Participation aux discussions
Discussion : Pourquoi les nouveaux lisent pas les fils?
Siestacorta
le jeudi 17 février 2011 à 11h54
Pour la présentation, un fil est possible, oui... Mais pour certains des membres du forum, il y a parfois un petit texte quand tu cliques sur leur pseudo.
Sinon, à défaut de fonction recherche, il y a déjà des rubriques. Ca te fait un premier tour plus court à faire, quand tu veux voir si un thème a été posé...
Discussion : Couple poly/mono, en thérapie conjugale
Siestacorta
le mercredi 16 février 2011 à 20h33
Je suis assez partisan aussi de dire que généralement, c'est un individu qui va mal et dont la souffrance déforme la relation.
Cela dit... un conseiller conjugal, c'est pas inutile. La prise de parole sur une souffrance, le dialogue, ce n'est pas naturel pour tout le monde. Et si un membre du couple apprend à cette occasion à parler, il faut que l'autre s'habitue à le réécouter d'une autre manière.
Il y a des ressorts communs entre conseil conjugal et thérapie, mais le but n'est pas le même.
Un psy peut établir un diagnostic. Même si l'acte n'est pas nécessairement médical, une thérapie suppose qu'il y ait des blessures d'égo, qui portent des noms, qu'on peut identifier. Théoriquement (assez théoriquement, d'accord), deux psy différents devraient identifier le même problème, lui donner le même nom. Un thérapeute ne peut travailler qu'avec quelqu'un qui reconnait qu'il souffre, pas juste quelqu'un qui pense devoir régler des problèmes...
Un conseiller ne fournit pas de soin, il traite des situations, pas des pathologies. Les deux aspect sont liés, mais tous les gens ne travaillent pas sur eux en se voyant comme souffrant... Le conseiller donne un cadre pour parler de façon différente, ou pour se mettre à parler, et... ça peut parfois suffire.
Bref, personnellement j'apprécie beaucoup d'avoir travaillé sur moi en thérapie, mais je pense qu'on peut agir sur le couple sans passer par cette case, pendant ou après. Les conseils du conseillers seront bons quand même.
Discussion : De l'eau à notre moulin
Siestacorta
le dimanche 13 février 2011 à 09h53
(EDIT)
La paupérisation = ça décrit un processus en cours, quand un ensemble de gens devient pauvre. Ca marche pour un pays, une classe sociale... Ca décrit une dégradation, un déclin. Ca qualifie plutôt les gens qui deviennent pauvres.
On pourrait parler d'appauvrissement à la place, mais c'est un adverbe qui change selon ce qui est appauvri : ça peut être en argent, en microorganismes dans le sol... L'appauvrissement désigne plutôt la ou les ressource(s) perdue(s).
Bref, paupérisation est un vocabulaire plus technique, mais assez précis.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Le cunnilingus, en bas: c'est top?
Siestacorta
le dimanche 13 février 2011 à 09h39
Janis
Si ce n'était qu'une histoire de sens on ne serait pas tous, posteurs sur ce site, à se prendre plus ou moins la tête avec nos partenaires et amis pour mettre en place des modes de vie acceptables pour chacun et à réfléchir sur notre affectivité et nos sentiments. On baiserait et on n'en parlerait plus...
Yep.
Et moi, si on parlait pas avant j'aurai aucune chance de baiser, en plus.
Et si on pouvait pas parler après, sans doute que j'aurai pas très envie que ça recommence !
Discussion : Le cunnilingus, en bas: c'est top?
Siestacorta
le samedi 12 février 2011 à 13h59
balise "public averti" B=D ((
Janis
De là à en conclure qu'il y a là-dedans un jeu de pouvoir sexuel, et que c'est une domination soft de son partenaire... Moi, je crois qu'il y a un peu de ça.
Ah, tiens, je le ressens pas du tout paradoxal, moi, le jeu de pouvoir sexuel.
