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Discussion : [Livre] élaboration d'une Bibliographie, commentée, sur le polyamour

bonheur
le vendredi 19 février 2021 à 12h08
Mathieu
Bonjour,
Il y a également :
- Osez le polyamour, Eve de Candaulie, La Musardine 2020
Ce livre est très bien. Simple, concis. Je le recommande.
Discussion : Ma femme est-elle ce qu'on appelle une polyamoureuse ?

bonheur
le vendredi 19 février 2021 à 12h06
Bonjour @Brigflo,
Je partage avec toi le goût d'aller chercher mes réponses ou l'exploration de mes questionnements dans les livres. Aussi, voici un lien qui peut t'intéresser :
Discussion : Café poly à lyon.
Discussion : Café poly à lyon.

bonheur
le jeudi 18 février 2021 à 18h57
Si tu pleures de joie, alors tant mieux. On s'y retrouvera certainement.
Discussion : Café poly à lyon.

bonheur
le mardi 16 février 2021 à 20h21
Bonjour Barbu,
/discussion/-crk-/Serveur-discord-Terra-Polyamora/
Les cafés poly du groupe discord sont en distanciel par visio. Le dernier a eu lieu mardi de la dernière semaine.
Discussion : [Lexique] Le polyamour tribal

bonheur
le mardi 16 février 2021 à 10h52
Le hic, n'est pas le lien, mais ce que l'on en fait. Les "femmes au foyer" se sont retrouvées emprisonnées dans leur rôle. Un jour les enfants sont partis et il ne reste que le noyau dur, à savoir le père qui travaille tout le temps pour ramener encore plus d'argent. Et ce dernier est en retraite et devient l'être qui attend tout de l'autre...
Je suppose que tout lien est à considérer comme de l'équilibre (c'est un questionnement). Quand on est trop dans le fait que l'équilibre dépend d'autrui, on se perd. Quand on est trop dans l'opportunité d'offrir, on se perd. Il faut un juste équilibre.
Le lieu d'accueil sûr dépend des personnes, de leur philosophie. Je suis heureuse que tu construises du beau. Je n'aurai pu en 2015 (séjour d'une semaine que je qualifierai de compliqué) m'intégrer à cette construction. Cela tient plus à moi.
Discussion : [Lexique] Le polyamour tribal

bonheur
le lundi 15 février 2021 à 10h11
Le travail non rémunéré est par essence une relation de dépendance à celui ou ceux qui ont une rémunération. La société a plus d'intérêts à rémunérer une personne productive à l'économie plutôt qu'une personne qui fait les courses, la cuisine et le ménage pour un tout tout petit groupe d'individus. Ou alors, il faut que ceux qui bénéficient de ces services, rémunère la personne qui offre ces services. C'était répandu autrefois avec les gouvernant-e-s et le personnel de maison. Si j'en crois l'expérience de mes parents, le résultat est désastreux.
Une crise, par nature, transforme. Alors, oui, on ne connait pas l'avenir et cela rend anxiogène. Il ne faut toutefois pas penser que toutes les portes se ferment obligatoirement. Et surtout, la réaction est mauvaise, au sein des entreprises et structures professionnelles, de ne pas vouloir évoluer. La crainte et l'attentisme mettent nombre de personnes sur la touche. Ces personnes, il faudra les prendre en charge financièrement d'une autre façon et qui paiera... les entreprises et les structures professionnelles. Et comme on vit justement dans un système (en France en tout cas) de redistribution, et bien tout le monde devra financer ces personnes.
Au lieu justement de miser sur l'avenir, en conservant les alternants, les apprentis... je m'aperçois que l'on ferme des portes qui étaient ouvertes précédemment. Or, ce sont ces personnes, l'avenir. C'est le serpent qui se mord la queue.
Concernant les émotions, je serai toujours favorable à l'expression de celle-ci et les projets doivent s'adapter. Personnellement, mes projets sont liés à qui je suis et je suis bourrée d'émotionnel.
Le hic avec les projets, c'est qu'ils ne reposent que sur de l'imaginaire. Alors, un projet trop bien ficelé sera un paquebot difficilement manœuvrable et adaptable. Après, je comprends les objectifs, ce vers quoi on désire aller. Si l'on n'arrive pas suivant la façon prévue, on arrive différemment. Et si l'objectif tombe à l'eau, et bien un nouveau se profil à l'horizon.
Je reconnais ne pas pouvoir me reconnaitre dans une communauté. Au fond, la seule personne qui vit dans la mienne sur la durée est mon chéri de vie. En revanche, j'intègre aisément les personnes extérieures à ma vie quotidienne, sans vivre sous le même toit. Je suppose que c'est une différence majeur entre nous, kill.
Voici ma pensée actuelle et elle n'est évidemment que mienne.
Discussion : [Lexique] Le polyamour tribal

