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Discussion : [Rennes] café poly-pop#16 « Les schémas monogames dans nos relations poly » (au BabaZula, 182 av. Patton, 20h). Novembre 2019

artichaut
le dimanche 24 novembre 2019 à 19h15
Donc c'est ce mardi à 20h. Et c'est possible de manger sur place (cf le post poly-pop en haut de ce fil) pour pas trop cher.
Discussion : Help! Complètement perdu

artichaut
le dimanche 24 novembre 2019 à 14h58
DarkAngel
Elle me dit que la monogamie n’est pas naturelle chez elle,
Si si, elle est ultra monogame (en tout cas au vu des éléments que tu nous en raconte).
Et tu es beaucoup plus "poly" qu'elle.
La monogamie, s'accommode très bien avec l'adultère.
Et au contraire "rester compréhensif envers les gens" c'est plutôt ça être "poly".
DarkAngel
où,oui bêtement, j’ai voulu croire qu il existait une chance qu’elle quitte son mari,
On fait tous et toutes des erreurs…
DarkAngel
après tout la question d’avoir un enfant ensemble avait même été soulevée...
Dis donc, elle est un peu girouette ton amoureuse…
(En soi rien n'empêcherait d'avoir deux enfants avec deux hommes différents, mais ça n'a pas l'air d'être ça qu'elle veut, et ce ne serait de toute façon pas souhaitable/possible dans le mensonge).
DarkAngel
Son souhait n est pas pour autant de continuer la relation telle qu’elle est, mais plus vers une forme d’amitié avec un amour réciproque toujours présent mais en renonçant au sexe, à la tendresse, à nos entrevues seul à seul,
Mouais. Je comprends que ce soit un peu rude pour toi. Supprimer même les entrevues seule à seul, je trouve ça carrément déplacé et non respectueux envers toi.
Genre c'est à toi de décider la rupture. Alors qu'en fait elle ne te laisse pas le choix.
Décidément elle à l'air bien lâche et bien égoïste.
Désolé de dire ça, mais ça me semble un peu toxique tout ça.
Discussion : Help! Complètement perdu

artichaut
le dimanche 24 novembre 2019 à 14h44
DarkAngel
elle (…) voit la poursuite du mensonge comme une nécessité pour son bien-être à lui...
Foutaises.
On ne fait pas le bonheur des autres malgré eux.
Discussion : Help! Complètement perdu

artichaut
le dimanche 24 novembre 2019 à 13h00
Bienvenu ici @DarkAngel
Tu dis comprendre et respecter son choix de continuer avec lui ses projets, et plus loin tu parles de mettre un terme à votre relation en faisant un « non choix ».
Du coup c'est un choix ou un non-choix ?
Un choix avec lui, un non-choix avec toi ?
Vous êtes séparés ? Ou c'est juste ces projets, que pourtant tu dis comprendre et accepter, qui te font douter ?
Si le polyamour ne fait pas partie de ta conception du monde, pourquoi avoir commencé une histoire avec une femme mariée ? Qu'espérais-tu ? Ou qu'espères-tu aujourd'hui ?
Es-tu au clair avec toi-même sur ce dont tu as envie vraiment (avec elle et/ou dans ta vie en général) ?
Quand à elle, si elle à un choix à faire, ce serait peut-être de cesser de (se) mentir : assumer vraiment ses choix. Si elle veut continuer cette double relation, il est peut-être temps d'en parler à son mari.
Est-ce cela qui te dérange ? Qu'elle mente à son mari ?
Discussion : [Podcast] [Brochure] Comme une envie de…, 2011

