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Siestacorta

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Discussion : Eduquer ses enfants hors des clichés de genre

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Siestacorta

le dimanche 11 novembre 2012 à 23h03

Bon, j'ai lu l'article "féministes avec une bite". Et bien que je me considère pas comme féministe (je participe pas à ce combat, quoi que je pense et vive par ailleurs), je me susi gratté la tête, un peu.

Je ne vais pas contre l'idée centrale du texte "nan mais tu peux PAAAS comprendre si t'es pas une nana" : c'est vrai, je ne peux pas.

J'ai pourtant mon petit avis, que je ne résiste pas à faire partager, parce que tralalère (posté en comment sur le blog, en attende de modo).

Ce qui me fait bizarre, mais c’est pas que sur le féminisme, c’est que sur les combats d’émancipation, en plus de de dénoncer ce qui déconne, les inégalités, on ne décrit pas les recherches pour « bien vivre ensemble ». Pas seulement en disant « tout ira bien quand on aura plus d’inégalité à constater », mais, exactement, que signifierait aller bien pour le dominant et le dominé actuels? Pas en utopie, mais, aujourd’hui, qu’est ce qui serait bon, au boulot, en ville, au lit.
Je veux dire que le désir d’épanouissement doit transparaître dans le besoin d’émancipation, si on veut des syllabes.

Et, ajouté-je, le polyamour, par exemple, c'est quand même une pratique ensemble très beaucoup plus émancipatrice que tous les discours, venant d'une femme ou d'un homme (même si ça sonne toujours plus fort quand c'est une femme qui dit qu'elle l'est).
C'est pas que de la théorie, c'est aussi basé sur des vécus épanouissants qui ont eu envie de se trouver un nom.

Pour pousser mon raisonnement au bout, vivre ensemble, pour un dominant et un dominé, ne revient pas à appliquer un manuel des égalités et pratiques émancipatrices, mais à trouver le moyen d'être bien... Et ça se trouve aussi de façon individuelle. Moi Tarzan, toi Jane, moi me tapper la vaisselle, toi conduire la bagnole, toi être payée plus que moi, mais si toi et moi aimer quand je claquer tes fesses avec une blaque égrillade quand tu sors, ça pas pêché.

Et si Rahan et Ruhaa à côté avoir choisi autre option, pas bien grave non plus.

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Discussion : Eduquer ses enfants hors des clichés de genre

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Siestacorta

le mercredi 07 novembre 2012 à 15h29

gdf
la conclusion est sans appel : ma fille pense qu'aucun homme ne sait coudre, et toutes les femmes savent. Plutôt qu'un long discours, je lui ai simplement réparé son doudou, en espérant qu'elle en retiendra quelque chose...

Vive la propagande par le fait.

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Discussion : Eduquer ses enfants hors des clichés de genre

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Siestacorta

le mardi 06 novembre 2012 à 20h02

Bon, j'en fais pas trop parce que c'est ce genre de sujet où je me sens vraiment à l'aise avec personne, mais puisqu'on est dans les petits plaisirs rhétoriques, je voulais faire une petite réflexion.

On émancipe pas les autres, on S'émancipe soi-même. Que ce soit du féminisme ou de la laïcité ou de la transmission scientifique, on est pas prophètes... Ceux qui nous écoutent (et nos enfants en particulier) vont pas d'un seul coup Voir la Lumière.

Je réitère, on ne peut pas décréter que nos idées sont justes, on peut juste se bagarrer pour que les gens aient l'espace de liberté pour choisir leur idée à eux. (et conserver cette liberté pour nous-même, aussi...)

Donc, les études de genre, le féminisme, c'est des grilles de lecture qui permettent de comprendre si oui ou merde on a sa propre liberté, qu'on peut diffuser, faire connaître, mais qui par ailleurs ne nous donnent pas le droit de juger les gens qui ne pensent pas comme nous, ne vivent pas comme nous... et nous emmerdent pas pour autant.