Cunilingus et fellation, c'est du don de soi, on sert le plaisir de l'autre.
On y prend un plaisir, certes. Il y a un érotisme d'ensemble de toute façon. Mais les positions les plus pratiques, quand on le fait à sens unique, c'est un amant qui agit pour un qui se laisse faire.
Je veux dire, si je me met à masser quelqu'un, je ne le domine pas parce qu'il me fait confiance et se laisse aller. Je lui fais plaisir, je lui donne un bien être.
Après, plus personnellement, j'érotise ça de façon plus "caractérisée", le rapport de pouvoir me plait... C'est peut-être pour ça que j'ai la perception que je décris.
C'est à dire que je crois pas qu'être actif, prendre plaisir à voir l'effet qu'on a, ça se confonde avec dominer.
Quand on fait plaisir à quelqu'un avec sa bouche, on fait les gestes qui lui plaisent, qui lui font effet. Le but est quand même d'obtenir le meilleur plaisir chez l'amant qui se laisse faire... On peut y mettre ses propres façons, il s'agit pas de ne plus être soi. Mais, pour reprendre le truc du massage, on va pas faire un petit massage tout doux aux mollets quand ce qu'aimerait l'autre c'est que ça s'étire très fort entre les omoplates.
Si un amant se laisse aller, c'est par confiance, parce qu'il sent que l'autre va faire quelque chose de bon. Et comme c'est quand même beaucoup son plaisir, à un moment où il n'agit pas dessus, on parle quand même de sa perception de ce qui est bon... Donc celle de celui qui agit n'est pas tellement dominante.
Bref. Je sais que c'est ma perception, orientée par ma libido à moi. Mais je veux dire qu'en pratique, ce don de soi a de grands résultats pour celui qui reçoit... Que ce soit une fellation ou un cunnilingus, mes souvenirs sont émouvants dans les deux cas.
L'arrière pensée "c'est tellement meilleur quand une amante va jusqu'au bout" est là, mais le don de soi, j'adowre beaucoup beaucoup quand je le fais moi, hein.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Présentation Blusher
Siestacorta
le vendredi 11 février 2011 à 13h19
Blusher
Les laissés pour compte du libéralisme sexuel vivent dans l'illusion d'une sorte de méritocratie. Combien étudient dans les meilleures écoles, travaillent dur pour faire carrière et amasser de l'argent dans le seul but d'avoir enfin du succés avec les femmes ?
Tôt ou tard, ils réalisent que l'épanouissement amoureux et sexuel n'est pas inclu dans leur package salarial. Soit ils se casent "par défaut" avec la première qui daigne s'intéresser à eux, soit ils se résignent à de longues périodes de solitude.
Message modifié par son auteur il y a 20 minutes.
Ouh tout ça ça me parle bien... Je m'accorde pas sur tout-tout mais j'adowre qu'on en parle ici.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Désir d'enfant avec le second amoureux
Siestacorta
le vendredi 11 février 2011 à 13h15
Arg, j'ai édité entretemps, ça se recoupe apparemment, tant mieux.
Discussion : Désir d'enfant avec le second amoureux
Siestacorta
le vendredi 11 février 2011 à 13h02
C'est pas moi qui vais me mettre à donner des diplômes d'acceptabilité en PA... Cette blagounette t'étais moins destinée qu'écrite pour taquiner la cantonade sur la récurrence d'un certains nombres de comportements péri-poly :-)
Je me compte dans ces profils d' "usual poly-suspects".
Pour dire de façon plus sérieuse ce que j'évoquais, et encore une fois c'est pas tellement à ton propos qu'à celui de courants de fond, je suis à l'aise avec les questionnements alternatifs, et inspiré par l'altérité et souvent l'excentricité. Pas "UN autre monde est possible" mais "tous les matins du monde" (*).