artichaut
le mercredi 20 novembre 2019 à 18h03
Et comme je le trouve chouette ce dernier morceau, en voici le texte (ratiboisé, tel que présenté dans cette compile) :
Y'a personne à embrasser
Y'en a un qui disait "la propriété c'est le vol". Il avait probablement raison. Au fond, tout le monde croit que l'amour c'est beau, c'est libre, romantique et tout le tintouin. La réalité c'est que tout le monde veut s'emprisonner l'un l'autre. L'accrocher avec des chaînes à soi-même. L'exhiber dans les rues et devant les copains, les copines, comme le dernier truc à la mode. "Tiens salut t'as vu je te présente ma copine elle est encore mieux que la précédente, t'as vu elle a un beau cul, elle est intelligente et soumise." Posséder les gens comme on possède un téléviseur. De quoi se vanter le dimanche soir aux repas de famille avec papa-maman-petite-soeur-chien-chien-et-chat. Vous avez vu mon homme papa-maman vous avez vu je suis plus seul maintenant il est beau et fort je l'aime c'est mon fruit au caramel ça y est maintenant j'ai une existence sociale.Vous vous rappelez du mot liberté ? Celui qu'on crie pendant les révolutions. Celui que les utopistes ont toujours à la bouche. Celui qui fait beau dans les poèmes et les romans d'amour. L'amour peut-il être libre ? Tu prends ce que t'as sous la main. Tu joues à la séductrice. Tu jettes ce que t'as pour mieux quand l'occasion se présente. Les gens sont jetables. Appareil photo jetable. Sac jetable. Téléphone jetable. Petite amie jetable. Quel progrès. La civilisation fait des miracles.
C'est magique, on peux même en acheter. Si si sur Internet, dans les agences matrimoniales. Achetez l'amour, ne mourrez pas seule. Rencontrez l'âme sœur. Pas cher. 29,99 par mois. À ce prix-là c'est cadeau. Devenez top-model mannequin laideron bombe sexuelle mâle aguicheur beauf tombeur pétasse en talons aiguilles petite timide mais sympa superbe cadre belle situation grosses couilles en or homme viril femme mûre y'a tout ce que tu veux fais ton choix coche tes critères avec photo sans photo de ta ville ta région un peu exotique revenus excédentaires avec signes extérieurs de richesse fumeur non fumeur tour de poitrine circonférence du portefeuille physique normé oui c'est beau ça plaît. De l'amour à vendre au kilo comme des tripes de porc. Moi ça me fait gerber, vous je sais pas mais au fond je m'en fous.
Y'a personne à embrasser. Y'a personne qui veut de ta tendresse, de ton amour. Crève donc. Personne ne t'en donnera non plus.
Y'a personne à embrasser ici. Tout ce qu'ils veulent c'est te posséder. Tu sais pas pourquoi. Tu sais juste que tu dois être la seule. On te parle de fidélité et de trucs dont tu te demandes d'où ça peut bien sortir à part du trou du cul de la Bible. Il paraît que c'est ça le couple. Qu'il crève alors, qu'il crève.
Y'a personne à embrasser ici. Et si c'est ça votre amour, si c'est mon oppression, ma négation, vous pouvez bien vous le garder. J'en veux pas. Je mourrai seule alors peut-être et je m'en fous. J'ai pas besoin de vous, non j'ai pas besoin de vous.
Y'a personne à embrasser ici. Y'a personne qui veut librement de ma tendresse et de mon amour. Ils veulent la sécurité de l'emploi. Une proie facile à portée de main. Ne plus faire d'effort.
Y'a personne à embrasser. Juste toi et moi au milieu du chaos. Et tous les autres. Tous mes amours, tous tes amours. Tu crois qu'on retrouvera un jour le chemin de la maison ?
Y'a rien à posséder ici bas, oubliez-moi. Embrassez-moi quand vous saurez qui vous êtes. Je ne veux pas de votre amour de supermarché. Laissez-moi ma liberté. C'est ça que vous aimez chez moi. Laissez-moi vous offrir ce que j'ai à vous donner. Ça ne vous suffit pas ? Vous en voulez plus ? Je ne vous donnerai rien.
Discussion : Sologamie, se marier avec soi-même, et en faire une fête

