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Discussion : [Vidéo] AmourS au pluriel, de Vassili Silovic, 2019
Discussion : [Vidéo] AmourS au pluriel, de Vassili Silovic, 2019

Mark
le lundi 27 mai 2019 à 22h00
Visionnage en cours, c'est plutôt agréable à regarder et écouter.
Pour ceux qui ont loupé la diffusion:
https://gounlimited.to/5mxg28g125e7
(edit) Pour le deuxième reportage, c'est par ici:
https://gounlimited.to/2ehrcs70haz7
Message modifié par son auteur il y a 6 ans.
Discussion : [vidéo] L'amour dure 90 secondes | Marine Duvouldy | TEDxAnnecy | oct 2018

Mark
le samedi 25 mai 2019 à 18h04
Merci pour le lien @Lili-Lutine
Cela m'a permis de mettre en évidence la raison d'un mal être du à un mouvement de recul dans une relation. L'absence de toucher et de mots. Quand on est à la base tactile, que la distance rend cela impossible et qu'en plus les mots ne suivent plus... ça pique.
Faire ce petit test m'a permis de mieux me situer dans la sphère des sentiments et ressentis amoureux. La conférence vient l'éclairer sous un autre angle.
Discussion : Nouvelle rencontre PENDANT la NRE : doutes et questionnements

Mark
le vendredi 24 mai 2019 à 10h20
bidibidibidi
La NRE n'est en rien obligatoire.
Je rebondis sur ce que tu dis parce que ça m'interpelle.
J'imagine que la NRE ce n'est pas que avoir "les papillons dans le ventre" mais aussi l'effet de manque, de désir, de vouloir passer du temps ensemble toussa. Alors sans nre, comment se manifeste l'attrait, l'envie de la nouvelle relation, pour soi et envers l'autre?
Discussion : Nouvelle rencontre PENDANT la NRE : doutes et questionnements

Mark
le vendredi 24 mai 2019 à 07h37
Une belle histoire!
Sur ta conclusion, comme toi pendant la NRE je me sens moins réceptif, disponible à d'autres sollicitations. La NRE crée des besoins, des envies et peut-être le plus délicat, quelques attentes? C'est peut-être dans cette direction là qu'il faut creuser un peu?
Se rendre compte que l'on se retrouve seul.e dans la NRE, ça pique un peu, je confirme.
Haut les coeurs! ;-)
Discussion : Poly. Et maintenant?

Mark
le jeudi 23 mai 2019 à 15h25
bonheur
Une personne qui accède (accepte) sans s'épanouir également ? Ne serait-ce que par l'obligation de communication, de rapprochement (sécurisant), d'écoute réciproque, d'attention réciproque, ... Autant divorcer :-/
La dynamique commune est essentielle, non ?
Je n'ai peut-être pas compris le sens général de ce texte, finalement :-/
@bonheur ,
@artichaut à très bien retranscrit mes mots.
Mon choix du mot convertir n’a rien du hasard. C’est ce que je ressens dans nombre de discussions que je lis.
Et non, je m’inscris en faux à ton affirmation qu’il est essentiel que la dynamique soit commune. Elle peut ne pas l’être au départ, ne le sera peut être jamais et ne peut être demandée. Au mieux, espérée. Je conviens qu’un manque de compersion, d’empathie, de partage du bonheur rend sûrement moins agréable (libératoire?) de vivre sa pluralité quand l’autre ne l’accueille, vit et ressent pas de la même manière, voire avec la même intensité.
J’ai le même ressenti sur le coté « je dois pouvoir « tout» dire sinon je vis mal ma pluralité » qu’il m’arrive de lire.
Tu vois la place que prends le « je » la dedans, et la potentielle violence d’attendre ce partage de ressenti et vécu de l’autre?
Je ne le dis pas comme un reproche, mais comme mon constat, mon ressenti. Je trouve que tu ne peux pas demander à une personne qui accède (dans ma traduction du mot: qui découvre/s’y trouve confronté) de s’y épanouir, tôt ou tard. Le cerveau ne contrôle pas toujours le cœur ou les tripes. Tout n’est pas binaire.
Pour le autant divorcer, je sors un joker. Je pense que les réponses sont complexes à trouver, à géométrie variable ET temporelle, fonction du cheminement des personnes qui apprennent à apprivoiser composer/avec une nouvelle relation qui c’est crée à l’extérieur du couple initial – oui, je pense que c’est valable pour l’ensemble des personnes impliquées-
il n’y a pas forcément de gentil ou de méchant dans l’affaire, de victime ou d’égoïste, mais des personnes qui à la base s’aiment, et cherchent un mode de fonctionnement adapté, à ré-écrire ensemble une nouvelle relation.
Le cheminement vers l'équilibre prend parfois des années, au résultat incertain. Et c'est la que se pose pour moi la difficile question du divorce. A quel moment admettre que l'un souffre trop, vs. l'autre qui étouffe de ne pas pouvoir vivre sa pluralité sereinement.. ?
Je crois, que mon propre vécu et cheminement m’a pour le moment plus mené vers la poly-acceptance à travers la dissociation de sexualité et fidélité que vers une recherche active de relations plurielles.
Le plus grand piège dans la recherche d’acceptance, à mon avis, est le détachement affectif en mécanisme de défense car il influe négativement sur la sincérité et profondeur de la relation.
(= L’acceptation par dépit)
Ce sont plein de questions et d’observations auxquelles je n’ai pas forcément de réponses concrètes, ou de « solutions » à proposer pour autant..
Message modifié par son auteur il y a 6 ans.
Discussion : Poly. Et maintenant?

