Polyamour.info

Siestacorta

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Paris (France)

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Discussion : Les plaisirs accessoires du Lutinage

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Siestacorta

le mercredi 09 février 2011 à 09h14

Heu... des amis facebook ? :-)

- à la longue, une écoute assez équilibrée des émotions de mes proches et moins proches. J'ai dépassé le moment où je propose le PA à chaque fois, et j'arrive bien à transposer mes expériences, mes intuitions... Moi dont on se méfiait un peu par mon côté sans filet, on finit par m'écouter comme "expérimenté". Hé, oui, petit scarabée, si tu ne peux pas saisir ce préservatif avant que je le retire...

- de la souplesse. Nos vies sont complexes. Les post-babas toujours dans de nouvelles expériences de vie, les gens qui courrent pour leur carrière, les divorçants et divorcés, les ex, les explorateurs érotiques, les paumés, à tous mes amis, à toutes les gueules cassées... Avoir remplacé les rigidités du couple classique par l'équilibre individuel que je trouve en partie dans l'esprit PA me donne une ouverture à ce monde complexe, étrange (que j'aimerai garder ainsi, comme les personnages de la BD Planetary)

- une étiquette. Plutôt "non-exclusif" que poly, plutôt poly que lutin... Mais ça c'est mon affaire. De façon générale, savoir que mon comportement participe d'un fait social plus large, c'est moralement reposant. Si je me cache à un moment, c'est d'un regard donné, pas parce que je ne sais pas où j'en suis. Où j'en suis porte un nom, a ses propres fonctionnements...

- du féminisme. Etre moins sur la défensive dans les relations amoureuses, de séduction... Ca me fait mieux adhérer à des recherches d'émancipation des femmes que je peux rencontrer. Ca rejoint un peu la meilleure écoute de tout à l'heure... Ca me donne un point de vue plus personnel, où je me sens moins obligé de choisir soit le camp des phallocrates soit celui des militants. Je ressens mieux ce qui est subi, ce qui est espéré... Ma compréhension d'une émancipation individuelle me met en empathie avec des émancipations plus "sociétales".

- un apprentissage d'un nomadisme tempéré qui me convient. J'aime les chambres des autres, j'aime avoir mon bouquin à portée de main, j'aime voir de nouveaux endroits, y être invité. Un jour, je rangerai mon appart' et je serai un poly-couchsurfer, et vous pourrez acclamer le nouveau Jean-Baptiste Lutin (le Jésus est déjà pris par flower guilain).

- quelques bons contacts, peut-être des amis en devenir... Même si j'avoue être pas facile à accrocher. Une occasion de recroiser Amorgen. Et même une autre discordienne ! Bref, une partie du peuple de mon ShortBus imaginaire...

- ce site où je discute régulièrement, merci aux tauliers...

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Discussion : [Médias] Appels à témoins, témoignages, médias divers, etc.

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Siestacorta

le mardi 08 février 2011 à 14h53

céline>

abah pas assez fille pour répondre, mais je trouve sympa de parler du poly dans cette optique-là.
Pour quelle boîte quelle chaine quand ce sera produit ?

Bon par contre du coup, à la fin du film, le toi mis en scène devrait sans doute rester en couple, non ? Comment faire une conclusion où on sent que le questionnement ne débouche pas sur une validation du statut "classique" de départ ?

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Discussion : Polyamour et homosexualité ?

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Siestacorta

le lundi 07 février 2011 à 19h57

On fait ce qu'on peut pour que charrier soit un droit fondamental, te restreins pas.

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Discussion : Désir d'enfant avec le second amoureux

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Siestacorta

le jeudi 03 février 2011 à 15h52

Moins de billes que Tentacara pour éclairer beaucoup la situation.

Mais, à titre d'exploration, il y a une question que je me poserais : est-ce que le premier/ la première, des fois, ne s'imagine pas que l'existence d'une cellule familiale lui garantit (en effet secondaire) une frontière au polyamour ?
Ce serait une fausse impression qui découlerait de la fausse idée polyamour = instabilité...

La seule réponse étant que l'engagement qu'on prend avec un amoureux, puis avec un enfant est déjà solide, a probablement déjà été éprouvé. L'équilibre qui venait de toi a toute chance d'y être encore avec un nouvel aspect de ta vie.
Tu peux donc rappeler les moments où tu as maintenu l'équilibre alors que ta sortie de la norme pouvait poser question. Et rassurer en disant que tu comptes bien continuer. Peut-être en commençant à penser au "comment" de la suite selon toi, en réfléchissant aux situations concrètes qui semblent "impossibles" à ton premier. Lesquelles sont justes imaginaires, lesquelles peuvent trouver une solution...
Ca te permettrait aussi de cerner un peu ton "désir d'enfant", ce qui rend cet enfant envisageable dans ton point de vue.
Un "désir d'enfant", c'est pas juste là, sans explications. Ca a un sens différent selon les personnes.