bonheur
le dimanche 14 février 2021 à 10h48
Je ne sais pas si on peut généraliser, en pensant la famille ou les amours, les métamours... Je suppose qu'il est question ici de vie en communauté (?)
De mon côté, je ne peux concevoir de penser amant ou maîtresse. Mais ça, c'est inhérent au fait que je ne supporte pas les cachoteries.
Je suppose que les Etats sont maladroits et surtout tributaires d'une législation qui, au lieu de s'adapter, s'alourdie en continuant à reposer sur de l'ancien.
Le monde du travail ? Tant que les nouveautés (loi pacte en France ; RSE...) resteront au fond d'un placard, ce sera peine perdue. L'école est un système qui offre des connaissances et seul l'Etat qui la dirige peut agir. En France les repas à 1€ pour les étudiants (par exemple).
Mon amour est étudiant étranger et, avec mon chéri de vie, nous lui proposons depuis des mois de venir vivre à la maison, s'il se retrouve en précarité. Hors de question qu'il soit à la rue ou ne puisse manger. Il devait à la base toucher le salaire d'une alternance... sauf que pas d'entreprise pour l'accueillir. Il a un toit, est au chaud et ne se plaint pas. L'école a reconsidéré la validation de son année sans stage alors que celui-ci était obligatoire. Une étudiante de sa cession a perdu son alternance, alors il raconte combien c'est difficile.
Nous sommes à distance, alors je téléphone -hier encore-. Je lui ai fait parvenir des masques et du gel, des livres aussi. Il s'est entouré et a tissé sur place un petit réseau sur lequel il s'appuie. J'en suis heureuse. Des personnes qui le booste et le positive :-D . C'est essentiel !
Les crises liées aux émotions seront éternelles. Se serrer les coudes ne les empêchera pas. Période difficile ou non, il faut traverser les tempêtes et quand on est dans le même bateau, c'est bien quand tout le monde reste dans le bateau, hors de la noyade. Il y a de nombreuses façons d'être présent et d'offrir un soutien.
Le constat sur la famille. Je le fais également. Décomposition et recomposition ne sont pas des catastrophes. C'est la façon dont c'est vécu qui le sont.
En revanche, s'occuper de la maison puisque l'on ne ramène pas d'argent, je ne suis pas vraiment en accord. Si on le choisi, alors c'est idéal. Toutefois, cela impose à revenir au vieux schéma de la "femme au foyer" qui ne fait rien d'autre qu'être au service des autres membres. Surtout, cette personne (homme ou femme) est dépendante, puisque sans revenu propre. Là je m'interroge sur le bienfait ou non de cette décision. Je crois que ponctuellement ce serait bien. Sur le long terme, les effets peuvent être pervers.
Contribuer est indispensable. Ca oui. Quelque soit la manière. La volonté et le choix de la manière est primordiale.
Pour ce qui est de la violence, je n'ai rien à ajouter.
Discussion : Déséquilibre de libido

bonheur
le mercredi 10 février 2021 à 14h58
Bonjour Sam_quarantaine et Dubal22,
Je suis une femme et polyaffective. Je suis ce que je nomme une bioromantique (bio = vie). L'émotion amoureuse, devient rapidement sentiment et me rend vivante.
Question libido, je suis en plein vide (52 ans ménopause). Mon chéri de vie n'est pas poly, par choix. Du coup, on fait avec. Pour rejoindre Dubal22, nous sommes en revanche dans la volonté de découvrir l'autre avec ce qui constitut son entièreté. Sincérité, honnêteté, franchise, transparence sur l'émotionnel (s'il vivait une sexualité en dehors de nous, les détails me laisseraient indifférentes). Autrement dit, s'il vit une expérience, s'il a des ressentis amoureux, je désire savoir.
Ce que je peux indiquer, de ce que je lis ici de plus en plus souvent, ce sont des témoignages de couples désireux de devenir libre ou de s'ouvrir et qui au final le vivent mal (soit les deux, soit un des deux). Et puis, si l'autre ne veut rien savoir, seul celui qui agit avec sa conscience et ses possibilités individuelles. Du coup, quel est le questionnement ?
Discussion : Retour d'un vieux crush...