Mark
le jeudi 23 mai 2019 à 15h14
Merci infiniment pour ta lecture, analyse et reformulation -que je trouve vraiment géniale- de mon brouillon de sentiments.
Je ne trouve à vrai dire, rien à ajouter. Ton message n’a rien gâché, au contraire, il a mieux mis en paroles que je n’ai su faire.
Poly-accédant: « qui découvre, s’y trouve confronté. » Clin d’œil à primo-accédant mais aussi parce qu’il englobe dans mon idée aussi bien la personne qui découvre le sentiment de pluralité que celle qui le découvre chez l’autre.
Tu as souligné le petit coté négatif de ne pas sortir indemne de l’amour et je trouve ton commentaire très pertinent.
Je parle de celui qui te prends les tripes, ou tu acceptes et te laisses aller à cet état d’amour dévorant, enivrant, on ne ressort en effet pas pareil. Il laisse des traces vives, de bonheur mais aussi de douleurs. (et cela, même si l’on reste pragmatique et conscient de l’effet NRE.) Le choix de la citation était ici volontaire, je t’ai envoyé un mp à ce sujet.
Sur mon « Je t’aime, bordel » et de la chance de pouvoir dire je t’aime?
Je ne peux répondre pour @Aiemama à ce sujet, mais je l’ai interprété comme « tu as la chance d’avoir ce quelqu’un à qui tu peux le dire »
Le bordel! est une private joke, et j’estime que c ’est une chance parce que c’est une personne à laquelle je tiens beaucoup, qui est venue s’inviter dans mon cœur par surprise;
sans séduction ni coup férir et que cela à été réciproque au niveau du ressenti qui nous est, en fait, tout simplement tombé dessus à un moment ou nous ne le cherchions pas, voire ne nous sent(i)ons pas forcément prêt pour ça. (Je pense que l’amour peut être violent, voilà un exemple)
Sur le titre.
J’ai écris mes pensées puis cherché un titre. Tu as raison, mes mots se sont en effet embrouillées un peu au fil des lignes entre ce que je ressens du polyamour et ce que je vis concrètement en ce moment.
Il se veut plus une interrogation sur le comment s’accompagner devant un état de fait, une évidence qui ne veut plus se renier. Comment s’entraider à vivre cette pluralité en y trouvant chacun son équilibre, sérénité et épanouissement. Accepter que ça ne fonctionne pas tout de suite, peut être pas du tout et avoir le courage de libérer l’autre pour vivre sa pluralité.
Dans cette acceptation de soi, dire à l’autre que proposer de se séparer quand la quête d'épanouissement de l'un entraîne la souffrance continue de l'autre n’est pas une punition ou un rejet, mais une libération vers un cheminement personnel qui conviendra mieux à chacun.
Ne pas mettre la charge de la rupture sur le dos de l’autre est à mes yeux aussi faire part d’un certain courage. (je conviens que c’est un peu la double peine d’assumer ses orientations relationnelles et la possible rupture d’une relation existante)
Je pense qu’être poly n’en est pas un choix. (au même titre que son orientation sexuelle ou genrée n’est pas un choix) Mais plutôt ce qu’on est ou ce que l’on se découvre être, parfois plus tardivement dans la vie. On fait avec comme on peux.
Discussion : Evolution d'un couple mono vers le polyamour