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Discussion : "Tu ne dois pas ressentir ça"

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Siestacorta

le mercredi 02 février 2011 à 00h03

kerdekel
et à un moment donné, il faut savoir dire "oh. Stop là" et renvoyer dans ses pénates les casses-pieds.

Yep. Et pas être Jésus, c'est, du point de vue psycho, pas chercher à aimer et se faire aimer de gens un peu chiants juste parce qu'on s'en sent cap'.
Etre rationnel, posé, non-violent, polyamoureux, super open citoyen du monde, nourri d'huiles essentielles biodurables, plus cool qu'une anguille au savon de marseille, et par delà le bien et le mal... Bon, ben c'est pas un devoir non plus. Ca nous arrange d'être comme ça, et aussi de façon très égoïste.
Alors si on tombe sur un con qui nous prend pour un con, il semble très envisageable de s'arranger sans lui, très connement.
Na.

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Discussion : Envie et besoin d’aimer: j’ai tout ça en moi, c’est grave docteur?

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Siestacorta

le mardi 01 février 2011 à 16h30

Tigre => je te répondais directement, dans mon post... Je souligne, parce que C'est pas évident, dans l’enchaînement des réponses.

RIP : l'âge adulte, l'adolescence et l'enfance comme "cases", pour nier la sensibilité, c'est ça ?
Je pense à une des métamorphoses de l'esprit selon Zarathoustra, ou être un enfant, capable d'innocence, de jeu, est la dernière étape d'accomplissement. Mais cet enfant capable de tout ne naît qu'après les deux autres métamorphoses, deux autres temps de sa vie : quand il est Chameau, supportant les lourds fardeaux et traversant le désert (peines et solitude) le désert, et quand il est le Lion capable de conquérir la liberté, de répondre "je veux" quand on lui dit "tu dois".

Pour passer pas ces étapes, et jouir au final de l'innocence et du jeu de l'enfant, il faut batailler : endurer et vaincre le monde "adulte". Pas seulement en le refusant, mais en s'y confrontant, en trouvant les forces en soi de le faire.

Voilà.

Je rappelle à toute fin utile que Tigre, au départ, n'a pas du tout évoqué les enfants... Wolfram lui en a parlé en faisant référence à la situation familiale que Tigre a évoqué antérieurement.
C'est des vrais enfants, pas abstraits, pas seulement les enfants mieux aimants que RIP évoque ou l'enfant Sage que je pique à Friederich...
Et si ça se trouve, enfants réels ou théorisés n'étaient pas du tout dans le champ de réflexion de Tigre.
J'espère qu'il trouvera quand même de quoi faire tourner son moulin là-dedans.

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Discussion : Envie et besoin d’aimer: j’ai tout ça en moi, c’est grave docteur?

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Siestacorta

le mardi 01 février 2011 à 13h10

Envie, besoin, amour : a l'étape où tout ça ne se se confond pas sur un seul objet, mono et poly, on rencontre la même question.
Est-ce qu'aimer encore quelqu'un, c'est l'aimer assez pour que ça puisse encore être épanouissant pour chacun ?

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Discussion : "Tu ne dois pas ressentir ça"

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Siestacorta

le lundi 31 janvier 2011 à 07h52

LuLutine
surtout pas capable d'imaginer qu'une autre façon que la sienne d'envisager les choses puisse tout de même être saine (ou du moins, pas mauvaise pour la personne concernée).

En effet, en plus de me dire "Tu ne dois pas ressentir ça", il m'a dit comment je devrais penser et voir les choses, et de quelle façon je me devrais d'évoluer !

Ben du moment qu'il va pas dire partout autour de toi que tu es malsaine et qu'il te couvres pas de soins malvenus.... ce qu'il pense, du moment qu'il passe pas son temps à t'en parler et à t'en faire subir les effets, ce n'est pas trop grave.

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Discussion : "Tu ne dois pas ressentir ça"

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Siestacorta

le dimanche 30 janvier 2011 à 21h49

Je lis que la personne qui dit "tu ne dois pas penser ça" serait manipulatrice, puisqu'elle souhaite nous changer.
C'est une possibilité. Mais on est pas des anges non plus, et je reviens sur ce que je disais plus haut, "tu n'as pas à avoir de conviction à mon propos" étant finalement équivalent à "tu ne dois pas ressentir ça".