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Discussion : Eduquer ses enfants hors des clichés de genre

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Siestacorta

le dimanche 04 novembre 2012 à 22h04

Oh ben onaka proposer une discrimination positive à la formation de nounous transgenres, comme ça plein de travailleur(ses) pourraient trouver un intérêt à travailler leur genre, la fin justifiée par le besoin de moyens...

(8E

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Discussion : Peur de l'abandon face au poly...

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Siestacorta

le vendredi 02 novembre 2012 à 18h47

Bon, par contre, faut jouer le jeu, c'est pas "si tu le fais, je pars", parce que là tu influencerais beaucoup, ya une "menace".

C'est "si tu le fais, je vais aviser, et ya des chances que j'aime pas du tout et que ce soit meilleur pour moi de partir que de rester, mais je tiens assez à toi pour pas partir juste avec mon idée toute faite, donc nous donner l'occasion de voir ce que ça fera".

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Discussion : Peur de l'abandon face au poly...

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Siestacorta

le vendredi 02 novembre 2012 à 16h41

effondree

que c'est à lui de choisir. Certes je suis la raison de sa difficulté à faire son choix, mais c'est son envie, donc c'est à lui de décider ce qu'il souhaite tester : le risque de me perdre, ou le risque de se perdre.

C'est à lui de choisir, oui, à cette étape.
J'y vais, j'y vais pas.
Mais après, vous serez deux à devoir choisir si vous restez ensemble ou non.

Je crois, peut-être à tort, que c'est mieux que ce soit le poly qui prenne la décision de rompre avec le mono.
Disons que s'il le ne fait pas, c'est un méchant égoïste qui n'écoute pas ce qu'on lui demande, s'il le fait, c'est un méchant égoïste qui tient pas en place ("comme tous les autres mecs"...).
Quitte à ce que chacun se sente mal, autant croire avoir raison, conforté en cela par les normes sociales pour le mono, et sa capacité à y résister pour le poly.

Et tant pis pour toutes les possibilités d'amour qui se perdent en route. Tant que les poly seront une petite minorité, on aura encore beaucoup de ruptures injustifiées et de cocufiages rationnels.

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Discussion : Peur de l'abandon face au poly...

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Siestacorta

le vendredi 02 novembre 2012 à 16h27

Je ne comprend pas comment l'exclusivité devient une pulsion.
Un besoin personnel, une attente, bon, pourquoi pas, on peut être pragmatique et se dire qu'on se connait, par expérience on sait que quand il n'y a pas d'exclusivité, on finit par être malheureux.
Alors on désire être avec quelqu'un qui a les mêmes besoins.
Voilà, les choses sont simples, personne ne se pose plus de questions.
(le truc c'est que ça reste rarement simple : on ne reste pas le même toute sa vie, l'autre non plus).

Mais une pulsion, ça me semble "pas ça". JE veux dire, on ne vient pas avec l'autre en disant " je veux que tu sois exlusif aujourd'hui, oui, ah, ça me fait du bien toute cette exclusivité que tu me donnes" puis, après" "bon, ça va, je ne vais pas avoir de pulsion exclusive pendant quelques temps maintenant".

C'est pas une pulsion qui se manifesterait si le sujet n'est pas abordé.
Une pulsion c'est quand toi tu changes de comportement par rapport à ton comportement habituel.
Une pulsion d'exclusivité, je vois pas bien quand ça te prend "spontanément".

C'est une attente, une capacité de jalousie, bon.

effondrée
Qu'est-ce que tu n'aimes pas en toi quand l'autre est satisfait (je vais rajouter : "par un autre"), au point que tu désires qu'il ne le soit pas ?
la perte de la notion d'unique (surement lié à mon "exclusivité")

Ben en même temps, tu seras toujours unique, hein, ya des preuves ADN de ça. :-) On a pas besoin qu'on nous répètes qu'on est unique, c'est comme nous dire qu'on est humain, on sait.
Ce qui est important, rassurant, c'est que l'autre nous aime tel que l'on est, avec ce qui nous rend unique. Mais c'est pas lui qui le fait, on est déjà comme ça.