Mark
le jeudi 23 mai 2019 à 15h03
bonheur
Je trouve belle ton attitude d'avoir fait la démarche à l'intérieur de ton couple, avant d'acter ton amour.
Mais tellement!
Je suis conscient que l'amour s'invite parfois de manière brutale et inattendue dans une relation et que l'on se retrouve à devoir "faire avec". Se donner le temps d'ouvrir la discussion dans son couple en amont change, -en tout cas dans mon cas- beaucoup la perception des évènements. Respect!
Discussion : Evolution d'un couple mono vers le polyamour

Mark
le mercredi 22 mai 2019 à 15h43
Caoline
Par rapport à ce que dit Mark, moi je n'ai jamais eu de souci pour passer de l'un à l'autre de mes amoureux, dès le départ ça a été très fluide. Pour certains de mes ex nous partagions parfois de l'intimité à 3, ça aide peut-être mais pas pour tous. Et comme le fait de pouvoir vivre toutes mes envies sans qu'il le vive mal me rendait encore plus amoureuse de lui j'ai vécu à l'époque comme une double NRE alors qu'il y a 20 ans que nous étions ensembles.
C'est super quand on ne ressent pas ou plus le besoin ou la nécessité de redescendre de son petit nuage avant de retrouver un.e autre de ses relations. Je dis juste qu'il faut dans certains cas ne pas occulter le ressenti de la personne auprès de laquelle on revient.
Je lis régulièrement dans les témoignages ce que @Caoline décrit ici: Que les autres relations fonctionnent comme des catalyseurs, et amplifient l'état amoureux vis-à-vis de son conjoint. C'est beau!
Message modifié par son auteur il y a 6 ans.
Discussion : [Vidéo] AmourS au pluriel, de Vassili Silovic, 2019
Discussion : Evolution d'un couple mono vers le polyamour

Mark
le mardi 21 mai 2019 à 16h09
Bonjour Justine,
Je pense que le cap le plus difficile est passé: Prendre le temps de comprendre et verbaliser ses ressentis puis arriver a mettre le sujet sur la table.Ton partenaire a assimilé les principes mais entre ce que le cerveau comprends et ce que le coeur ressent, bin oui, il y a le grand écart.
J'ai très mal vécu, une fois les choses actées, les retours ou l'absence d'affection, de désir, de réassurance, m'ont fait profondément douter de moi et m'ont mis en insécurité. Chacun le vivra et verbalisera à sa manière, mais j'aurais bien mieux vécu ces changements en me sentant plus "aimé"
Ce manque, j'ai finit par le vivre en subissant et assumant en silence, en serrant les dents. Stratégie d'évitement donc. Et le risque de cette attitude est de se détacher émotionnellement de la relation, par mesure d'auto-protection. C'est vraiment la situation à éviter.
Tu pourrais par exemple, prévoir de prendre le temps de ressortir de ta bulle avant de rentrer retrouver ton conjoint, il te retrouvera ainsi plus disponible et accessible pour lui.
Savourer ton bonheur en te voyant rentrer rayonnante et épanouie, ça se travaille, mais ça ne vient généralement qu'au bout d'un certain temps et une assurance qu'en fait, rien n'a changé entre vous.
La courbe du deuil schématise bien les différentes étapes par lesquelles on peut passer dans ce genre de situations:
Mieux le comprendre c'est aussi pouvoir mieux interagir. Et il peut y avoir des reculs dans ce cheminement, des périodes de doutes, d'insécurité.
https://kolibricoaching.com/wp-content/uploads/201...
Tes meilleurs alliés dans cette transition profonde de votre couple sont le temps et la constance de tes sentiments envers ton conjoint.
Sans lui laisser le "contrôle " de ta relation, savoir entendre qu'il n'est pas tout a fait prêt pour franchir certaines étapes est un message important, qu'il ne faut pas rejeter.
Version courte, mais frustrante au plus haut point pour celui qui est en demande: Il faut savoir aller à la vitesse du plus lent
Message modifié par son auteur il y a 6 ans.
Discussion : Lexique

