Participation aux discussions
Discussion : [Paris] Goûter poly Juin (pelouses de La Vilette)
Siestacorta
le dimanche 14 juin 2015 à 22h15
Objets trouvés : un sac-à-dos lafuma noir, et un couteau à manche bleu. Je peux les ramener le 23/06 au café poly.
Discussion : [Paris] Goûter poly Juin (pelouses de La Vilette)
Siestacorta
le samedi 13 juin 2015 à 15h40
Bump.
Moi, j'ai mes gâteaux et mes boissons de prêtes.
Et on sera un peu moins nombreux que dans les cafés, ça permet sans doute de discuter plus tranquillement.
A demain...
Discussion : J'ai été un enfant de poly
Siestacorta
le dimanche 07 juin 2015 à 00h50
J'imagine aussi que les articles ici sont soit des trads, soit des trucs reproduits avec l'autorisation des auteurs, ou des originaux.
Et il me semble que les modos doivent valider les articles, à la différence des sujets et commentaires.
Discussion : [Paris] Café poly Mai
Siestacorta
le mardi 26 mai 2015 à 12h01
les gens partent pour avoir les correspondances de métro, donc à partir de 00h15.
Stationnement... J'entends parler que des galères, donc si tu connais pas du tout Paris, tente de trouver un parking payant pas trop loin.
Discussion : Polyamoureuse, phobique de l'engagement ou difficulté à vivre une sexualité épanouie en dehors de la phase passionnelle ?
Siestacorta
le lundi 25 mai 2015 à 12h30
Alba
J'ai peur de faire le mauvais choix. Je me sens bien avec mon compagnon, je l'aime, j'aime ce qu'il est et la vie que nous avons même si je sens que je ne peux pas être pleinement moi dans cette relation unique et que notre sexualité n'est pas des plus satisfaisantes.
Comme dit Boucledoux, il y a une opposition entre l'attachement à ton compagnon et ton "orentation affective" (la non-exclusivité, ici).
Ta question, c'est est-ce que ça vaut la peine de favoriser l'un ou l'autre, en quoi.
Pour moi, ce n'est pas une question de "pourquoi le faire", mais de "comment ça se passera". Pas dans des situations parfaites, juste à partir de tes émotions à toi, ta situation à toi, tes attentes. Ya pas de règles pour dire que le polyamour ou la monogamie sont des meilleurs choix en général, il n'y a que ta situation et à quel point tu as besoin qu'elle soit comme elle est ou qu'elle soit autre.
Est-ce que la non-exclusivité est un besoin pour toi ? Ce besoin, pour toi, c'est plusieurs partenaires (être sécurisée) ? De la séduction (besoin de découverte, de confiance)? de la vie sexuelle ?
Est-ce que ces besoins (dans leur non-exclusivité) te sont essentiels, est-ce que tu peux envisager de vivre sans les satisfaire ou pas ?
Est-ce que l'engagement que tu crains de ne pas valoriser assez avec ton compagnon t'apporte au final quelque chose dont tu ne pourrais te passer ?
Bref, ce n'est pas une question de ce que la norme dit, ni de savoir si ton identité (ton "âme")est d'être poly plutôt que mono. Il s'agit de savoir dans quelle situation aujourd'hui tu te sens capable ou incapable de t'épanouir, selon quels critères.
Enfin, dans cet ordre d'idée... La phobie de l'engagement, tu sais, même dans des situations poly, ça pourrait empêcher de vivre les relations... Or, ce que tu décris m'évoque plus une claustrophobie relationnelle qu'une phobie de l'engagement : c'est pas pareil, ça dépend de quelles portes devront et pourront être laissées ouvertes, de ce que tu as besoin de faire et d'entendre dire pour être rassurée, pour que cette peur d'être émotionnellement immobilisée soit moins active que l'équilibre trouvé dans la (les) relation(s).
Message modifié par son auteur il y a 10 ans.
