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Discussion : Le droit d'être jaloux
Siestacorta
le jeudi 10 novembre 2011 à 17h58
clairobscure
Bref, ce que je veux dire, c'est qu'à force d'être rationnel, en expliquant de toutes les manières possibles, etc, on oublie que, comme dit siesta "Quand on dit ce qu'on veut, on ne décrète pas que ce sera ainsi désormais.",
J'addowre qu'on me cite, je me masse les chevilles sinon ça va devenir douloureux...
Et c'était l'essentiel de mon message, Lulutine :
Non seulement ton ami a raison de dire "j'ai le droit d'être jaloux", mais mon conseil serait que toi, tu es totalement légitime de dire ce que tu penses qui serait bon pour lui et même de répondre, sur le moment, "oui mais c'est nul d'être en colère pour ça et la jalousie avec moi ça ne t'apporte rien". Avec moult hurlements et montées dans les aiguës.
(j'exagère, là. C'est pour accentuer le contraste avec "une longe discussion rationnelle où on ne dit pas ce qu'on veut vraiment de l'autre")
Parce que si tu ne fais pas ce que tu estimes être du donnage de leçon, si ton refus de ce qu'il dit n'est pas montré tripes déballées, tu ne dis pas non plus vraiment ce que tu vis, donc, tu ne donnes pas l'occasion d'avancer sur la question et de trouver le compromis.
C'est pour désamorcer cette occasion de rater le dialogue que je te dis "on décrète rien quand on dit tout haut ce qu'on attend de l'autre". On ne fait qu'exprimer ce qu'on ressent, en sachant très bien que ce n'est QUE ce qu'on ressent.
Mais si tu le fais pas, si tu mets trop d'autocritique sur le mode "puisque c'est seulement mon ressenti, je le gère et j'ai pas à le laisser paraître", en quelque sorte, tu décides pour l'autre de ce qu'il peut ou pas partager avec toi, comprendre de toi.
Si je suis en colère, si tu es en colère, oui, ça va faire bobo, mais si on le laisse pas sortir, si, lorqu'on sait qu'on est aussi capable de l'échange constructif, on ne laisse sortir que la version "raisonnable" de ce qui est à dire, on dissimule (et se dissimule) ce qu'on est.
Je n'appelle pas à une totale transparence comme "seule vraie voie" : je ne dois rien que je n'aie décidé de devoir, dans mes relations.
Mais dans les relations affectives, j'ai décidé que mes affects avaient leur place, quitte à ce que je mette du rationnel après pour avancer et probablement dépasser l'état jaloux, colérique...
Et donc, bien que tu préfères de ton côté ne pas dire à quelqu'un ce qu'il devrait faire, ou quand "pour tes raisons persos" tu ne donnes pas des détails ici, je préfère moi être direct, te tutoyer, personnaliser un peu, être subjectif dans le conseil que je te donne. Ca n'est que mon choix, mais disons qu'en le faisant je t'offre plus d'options pour me répondre ensuite que si je contrôlais tout le temps l'affectif qu'il y a dans mon discours.
Message modifié par son auteur il y a 14 ans.
Discussion : Polyamour et libertinage
Siestacorta
le jeudi 10 novembre 2011 à 17h38
ah mais essaie, pratique, et si tu trouves le moyen de faire comme tu rêves de le faire, tant mieux...
C'est juste des messages de "prévention", avec l'expérience affective ou pratique, de la part de gens qui se sont posé certaines questions que tu te poses :-)
Discussion : Polyamour et libertinage
Siestacorta
le jeudi 10 novembre 2011 à 17h36
p'tite julie
si un poly n'apprécie pas le ou la partenaire de son conjoint, je pense que cela fait partie du respect, le monde ne se voit pas forcément identique pour tous ....
ben ouais, mais bon, je peux aimer quelqu'un qui a déjà quelqu'un, qu'on me pose comme condition de devoir être assez bien avec le tiers pour pouvoir vivre avec, sinon, mon histoire à moi sera très secondaire...