Mark
le mardi 21 mai 2019 à 13h33
artichaut
*
Sinon, dans un autre ordre d'idée (quoique pas très éloigné) deux termes proposés par @Mark (ici) :
- poly-accédant·e : ou l’égocentré découverte de la pluralité
- poly-aimant·e : créer un vrai cocon, sécurisant, véritablement et sincèrement (en remplacement de poly-acceptant·e ?)
Je n'avais pas encore lu cette discussion, désolé s'il y a redite! Pour apporter un brin de précision au ressenti que j'ai voulu exprimer dans ce post. Une compréhension ou lecture plus large est toujours sympa à lire et tout a fait intéressante si elle convient à un usage au spectre plus large.
poly-accédant.es > en clin d'oeil aux primo-accédant.es: "la première fois"
poly-aimant.e > J'ai voulu exprimer ici que l'amour qu'on porte à sa relation naissante ne doit pas uniquement se focaliser là dessus, mais être et rester plus englobante, y inclure sans occulter ni minimiser l'amour pour sa relation existante, qui va souvent avoir besoin de double dose d'affection, de ré-assurance, d'amour, de désir. Bref, de ne pas se laisser aveugler par la nre.
Discussion : Poly. Et maintenant?

Mark
le mardi 21 mai 2019 à 07h53
@Aiemama
J'avoue avoir confondu un peu forum et journal intime, mais ça ne me semblait pas trop hors propos ici ;-)
Content si tu as apprécié ces pensées partagées.. (les fautes, c'est offert :P )
Et tu as raison, j'ai effectivement la chance de pouvoir lui dire.
Discussion : Poly. Et maintenant?

Mark
le mardi 21 mai 2019 à 03h12
Avant de se trouver confronté à l’égocentré découverte de la pluralité
Pour beaucoup, une longue vie de couple monogame, souvent, a précédé.
Pour certains couples cela a été discuté et réfléchit en amont, à l’unisson
Pour d’autres, un amour inattendu est venu s’y imposer; implosion, vide d’air, reconstruction?
Parfois le poly, comme faux-nez est prétexté, pour s’en justifier, de sa culpabilité se libérer
Il reste alors à l’autre de digérer, s’adapter, accepter. S’incliner ou refuser? Intégrer ou saborder?
Je ne peux cependant le nier, l’état amoureux aussi, amène son lot de violentes émotions,
Il impose souvent et sans distinction des deux cotés, plein de doutes, douleurs et de questions
Il faut alors se battre doublement, pour préserver et (re?)construire ce qui est
et dans sûrement des moments de haute voltige, apprendre à faire vivre ce qui naît
Qui donc ne serait pas, au moins tenté, de se laisser porter par un amour naissant,
Mais partager à la fois son cœur et son temps, là, c’est tout de suite moins évident
Je lis de ci de là, beaucoup de conseils et paroles avisées, de lectures conseillées,
Forts utiles pour aider à se retrouver dans l’espace de sécurité ainsi secoué, chamboulé, ébranlé
Comment font concrètement les poly-accédants, depuis le statut et NRE fraichement acquis,
Pour ne pas reléguer, savoir écouter, apaiser, continuer d’aimer, une âme, souvent meurtrie?
Pour ne pas chercher les arguments ni mots valises pour convertir l’autre en poly-acceptant,
Mais au contraire, créer un vrai cocon, sécurisant, véritablement et sincèrement, poly-aimant.
L’amour est beau, et sa singularité; sans même parler de pluralité, est parfois déjà, un vrai dilemme;
pour citer une personne que je chéris, « On en ressort jamais indemne. »
Juste quelques pensées pour ceux et celles qui se retrouvent dans ces maux,
qui luttent et se battent, pour garder leurs cœurs et têtes hors de l’eau...
Quel que soit le choix de la manière ou l’on aime,
Assurez vous, surtout, de rester fidèle à vos valeurs et à vous-même
---
(vécu, résumé et conclusions de plusieurs années de questionnements, découvertes et décisions.
En partie, à quelqu’un pour qui l’amour est en ce moment, plus châtiment et affolement qu’épanouissement. Je t’aime, bordel!)
Message modifié par son auteur il y a 6 ans.
Discussion : Le rayonnement en disgrâce ?