On peut être de bonne foi, pratiquer une communication non-violente... et être finalement très exigeant envers l'autre.
Et qui nous donne ce droit ?
On engage l'autre à nous respecter et nous comprendre... Mais ça n'engage que nous. On ne peut communiquer que si l'autre le désire aussi... Si ça n'a pas lieu, on peut juste être prêt quand ça lui prendra (je me répète un peu, je le crains).

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Discussion : "Tu ne dois pas ressentir ça"

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Siestacorta

le dimanche 30 janvier 2011 à 20h24

Il y a le double sens de "tu ne dois pas ressentir", injonction et doute. Le mélange peut même avoir lieu, mais pas forcément au moment qu'on croit.

Si la personne ne pratique pas elle-même un peu de distance, de se forcer à se détacher de son ressenti, il te met en cause parce que justement il n'a pas l'habitude du doute, de l'incertitude. Il ne doute pas de toi, il a une conviction contraire.

Je dis évidemment pas qu'il a raison... Sa réponse peut faire comprendre qu'il a une conviction, sans que tu aies à la partager.

Mais quand l'autre exprime ainsi une conviction à notre propos, quand il dit "tu ne dois pas ressentir ça" ("mais plutôt ça', implicitement), est-ce qu'on a toute légitimité de croire que lui-même "ne doit pas ressentir" cette conviction ?

Poser les choses de façon neutre, essayer la communication non-violente, ça favorise bien sûr un échange fertile. Malgré cela être compris n'est jamais garanti, et le pire, c'est que si on veut être honnête, à un moment, on ne peut pas faire mieux, on ne peut pas reprocher à l'autre de ne pas faire mieux. On peut juste rester prêt à la réouverture d'un dialogue...

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Discussion : Chemin vers le polyamour depuis très peu de temps

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Siestacorta

le dimanche 30 janvier 2011 à 02h04

André
C'est toi, ton amour pour lui, son amour pour toi qui vous lie. C'est cet amour qu'il faut cherir !

Allez je m'enfonce encore plus, faut mieux que j'aille dormir.

Ah, non, je trouve que c'était à rappeler.
Il y a a souvent des gens dans le même cas que Selenia, qui viennent échanger ici : obligés d'envisager "le polyamour par défaut". Parce que l'autre pourrait partir, parce que la relation pourrait finir, parce qu'on pourrait rester seul.

D'une façon plus globale, il y a un danger de percevoir le polyamour comme "plan de dernière extrémité", ou comme attitude pour pouvoir aimer n'importe qui dans n'importe quelle condition (et donc pouvoir espérer être aimé en retour).

C'est une vision en négatif du truc : le polyamour plutôt que rien. Soit parce que l'autre menace de partir, soit parce que ça multiplierait les possibilités d'amour. Or, justement, les possibilités d'aimer n'augmentent pas mécaniquement les possibilités d'amour.

Qu'on arrive au polyamour avec cette recherche par défaut, pourquoi pas... Mais comme André le rappelle, c'est pas ça qui fera qu'une relation sera satisfaisante. Pour ça, il n'y a que le sentiment et le respect mutuel...

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Discussion : Stéphane Hessel, fils de « Jules et Jim »

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Siestacorta

le vendredi 28 janvier 2011 à 23h33

wazaaa
Imaginez un film ou tout baigne,

Dans le grand bleu, tout baigne.
Non, rien... Je sors bientôt.

Cela dit, on peut avoir un ressort dramatique sans que l'intrigue soit un drame. Tu peux avoir la mise à l'épreuve d'une relation poly qui finisse bien.

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Discussion : Anniversaire

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Siestacorta

le vendredi 28 janvier 2011 à 11h05

Oui, moi itou, mon côté hédoniste, c'est plutôt "plusieurs petites bouffes festives" que "une seule grosse fête".
Bon, la grosse fête est possible en plus, mais débarassée de l'obligation de confronter ceux qui n'y tiennent pas.

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Discussion : Le polyamour bientôt interdit en France !

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Siestacorta

le jeudi 27 janvier 2011 à 13h48

Yeah !

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Discussion : Vous arrive-t-il souvent de penser, à ce que fait l'autre quand il est ailleurs ?

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Siestacorta

le jeudi 27 janvier 2011 à 13h47

Oki.
Je reviens juste sur une notion de règle/cadre - outil. Mon idée, c'est que ce genre d'outil est nécessaire, mais que c'est au coup par coup. Il n'y a pas un outil qui fonctionne bien tout le temps. On peut choisir dans nos boîtes le plus adapté.

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Discussion : Vous arrive-t-il souvent de penser, à ce que fait l'autre quand il est ailleurs ?