J'aime qu'il y ai des solutions autres, mais encore plus, beaucoup beaucoup plus qu'il y ait des tas de gens autres, très différents, hétéroclit-oridiens, baroques, imprévisibles, des gens qui pensent vivent font des trucs qui ne m'impliqueront sans doute jamais (je suis juste un type curieux), mais qui me toucheront par la puissance qu'ils mettent à n'être qu'eux-même.
(je suis pas facile à suivre, hein, désolé... Du coup, ça semble encore plus clair que je ne parle qu'en mon nom...)
* : ayé, je suis parti compter les éléphants roses...
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Désir d'enfant avec le second amoureux
Siestacorta
le vendredi 11 février 2011 à 12h16
aaaah... J'ai encore moins de lumières valables que d'hab, mais qu'est-ce que je suis content d'entendre ce genre d'histoire atypique ici !
Ces sentiments qui essayent de dépasser les normes, qui poussent le système à se descléroser (âge, cultures, frontière, poly... tu nous fais un tout en un... essaie de pas être artiste de rue, bioféministe et végétalienne, quand même :-) ).
Ces paperasseries avec lesquelles on va jongler, faire des tours de passe-passe (pass-perasserie ?). Cette envie d'inventer pour faire que ça nous aille.
Quelle bagarre, quel espoir ! Chaleureuses félicitations pour ça.
"A charterflight-class hero is something to be"; aurait peut-être dit Lennon.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Présentation Blusher
Siestacorta
le jeudi 10 février 2011 à 19h15
Bienvenue !
Je voulais marquer mon plaisir : tu pars d'une position plutôt atypique par ici, peut-être que tu manges un peu moins d'algues et que tu n'es pas autant en phase avec le Grand Bol-de-Soupe des énergies positives.
J'avoue que le côté commercial / glamour bizness me rend moi-même un poil méfiant, mais assumer d'emblée le truc, sur un mode assez carré, ça me parle bien. Je trouve ça plutôt courageux, tel quel.
J'espère que si la question de la séduction, qui semble centrale dans ton expérience, était abordée, tu seras dans l'optique débat plus que dans la proposition de séminaire. J'adorerai voir ma méfiance injustifiée...
Bref, au final, content que tu te joignes à la fête.
Sinon, je crois pas que ta monogamie actuelle puisse t'être reprochée ici. Comme le dit Françoise, ça n'a rien d'une obligation.
C'est pas parce qu'on s'attache à la liberté d'expression qu'on fait un discours dessus tous les matins, pour comparer...
Discussion : Les plaisirs accessoires du Lutinage
Siestacorta
le mercredi 09 février 2011 à 12h55
Nan, mais il peut s’accommoder d'une pudeur discontinue.
Discussion : Les plaisirs accessoires du Lutinage
Siestacorta
le mercredi 09 février 2011 à 09h48
Méééééé.
Je suis désolu, vraiment.
Précision : j'avais mal expliqué où, j'avais pas mon tel pour faire mieux, mais j'y étais, hein !
Histoire de conjurer le sort, je compte qu'on boive un verre au même endroit (le 25°), mais à partir d'un rv plus facile à trouver (mettons la librairie du MK2).
En essayant d'emmener mon mobile, allez, soyons fous.
Discussion : Les plaisirs accessoires du Lutinage
Siestacorta
le mercredi 09 février 2011 à 09h14
Heu... des amis facebook ? :-)
- à la longue, une écoute assez équilibrée des émotions de mes proches et moins proches. J'ai dépassé le moment où je propose le PA à chaque fois, et j'arrive bien à transposer mes expériences, mes intuitions... Moi dont on se méfiait un peu par mon côté sans filet, on finit par m'écouter comme "expérimenté". Hé, oui, petit scarabée, si tu ne peux pas saisir ce préservatif avant que je le retire...