Et je peux aimer quelqu'un, et avoir déjà une amoureuse qui ne veut pas rentrer dans le "projet".
Disons que de "limiter" le polyamour à la poly-colocation, c'est un retour aux contraintes exercées ou subies dans un couple traditionnel : tu as dit que tu voulais être avec moi, alors t'es obligé de faire comme t'as dit, parce que l'amour c'est ça, et tu dois être aussi bien que moi je suis avec l'autre, aussi bien que moi je souhaite que tu sois bien...
Si le polyamour contraint ainsi, je préfère être seul qu'obligé d'accompagner :-)
Message modifié par son auteur il y a 14 ans.
Discussion : Polyamour et libertinage
Siestacorta
le mercredi 09 novembre 2011 à 15h12
ptite julie : sur "c'est plus facile de faire ça ensemble sous le même toit", c'est en pratique, sans doute vrai, mais sur le plan sentimental, c'est moins sûr.
Disons que tout est dans le côté équitable : que fais tu pendant que l'autre voit un tiers ? Es-tu capable de vivre ta vie sans lui, quelle vie perso pourrait te satisfaire pendant que l'autre vit la sienne ?
Soit vous voyez vos amoureux respectifs le même soir... Soit tu considères que tu peux faire tout un tas d'autre chose aussi importantes à tes yeux que l'est l'amant(e) de ton amoureux.
Vivre en tryade où tous le monde aime tout le monde, c'est une configuration possible, sans doute très pratique, mais ce n'es pas "ça ou rien" : sinon, c'est comme dire, "je veux la société idéale ou rien". Il y a des chances de rien vivre du tout...
Discussion : Charte de discussion
Siestacorta
le mercredi 09 novembre 2011 à 02h04
LuLutine
Si la modération était aussi autoritaire que certains veulent le laisser entendre, je parie fort que tous ces débats n'auraient pas lieu.
Certes, mais avec les têtes de mules poly que nous sommes, personne ne viendrait de toute façon débattre de quoi que ce soit, dans un environnement autoritaire.
Ce n'est pas parce que ça ne va pas mal que ça ne peut pas aller mieux.
Discussion : Polyamour et libertinage
Siestacorta
le mercredi 09 novembre 2011 à 02h00
Merci Coucou pour avoir pris le débat sous cet angle, j'avoue que même si moi j'aime les étiquettes volantes, je trouve ton angle super constructible et, wow, Paul, ça c'était du bon post qui démate !
Discussion : Enfin, le rivage !
Siestacorta
le mardi 08 novembre 2011 à 12h09
Ben, quitte à résumer, le parcours de ladymarlène avec le monsieur concerné, c'est qu'elle se disait "il m'empêche de... je veux ça grâce à lui mais lui ne fait rien...", et elle regrette ce type de réactions. Me gourre-je ?
Discussion : Pensées matinales
Siestacorta
le mardi 08 novembre 2011 à 10h17
Heu, le polyamour de qui fait cet effet là ?
Parce que moi, ce qui peut me faire tout ça, c'est pas le polyamour, c'est la peur...
Discussion : Polyamour et libertinage
Siestacorta
le mardi 08 novembre 2011 à 10h15
Disons qu'il ya du sentiment dans "polyamour". Ca n'oblige pas à partir de là, mais ya de grand chances pour qu'on y passe quand même...
Message modifié par son auteur il y a 14 ans.
Discussion : Le droit d'être jaloux
Siestacorta
le mardi 08 novembre 2011 à 10h02
LuLutine
Au lieu de me dire : "Cette personne cherche à me nuire volontairement, grrr !" je pouvais penser : "Je peux choisir d'ignorer les attaques de cette personne, elle n'en vaut pas la peine. Je resterai calme et je ferai tout ce que je peux pour atteindre quand même mon objectif.(...)
Je me dis souvent que la même "méthode" pourrait s'appliquer à la jalousie...
