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Discussion : Progressivité
Siestacorta
le vendredi 04 mars 2011 à 10h56
Le dédouanage à bon compte peut aussi avoir lieu dans la confidence en elle-même.
Parler d'un de tes amours à un autres, en termes positifs, ça peut être mal motivé :
- jouer sur "faute avouée donc à moitié pardonnée", donc se soulager de l'éventuelle mauvais conscience d'avoir pris des plaisirs sans l'autre.
- vérifier que l'autre est toujours d'accord, donc lui faire prendre un peu de "responsabilité" sur ce qu'on continuera à faire...
J'ai eu la chance de faire cette part de mon parcours assez tôt donc assez vite, avant que cette délicatesse soit un grand changement dans un couple installé. Donc c'est vrai que ma position était différente !
Mais ce "après-coup", tel que tu le pratiques, est assez limitant... Et si ta femme t'as accompagné dans tes recherches, elle peut comprendre.
Je pense que face à cette situation, tu peux préparer autrement l'espace de vérité, faire que l'omission soit plus directe tout en coûtant moins.
Tel que je le vois, tu pourrais reprendre, sans que ce soit les rv amoureux qui le justifient, du temps libre, du temps où tu n'es pas là, amoureuses ou pas.
Dans le cadre du couple classique, on tend à croire que ce temps là n'est pas nécessaire.
Mais je pense notemment à cet article de libé.
L'article est très orienté vers la partie infidélité. Mais le constat me semble global, sur le temps dont on a besoin avec d'autres, ou "exclusivement avec soi" (de ces "vacuoles de solitude et de silence" que nous souhaitait Deleuze, un homme qui aimait les oeufs en omelette), bref, la possibilité de définir personnellement les marges de liberté de mouvement qu'on s'accorde par rapport à un conjoint.
C'est ce principe de besoin d'autonomie, que ton épouse a probablement déjà acquis, qui rend compréhensible que tu ne racontes pas tes aventures. Tu peux dire qu'elles existent, qu'il y en a une qui est plus continue, mais tu n'as pas à en rendre compte, puisque, par principe, le temps que tu prendrais pour toi ne la concerne pas.
Voilà, une piste.
Discussion : [Le site] Liste des participations d'un utilisateur
Discussion : Polyamoureuse ... qui se cherche toujours ...
Siestacorta
le jeudi 03 mars 2011 à 10h36
Elfe66 :
Bienvenue.
Tu aimes ou te sens capable d'aimer plusieurs hommes, et capable de passer le pas de l'interdit.
C'est déjà bien, le bonheur que tu prends et que tu donnes comptent infiniment plus que les mots.
Ici, il t'a été dit, de façon plus ou moins frontale, que tu mentais et trompais.
Il faut bien comprendre une chose. Il n'y a pas de jugement dans ces observations. Il y a beaucoup d'entre nous qui sommes passés par là, ou dont un amant est passé par là.
Quand on dit que la vérité n'est pas établie, c'est juste un constat, une partie réelle de la description de la situation.
Mais tu es parfaitement au bon endroit pour en parler, pour écouter !
Parce qu'on en est pas tous au même point dans nos histoires polyamoureuses, on est pas tous à un état "mâhairvailleux" ou tout le monde se love love sans tabous ni difficultés, et dans pas longtemps on aura atteint un état de conscience nous permettant de parler avec les arbres.
Le polyamour n'est pas ici toujours "ce qu'on fait" et il n'y a rien avant ! C'est parfois un passé pour certain, un horizon, un repère... Et on pratique pas tous l'honnêteté de la même manière. Ca dépend de nos vies et de nos amants. On cherche tous nos fonctionnements... Ce qui signifie bien qu'à un moment on en avait pas.
Donc pour toi, dans ta situation, l'honnêteté dont on parle n'est pas encore praticable. Mais personne ne mettra en doute que tu aies envie de t'y essayer, ou que tu regrettes de ne pas pouvoir le faire, tout en sentant que ce serait la bonne solution morale pour toi. Tout le monde ici te souhaite de trouver ton fonctionnement, celui qui te fera le plus de bien par la suite.