- de la souplesse. Nos vies sont complexes. Les post-babas toujours dans de nouvelles expériences de vie, les gens qui courrent pour leur carrière, les divorçants et divorcés, les ex, les explorateurs érotiques, les paumés, à tous mes amis, à toutes les gueules cassées... Avoir remplacé les rigidités du couple classique par l'équilibre individuel que je trouve en partie dans l'esprit PA me donne une ouverture à ce monde complexe, étrange (que j'aimerai garder ainsi, comme les personnages de la BD Planetary)
- une étiquette. Plutôt "non-exclusif" que poly, plutôt poly que lutin... Mais ça c'est mon affaire. De façon générale, savoir que mon comportement participe d'un fait social plus large, c'est moralement reposant. Si je me cache à un moment, c'est d'un regard donné, pas parce que je ne sais pas où j'en suis. Où j'en suis porte un nom, a ses propres fonctionnements...
- du féminisme. Etre moins sur la défensive dans les relations amoureuses, de séduction... Ca me fait mieux adhérer à des recherches d'émancipation des femmes que je peux rencontrer. Ca rejoint un peu la meilleure écoute de tout à l'heure... Ca me donne un point de vue plus personnel, où je me sens moins obligé de choisir soit le camp des phallocrates soit celui des militants. Je ressens mieux ce qui est subi, ce qui est espéré... Ma compréhension d'une émancipation individuelle me met en empathie avec des émancipations plus "sociétales".
- un apprentissage d'un nomadisme tempéré qui me convient. J'aime les chambres des autres, j'aime avoir mon bouquin à portée de main, j'aime voir de nouveaux endroits, y être invité. Un jour, je rangerai mon appart' et je serai un poly-couchsurfer, et vous pourrez acclamer le nouveau Jean-Baptiste Lutin (le Jésus est déjà pris par flower guilain).
- quelques bons contacts, peut-être des amis en devenir... Même si j'avoue être pas facile à accrocher. Une occasion de recroiser Amorgen. Et même une autre discordienne ! Bref, une partie du peuple de mon ShortBus imaginaire...
- ce site où je discute régulièrement, merci aux tauliers...
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : [Médias] Appels à témoins, témoignages, médias divers, etc.
Siestacorta
le mardi 08 février 2011 à 14h53
céline>
abah pas assez fille pour répondre, mais je trouve sympa de parler du poly dans cette optique-là.
Pour quelle boîte quelle chaine quand ce sera produit ?
Bon par contre du coup, à la fin du film, le toi mis en scène devrait sans doute rester en couple, non ? Comment faire une conclusion où on sent que le questionnement ne débouche pas sur une validation du statut "classique" de départ ?
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Polyamour et homosexualité ?
Siestacorta
le lundi 07 février 2011 à 19h57
On fait ce qu'on peut pour que charrier soit un droit fondamental, te restreins pas.
Discussion : Désir d'enfant avec le second amoureux
Siestacorta
le jeudi 03 février 2011 à 15h52
Moins de billes que Tentacara pour éclairer beaucoup la situation.
Mais, à titre d'exploration, il y a une question que je me poserais : est-ce que le premier/ la première, des fois, ne s'imagine pas que l'existence d'une cellule familiale lui garantit (en effet secondaire) une frontière au polyamour ?
Ce serait une fausse impression qui découlerait de la fausse idée polyamour = instabilité...
La seule réponse étant que l'engagement qu'on prend avec un amoureux, puis avec un enfant est déjà solide, a probablement déjà été éprouvé. L'équilibre qui venait de toi a toute chance d'y être encore avec un nouvel aspect de ta vie.
Tu peux donc rappeler les moments où tu as maintenu l'équilibre alors que ta sortie de la norme pouvait poser question. Et rassurer en disant que tu comptes bien continuer. Peut-être en commençant à penser au "comment" de la suite selon toi, en réfléchissant aux situations concrètes qui semblent "impossibles" à ton premier. Lesquelles sont justes imaginaires, lesquelles peuvent trouver une solution...
Ca te permettrait aussi de cerner un peu ton "désir d'enfant", ce qui rend cet enfant envisageable dans ton point de vue.