Votre relation aussi resterait unique de toute façon, même s'il en avait plusieurs parailleurs, puisque les autres relations existeraient avec des personnes qui sont différentes de toi. Et que ce qu'il choisit de faire avec toi, il veut le refaire, que ça continue. Donc à ses yeux, ces différences doivent avoir beaucoup de valeur. Ca, pour le coup, c'est rassurant.

effondrée
et sinon est-ce que vous avez eu des histoires où quelqu'un avait posé cette limite du physique, est-ce que selon vous cela est possible de vivre deux histoires d'amour en même temps dont l'une n'a pas de cul ?

Ca n'a pas d'intérêt pour moi, mais ça existe...
On peut avoir envie d'une relation amoureuse sans sexe et tomber sur quelqu'un qui veut la même chose.
Bon, cela dit, sachant qu'il a des désirs sexuels avec toi, je comprend pas bien comment il pourrait vivre d'autre relation sans ça. Ca fait probablement partie de ce qu'il attend dans une relation.

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Discussion : Peur de l'abandon face au poly...

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Siestacorta

le vendredi 02 novembre 2012 à 13h49

effondree


" il peut m'aider à chercher ce qui me fait du bien parce qu'il a l'expérience de chercher ce qui lui fait du bien à lui. "
c'est un peu blessant cette phrase, car tu pars du principe que je ne suis restée en phase réactionnelle.

Pardon, j'espère que c'est pas une grosse blessure :-/

C'est vrai que tu as dépassé le mode "épidermique", puisque tu es là à débattre !
Mais bon, la réaction "si ça arrivait" serait la même que tu aies réfléchi ou non, disons que tu sais ou tu en es toi.
C'est déjà bien. Mais ça ne veut pas dire que tu as compris ce qui se passe pour l'autre, ça veut dire que tu fais avec ce que tu te sens capable de comprendre.
(ce qui est très sain, d'ailleurs.)

Si je souhaite débattre après ça, c'est que tu exposes une opinion ici, tu ne fais pas que te dire "bon je sais ce que je veux, pas besoin d'en parler".
Et dans ton opinion, il y a d'une part l'idée de pulsion animale, et de l'autre un "tout ce qu'il veut, mais pas de sexe ailleurs".

C'est une limite que tu reconnais et que tu traces (heu, il faut que l'autre soi au courant, aussi, hein, c'est un des chevaux de bataille poly, les règles implicites en amour, ça valide des normes qui au final conviennent à peu de monde).

Comme tu tiens à valoriser cette limite, je tiens à l'interroger. Oui, c'est réactionnel, mais pas très grave... J'ajoute mon idée : tu sais que tu serais jalouse, mais tu ne sais pas comment il serait avec toi après.

En quoi sa pulsion animale satisfaite fait que la relation est moins bien ? Qu'est-ce que tu n'aimes pas en toi quand l'autre est satisfait, au point que tu désires qu'il ne le soit pas ?

effondree
et tout autant qu'il a le droit d'avoir envie de cette personne physiquement, j'ai le droit d'avoir mal de cela.

oui, oui ! Vraiment ! On a tous le droit d'être jaloux ! Ca arrive, c'est comme ça. Les ressentis sont pas des droits, ce sont des faits, on peut pas faire sans.

Mais si un pulsion animale, une histoire de cul, rend une histoire d'amour impossible, ça veut dire que le cul est à ce point plus fort que les autres sentiments ?

On a "le droit" d'être jaloux. Mais on ressent mille autres choses envers l'autre. Même quand on est dans un conflit, on ne fait pas que détester; plein d'autres choses se passent !

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Discussion : Peur de l'abandon face au poly...

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Siestacorta

le vendredi 02 novembre 2012 à 13h01

effondree

Mais ce n'est pas parce que je l'aime et que je serais heureuse pour lui que je resterais car je serais heureuse pour lui, mais pas pour moi.