bonheur
le mardi 09 février 2021 à 19h34
Bonjour Nibépa :-) ,
Ce que l'on garde en soi d'une relation est l'essentiel. Les souvenirs, la nostalgie transportent. Je fais partie des sentimentales qui ne nient pas les instants de bonheur (d'où mon pseudo). Au contraire, je les valorise.
Je t'invite à lire vos discussion, à cette ex et toi. Tu imagines que tu es ta compagne, que tu connais très bien, même si on ne connait jamais vraiment quelqu'un, en lisant. Tu te "transposes" à sa place et étudies tes réactions. A quels moments tu penses être en "infraction" ? Je t'invite à étudier ces points précis, car s'il y en a, ce sont ceux-là qui te retiennent d'exprimer. Je suppose que tu comprends où je veux en venir...
Discussion : Poly consentant ou Poly subit, comment supporter la situation ?

bonheur
le mardi 26 janvier 2021 à 19h19
Bonjour Rdaneel,
Je me permets de te proposer deux livres de Thomas d'Ansembourg : "cessez d'être gentil, soyez vrai" et "être heureux, ce n'est pas nécessairement confortable".
Cet auteur aborde de nombreux sujets qui peuvent t'intéresser.
La résilience est un atout essentiel, qu'il faut accueillir en soi. Parfois, ce que l'on subit devient un quotidien heureux. Cela arrive.
Prend autant soin de toi que tu prends soin d'elle, et inversement !
Beau chemin de vie.
Discussion : Dire vouloir une relation sérieuse sans même l'avoir définie - questionnement

bonheur
le samedi 23 janvier 2021 à 17h40
Amusant que je tombe sur un passage évoquant la question. Page 137-138 du petit livre "Osez... le polyamour" d'Eve de Candaulie [90782364 904798]. Bonne lecture !
@louluna. Puisque les définitions sont importantes. Connaître ? Je côtoie dans le réel nombre de personnes, et je ne les connais pas. Rien de profond, rien d'authentique, rien de sincère, rien d'intérieur... Et pourtant, ces personnes font partie de mon quotidien, de mon "réel". Et pour rester dans le registre du vocabulaire : qu'est-ce qu'une relation ? qu'est-ce qu'une "rencontre" ? Le "réel" et le "virtuel"... Sauf que là, pour le coup, je sors du sujet de discussion initial. Et ma perception de ma considération m'est essentielle, juste à moi. Je ne demande à personne de comprendre, ou même d'essayer.
Discussion : Dire vouloir une relation sérieuse sans même l'avoir définie - questionnement

bonheur
le vendredi 22 janvier 2021 à 19h10
@Arizonathe. Je crois que "ce qui coule sous le sens" pour quelqu'un est étranger à quelqu'un d'autre.
Certes quelques mois, c'est peu. Pour moi quelques mois c'est déjà beaucoup. Si par sérieux on entend intéressante, alors peut-être que l'intérêt s'est envolé, s'est dilué dans les méandres de l'insatisfaction. Il y a ici un rejet motivé et c'est cette motivation qui fait débat (débat qui a eu lieu ?)
L'interpellation de ta part est-elle dans le fait que tu as considéré cette évolution comme un reproche contre toi, comme une forme de procès envers toi ?
Le sérieux est quelque chose que l'on fait, si je comprend ton raisonnement. C'est justement le propos de cette personne. Elle parle de faits, justement. Elle aborde le sujet des actes et des répercussions de ceux-ci sur sa perception de votre relation. Il y a eu un manque de communication, puisque le mot "unilatéral" est exprimé. Je pense aussi que "ce qui coule sous le sens" n'est pas identique dans ce qui devrait être une évidence.
Je souhaite ne pas être de nouveau à côté de la plaque. En tout cas, son bien-être lui appartient, tout comme le tien t'appartient. Il s'agit là d'une incompatibilité insoluble (encore une fois, est-elle débattue ?).
Discussion : Dire vouloir une relation sérieuse sans même l'avoir définie - questionnement

