Polyamour.info

Siestacorta

Siestacorta

Paris (France)

mastodon.parleur.net/@Siestacorta

Participation aux discussions

Discussion : Les "symptômes" avant la "révélation"

Profil

Siestacorta

le vendredi 15 janvier 2010 à 12h56

Ta copine a raison, au départ. La question est binaire. Tu l'aimes ou non. Le problème de ton questionnement polyamoureux est tout autre.

La confusion de tes idées, de tes "mensonges sincères" (puisque tu aurais tenté de te mentir à toi-même en passant, apparemment), c'est possiblement la mauvaise résolution de la fausse opposition entre "je l'aime" "j'en désire d'autres".

Comme ta copine confond encore plus que toi, en tout cas refuse pour l'instant qu'on soit autre chose que monogame avec elle (ça relativise, dit comme ça), tu confonds toi aussi les deux questions.

Je sais que tu te considères pas comme un grand amoureux, mais tu peux quand même savoir si tu éprouves le sentiment (ou les avoir éprouvé, si entre temps ça c'est envenimé...). Les symptomes du sentiment, avant de parler de symtpome de poly, ça t'éclairera bien. La compassion pour des éléments de sa vie, des bien-êtres immatériels, des pensées tournées vers elle, des battements de coeur et autres réactions mal contrôlées quand tu y penses... C'est des basiques, et que tu te poses des questions ou pas, ça, ça marche bien.

Voir dans le contexte

Discussion : Les "symptômes" avant la "révélation"

Profil

Siestacorta

le vendredi 15 janvier 2010 à 02h09

titane
mais encore une fois sur cette essentielle et nécessaire spontanéité, gratuité et liberté... j'ai beau tourner ça dans tous les sens je n'y arrive pas à m'en défaire.... et une fois qu'on y a goûté, même par hasard, c'est un goût qu'on oublie jamais !

Je comprend ce goût là, hein.
Mais la liberté... Ca ne se suffit pas. Si c'était évident, la liberté... On aurait pas besoin d'un forum pour parler de poly, multiple, pluriel... Tout le monde pourrait aimer dans la grande clarté du midi.
Cette liberté s'atteint, par recherche ou par hasard, mais je crois pas qu'on naisse dedans, ni qu'on vive dedans parce qu'on la décrété.
C'est comme cette phrase de 68, chantée par Moustaki, que j'adore : "je décrète l'état de bonheur permanent".
C'est valable individuellement, comme décision du coeur.
Mais dans les faits, toutes nos histoires se construisent, se réfléchissent. "hé, tu m'as jamais appelée pendant ton séjour à Cucugnan" "tu dis ça parce que tu n'es pas libre dans ta tête" ?
Disons qu'être libre de ne pas donner de preuves d'amour, c'est pas plus marrant que d'en donner parce qu'on nous les demande comme dues.

Et encore une fois on peut avoir des sentiments spontanés et une expression des sentiments sophistiquée. Ce ne s'oppose pas vraiment. Caricaturalement, ce n'est pas parce que tu sais écrire un poème, que tu fais l'effort d'en écrire un en essayant de dépasser le niveau variétoche, que tu ne peux pas faire l'amour. Ce n'est pas parce que tu éprouves un plaisir à envoyer un texto juste à tel bon moment que tu n'es pas heureux en regardant l'autre simplement dans les yeux.

Voir dans le contexte

Discussion : Les "symptômes" avant la "révélation"

Profil

Siestacorta

le vendredi 15 janvier 2010 à 01h44

ERIC_48
Conflit entre romantisme et polyamour, c'est vrai que je ne suis pas trop d'accord

Il ya tellement de chose dans les romans, qu'en y cherchant bien, on doit en trouver qui baignent dans le polyamour

Ah mais c'est de romanesque dont tu parles, là.
Et pas d'hésitations, le PA est super romanesque, ne serait-ce que parce qu'il multiplie les rebondissements et les personnages.