Il est un élément qui te rend heureuse.
Sans forcément chercher d'autres amants, si t'es as pas besoin, tu as sans doute aussi d'autres choses qui peuvent te rendre 'heureuse pour toi', en dehors de ce qu'il fait ou non !

Je sais que la jalousie se décide pas, ne s'ignore pas. Répétons-le, les poly peuvent être jaloux, ça arrive. On peut juste faire qu'elle ne soit pas le seul sentiment décisif.
Et trouver comment être heureux pour soi ET pour l'autre ET le rendre heureux pour lui et pour nous, en même temps. C'est quand même une ambition qui vaut bien le "chacun pas trop triste, mais de son côté".

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Discussion : Peur de l'abandon face au poly...

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Siestacorta

le vendredi 02 novembre 2012 à 12h56

oups, désolé, j'ai retravaillé mon post pendant que tu me répondais.
Ya peut-être d'autres bouts qui valent le coup, tudis.

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Discussion : Peur de l'abandon face au poly...

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Siestacorta

le vendredi 02 novembre 2012 à 12h17

Je ne crois pas qu'on puisse réduire nos sentiments et désirs à une opposition entre la pulsion animale et sa contrainte.
Ca réduit ce qu'on ressent de l'autre aux moments où il ne va pas dans notre sens. Quand il nous fait du mal, il est égoïste, quand il nous fait du bien, il se contraint pour satisfaire notre égoïsme. Le bonheur ce serait pas quand on a exactement le même nombre d'abricots sur la part de tarte, mais quand l'autre s'emmerde à redécouper pour qu'il y ait éxactement ce nombre.

L'humain serait notre capacité à nous contraindre nous-même. A partir de là, les meilleurs humains qu'on puisse trouver vivent dans des régiments ou des monastères. Tout le monde contraints pour le bien commun.

Bon, mais sinon, l'empathie, ça existe, c'est ce qui fonde la complexité des rapports humains. Et sans doute le sentiment de justice. On a mal pour l'autre, on est heureux pour l'autre, indépendamment de notre propre situation, du nombre d'abricots qui nous ferait plaisir (et ça arrive qu'on préfère le salé).

L'empathie, on veut le bien de l'autre, et il veut le notre.
Pour arriver à en faire du bien, oui, ça demande de dépasser ses pulsions, mais pas en les ignorant ni en se contraignant à ne pas en avoir, mais en multipliant les moments où aucun de nous n'est contraint.
Soit en faisant des tartes plus grandes pour qu'il y en ait toujours trop pour tous, soit partant du principe que tout le monde n'a pas besoin de vivre la même chose. Il reste du fromage et de la glace, moi j'en veux pas.

Le moment où celui qui m'aime est heureux de vivre, où je lui offre la possibilité de trouver tout ce qu'il veut, du moment qu'on continue à s'aimer, c'est le moment où je suis dans l'empathie, la générosité, la compréhension, où je dépasse mon égoïsme.
Et puisqu'il m'a et qu'il a ce qu'il veut, il peut être généreux avec moi, attentif à ce que je désire, il peut m'aider à chercher ce qui me fait du bien parce qu'il a l'expérience de chercher ce qui lui fait du bien à lui.

Si on ne fait que se contraindre à ne pas faire de mal, et qu'on attend seulement ça de l'autre, on est dans une relation d'égoïsmes qui se satisfont dans le repli (jusqu'à ce que ça craque), plutôt que des individualismes généreux qui s'offrent chaque jour des possibilités de satisfaction.

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Discussion : Les polyamoureux font-ils peur ?

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Siestacorta

le jeudi 01 novembre 2012 à 00h14

alouette
oui bien sur .. siil ny a pas tout ce qui fait une "relation" la complicité , la tendresse , la vie au grand air etc

Ben c'est pas parce qu'on se voit pas de façon continue qu'on a pas complicité, tendresse...

(Pour la vie au grand air, en fait, ça veut dire que les scouts ont plus de chances d'avoir une relation que les autres ?)
(non, rien...)