bonheur
le vendredi 22 janvier 2021 à 14h51
Je vais reprendre ma propre expérience, où je dirais, j'aurai été à la place de la personne dont tu parles.
Je n'aime pas contraindre. Toutefois, je me suis souvent sentie délaissée à cause du comportement de deux personnes en particulier. Je ne dis pas que par sérieux, on évoque quotidiennement, sauf que s'entendre répondre "je voulais te répondre, sauf que quand je pensais à toi, ce n'était pas le moment et quand j'avais du temps, je n'y pensais pas". Cette personne répondais souvent, après la date passée de ma proposition de retrouvailles, pour se désister ou me dire qu'elle avait fait autre chose. Loin de moi l'idée de vouloir imposer ma disponibilité (celle-ci était compliquée et souvent les projets étaient impossibles, alors les rares fois où je pouvais prévoir, je l'exprimais, avec la joie et l'enthousiasme liés), sauf que bloquer son emploi du temps et remballer vraiment quasi systématiquement ce qui m'animait dans justement l'anticipation de cette rencontre... a fini par me faire penser (à tort ou à raison) que je servais de doudou qu'on sort du placard quand on n'a rien d'autre de plus intéressant à faire. Et oui, je me suis dit qu'il ne prenait pas au sérieux notre lien. J'étais comme le dirait l'expression toute faite "un bouche-trou". Je le ressentais ainsi. Ma patience a eu une limite et j'ai rompu avant que cette limite se transforme en colère. Quand j'abordais le sujet, il s'excusait et disait me comprendre, sauf que ça repartait pour un tour. Sa vision de notre lien ne pouvait me convenir. J'ai rompu avant de lui en vouloir. Il est ainsi, et c'était impossible pour moi.
Un autre cas, où cet homme vivait pour son boulot et me cachait à sa femme (même sans sexualité entre nous, notre amour était tabou), enfin la femme qu'il a connu puis épousé alors que nous étions en lien affectif fort. Je n'avais pas de nouvelles durant des semaines et soudain, il avait envie que l'on se voit, et je devais être à sa disposition, étant déçu si de mon côté j'étais prise. Le chantage était "tu voulais que l'on se voit, et bien je suis là". Mon sentiment était autant d'être le bouche-trou que d'être en plus la bouée de secours à son couple, car il était présent surtout quand ça n'allait pas entre eux.
J'ai besoin de constance, d'une continuité et d'un minimum d'investissement. Le fait est qu'actuellement j'ai une relation à distance. Avec les moyens de communication modernes, on peut être en lien quotidien sans être obligatoirement géographiquement proche. Je me sens bien dans cette relation. Nous nous sommes promis de nous rencontrer et qu'il vienne passer une tranche de vie chez nous (mon chéri de vie et moi, dans notre nid commun) car nous avons la place nécessaire et de compte à régler qu'à nous-mêmes sur nos invitations. Nous avons dû reporter plusieurs fois. Mais justement, c'était des reports et la crise sanitaire y a été pour quelque chose (entre autres). Cela n'altère pas notre lien car je me sens pleinement aimée et considérée.
Pour rebondir sur l'importance d'une relation, alors que l'on hiérarchise (j'ai en effet une relation principale) n'est pas la désinvolture pour les relations secondaires. Je passe beaucoup de temps à faire des recherches afin d'aider mon amoureux à distance à construire sa vie (il est jeune étudiant et est en France depuis octobre seulement, sachant qu'il est originaire de Guinée/Conakry). Je lui trouve des liens aussi bien pour sa vie courante (logement...) que pour sa vie étudiante (entreprises d'accueil en stage...) que pour sa vie financière (petits boulots, banque...). Certains jours, je passe plus de temps à mes recherches, appels téléphoniques, visios, discussion Skype. Comme nous sommes dans le même domaine d'activité professionnelle, je passe aussi du temps à lui dénicher des livres utiles pour lui (enfin nous) et à lui transmettre des informations... Sans vie commune, l'engagement, le temps et l'énergie peuvent être importants. Même ses semaines de cours, où il est à fond dedans, il me laisse un petit mot, toujours. Ainsi, je sais qu'il va bien. Il ne me laisse jamais dans le flou, pire dans le silence. Il n'est pas fantôme qui vient hanter quand ça le toque.
Voici, en mode témoignage, qui n'est que mien, ce que je peux indiquer, exprimer en complément des autres réponses ci-dessus, qui sont autres.
Discussion : Madame est polyamoureuse débutante, moi non