Un "désir d'enfant", c'est pas juste là, sans explications. Ca a un sens différent selon les personnes.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : "Tu ne dois pas ressentir ça"
Siestacorta
le mercredi 02 février 2011 à 00h03
kerdekel
et à un moment donné, il faut savoir dire "oh. Stop là" et renvoyer dans ses pénates les casses-pieds.
Yep. Et pas être Jésus, c'est, du point de vue psycho, pas chercher à aimer et se faire aimer de gens un peu chiants juste parce qu'on s'en sent cap'.
Etre rationnel, posé, non-violent, polyamoureux, super open citoyen du monde, nourri d'huiles essentielles biodurables, plus cool qu'une anguille au savon de marseille, et par delà le bien et le mal... Bon, ben c'est pas un devoir non plus. Ca nous arrange d'être comme ça, et aussi de façon très égoïste.
Alors si on tombe sur un con qui nous prend pour un con, il semble très envisageable de s'arranger sans lui, très connement.
Na.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Envie et besoin d’aimer: j’ai tout ça en moi, c’est grave docteur?
Siestacorta
le mardi 01 février 2011 à 16h30
Tigre => je te répondais directement, dans mon post... Je souligne, parce que C'est pas évident, dans l’enchaînement des réponses.
RIP : l'âge adulte, l'adolescence et l'enfance comme "cases", pour nier la sensibilité, c'est ça ?
Je pense à une des métamorphoses de l'esprit selon Zarathoustra, ou être un enfant, capable d'innocence, de jeu, est la dernière étape d'accomplissement. Mais cet enfant capable de tout ne naît qu'après les deux autres métamorphoses, deux autres temps de sa vie : quand il est Chameau, supportant les lourds fardeaux et traversant le désert (peines et solitude) le désert, et quand il est le Lion capable de conquérir la liberté, de répondre "je veux" quand on lui dit "tu dois".
Pour passer pas ces étapes, et jouir au final de l'innocence et du jeu de l'enfant, il faut batailler : endurer et vaincre le monde "adulte". Pas seulement en le refusant, mais en s'y confrontant, en trouvant les forces en soi de le faire.
Voilà.
Je rappelle à toute fin utile que Tigre, au départ, n'a pas du tout évoqué les enfants... Wolfram lui en a parlé en faisant référence à la situation familiale que Tigre a évoqué antérieurement.
C'est des vrais enfants, pas abstraits, pas seulement les enfants mieux aimants que RIP évoque ou l'enfant Sage que je pique à Friederich...
Et si ça se trouve, enfants réels ou théorisés n'étaient pas du tout dans le champ de réflexion de Tigre.
J'espère qu'il trouvera quand même de quoi faire tourner son moulin là-dedans.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Envie et besoin d’aimer: j’ai tout ça en moi, c’est grave docteur?
Siestacorta
le mardi 01 février 2011 à 13h10
Envie, besoin, amour : a l'étape où tout ça ne se se confond pas sur un seul objet, mono et poly, on rencontre la même question.
Est-ce qu'aimer encore quelqu'un, c'est l'aimer assez pour que ça puisse encore être épanouissant pour chacun ?
Discussion : "Tu ne dois pas ressentir ça"
Siestacorta
le lundi 31 janvier 2011 à 07h52
LuLutine
surtout pas capable d'imaginer qu'une autre façon que la sienne d'envisager les choses puisse tout de même être saine (ou du moins, pas mauvaise pour la personne concernée).
En effet, en plus de me dire "Tu ne dois pas ressentir ça", il m'a dit comment je devrais penser et voir les choses, et de quelle façon je me devrais d'évoluer !
Ben du moment qu'il va pas dire partout autour de toi que tu es malsaine et qu'il te couvres pas de soins malvenus.... ce qu'il pense, du moment qu'il passe pas son temps à t'en parler et à t'en faire subir les effets, ce n'est pas trop grave.