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Discussion : Rocky Horror Picture Show, sur Paris ?

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Siestacorta

le mardi 30 octobre 2012 à 20h02

Lul> 8 €.

Pour la date... Heu... restez connectés.

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Discussion : [Livre] Le Contrat universel : au-delà du mariage gay, par Lionel Labosse (A Poil, 2012)

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Siestacorta

le jeudi 25 octobre 2012 à 15h05

Hm.
Je sais plus si c'est Aurelien ou Tentacara ou quelqu'un d'autre qui disait ça (je confond pas, ma mémoire est seulement volatile) : aujourd'hui, on est en faveur du mariage et de l'adoption par deux parents homos, parce que ça institutionnalise l'égalité entre les genres, mais on s'en servira pas pour le polyamour. Pour ça, on aura besoin d'un pacs élargi.

Je me demande d'ailleurs si c'est pas des pacs à deux mais que chacun peut passer avec plusieurs personnes, plutôt que des pacs pour plusieurs, qui serait le plus pratique ?

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Discussion : Rocky Horror Picture Show, sur Paris ?

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Siestacorta

le jeudi 25 octobre 2012 à 11h01

Hééé oui, boudiou, on emmenait le riz, l'eau. Parfois du maquillage et du déguisement, mais c'est pô pratique !

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Discussion : Rocky Horror Picture Show, sur Paris ?

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Siestacorta

le jeudi 25 octobre 2012 à 00h25

Wa ! Les résas marchent aussi pour le Studio Galande ? Deuh mhon temhps, on faisait juste la queue à l'entrée le soir-même, mais fallait arriver une bonne demi-heure avant la séance.

Bon, ben j'ai bien fait d'en préparler, alors !

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Discussion : Eduquer ses enfants hors des clichés de genre

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Siestacorta

le mercredi 24 octobre 2012 à 13h28

tentacara
Merci Katouchka et Siesta, mais justement, notre fille a des parents dont l'une des caractéristiques principales est de s'interroger sur leur façon de faire les choses.

Donc, ya des chances que ça soit lié à ça, son identité, et qu'elle sera déjà bien partie pour marquer ses préférences à elle.

Et puis, c'est valable sur plusieurs sujets, c'est plus tard et pas dans l'environnement direct que l'éducation sortira. Tu sais, comme quand ton gamin t'égnerve comme pas possible à la maison, mais que tous les gens chez qui il est invité te disent "mais il est saaaage !"

Ou quand, ados, on s'est mis à aimer telles ou telles musiques, pas du tout celles des parents, mais que plus tard, on finit par aimer ce qu'on entendait déjà à la maison.

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Discussion : Le polyamour s'invite dans le débat sur le mariage homo

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Siestacorta

le mercredi 24 octobre 2012 à 11h30

Au fait, sur la dimension adoption :

https://www.facebook.com/photo.php?fbid=5017640531...

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Discussion : Eduquer ses enfants hors des clichés de genre

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Siestacorta

le mercredi 24 octobre 2012 à 10h49

Ben...
Disons que vous avez déjà un rapport éduqué aux clichés de genres vous-même. J'ai tendance à dire que si la gamine perçoit le plaisir que vous avez à vivre cette liberté-là, elle en sera marquée sans que vous ayez besoin de réinventer un gender-concerned montessori (ouanagaine staïle).

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Discussion : Monogame et idée de polyamour

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Siestacorta

le mercredi 24 octobre 2012 à 10h44

Nyuu : en tout cas, félicitations pour le travail sur toi. Bon choix de bouquin, oui !
Mais même si c'est un hasard de l'étymologie, oublie pas, dans autodidacte, il y a acte : même si c'est pas dans un domaine social mainstream, même si c'est pas pour devenir mondain, ou le gars populaire et tout, essaie de trouver des moments où tu es bien sans être seul ou protégé...

Tentacara : moi je suis pas sage, je suis un ermite accidentellement urbain.

Message modifié par son auteur il y a 13 ans.

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