Discussion : Dépendance affective générant insistance
Siestacorta
le dimanche 24 mai 2015 à 19h21
Ce n'est pas facile de voir d'avance jusqu'à quel point l'autre va se laisser aller à une dépendance.
Et si des mouvements simples de ta part ont déclenché des avalanches émotionnelles, c'est pas toi qui avais fait s'amasser toute la neige. La surcharge était là avant ton arrivée...
Discussion : Dépendance affective générant insistance
Siestacorta
le dimanche 24 mai 2015 à 19h11
Pas "via le poly", mais tomber sur quelqu'un qui saute à pied joint dans la dépendance affective, et qui se monte le bourrichon tout seul, c'est pas si rare, ça arrive dans plusieurs types de parcours amoureux.
Pour moi, j'ai déjà eu une fois cette sensation de harcèlement que les comportements que tu décris m'évoquent.
Et mon comportement a été proche du tien. Après une rupture - mise au point sur mes (mon absence de) sentiments , et, comme la pression continuait, une nouvelle demande explicite d'arrêter, j'ai fini par couper totalement les ponts (pareil, changement de numéro, d'adresse de contact), et gardé cette position malgré le sentiment de culpabilité. Et surtout, bloquer le numéro, ne plus répondre aux appels de numéros masqués...
Je savais la personne en question ne lâchera pas d'elle-même. Et que même des réponses négatives seraient, avant tout perçues comme des réponses - la suite d'un dialogue amoureux, de son point de vue.
Si le caractère de cette jeune femme est comparable à celle que j'ai connue, j'ai pas d'autre conseil à donner que d'attendre que ça s'arrête et de te dire que le seul cas où tu serais encore responsable de suites que tu ne souhaites pas, ce serait en répondant...
Message modifié par son auteur il y a 10 ans.
Discussion : Prise de conscience
Siestacorta
le lundi 18 mai 2015 à 00h21
Nicolas0207
Il faut qu'un modérateur accepte ton adhésion, il passe assez souvent donc ça devrait se faire vite.
Heu, là pour Lilith je crois que c'est elle que j'ai validé tout à l'heure, oui ; mais en réalité, on a souvent beaucoup d'inscriptions de retard, c'est pas rare d'attendre trois semaines entre la demande d'inscription et la validation.
Mais on écope régulièrement la liste d'attente.
Discussion : Réédition ou pas ?
Siestacorta
le dimanche 17 mai 2015 à 20h08
Boucledoux
1 ce n'est pas sur qu'expédier des cartons ne revienne moins cher que location d'utilitaire + tour de France
2 il y a quand même une circulation "naturelle" des polys qui permet peut-être d'acheminer la majorité des colis, surtout depuis Paris...
Le stock d'origine peut être compliqué à gérer.
Je sais pas trop pour les frais d'expédition pour ces volumes, c'est vrai. Mais si on part du principe que les frais de port à l'unité seraient de trop, qu'il s'agit d'expédier des gros colis, ça va faire :
- un premier temps, où à la sortie de l'imprimeur, faut répartir quelques centaines d'exemplaires entre quelques bouquinistes volontaires en France. Pour ce jour-là même il faut un utilitaire (ou une bagnole format "bétaillère à cathos") pour aller les chopper à l'imprimeur, un local pour mettre dans les cartons à destination d'un certain nombre de stockeurs, et un petit groupe de gens pour ça.
- deuxième temps, on peut effectivement compter sur quelques colporteurs parmi nous pour diffuser peu à peu, en travaillant avec quelques "stockeurs".
Mais pour savoir que ma valise, avec ma conso perso de 6-7 bouquins dedans, c'est déjà un encombrement important, et donc un certain volontariat musclé de se balader avec avec plus d'une dizaine de copies ; et que les colporteurs ne vont pas forcément là où il n'y a pas déjà de stock (poly des villes, poly de champs...). Ça rend la diffusion moins simple... On est pas encore assez massivement nombreux en poly organisés avec cafés régulier pour que la répartition soit bien faite sur le territoire juste par ce biais (mais on a quelques grandes villes qui permettent de faire relais).