Ce qui a fait réagir les gens, c'est une confusion... Tu te sens polyamoureuse, mais tu ne vis pas un polyamour. Ce n'est pas du tout contradictoire, et surtout pas une situation qui fait de toi la méchante. Ici, on te considère comme tout à fait normale de te chercher dans cette direction !
Quand il t'a été répondu "le polyamour, c'est quand on fait ci et ça", c'est pas pour te dire "t'en es pas, t'es pas comme nous, vile pécheresse". Avec le recul, avec l'idée que les gens ne te jugent pas mais on envie de parler avec toi (tu vois bien que le fil que tu as ouvert s'allonge vite !), tu prendras leurs interventions comme "oui tu en es là, mais tu peux aussi penser à ça comme ça, déculpabiliser sur le double amour, et mesurer différemment la responsabilité sur la vérité, sur à quel moment elle peut sortir".
Donc ce que peut apporter la communauté ici, c'est des comparaisons, des repères, des exemples de motivation, des réflexions. Il n'y a pas de condamnation sur ce que tu es, sur tes motivations. Au pire, des points de vue, généralement accompagnés d'une comparaison avec d'autres vécus.
Désolé sinon pour ton histoire finissante... Mais, justement, en continuant ta réflexion, tu as l'espoir qu'en assumant mieux, peu à peu, tu donneras de la solidité à d'éventuelles autres relations.
C'est vrai que transformer ta relation actuelle ne sera pas facile (peut-être pas souhaitable au fond)... Il faut réaffirmer la confiance avec ton mari, car dans une relation classique, elle n'est pas tellement questionnée, puisque fondée sur la répétition de code soit-disant "normaux". Cette réaffirmation fait peur, parce qu'on la croyait acquise... Là, elle serait mise à l'épreuve d'une circonstance très nouvelle. Personne n'est complètement prêt à sauter là dedans sans complexe !
C'est un changement qui peut être très profond, comme si vous décidiez de rester ensemble mais de ne plus vivre dans le même appart'. Tout un tas de situations et de délicatesses à voir venir.
Bon courage, tous mes voeux d'amélioration.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Poly ou Mono: Communiquer enfin au sein de son couple.
Siestacorta
le mercredi 02 mars 2011 à 11h33
Prodipe
Ce néologisme de 'polyamour' n'est destiné qu'à ceux qui s'autorisent à "aller voir ailleurs" sans, pour autant, casser des assiettes au retour du conjoint.
C'est tout l'inverse, bien sûr !
La monogamie, ça n'est destiné qu'à ceux qui croient pouvoir se permettre de garder l'autre à portée de main en permanence sans qu'il lui envoie d'assiettes à la tronche.
Il est impossible de voir les choses autrement, ce serait de l'hypocrisie.
Hein ? Quoi ? Moi, je caricature ?
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Je ne veux pas être dépendante, et ce fonctionnement fait que je le suis.
Siestacorta
le mardi 01 mars 2011 à 16h27
bon, "cacher la nature de ses sentiments", c'est quelque chose de soit très dur, soit très flou.
Par exemple, j'ai souvent du mal à dire mes sentiments avec des grands mots rendus célèbres par Lara Fabian, mais je sais marquer mon attachement.
Possibilités :
- s'il a son propre langage amoureux, écoute-le et essaie de le parler aussi... On peut avoir de l'attention et du respect pour quelqu'un sans expliquer ses sentiments en 4 exemplaires paraphés.
- il est très très bloqué, et t'as pas fini de ramer, et si tu en as marre maintenant, la suite sera pas mieux.
- dernière possibilité : c'est pas "cacher", c'est juste que c'est pas du grand sentiment, et tu lui fais trop d'honneur à croire qu'il "cache". Il ne montre pas parce qu'il n'y a pas grand chose à dire de plus...