Mark
le dimanche 19 mai 2019 à 08h33
Si je me tiens au rayonnement dans le contexte poly relationnel, oui, je trouve qu'il peut être "trop" envahissant pour un.e poly-acceptant.e.
Passer d'une bulle relationnelle à une autre me demandait un peu de temps de transition, d'atterrir en douceur d'une bulle et de me ré-approprier l'autre. Me défaire d'un état pour me rendre plus "disponible" pour l'autre.
Oui, on peut faire un travail sur soi, essayer de mieux appréhender à ne pas se sentir délaissé.e rejeté.e, en insécurité par rapport à l'indisponibilité temporaire de l'autre à son retour.
Non, le rayonnement de l'autre n'est pas toujours perçu avec facilité par celui/celle qui reste à la maison et oui, je pense qu'il est important de prendre cet état en considération.
Non, ton bonheur ne fait pas forcément le mien à cet instant T.
Et laissons pour une fois les mots de compersion et jalousie en dehors de la discussion? Parce que je pouvais avoir de la compersion, ne pas ressentir la moindre jalousie et être dans l'empathie mais pour autant ne pas sentir ma partenaire "de retour" pendant un certain temps. (edit: Affectivement, émotionellement, et je passe sous silence sexuellement)
Message modifié par son auteur il y a 6 ans.
Discussion : S’interdire d’aimer

Mark
le lundi 13 mai 2019 à 20h34
HeavenlyCreature
Des mecs qui cherchent l'amour il y en a des tonnes, tu ne cherches juste pas au bon endroit ou alors tu dégages quelque chose qui attire les queutards. /// Accuser les autres ne te fera pas avancer.
@Aiemama Autrement dit, il y a peut être un problème avec la formulation de la demande et/ou son interprétation.
psst: #notallmen ;-)
Message modifié par son auteur il y a 6 ans.
Discussion : S’interdire d’aimer

Mark
le lundi 13 mai 2019 à 15h58
Aiemama
Parce qu’il est mono et que c’est du one shot, je mets trop de sentiments au moment des rapports, je crois qu’on peut dire que je suis direct en NRE!!! J’arrive pas à contrôler...
Sourire.. je me reconnais dans ces mots. Le one shot c'est pas dans ma philosophie sans avant/pendant/après, j'essaie vraiment de l'éviter.
et j'avais mal compris ton post initial. Pour moi c'était les autres qui s'interdisaient de tomber amoureux de toi.
Mais effectivement, dans ce sens ton interrogation prends tout son sens.
Discussion : La théorie oui, mais la pratique je n'y arrive pas

Mark
le lundi 13 mai 2019 à 15h32
Bonjour,
j'ai lu vos posts avec attention depuis plusieurs jours et ne suis toujours pas sur d'avoir les mots justes pour vous répondre...
Vous avez déjà reconstruits une nouvelle histoire à la suite de vôtre éloignement.
Une nouvelle fois, les lignes bougent et vôtre démarche a tenter de trouver les ressources et réponses pour la compréhension sont tout à vôtre honneur. ils sont à mes yeux toutefois des comportement d'évitement et de contournement. (on fait ce que l'on peut avec les données et ressentis que l'on a, ce n'est nullement un reproche, juste... humain)
Je suis entièrement de l'avis de @bonheur, et excusez mes mots crus, c'est pour moi à vôtre compagnon de prendre ses responsabilités et de ne pas vous laisser la charge de "vous en accommoder"
vous posez des distances, et vous protéger ainsi avec les moyens du bord me semble une très bonne démarche.
Le dialogue, s'il est important, ne peut pas toujours tout résoudre, mais il peut amener à des conclusions plus apaisées.
Je vous souhaite plein de courage dans cette période de turbulences. N'oubliez pas de penser à .. vous!
Discussion : S’interdire d’aimer