Romantisme... Hm !
Je crois qu'il y a du romantisme, au sens "la primauté aux sentiments".
Mais... le romantisme, c'est justement quelque chose qui crée des codes intimes... C'est passionnel, mais pas systématiquement spontané. La relation amoureuse romantique est généralement un amour impossible, ou chacun lutte avec ses sentiments.
Le romantisme est un processus amoureux, une alchimie, pas quelque chose d'évident.
Mais, mais... le romantisme c'est aussi l'harmonie entre soi et le monde. L'harmonie au sens organisé, musical, hein. C'est une beauté essentielle, a défaut d'être simple.

Voir dans le contexte

Discussion : Les "symptômes" avant la "révélation"

Profil

Siestacorta

le jeudi 14 janvier 2010 à 20h29

Clementine
Pas capté...

Ben poly = panthéisme. T'as plein de dieu, présents partout... Et ils sont pas jaloux entre eux. En monothéisme, ou monogamie, rien que le fait d'attendre quelque chose d'ailleurs, d'une autre force, c'est mal, blasphème, baaah.

Voir dans le contexte

Discussion : Les "symptômes" avant la "révélation"

Profil

Siestacorta

le jeudi 14 janvier 2010 à 20h27

Alors, pour aller au fond du truc : je veux bien travailler sur mes peurs. Je renonce pas à les réduire à la portion congrue.
Mais je crois que ma peur est une fonction de ma sensibilité. Elle est parfois une construction sociale, mais aussi une simple alerte toute naturelle, individuelle.
Et vouloir être rassuré ne me semble pas néfaste, si on sait déjà se rassurer un peu soi, si on ne compte pas que sur l'autre pour ça.
Je trouve ça bien que l'autre me rassure, qu'il me transmette une force. Quitte à ce qu'il me donne des objets et souvenirs transitionnels pour ça.

Voir dans le contexte

Discussion : Les "symptômes" avant la "révélation"

Profil

Siestacorta

le jeudi 14 janvier 2010 à 20h01

nope, pas le romantisme et le poly, l'amour romantique et le polyamour.

L'amour romantique emplit le monde du visage de l'autre...
Sachant que tu aimes aussi un (des) autre(s), cette lentille pour le regard se passe différemment. C'est assez proche de la différence entre monothéisme et panthéisme, d'ailleurs : ton dieu n'est plus jaloux, c'est pas là dessus qu'il s'intéresse à toi.

Voir dans le contexte

Discussion : Les "symptômes" avant la "révélation"

Profil

Siestacorta

le jeudi 14 janvier 2010 à 19h47

Je ne comprend pas : qui t'en veut ?

Je suis d'accord sur le fait que le manque est déjà une présence de l'autre.
Mais la construction de la relation pour moi, ça s'oppose pas à la spontanéité.
C'est juste, on fait des choses, et elles restent dans l'histoire de la relation. Et quand elles font plaisir, on a envie de renouveler l'expérience. Et... je trouve que c'est une attente spontanée. Donc on peut vouloir donner cette preuve, ou l'attendre.
(là je pense que j'ai atteint ma limite de renouvellement argumentaire...)

Voir dans le contexte

Discussion : Les "symptômes" avant la "révélation"

Profil

Siestacorta

le jeudi 14 janvier 2010 à 19h05

Reprise :

Siestacorta
Je ne suis pas un amant sentimentalement abstrait, mes désirs et plaisirs sont tout ce qu'il y a plus concret, il y a des moyens de me satisfaire, au moins un désir de le faire, et la simple conscience que j'ai une amante ne suffira pas.

En fait, c'est un des nœuds du problème, même.
Je suis une personne précise qui aime une personne précise.
Les preuves sont des signes qui nous appartiennent, qui n'auraient pas de sens pour les autres (essayez de faire un long câlin sur la jambe d'un quidam, ou même de lui dire des mots doux... même à un ami pas amant).
Donc ne pas donner ou recevoir ou attendre de preuves, dans le sens que je donne à la citation de cocteau... ce serait aimer indifféremment les gens.
Que n'importe quelle amante vaille n'importe quelle autre, puisque je ne désire pas ses preuves, ni elle les miennes.
Les preuves sont, en plus d'un solide qui reste dans le temps, un solide caractérisé, pour nous. J'ai tendance à penser que tout le monde ne veut pas m'aimer d'amour. Alors, quand ça arrive, ce qui se passe se différencie pas ces preuves.