Le tout, c'est de rendre le situation d'emballage expédition exceptionnelle. En gros, si je prend 50 bouquins chez moi, je n'en expédierai que très peu par la poste, parce que c'est fastidieux, et parce que c'est cher.
Il faut donc un ou plusieurs stockeurs par ville ayant un café-poly régulier.
Message modifié par son auteur il y a 11 ans.
Discussion : Réédition ou pas ?
Siestacorta
le dimanche 17 mai 2015 à 18h49
Je ne pense pas pouvoir avancer d'argent pour un tirage à beaucoup d'exemplaires, en revanche, gérer quelques stocks (disons, autour de la cinquantaine d'exemplaire en même temps dans une cave) et maintenir une disponibilité sur les cafés poly où je vais, je peux.
La formule de mécénat collectif permettrait ça, je crois qu'avec le groupe de poly anciens et un peu de rappel par-ci par-là, on pourrait arriver à financer un tirage.
Si on va vers cette solution, faudra trouver un cadre qui te contraint pas à surenchérir en fonction de l'investissement (ya des site de crowdfunding qui contraignent un peu à ça).
Resterait la partie distribution. Si on est quelques-uns à gérer quelques stocks, au départ il y en a quand même un gros à se partager au moins une première fois. C'est faisable de faire un convoi avec une camionnette qui va voir les différents "bouqui-lutinistes", mais en essence et en location, ce sera un surcoût (comme dans l'édition pro, quoi).
Comme on veut pas imputer ça sur le prix final, faut (au moins) un bénévole conducteur, un budget pour ça,
et des hébergements si c'est le même gars qui va faire le tour du pays avec ses cartons, il va pas faire ça en une journée...
Donc, en plus de planifier le financement, il faudra avoir un cahier de charge collectif pour cette première étape de distribution.
Par ailleurs, en dehors de ce tirage, tu peux effectivement faire un e-book avec des droits creative commons adaptés : en gros, tu peux autoriser la diffusion et même l'impression de ton texte sous condition qu'on t'informe quand c'est le cas, et qu'aucun bénéfice ne soit tiré de la reproduction de ton œuvre.
Message modifié par son auteur il y a 11 ans.
Discussion : Prise de conscience
Siestacorta
le dimanche 17 mai 2015 à 16h09
Lilith21, je m'identifie bien à ta crainte d'être emprisonnée. Lorsque j'ai commencé à avoir des occasions de relations, ça a été aussi un facteur bloquant pour moi.
Je rejoins en partie la réponse de Leolu, plus ou moins "commence déjà par un". Mais je crois qu'avoir identifié qu'il pourrait te rassurer ou te tenter de ne pas être dans l'exclusivité, je te conseillerais de l'annoncer franco, lorsque tu feras une rencontre amoureuse. Pas forcément au premier rendez-vous, ni à la première conversation un peu sérieuse, en tout cas te mets pas une pression sans rapport avec la situation. Dès que tu le sens nécessaire, mais relativement vite et clairement, pour - toi - garder cette ouverture de perspectives qui te rassure et, pour que la personne que tu aimes, qu'elle poursuive (ou non) la relation avec cette information essentielle à l'esprit.
Il y a le risque que ça ne soit pas apprécié... Comme pour tout ce qu'on considère comme important dans une relation sans connaître d'avance les attentes de l'autre. Mais je crois qu'il vaut mieux que cette impasse arrive à un moment où on ne peut pas t'accuser d'avoir dissimulé les choses.
Sinon, bravo pour avoir eu ta prise de conscience assez tôt dans ta vie sentimentale, et d'envisager d'appliquer les conclusions plutôt que de tenter de rester dans un moule que tu devines inadapté. Tu as plus de temps ainsi devant toi, à pouvoir faire l'expérience de la vie amoureuses "à ta façon", que beaucoup de gens qui ont renoncé au modèle exclusif qui ne leur convenait pas après des années d'essais "consciemment" biaisés par un cadre qu'ils rejetaient.