artichaut
le mercredi 20 novembre 2019 à 00h38
Et cette Sologamie ne me semble pas forcément incompatible avec le "polyamour solo" : si je dois me marier, ce ne serait qu'avec moi-même (= "je suis ma relation unique et principale"), mais rien ne m'empêche d'avoir d'autres relations…
Discussion : Sologamie, se marier avec soi-même, et en faire une fête

artichaut
le mercredi 20 novembre 2019 à 00h33
J'ai trouvé nulle part sur le forum mention de la « Sologamie » : se marier avec soi-même, et en faire une fête, comme alternative à la monogamie.
Liens :
- Sologamie sur le Wiktionnaire
- Sologamie : une Américaine se marie... avec elle-même !, par Camille Moreau, Marie Claire 2015
- Il est peut-être temps de repenser à la « sologamie», ou le mariage pour soi, par Vincent Manilève, Slate, février 2016
Discussion : [Podcast] « Quand coucher n’est pas tromper : les nouvelles infidélités », par Andrada Noaghiu pour "Sur les docks" (Territoires intimes 4/4), France Culture, 54', 2012

artichaut
le mercredi 20 novembre 2019 à 00h07
J'ai beaucoup apprécié ce documentaire sonore, qui prend son temps, qui aborde tant le polyamour que le libertinage (dont on parle peu sur ce forum) et qui fait du lien entre ces différentes approches.
Les séquences sur le libertinage, notamment est loin des clichés habituels sur le sujet.
Extraits
On avait besoin de construire quelque chose avec des gens qu'on rencontrait. (…)
Il y a une énorme partie du libertinage contemporain qui fonctionne comme ça, qui ne fait que des soirées privées, des relations suivies. (…) Avoir des amitiés profondes avec des gens. (…) On a découvert cette parole libre qui dépasse même le corps. On peut dans une soirée, terminer au lit, …ou pas. (…)La parole est très ouverte. On appelle ça un débriefing. On parle après avoir rencontré les gens : "Qu'est-ce que t'as ressenti ?", "T'as pas été jaloux ?", toujours dans la recherche du plaisir de l'autre, qu'il soit à l'aise, qu'il soit bien, qu'il ne souffre pas. C'est vrai que quand on se laisse aller et qu'on s'abandonne avec une autre personne que son partenaire, ça peut causer de la souffrance et c'est surtout pas le but. On a besoin de parler, reparler encore encore. D'être sûr que y'a pas quelque chose au fond de l'esprit qui reste caché, qu'on ose pas dire, qu'on ose pas avouer.
Discussion : [Podcast] « Quand coucher n’est pas tromper : les nouvelles infidélités », par Andrada Noaghiu pour "Sur les docks" (Territoires intimes 4/4), France Culture, 54', 2012