Autre face du problème : quelles questions poses-tu ? Je me définis comme polyamoureux :je dis à peu près où j'en suis dans ma vie affective à celle(s) que je fréquente à tel moment, mais je ne dis pas forcément qui, combien de fois, jusqu'où... Sauf si ça changera quelque chose à la relation.
Pour "comment ça se passe quand il est ailleurs"... ca dépend vraiment des personnes. Pour le coup, on ne se cache pas, mais on va pas s'obliger à se montrer non plus. Ca dépend de ce qu'on considère comme intime ou partageable avec l'autre.
Quels contacts peut il y avoir entre vous, lesquels ne peuvent pas avoir lieu, lesquels souhaiterais-tu ?
Discussion : Moyens éprouvés ou à tester pour rencontrer d'autres polyamoureux
Siestacorta
le lundi 28 février 2011 à 14h35
Ok.
Mais tant qu'elle est d'accord, et que, même si elle n'en a pas l'usage, tu lui accordes la même liberté, tu tends beaucoup vers un fonctionnement polyamoureux.
La notion d'adultère, c'est plus par rapport au couple au sens "juridique", le fait conjugal.
Si quelqu'un te confronte à la loi ou à un ordre moral, c'est ton propre regard critique, pas ta femme, ou ta famille, si je comprend bien. Utiliser ce mot "dur" est une façon, sans doute, de gérer la culpabilité de faire souffrir ton épouse.
Discussion : Faut-il accepter le polyamour même si on sait qu'il en préfère une autre?
Siestacorta
le dimanche 27 février 2011 à 22h13
Oui, comme Wazaa, même situation, même question, même réponse :
tu penses par ton rapport à lui, "oh je veux qu'on soit ensemble".
Les polyamoureux n'avons pas de technique pour faire que l'autre aime quand on l'aime. Le polyamour ne fait pas plus ça que la promesse de fidélité.
Et il n'y a pas de "défauts" ou "qualités" essentiels, qui changeraient tout à l'histoire.
A part accepter ses sentiments tels qu'ils sont (pas aussi forts que les tiens) et t'éviter le plus possible de moments frustrants (donc continuer à faire autre chose que penser à lui), il n'y a pas d'initiatives vraiment nouvelles à prendre...
Enfin, un truc, tu n'es pas lassante, contrairement à ce que tu pourrais croire en lisant ces derniers posts. Ce n'est pas toi comme personne qui est lassante, c'est une conception de l'amour que tu partages avec énormément de gens, et qui finit si souvent par en faire souffrir la majorité.
Quand l'individu s'oublie dans une passion, quand, consciemment ou non, il met l'Hâmour qu'il ressent pour l'autre tellement au centre de tout que, nécessairement, tout le reste s'appauvrit.
Souvent, ne pas s'attaquer directement à la misère (ou à ce qu'on ressent comme tel) est le but...
Bon, désolé pour cette "sortie", c'est un ressenti que j'ai sur le coeur pour plusieurs récits amoureux, ici ou ailleurs. Désolé si c'est déplacé.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : [Le site] Amélioration de l'annuaire des membres
Discussion : Maitresse
Siestacorta
le dimanche 27 février 2011 à 13h00
Tigre, où sont les références qui te gênent aux entournures ?
Soit je les ai trop intégrées pour les voir, soit j'ai zappé les lignes...
Discussion : Moyens éprouvés ou à tester pour rencontrer d'autres polyamoureux
Siestacorta
le vendredi 25 février 2011 à 20h43
Si ta femme est au courant et qu'elle t'a aidé à sortir des carcans, je ne comprend pas bien où c'est adultérin ?
Je comprendrais si elle était au courant mais en désaccord et malheureuse, mais avec ces détails là...
Et sinon, touche pas à mon pote Nietzsche, sinon il va t'arriver des bricoles.