Message modifié par son auteur il y a 10 ans.
Discussion : [Paris] Goûter poly Mai
Siestacorta
le mercredi 06 mai 2015 à 22h08
C'est ce dimanche... Et la gérante ouvre (presque) rien que pour nous. Et on pourra continuer à faire ça de temps en temps, si on est assez nombreux (et pour une fois sur nos rendez-vous parisiens, on ne l'est plutôt pas !)
Discussion : Sujets de débat, Thèmes de discussions, etc
Siestacorta
le dimanche 03 mai 2015 à 11h12
Merci merci merci pour ce fil, l'animateur parfois peu inspiré que je suis y pêchera avec délices.
Discussion : [Paris] Café poly Mai
Siestacorta
le mercredi 29 avril 2015 à 01h53
Le thème sera : Polyamour et engagement.
C'est pas d'un esprit démesurément fonky, mais il y a de quoi dire je crois.
Discussion : Je t'aime telle que tu es en ce jour... OU telle que j'aimerais que tu sois plus tard ?
Siestacorta
le samedi 25 avril 2015 à 13h31
bodhicitta8
Seulement dans une relation qu'on perd la possibilité d'évoluer? :-/
Seulement dans cette relation que l'autre à décidé d'arrêter avant toi parce qu'il estimait qu'elle pourrait plus être bénéfique - pas dans "une" relation ni les relations en général.
Ce que je dis, c'est qu'après une rupture, on a très souvent une occasion d'évoluer et que ça peut être bénéfique. Occasion qu'une situation stable, effectivement en relation ou sans, donne moins facilement.
Je me sens à la limite de la tautologie, mais c'est quand même l'argument que je met en face de "on donne pas le choix à l'autre de pouvoir évoluer, en rompant".
Message modifié par son auteur il y a 11 ans.
Discussion : Je t'aime telle que tu es en ce jour... OU telle que j'aimerais que tu sois plus tard ?
Siestacorta
le vendredi 24 avril 2015 à 11h36
bodhicitta8
siestacorta
A voir si ça se résout en disant "ben si l'autre est content comme ça se passe, je m'en mêle pas" ou si on sent la responsabilité de devoir dire à l'autre : je sens que ça va vers une déception pour toi, j'en suis trop conscient pour continuer.
J'y pense, en réagissant comme ça tu enlevés à l'autre la possibilité d'évoluer.
D'aprés moi il y a tjs négatif et positif, donc tu enlèves le positif aussi... ?
Tu choisis à la place de l'autre si il peut supporter ou pas cette déception...?
Oui, dans la mesure où cette façon de m'aimer finit par me faire du mal (des moments de malentendu, de mises au point, des moments où je sais comment ma décision pourrait être prise sans le faire, et où je laisse faire les choses alors qu'elles ne se passent pas bien), et que pendant tout ce temps je finis moi par même plus aimer aussi bien qu'avant (en faisant souffrir l'autre, en nous laissant dans des dialogues contradictoires).
Une rupture, c'est très souvent choisi à la place de l'autre. Le côté douloureux et inique n'en fait pas une mauvaise décision. Et c'est seulement dans la relation, que quelqu'un a perdu une possibilité d'évoluer - pour ce qui vient après la rupture, cette évolution est encore plus probable.
Message modifié par son auteur il y a 11 ans.
Discussion : Je t'aime telle que tu es en ce jour... OU telle que j'aimerais que tu sois plus tard ?
Siestacorta
le vendredi 24 avril 2015 à 01h10
Semeur
Je ne sais pas si c'est agréable de vivre avec toi (ah ah, question cachée !), mais c'est toujours un plaisir de te lire :-D
Merci du compliment. Je suis toujours preneur pour ça.
Je pense pas être difficile à vivre, mais entre les moments où je me prends le choux version Diogène versus Kierkegaard pour choisir entre les haricots ou la purée, et ceux où j'arrive à peine à savoir comment cuire les pâtes, je peux être bien boulet, à ma façon.