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Siestacorta

le mardi 25 janvier 2011 à 11h40

Tu fais du travail sur toi, et c'est un des meilleurs moyens d'améliorer tes rapports avec les autres. Mes félicitations : il arrive trop souvent que les gens fassent des efforts sur la relation sans revoir la plus basique des données : eux-même.

Pour ce qui est de règles, moratoires... Je pense que ce sont des outils face à ta propre sensibilité. Ca te rassure apparemment de cadrer les choses. Et tu as raison d'essayer, je crois.
Ca ne vaut que si ce cadre ne te dispense pas de te comprendre, si il ne fait pas que protéger tes habitudes, mais simplement donne les moyens à l'autre de dialoguer avec toi.
Je ne sais pas si je suis assez clair (pas dans mon assiette)...

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Discussion : Vous arrive-t-il souvent de penser, à ce que fait l'autre quand il est ailleurs ?

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Siestacorta

le lundi 24 janvier 2011 à 21h37

wazaaa
répondre à mon namoureux avec empathie tout d'abord... puis réagir ensuite en tant que namoureux blessé de voir des règles de communication bafouées, en les rappelant avec fermeté.

Ca peut être une bonne formule !
C'est une contradiction logique, mais sentimentalement, c'est très cohérent. Les deux intentions, empathie et demande de respect, doivent à mon avis toutes deux s'exprimer.
Je ne sais pas si il y a un ordre de priorité... Ca dépend probablement des tempéraments et de la situation.

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Discussion : La jalousie est causée par le désir de possession...

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Siestacorta

le samedi 22 janvier 2011 à 00h57

Peurs et désirs ont pour moi la même réalité, ou la même illusoiritude.
Même nature et même origine : tripes, vie, sentiments.

La jalousie n'est donc ni plus ni moins réelle que l'empathie, le bien-être.

Ces ressentis ont des réalités différentes selon les personnes. Parfois moins fortes, on est pas égaux là-dessus : on a pas eu les mêmes familles, ni la même vie amoureuse.

Il n'y a donc pas une direction valable pour tous, une philo de l'amour, la jalousie, la liberté, la vie et le reste (42) qui marcherait pour tout le monde, ferait le même bien à tous.

Ainsi, on ne fait pas face à "la" peur, mais aux peurs particulières d'une personne particulière. Ce qui doit être dit, expliqué, ressenti, demandé, répondu... Ca dépendra toujours de la personne qu'on a en face de soi.

A partir de là, on s'adapte, on trouve le terrain d'entente, ou on vit toutes ses relations de la même façon, sans considérer que la façon dont elles se déroulent (et se terminent) peut dépendre, au moins partiellement, des efforts qu'on a fait pour ça. De l'engagement qu'on a pris à en faire quand ça apporte quelque chose.

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Discussion : Chemin vers le polyamour depuis très peu de temps

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Siestacorta

le jeudi 20 janvier 2011 à 22h11

selenia

J'ai besoin de m'éloigner 1 peu de lui pour effectivement voir mon degré de dépendance ou d'amour que j'éprouve.

le degré de dépendance et le degré d'amour, c'est lié mais pas équivalent !

Sinon, qu'il mente peut aussi bien remettre ta confiance en lui en cause que l'affiner. Actuellement, tu n'envisages pas qu'il t'aime, reste avec toi ET te mente, mais ça peut aussi être un fonctionnement à choisir ensemble.
L'imaginer ailleurs te fait souffrir, même si au fond tu souhaites son bonheur ? Une solution autre que refuser qu'il voie quelqu'un d'autre serait de ne pas chercher à le savoir, d'accepter qu'il se taise sur ce sujet, et même de t'accorder avec lui pour qu'il le fasse.
Organiser ce mode de fonctionnement entre vous, ce serait pour toi une façon un peu paradoxale mais pratique de rester impliquée dans son bien être, de prolonger le rapport dans les moments où vous n'êtes pas ensemble.

C'est une suggestion, pas un genre de commandement poly, hein.

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Discussion : Les jugements moraux sur l'infidélité et l'adultère

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Siestacorta

le jeudi 20 janvier 2011 à 20h45

titane
C'est une obsession cette idée de contrat... Et si tu n'as pas envie de lui raconter, pourquoi le faire ?

Parfois, parce qu'il te le demande.
T'es pas obligé d'accepter de répondre, il est pas obligé de rester avec toi. L'envie la plus forte fait le reste... La rencontre des libertés de chacun tend vers l'établissement de code communs, pour pontifier ça.
Ce tissage entre soi, "le fil entre nos coeurs passés" comme chante la souche, ça différencie sans doute une relation (amoureuse ou non) d'un échange.

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

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