(je tourne autour de l'idée, mais je pense que j'ai cerné aussi :-) )

Voir dans le contexte

Discussion : Les "symptômes" avant la "révélation"

Profil

Siestacorta

le jeudi 14 janvier 2010 à 18h52

C'est sur cette notion de gratuité de l'amour, que je bute.
C'est vrai que l'amour et ses manifestations existent avant qu'on les nomme, qu'on les pense. Mais pour moi, vivre un amour, ce n'est pas un éternel présent, un temps inconséquent.

Je n'ai pas besoin de la preuve comme assurance du lendemain, je ne la demande pas, mais je la désire tout de même, et j'aime qu'on me l'apporte (et j'aime l'apporter).
L'amour peut me manquer. Même dans le polyamour. Il y a des fois où c'est normal, les gens ont le droit de vivre quand je suis pas là, il parait. Mais il y a des fois où j'attends quelque chose. C'est aussi spontané que le don, l'attente.
Alors j'ai confiance, on va me donner, certes. La confiance, comme on le disait ailleurs, ça se donne, mais ça se construit aussi.
Je me déchire pas les tripes si ça vient pas à la minute, ce que je désire. Ni que je vais me dissoudre si on me donne quelque cose de différent... Mais je peux pas dire que je flotte dans un univers idéalement indéterminé non plus. Je ne suis pas un amant sentimentalement abstrait, mes désirs et plaisirs sont tout ce qu'il y a plus concret, il y a des moyens de me satisfaire, au moins un désir de le faire, et la simple conscience que j'ai une amante ne suffira pas.

L'attente est là, elle est manifestation d'amour. Mais comme dans cet attente il y a aussi le désir de donner... Il y a partage.

Voir dans le contexte

Discussion : Les "symptômes" avant la "révélation"

Profil

Siestacorta

le jeudi 14 janvier 2010 à 18h04

Moué.
Sais pas.
En pratique on fait peut-être pareil.
La preuve, c'est la partie solide dans une démonstration. J'aime bien le solide. J'aime qu'on se dise que, quand je suis pas là, une part de ce que je donne y est encore. Et quand l'autre me manque, je n'ai pas que mon imagination, ma projection, mais des moments marquants, des marques en moi laissées volontairement par l'autre.

Voir dans le contexte

Discussion : Les "symptômes" avant la "révélation"

Profil

Siestacorta

le jeudi 14 janvier 2010 à 17h49

J'y crois un peu, moi, aux preuves.
Des moments, des mots, des attentions... Il s'agit pas de les attendre où qu'elles soient attendues, mais au final, c'est ça qu'on donne, qu'on offre.
Et égoïstement, j'avoue que j'aime autant recevoir que donner...
C'est pas mesurable, mais c'est concret quand même.
Je crois pas que je puisse rendre heureux quelqu'un par ma seule existence. Les preuves, ça concrétise le lien...

Voir dans le contexte

Discussion : Parler de polyamour, est ce normal ?

Profil

Siestacorta

le jeudi 14 janvier 2010 à 16h17

(et dvd de chuck norris)

Voir dans le contexte

Discussion : Les "symptômes" avant la "révélation"

Profil

Siestacorta

le jeudi 14 janvier 2010 à 15h06

Comme elles disent : le poly c'est PAS facile.
Au mieux, c'est juste un peu moins emmerdant quand on se sent s'épanouir malgré la difficulté : on est motivé.

En fait, du coup, je vois deux débouchés pour ta situation.
Le premier, c'est qu'effectivement, tu es poly, c'est ton problème seul et unique en ce moment, et passer à la pratique va te faire te sentir tellement bien dans tes chaussettes que tu vas gager des super pouvoirs amoureux. Ou au moins, gagner une sincérité avec ton amoureuse actuelle. En étant toi-même, tu répondras mieux aux questions qu'elle te pose, tu seras plus sûr de ta position. (Tu m'aimes ? Je t'aime. Tu veux qu'on aille rencontrer mes parents ? Oui. Tu veux signer un pacte de ton sang comme quoi tu me survivras et tu essaieras de me contacter dans l'au delà ? Non.)

