pense" en "alors qu'il pourrait dire" (pour ne pas parler à la place de @Laancelot, de ce qu'il pense).

Tout ce qu'il décrit avant cette phrase, c'est de la possessivité, pas de l'exclusivité. Donc, je pense qu'il confond les deux concepts, mais il parle clairement de possessivité et pas d'exclusivité (l'exclusivité serait centrée sur lui et pas sur les agissements de la personne aimée).

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