Discussion : [Le site] Amélioration de l'annuaire des membres
Discussion : [Le site] Amélioration de l'annuaire des membres
Discussion : [Le site] Amélioration de l'annuaire des membres
Siestacorta
le jeudi 24 février 2011 à 09h11
Salut, Bohwaz,on t'entend trop peu, c'eszt un peu culpabilisant de n'avoir l'occasion de te causer que pour la plomberie...
Ya un truc qui me manque un peu...
Je sais pas si c'est long à bricoler.
J'aimerai pouvoir relire mes messages MP zenvoyés.
Qu'en pense-tu ?
Discussion : Vos histoires d’amour préférées en fiction, roman, nouvelles, autobiographie, chanson, poésie, théâtre, ciné...
Siestacorta
le mercredi 23 février 2011 à 14h24
Shortbus, film d'amour et de sexe pour les inconvenants.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Café-poly : comment parler des amours pluriels ?
Discussion : Respect du Lutin débutant envers sa compagne
Siestacorta
le mercredi 23 février 2011 à 00h16
Euh, l'image, ce serait que ça, on pourrait s'en fiche.
Non, ce qui me fait titiller cette possibilité, c'est que c'est un ressort psychologique bien humain, qu'il faut identifier pour voir venir le moment où il va nous sauter au visage plutôt que de faire tourner la mécanique (oui, hem, bon, désolé pour la métaphore).
Blusher en parlait je ne sais plus où, le "triangle de Karpman".
Ca dit que, dans les relations affectives, on s'imagine et se met mutuellement dans 3 positions : bourreau, victime, sauveteur.
Le coup de A qui voit son amoureux B partir et se renseigne sur le polyamour, c'est
- d'abord je me vis victime, il m'arrive un accident et je suis la blessée.
- je tente de le comprendre, je lui parle de polyamour : je tente d'être sauveteur, de notre relation, in the name of love, tout ça.
- il continue son aventure, comme on en a parlé et que j'en témoigne, je suis victime, et lui, bourreau.
- mais comme j'apprend à gérer, je me donne l'espoir d'être sauveteur
Mais le point de vue de B ce serait :
- je suis dans une situation installée, où je ne me valorise plus. Je rencontre C, à qui j'explique mon spleen, où je suis victime
- C est attiré par moi, et ressent qu'elle peut me faire du bien, et être sauveteur.
- A refuse l'évolution de ma situation, me met la pression, elle est bourreau.
- je déteste ça, je l'envoie chier, mais comme je n'aime pas ce rôle de bourreau, je prend une décision brusque (rupture frustrante avec C, tragédie fataliste avec A, je pourrais redevenir victime... Ou rupture de Grand avec A, et j'essaie de la soutenir, en sauveteur incompris...)
Bref. On retombe facilement là dedans, quand il y a de la souffrance.
L'idée, c'est de pas se laisser enfermer dans une façon de ressentir et soulager notre peine avec des solutions "rôles", de voir en quoi on peut se "soulager en souffrant".
Ce soulagement est là pour compenser la solution qu'on envisage pas, parce qu'elle signifierait un changement qu'on craint. On préfère continuer à jouer un drame cliché plutôt que de reprendre en main une suite responsable de l'histoire.
Bon, après, c'est juste des outils de réflexion.
Je sais bien que les sentiments et la vie se schématisent pas. Mais ces idées permettent de se pousser à réfléchir autrement, et, peut-être, mettre le doigt sur la part de soi qui sera assez importante pour ne pas céder à nos peurs et à nos lâchetés.
(évidemment, si j'emploie ce genre de mots, c'est que je crois qu'on en est tous là, hein ! Qu'on a pas à en avoir honte. Il s'agit pas de dire que j'arrive à faire super bien dans ma propre vie, faites comme moi gnagnagni.).
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Moyens éprouvés ou à tester pour rencontrer d'autres polyamoureux
Siestacorta
le mardi 22 février 2011 à 22h38
"paraphraseraiS", s'du conditionnel, a priori elle cite en se demandant si elle en trouvera l'occasion.