artichaut
le mercredi 20 novembre 2019 à 00h07
« Quand coucher n’est pas tromper : les nouvelles infidélités »
Territoires intimes (4/4)
Sur les docks par Irène Omélianenko
France Culture, 54', 2012
Un documentaire d'Andrada Noaghiu
Coordination : Irène Omélianenko, Michel Pomarède
Réalisation : Anna Szmuc
Avec : Elisabeth, Irina et Alexandre, Flora et Cyril, Mélanie et Frédéric
Introduction
Nous nous aventurons aujourd'hui dans l'espace amoureux contemporain. En ce début de XXIème siècle, comment écrit-on le mot « amour » ? La jeune documentariste d'aujourd'hui pose la question crûment : « Quand coucher n’est pas tromper : les nouvelles infidélités ». Elle décline les mots « couple », « polyamour », « libertin », « adultère » ou « liberté », mais au fond interroge l'amour.
Pour reprendre Krisnamurti l'amour est-il l'attachement et les douleurs qui en découlent ? L'attachement engendre la souffrance, la jalousie, la haine. Il naît de notre propre absence de profondeur, de notre insuffisance, de notre solitude. L'attachement procure un sentiment d'appartenance, permet de s'identifier à quelque chose, donne une impression de réalité, d'existence. Lorsque cela est menacé, la peur , la colère et l'envie font leur apparition. Est-ce cela l'amour ? Douleur et souffrance sont-elles l'amour ? Le plaisir des sens est-il l'amour ? Réponses d'Elisabeth, Alexandre, Irina, Flora, Cyril, Mélanie et Frédéric.
Présentation
A chaque couple sa conception de la fidélité. Pour certains, un regard suffit à trahir, pour d’autres "tromper" n’est plus le mot, mais juste "revendiquer le droit d’exister en dehors de l’autre".Dans ce documentaire, la parole est donnée à ces couples dits « ouverts » qui revendiquent une fidélité de cœur, de famille, de projet de vie, mais sans exclusivité sexuelle ou affective. L’éventail est large : des libertins qui ne se quittent pas des yeux, des polyamoureux qui communiquent sans cesse, des amoureux libres qui se donnent le droit à l’adultère… A chacun ses concepts, ses mots, son histoire.
Et avec, les doutes, les tâtonnements, les chemins sinueux et subtils de la lente construction du rapport à l’autre et de la quête de justesse chez ceux qui remettent en cause la base du couple traditionnel.Contrairement aux idées reçues, ils sont plutôt rares. Et même de plus en plus. Car, paradoxalement, la libération sexuelle a intériorisé la valeur de fidélité. Les enquêtes sur les valeurs des européens ont montré que depuis 1981, la fidélité comme élément essentiel au couple est passé de 72% à 84%.
L'infidélité est moins tolérée
Si 68 a balayé en même temps que les interdits nos repères, et que chacun peut tenter de définir ses règles de vie ou d’amour, la permissivité ou le libertinage ne vont pas forcément en s’accroissant au sein des couples. En devenant affaire d’amour, plus qu’une obligation ou un pacte social et immuable, le mariage ou concubinage est plus fragile puisqu’il se défait avec le désamour. L’infidélité est donc moins tolérée puisqu’elle est capable de défaire un couple plus facilement. Alors, après une montée en puissance des couples libres, la fidélité comme valeur primordiale dans le couple revient en force depuis les années 80, comme un refuge ou besoin de sécurité dans un monde plein d’incertitudes. Mais parallèlement, sans pour autant pouvoir établir un lien de causalité directe, le nombre de divorces par année est depuis passé en France de 80 000 à 120 000. On peut toutefois penser que le repli sur ces valeurs de sécurité n’est pas une garantie de durabilité du couple. D’ailleurs, l’exigence d’exclusivité conduit à bien des drames sentimentaux ou familiaux.
Au regard de tout cela, l’infidélité n’est donc pas un sujet frivole, mais bien crucial dans la mesure où il interroge notre conception de la société, de l’amour, de la famille. Ces expérimentateurs, presque utopistes, dépassent le besoin d’être sécurisés par un compagnon fidèle, ou ont peur de tuer l’amour à coup de promesses ou de besoins de possession. Pour « Sur les docks », ils se racontent, eux, leur histoire, leur éthique, leurs convictions, leurs anecdotes, le rose mais aussi le noir, la jalousie et la remise en question…
Extraits sonores
- La Maman et la putain, film de Jean Eustache, 1973 (ou plutôt le remix de Diabologum #3).
- …
Dommage que les extraits ne soient pas mentionnés au générique.
Si vous aviez identifiés les autres, dites le…
Discussion : [Texte] Vrac #86 et polylose sentimentale, par Maïa Mazaurette, 2010, sur sexactu.com