Deuxième : le poly n'est qu'un des aspects de ton bordel intérieur, actuel ou naturel. Et c'est pas contradictoire avec le un, on peut avoir une nature poly justement parce qu'on a un certain désordre intérieur, une individualité riche pour dire ça avec optimisme.

Essayer le poly ne t'apporterait pas forcément la solution dans ce cas Mais ça pourrait quand même. Parce que rompre le rapport de dépendance unique à une personne, vivre d'autres liens, ça fait relativiser. Tu te mets dans une position nouvelle face à la vie, déjà. Donc plusieurs des questions que tu te poses, des réactions et des confusions que tu ressens vont se confronter à du neuf, puisque tu seras sur un parti pris, dans une recherche d'expérience. Et qu'à priori, tu vas trouver de l'expérience, tu vas éprouver des trucs... Multiplier les occasions d'être toi.
Mais c'est dans l'exploration de ton lien amoureux que tu vas sentir une différence. Les sentiments que tu as pour ton amie sortent de l'absolu pour devenir des sentiment parmi d'autres. C'est là où le poly est en conflit avec l'idée d'amour romantique... Et c'est une des choses qui effraient les monos confrontés au polyamour.
Il ne faut pas se cacher que tu peux effectivement te retrouver face à ta vérité de sentiment :" je l'aime, mais..."

L'aspect positif pour elle (et ça elle ne pourra sans doute pas l'entendre, il faut le vivre pour comprendre sa valeur), c'est que si tu l'aimes encore beaucoup/autant/plus dans le polyamour, tu sauras le lui montrer. Ne serait-ce qu'en continuant votre relation.
Mais aussi, en le faisant en accord avec elle... Elle t'apporterait une preuve d'amour immense. La gratitude qu'on a pour ceux qui nous offrent notre liberté... C'est durable, ça nourrit l'amour de se sentir accepté à ce point. Et ton amante est embellie par ce qu'elle te donne... Mais là encore, c'est pas un argument pour elle. C'est ton regard, tes actes, qui lui montrerait ça.
Une de mes rengaines favorites : il n'y a pas d'amour, que des preuves d'amour. Jean Cocteau. Ben du coup, les preuves, tu vas voir, tu vas jamais cesser de les donner.

Voir dans le contexte

Discussion : Les "symptômes" avant la "révélation"

Profil

Siestacorta

le jeudi 14 janvier 2010 à 10h49

Introspecteur Gadget

Car si tu parles du monde en général, je dis que le message devient dangereux car universaliste, le polyamoureux se plaçant alors dans une sorte de position d'omniscience du monde affectif, ce qui n'est pas forcément vrai.

Une révolution, ça bouleverse la société, mais - en théorie - ça veut pas dire que chaque membre de cette société va devoir se changer complètement.
Il y a des gens qui font des choses biens avant une révolution, et il n'y a pas de raison qu'ils ne continuent pas après.
Donc avant une révolution sexuelle, on peut être monogame, et le rester ensuite... Le truc c'est que l'affirmation de pouvoir être poly, de la légitimité de ce choix, changerait la donne pour tous. Il y aurait moins de cloisons entre poly et monos.
Dans l'idéal...

Faut pas avoir peur de l'universalisme quand il cherche pas à toute force à te prosélyter la face. Un bon universalisme, il te propose une amélioration du monde, et si t'en veut pas lorsque ça arrive, la seule chose qui importe c'est que tu sois au courant.
Si on te laisse pas le choix, c'est plus du totalitarisme que de l'universalisme.
(/troll on : mettons, l'usage de l'argent dans les échanges humains : totalitarisme ou universalisme ? /troll off)

Sinon, pour ta situation, où ta copine te dit qu'en fait t'as pas trouvé...
(universalisme ou... ? Non, d'accord, j'arrête). En théorie, c'est pas grave, hein, qu'elle comprenne pas pourquoi tu fonctionnes pas comme elle. T'as pas à montrer qu'il faut que vous, comme couple, ayez à choisir entre mono ou poly. Ca concerne chacun de vous.