bonheur
le vendredi 22 janvier 2021 à 10h04
@Marseille13012 : directement dans la boite mail que tu as associé à ton profil, lors de ton inscription.
Discussion : Lexique
Discussion : Agressions relationnelles

bonheur
le jeudi 21 janvier 2021 à 11h07
Le hic, c'est que toutes contrariétés peuvent être considérées comme de l'agression. Un exemple : j'invite (pas obligatoirement un amoureux), enfin je lance l'invitation. Et puis, j'oublie d'indiquer cette invitation à mon chéri de vie, ça m'est sortie de la tête. Est-ce une agression ? Ca le met un peu au pied du mur ? Après, ce sera suivant sa réaction, que l'agression sera présente. Soit mon chéri saute de joie à l'idée de recevoir... soit il m'en veut car j'ai lancé l'invitation avant de lui avoir demandé son avis. Après tout, mon chez moi est aussi son chez lui.
Donc, précaution d'usage, c'est de ne pas être dans la spontanéité et de systématiquement brider son élan, au cas où.
Ce cas n'est pas spécifique au polyamour. Ce qui est spécifique au polyamour, c'est la hiérarchie dans laquelle il faut proposer lorsque l'on vit avec quelqu'un : déjà débattre en interne à la vie commune, ensuite proposé à l'extérieur. Même si le désordre abouti à la même décision, la perception sera ou non une agression, celle de ne pas être décideur sous son propre toit.
Discussion : Appréhension et peur du polyamour

bonheur
le mercredi 20 janvier 2021 à 19h06
@Ribob. Concernant les livres spécifiques polyamour, en voici une liste :
/discussion/-bRf-/-Livre-elaboration-d-une-Bibliog...
Personnellement, en tant que polyaffective, ce sont les livres d'Yves-Alexandre Thalmann (vertus du polyamour ; les 10 plus gros mensonges sur l'amour et la vie de couple ; garder intact le plaisir d'être ensemble => ces trois ouvrages se complètent)
Concernant le développement personnel, tu peux lire sur la Communication NonViolente. J'ai lu les livres de Marshall Rosenberg et de Thomas d'Asembourg (ayant appris auprès de Mashall Rosenberg).
Autrement, tout livre pour lequel tu ressens un intérêt ou que ton instinct te fait porter de l'attention, ben c'est bon à lire, de toute façon.
Un point sur l'apprentissage par la négative (c'est moi qui l'appel ainsi). Je me suis souvent dite que finalement, savoir ce que l'on désire pas est aussi important que de répondre à la question "qu'est-ce que tu veux ?". Procéder par élimination et se laisser porter par son sixième sens.
Laisse toi porter !
Aussi, pour enrichir et aller dans le sens de @Sophie72, mon chéri de vie ne désire pas non plus devenir poly. Il considère désormais l'amour comme étant compliqué. Il ne veut pas aimer au plurielle.
Discussion : Appréhension et peur du polyamour

bonheur
le mercredi 20 janvier 2021 à 12h12
Bonjour Ribob,
Tenir compte de l'autre, c'est vraiment génial. Sauf que tu dois te sentir toi, pour être bien avec elle. Si tu lis, je peux te transmettre des références d'ouvrages à la fois sur le polyamour et sur le développement personnel.
Tu es à un carrefour de ta vie et peut-être est-ce le bon moment pour t'interroger sur toi-même :-)
Belle route, enfin toutes celles que tu exploreras, du plus petit sentier à la plus grande autoroute :-D
Discussion : Ou trouver une polyamoureuse?

bonheur
le mardi 19 janvier 2021 à 19h01
Vivre le polyamour dans la légèreté, c'est peut-être justement ne pas être en "recherche". Je veux dire que les femmes ne se posent peut-être pas la question de ce qu'elle veule. L'amour survient et bingo !
Je dis souvent qu'il ne faut pas chercher l'amour, c'est lui qui nous trouve. Je vis dans mon monde utopique, je le sais. Je laisse venir, tout en osant évidemment. Si personne n'ose, on fait du sur place.