artichaut
le mardi 19 novembre 2019 à 22h29
Le lien est mort, voici le texte :
Vrac #86 et polylose sentimentale
14 May 2010 à 15h13 • Maïa Mazaurette
Tags : Où l'on apprendra que je suis à 100% comme copine de l'espace et que j'aime casser des rotulesOhlala, je suis comme le lapin d’Alice, toujours en retard. Il faut que je vous parle de Hung, d’Antoine Chainas, d’Erik Rémès, et de trois sextoys. Mais comme c’est férié, je vous présente Hot Guys Reading Books, un soutien-gorge chinois qui ne comprime pas les tétons, une danse sexuelle pour hommes virils qui se la jouent Shakira (via les Inrocks), et le scoop naze du moment : une femme qui vit avec un homme plus jeune a 20% de risques de mortalité en plus (alors que les hommes qui vivent avec des femmes plus jeunes expérimentent précisément le contraire). Tout ça à cause de la pression sociale.
Sinon, on reparle en ce moment de polyamour, ou l’art d’avoir plein de petits amis au lieu d’un seul : ce mode de vie, je l’ai beaucoup défendu à l’époque de mon premier blog, avec exactement les arguments cités dans l’article. Sauf qu’en 2010, je préférerais me tirer une balle que de revenir à cette époque.
Les gens font bien ce qu’ils veulent, hein. Et je n’étais pas du tout malheureuse. Simplement, quand on est polygame/polyandre, quand on se dit qu’untel est bien pour le sexe, untel cool pour sa conversation, et untel formidable pour son humour, on se retrouve quand même deux nuits sur trois avec quelqu’un qui n’est pas terrible en sexe, pas terrible en conversation, ou pas terrible en humour.
Aujourd’hui, je préfère passer un peu plus de temps célibataire mais trouver un mec tout-en-un, à qui je vais demander d’avoir toutes les compétences requises et pas, genre, la moitié. Je me dois quand même ça à moi-même. Et évidemment, quand on trouve quelqu’un qui est intellectuellement/physiquement à la hauteur, y’a pas le début d’une raison d’aller voir ailleurs, vu qu’on le kidnappe, qu’on lui brise les rotules et qu’on le garde à domicile. Surtout si comme moi on aime le quotidien d’un couple. Ensuite, un jour, on se lasse. Et on s’en va. Et peut-être qu’on sous-couche cinq minutes avant d’en retrouver un autre, mais c’est pas bien grave.
L’important pour moi, ça reste l’amour-propre. Finir au lit avec des mecs chelous n’a jamais atteint mon amour-propre. Mais me définir comme polyamoureuse, alors qu’honnêtement c’était de l’affection et pas du tout de l’amour, je ne le ferais plus. C’est sur le mot que je coince. Le comportement est parfaitement ok et vaguement, très vaguement subversif. Par contre, mettre “amour” dans “polyamour”, c’est balancer la passion par la fenêtre. Or sans passion aujourd’hui, je préfère me coucher par terre et mourir.
(Hooo je sais très bien que les polyamoureux viendront squatter les commentaires, mais je me sens comme la vieille sage sortie du désert : pleine de compassion. Ils vont dire que c’est de l’amour et je répondrai que non. Je me souviens parfaitement de comment je justifiais le truc à l’époque, comment cette vie me semblait glamour… et comment c’était juste un moyen de gérer mon célibat et ma peur de l’engagement. A 22 ans, ce que je suis en train d’écrire m’aurait fait bondir. Entretemps j’ai rencontré des mecs en or massif, qui m’ont fait réaliser que there can be only one. Même si the one change de temps à autres.)
J’aimerais bien retrouver cette étude qui explique que quand on est vraiment amoureux, on ne voit plus les autres personnes – mais grâce à mon redoutable système de tags je suis arrivée à m’auto-perdre sur mon propre blog. Les scientifiques expliquaient que biologiquement, on ne peut aimer, vraiment aimer, qu’une seule personne à la fois. Sans doute existe-t-il des variations chimiques d’une personne à l’autre mais dans mon cas, y’a pas photo. C’est tout ou rien. Bon ok. C’est tout, un faux numéro de téléphone ou rien :)
Je n’ai pas de regrets. J’avais certainement besoin de faire plein d’expériences. Mais allez, quoi. La vie est trop courte pour n’avoir que des morceaux de relations.
(Ajout : je suis d’accord avec le fait qu’il y ait des degrés dans l’amour et qu’il faille arrêter de nous casser les bonbons avec le “vrai” amour. Je différencie par contre nettement les moments de cristallisation passionnelle, de fusion totale, et ce qui tiendrait plus de l’arrangement “friend + benefits”. La barrière n’est pas coulée dans le bronze mais parler d’amour pour tous ces états, dans mon esprit, c’est l’arnaque. Il faudrait parler de polyaffectueux et pas de polyamoureux. Par ailleurs et sans vouloir troller, un de mes bons amis s’est retrouvé dans une réunion de polyaffectueux, et apparemment, on y parlait de tout sauf de sentiments.)
Source : archive
Discussion : Polys renommé.e.s, personnalités célèbres, etc