Mark
le lundi 13 mai 2019 à 15h19
Je ne suis pas dans la tête de tes prétendus non-prétendants ^^
Je peux juste te dire que j'ai demandé à mon amoureuse si elle me laissait tomber amoureux d'elle. (la complicité c'est installée des nos premiers échanges et le coup de foudre nous est tombé dessus sans prévenir, avant même de nous rencontrer)
A ta question, oui, je pense qu'il est possible de faire taire ses sentiments au tout début avec un regard respectueux de l'autre (je ne parle pas de la friend zone, mais bien de rediriger sa NRE naissante) Une fois les sentiments forts installés par contre, je crains qu'il ne soit bien plus compliqué de les ignorer ou de s'en défaire)
Discussion : Une étude pourrait expliquer pourquoi les gens choisissent d'avoir plusieurs relations en même temps.

Mark
le mardi 30 avril 2019 à 18h31
Je suis tombé sur cette brève: (l'étude qui est récente, est en anglais par contre)
source: https://scienceblog.com/507393/study-could-explain...
étude: https://econtent.hogrefe.com/doi/full/10.1027/1864...
pdf: https://econtent.hogrefe.com/doi/pdf/10.1027/1864-...
Traduction (automatique) de l'article:
Selon une nouvelle étude, s'intéresser à un mode de vie polyamoureux ou poursuivre des relations multiples peut aller au-delà de la simple titillation.
Dirigée par des chercheurs de la Faculté de santé de l'Université York, l'étude a révélé qu'il peut y avoir des avantages uniques à diversifier les besoins des partenaires dans le cadre d'une relation polyamoureuse : vivre plus d'érotisme et d'affection avec un partenaire était associé à la satisfaction et à la proximité dans une relation parallèle. De plus, cette étude montre que les personnes qui connaissent des niveaux plus élevés d'érotisme et de nurturance rapportent également une plus grande satisfaction sexuelle et une plus grande proximité avec leurs partenaires.
L'étude pourrait expliquer pourquoi les gens choisissent d'avoir plusieurs relations en même temps.
Amy Muise
Dans cette étude, la coauteure Amy Muise, professeure adjointe au département de psychologie de l'Université York, et l'auteure principale Rhonda Balzarini, boursière postdoctorale, ont examiné les niveaux d'érotisme et de nurturance dans les relations monogames et polyamoureuses. L'objectif était de vérifier si les personnes dans des relations polyamoureuses sont capables de maintenir des niveaux plus élevés d'érotisme et d'attention que les personnes dans des relations monogames en ayant des relations multiples. Cette étude est la première à examiner l'érotisme et la nurturance dans les relations polyamoureuses versus monogames.
"On s'intéresse de plus en plus aux relations consensuelles et non monogames, tant dans le grand public que dans le domaine de la recherche ", a déclaré M. Muise. "Les résultats de l'étude suggèrent que des besoins différents peuvent être satisfaits dans des relations différentes et que la relation consensuelle et non monogame peut être un moyen pour les gens de diversifier leurs besoins.
L'étude a révélé que les participants aux relations polyamoureuses ont connu moins d'érotisme mais plus d'attention dans leurs relations avec leur partenaire principal que dans leurs relations avec leur partenaire secondaire.
"Nous savons, d'après des recherches antérieures, qu'avec le temps, l'érotisme a tendance à s'estomper tandis que la nurturance augmente. Nous savons aussi que l'érotisme et l'éducation jouent un rôle fondamental dans les relations interpersonnelles ", dit Balzarini. "Les résultats suggèrent que même si les relations multiples peuvent aider les individus à satisfaire leurs besoins en matière d'érotisme et d'éducation, les expériences avec un partenaire n'améliorent pas toujours une relation simultanée.
L'étude est publiée dans Social Psychology.