Par contre, dans le genre symptôme, il faut savoir quand tu penses à elle, celle de ton couple d'origine mono. Est-ce qu'elle occupe dans tes pensées, tes besoins, une place indélogeable pas tes désirs de rencontres ou de personnes ?
Bref : les symptômes de l'amour sont les mêmes, même si tu devenais poly. Tu pourrais avoir une peur panique de l'engagement, avoir des problèmes de libido dans le cadre de ton couple, être comme moi un peu intégriste sur le besoin d'un chacun chez soi... Si tu penses à elle souvent, si elle te fait bouger le coeur et les émotions, tu l'aimes, et le reste c'est ton bricolage affectif (ton invention si tu te sens lyrique).

Enfin, dans la situation que tu évoques au fur et à mesure, les questions qui comptent me semble être moins sur les symptômes que sur un réapprentissage amoureux...

(symptôme... c'est pas une maladie, ni une pathologie. C'est une compréhension de soi, éventuellement ça devient un choix.)

Voir dans le contexte

Discussion : Je vous quitte

Profil

Siestacorta

le jeudi 14 janvier 2010 à 10h15

amorgen
Hin Hin et dire mon cher Siesta que tu grommelais lorsqu'il y a quelques temps je te décernais la médaille du consensus :)

Oué, je sais...
Mais je suis consensuel par misanthropie, ça compense un peu, non ?
N'empêche, que les gens me trouvent acceptable, je suis tellement pas habitué, instinctivement ça me fait flipper
(en plus fait grossir... mon égo ou mes chevilles, et des parts de mon anatomie qui n'ont qu'une place interludrolatique ici)

Message modifié par son auteur il y a 5 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : Vous écoutez quoi en ce moment ?

Profil

Siestacorta

le jeudi 14 janvier 2010 à 01h04

Moi, dans le genre de circonstance, j'ai "encore un petit café", de Thiéfaine. C'est dans son album bluesy.

C'est pas sa meilleure chanson, mais dans ces moments là, elle apporte un petite touche de rage qui réveille à la mélancolie, et on revient dans le rock, et on se secoue la carcasse, et on serre les dents, et on repart.

Voir dans le contexte

Discussion : Le café-poly Paris de janvier au Sir Winston (au lieu de l'Assassin) ?

Profil

Siestacorta

le mercredi 13 janvier 2010 à 18h12

Je peux viendre
(non mais pas dans mon calbuth cette fois)

Voir dans le contexte

Discussion : Café-Poly - Paris - Samedi 9 janvier 2010

Profil

Siestacorta

le mercredi 13 janvier 2010 à 18h10

Juste à côté du Wilson, il y a le drugstore publicis .

Ils ont une sandwicherie, les prix sont raisonnables si on tient compte qu'on est sur les Champs. Et certains de leurs en-cas sont super bons... Notemment, ils y a un espèce de" petit pain " salé, un genre de mini sandwich, je crois qu'ils les font amener d'une boulangerie dont c'est la spécialité, sur place d'Italie (incapable de me rappeler le nom de tout ça, évidemment).
C'est 2 euros le petit pain, et ça bouche bien.

Je dis pas que le reste est pas cher... Vous imaginez bien le smoothie de 20 cl à 4 €, il y est aussi.

Mais c'est un très bon plan dépannage.

Voir dans le contexte

Discussion : Je vous quitte

Profil

Siestacorta

le mercredi 13 janvier 2010 à 18h03

Coffee : J'ai pas le réflexe IRC... Ce soir, je suis de promenade, j'essaierai de repasser quand même demain.

Voir dans le contexte

Discussion : Je vous quitte

Profil

Siestacorta

le mercredi 13 janvier 2010 à 15h42

monocycle
vous avez pas bientôt fini c'est truc de gamin...

j'hallucine, j'ai l'impression d'être en pleine récré, réglement de compte...faites çà ailleurs...

Marrant, moi je trouve tout ça très automodéré.
Ta cour de récré devait être super calme...

Voir dans le contexte

Retour au profil