Mais les charmes de l'écriture en ligne me mettent plus à mon avantage. Arf.
Discussion : Je t'aime telle que tu es en ce jour... OU telle que j'aimerais que tu sois plus tard ?
Siestacorta
le jeudi 23 avril 2015 à 22h39
Menfin quand même, la question est un peu biaisée depuis le début, hein ?
C'est comme si on demandait : "alors, vous préférez les gens ouverts d'esprit ou plutôt égocentrés ?"
L'une des deux option posées dans le sujet de départ est un "homme de paille" : on la propose pour pouvoir la brûler simplement en faveur de la première, ce qui fait apparaître celle-ci comme plus solide, par comparaison. Mais ça ne démontre pas forcément
- que la première option est si évidente à tenir (ne pas projeter ses propres attentes, c'est tout sauf simple, et peut-être même pas si souhaitable, parce qu'avoir des attentes fait de nous une personne spéciale, différente de l'autre, donc fait qu'on est aimé... pour soi. CQFD),
- ni que derrière la seconde, il n'y avait pas de contenu.
C'est un peu pour ça que j'ai tenté de répondre à côté, l'autre jour.
Message modifié par son auteur il y a 11 ans.
Discussion : Je t'aime telle que tu es en ce jour... OU telle que j'aimerais que tu sois plus tard ?
Siestacorta
le mardi 21 avril 2015 à 16h32
En fait, derrière la question "comment aime-t-on", il y a aussi comment veut-on être aimé.
Pour que derrière la confiance du "je t'aime tel(le) que tu es" réponde la même confiance.
Or... Départager ce ressenti-là de l'autre, qui lui valorise une certaine construction par la relation, c'est aussi demander à l'autre de nous aimer de la même manière, de nous aimer tout court. On se dit qu'on arrive a aimer comme ça, mais si on se pose cette question comparative entre deux façons de projeter, on a sa propre insécurité dedans.
Peut-être (ça a pu être mon cas) une culpabilité de constater qu'on dépend moins de l'autre pour cette construction affective, donc que l'autre se sentira lésé... A voir si ça se résout en disant "ben si l'autre est content comme ça se passe, je m'en mêle pas" ou si on sent la responsabilité de devoir dire à l'autre : je sens que ça va vers une déception pour toi, j'en suis trop conscient pour continuer.
Par ailleurs, par défaut, j'aime comme tu es maintenant avec défauts, ça peut très bien avoir un aspect aussi enfermant que "il faudrait que tu progresses". Je t'aime comme tu es maintenant, c'est aussi comme je te vois maintenant, et ce que j'aime en toi est plausiblement une image fausse, ou quelque chose qui ne sera peut-être plus vrai ensuite (ex : j'ai des copains qui avaient tendance à aimer des filles un peu "en détresse", et quand elles sortaient de cette phase, et qu'elles mettaient en avant certains autres aspects de leur personnalité, n'étaient plus sûr d'aimer de la même manière).
Message modifié par son auteur il y a 11 ans.
Discussion : Une limite : la satiété relationnelle
Siestacorta
le lundi 20 avril 2015 à 10h19
Sauge21
@siesta
mais du coup, entre satiété et avoir une "saine réserve" ... il y aurait un rapport ? ... une histoire de digestion peut-être ... quand on a "trop" mangé on a plus faim, parce qu'on a besoin de digérer ... ?
dans mon cas, ça me parait bien correspondre ...
J'ai raisonné par analogie, donc ça a énormément de limites.
L'idée de la saine réserve, de pas aller jusqu'au bout de sa faim, ça prolonge la métaphore. Pour moi, ça correspondrait plus à me réserver des temps de solitude, dans ce cas.
Beaucoup de gens ont un désir de relation et remplissent leur planning et leur foyer, ne sont jamais seuls. J'ai besoin de l'être pour comprendre qui me manque comment, pour avoir envie de projeter. Je connais des gens qui à l'inverse, se sentent lancés, imaginatifs que parce que la présence de l'autre les met en mouvement, quand seuls, ils sont perdus...