Discussion : Respect du Lutin débutant envers sa compagne
Siestacorta
le mardi 22 février 2011 à 21h20
Bon, le moment est pas facile, en tout cas bon courage... et bravo d'essayer de poser les choses.
Tu devrais peut-être envisager le psy. Pas parce que tu es "malade", mais parce que tu souffres, et qu'un endroit où réfléchir à fond à la situation peut t'être utile.
Il y a des suivis psy qu'on ne fait pas pour se soigner mais pour passer des étapes de la vie. Ca peut être le bon moment.
Discussion : Poly ou Mono: Communiquer enfin au sein de son couple.
Siestacorta
le mardi 22 février 2011 à 20h16
Wazaaa
Quand on redoute de finir par se dire "Arrêtons la relation", quelque part c'est confortable de pouvoir chinoiser sur des conneries, ça fait reculer l'échéance, parfois jusqu'à la mort.
Je rebondis - boiing - sur cette observation, pour placer un petit coup de canif en passant à un possible "angélisme de la communication" (*):
- savoir communiquer et vivre une relation PA super moderne et sage et zen (et toltèque et bio et Max Havelaar) ne nous empêche pas d'avoir des poutres dans l'oeil sur ce qui motive nos conflits de couple (exemple : vouloir que l'autre soit bien, tout le temps, peut être un reflet de notre propre sentiment d'insécurité, et si on se met en colère dans un conflit de couple parce que l'autre ne veut pas parler de sa souffrance, c'est notre colère)
- le fait d'être PA, honnête, plein de bonne volonté, ça n'empêche pas que les histoires peuvent finir. On peut quand même être amené à rompre, renoncer à la relation, admettre que l'autre n' yest pluset n'y reviendra pas, même si on lui offre un amour inconditionnel, cadre de rêve où il peut aller voir où il veut, dire ce qu'il veut ... (une facette du "polyamour c'est mieux que rien" que j'évoquais dans un autre fil). SI l'envie y est plus, ce qui reste peut encore être jolie, s'appeler amour, ça ne vaut pourtant peut-etre plus le coup de s'y accrocher pour autant.
Le polyamour ne sanctifie pas, mes frères et soeurs.
* : dont on peut aussi trouver une jolie satire chez Gaelle-Marie...
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Faut-il accepter le polyamour même si on sait qu'il en préfère une autre?
Siestacorta
le mardi 22 février 2011 à 19h01
C'est pas tout à fait de la jalousie, pas seulement, dans le sens où ta peine est aussi ta peur de voir la relation s'achever pour toi, que ce soit parce que ton amant aille avec une autre ou parce qu'il déménage en papouasie.
Tu as de la peine, tu cherches une solution... Alors le PA, why not, hein, par défaut, c'est mieux que rien.
(métanote : faut vraiment qu'on fasse un point sur "accepter le PA, c'est mieux que rien", c'est un sujet riche...)
Cela dit, entre la colléguitude de ce récit (donc moins de changements de décor que beaucoup d'autres histoires) et le fait que tu sois restée longtemps avec un homme qui courait le guilledou sans toi-même envisager de le faire ni rompre, j'ai l'impression qu'au quotidien, tu n'as pas mille façons de te changer les idées, qu'en ce moment tu ne fais pas beaucoup bouger ton emploi du temps, même au delà de la question amoureuse.
C'est à dire, ce genre de ressenti où on est en attente, ou on "espère" des changements chez l'autre, ça se relierait très bien avec un mode de vie un peu clos : pas beaucoup de nouvelles têtes, de projets persos.
Je juge pas, on peut vivre comme ça, temporairement ou longtemps, et s'en trouver très bien.
Mais SI c'est, comme je me le représente ici, le fonctionnement qui accompagne ta vie sentimentale, alors c'est possible de trouver des pistes d'épanouissement affectif en passant par d'autres biais que ta relation avec cet homme.