artichaut
le mardi 19 novembre 2019 à 19h14
dans ce podcast il est mentionné :
- Abraham,Sarah & Agar (dans la Bible)
- Jacob, et ses deux cousines Léa et Rachel, & Zilpa et Bilha (dans la Bible)
- Madame de Warens (également connue sous les noms de Françoise-Louise de Warens ou Louise Éléonore de la Tour du Pil) et Jean-Jacques Rousseau
- Louis XIV et ses 3 maîtresses
…mais pas sûr que tout ça soit très "poly"
et dans celui-ci
Catherine Robbe-Grillet évoque le contrat (relationnel) de son couple avec Alain Robbe-Grillet, qu'elle compare au pacte de Sartre/Beauvoir.
Ce contrat a été publié in-extenso dans son livre Alain (Fayard, 2012).
Et de fait les époux Robbe-Grillet fonctionnait en couple ouvert.
Discussion : [Podcast] « A nos (Poly)amours : vive la diversité ! » France Culture, 2013, L'Atelier de la création 14-15 par Irène Omélianenko

artichaut
le mardi 19 novembre 2019 à 18h51
« A nos (Poly)amours : vive la diversité ! »
L'Atelier de la création 14-15 par Irène Omélianenko
France Culture, 59', 2013.
Avec : Méta, Aurélien, Thomas, Michel, Yannick, Marc, Aurore, Marie-christine, Hélène…
Extraits sonores
- Vicky Cristina Barcelona, film de Woody Allen, 2008
- Celebrity, film de Woody Allen, 1998
- Jules et Jim, film de François Truffaut, 1962
- Les Amours imaginaires, film de Xavier Dolan, 2010
- Le Temps est bon, chanson d'Isabelle Pierre
- Où allez-vous, monsieur Katerine ?, chanson de Philippe Katerine
…
Chouette émission alternant témoignages de polys et extraits de dialogues de films.
Discussion : Le Couple, cette micro-communauté excluante

artichaut
le mardi 19 novembre 2019 à 17h06
…écoutant ce podcast j'ai entendu cette phrase qui m'a évoqué ton fil @Siestacorta.
Robert Macia (à 5'55)
Il nous est apparu (…) que le couple était une sorte d'addiction et que arrêter le couple (…) était quelque chose de très important pour la santé (…)
Qu'est-ce qui fait que les gens se mettent en couple ? (…) Pour ceux qui sont en couple, on constate que ça rompt souvent et pour ceux qui ne sont pas en couple on constate qu'ils sont souvent seuls. Donc le couple est un vrai problème de société qu'on est pas arrivé à le cerner autrement qu'en l'éclairant négativement, c'est à dire en le traitant comme une addiction.
La question du couple en tant qu'addiction est encore autre chose que celle d'une micro-communauté excluante, mais ça me semblait faire du lien, ou en tout cas proposer un autre axe pour critiquer le couple, en tant que tel.
Discussion : [Podcast] "C'est comment qu'on s'aime ?", France Inter, 47', 2012

artichaut
le mardi 19 novembre 2019 à 17h02
Extrait de l'émission
Il nous est apparu (…) que le couple était une sorte d'addiction et que arrêter le couple (…) était quelque chose de très important pour la santé (…)
Qu'est-ce qui fait que les gens se mettent en couple ? (…) Pour ceux qui sont en couple, on constate que ça rompt souvent et pour ceux qui ne sont pas en couple on constate qu'ils sont souvent seuls. Donc le couple est un vrai problème de société qu'on est pas arrivé à le cerner autrement qu'en l'éclairant négativement, c'est à dire en le traitant comme une addiction.Robert Macia, à 5'55
Discussion : [Livre] Le Contrat universel : au-delà du mariage gay, par Lionel Labosse (A Poil, 2012)

artichaut
le mardi 19 novembre 2019 à 16h47
Il est aussi question de ce livre dans le podcast « C'est comment qu'on s'aime ? » (France Inter, 47', 2012).
________________
Voir aussi la : Bibliographie commentée sur le polyamour.
Discussion : [Podcast] "C'est comment qu'on s'aime ?", France Inter, 47', 2012

artichaut
le mardi 19 novembre 2019 à 16h41
C'est comment qu'on s'aime ?
Émission Le Débat de midi
France Inter, 47', 2 juillet 2012
Mots clef : couple
Introduction
C'est une petite ritournelle, qu’on a tous en tête, un refrain qui dit j'ai l'honneur de ne pas te demander ta main, quand Brassens chante la non demande en mariage en 1966, il ne sait encore rien de la relative facilité avec laquelle on divorce 45 ans plus tard, encore moins du pacs ni du mariage homo.A ce moment là, on ne pensait que couple et la seule dissidence était de refuser le mariage. Mais aujourd'hui, que le divorce le pacs et bientôt le mariage homo sont passés par là, comment le couple peut-il continuer à évoluer ? Et si l’avenir du couple c’était de passer à trois ? Passer du couple, au trouple... ce nouveau couple à plusieurs.
Et pourquoi pas ? Comment on s’aime ? A quoi va ressembler le couple, c'est la question qu'on se pose ce midi. En remettant Brassens dans le contexte, le bon maitre me le pardonne, on pourrait presque dire, j'ai l'honneur de ne pas vous demander vos mains...
Les invités
- Éric Fassin, professeur de sociologie à l’Université Paris-8 Vincennes-Saint Denis dans deux départements : Science Politique et Études de genre, et chercheur au Laboratoire d'études de genre et de sexualité (CNRS).
- Sophie Cadalen, psychanalyste, spécialiste du couple
- Robert Macia, auteur
- Lionel Labosse, écrivain, enseignant, éditeur
Les références
- En finir avec le couple ! : la méthode miracle écrit par Robert Macia (Les petits matins, 2010)
- Le Contrat universel : au-delà du mariage gay écrit par Lionel Labosse (A Poil, 2012)
- Inventer son couple : préserver le désir au quotidien écrit par Sophie Cadalen (Eyrolles, 2006)
Dommage que les musiques/chansons diffusées n'aient rien à voir avec la thématique de l'émission…
Discussion : [Théâtre] Spectacles abordant le sujet du polyamour

artichaut
le mardi 19 novembre 2019 à 13h40
Une autre pièce de théâtre (mentionnée sur le lien indiqué dans ce message) :
Un amour qui ne finit pas, pièce d'André Roussin, Mis en scène en 2016 par Michel Fau au Théâtre Antoine.
Avec : Michel Fau, Léa Drucker, Pierre Cassignard, Pascale Arbillot, Philippe Etesse, Audrey Langle.
> captation de la pièce à voir sur dailymotion (Réalisation François Roussilon, 2016, 1h47).
Discussion : [Théâtre] "Sex friends", de Caroline Steinberg, 2014

artichaut
le mardi 19 novembre 2019 à 13h30
Je signale ici, la liste des Spectacles abordant le sujet du polyamour.
Discussion : [Théâtre] "Sous ma peau - Le manège du désir", Geneviève de Kermabon, 2012

artichaut
le mardi 19 novembre 2019 à 13h29
Je signale ici, la liste des Spectacles abordant le sujet du polyamour.
Discussion : [Théâtre] "Nos serments" Julie Duclos - Cie l'in-quarto, 2015

artichaut
le mardi 19 novembre 2019 à 13h29
Je signale ici, la liste des Spectacles abordant le sujet du polyamour.