Sauf que la jalousie n'est pas une personne. En ignorer ou pas les attaques n'aura pas les même conséquences. C'est à dire que "continuer vers l'objectif" sans dire ni écouter les "grrrr", sans en tenir compte, c'est pas discuter, ni dialoguer, c'est dire "on fait avec des bonnes règles et des bons comportements et ya que ça qui fait aller les choses mieux".
Je joue sur mon interprétation de "la même méthode", pour souligner que "la bonne méthode" de réaction ne donne pas forcément une bonne réaction.
Oui, c'est donc pas à ce que tu as dit que je répond, pourrais-tu dire...
Mais tu écris souvent ici, donc, pour te répondre, je vais tenir compte de ton goût pour la discussion rationnelle, et l'importance qu'ont pour toi les rapports de conciliation sans expression d'agressivité et sans égocentrisme.
Se dire "je ne veux pas répondre, parce que ce serait des demandes personnelles sur ce que doit faire l'autre et j'ai pas de légitimité", c'est pourtant un peu surévaluier :la force, le rapport de force qu'il y a dans une demande personnelle.
Tu n'es bien sûr pas légitime, c'est déjà connu au moment où tu parles, donc, quand tu parles, tu parles pas sur "j'ai le droit", mais sur ce que tu ressens.
Si je demande à quelqu'un de pas être jaloux, ou d'être fidèle, ou d'être poly mais de ne sortir qu'avec des gens d'un sexe différent du mien, ou d'une espèce animale différente, tiens... Je ne fais que demander. Je ne pars pas du principe que c'est une exigence binaire "tu le fais et ça marche / Tu le fais pas et rien n'est plus possible entre nous".
Quand on dit ce qu'on veut, on ne décrète pas que ce sera ainsi désormais. On a juste informé, de ce que l'on veut, de ce qu'on ressent, de ce qu'on attend. Mais ce que l'autre entend dans cette information, ce qu'il fera, ce qu'on fera ensemble avec cette information, c'est forcément complexe, et, au final, ce sera toujours différent de l'attente qu'on a en exprimant notre désir.
Nos désirs sont des réalités.
Ils ne se réalisent pas quand on les expriment, ils n'obligent personne à changer de comportement pour s'y conformer.
Mais ils sont réels, ils sont nous-même, ils expliquent nos actes et nos choix.
Si on ne les exprime pas, on ne les rend pas moins réels, puisqu'on va continuer à faire des choix et réagir en fonction de ça, juste... sans prévenir, ni se donner l'occasion de créer le compromis qui, au final, rendra nos vies plus satisfaisantes que si on avait eu tout ce qu'on désirait (et ses conséquences pratiques, par exemple, je désire que l'autre soit poly, il l'est, et hop, je me retrouve secondaire).
Donc, si tu lui dis "je voudrais que tu dépasses la jalousie", tu lui ordonnes pas, tu parle d'une réalité, qui sera prise en compte par la suite.
Si tu lui dis pas, tu caches une réalité, tu empêches que s’exerce le principe de réalité sur lui et toi. Tu dissimules un désir, tu en dissimules aussi les limites, que pourtant, tu connais ou est capable de donner.
Bref : on a le droit d'être jaloux, et de désirer que l'autre ne nous expose pas à la jalousie : quand c'est dit, on trouve le moyen de pas y être exposé (ne pas être tenu au courant, ne pas être présent quand il se passe tel contact, ne pas être avec un poly).
On a le droit de demander à l'autre de désirer que l'autre ne soit pas jaloux, et de lui dire : quand c'est dit, on va pouvoir trouver comment s'arranger, ou trouver qu'on ne peut pas.
Mais tant qu'on demande pas, qu'on dit pas ce qu'on veut, on peut parler des heures (ou ne rien s'en dire pendant des années) : on a aucune chance d'obtenir qu'il y ait ensuite des réalités satisfaisantes...
Message modifié par son auteur il y a 14 ans.
Discussion : Enfin, le rivage !
Siestacorta
le mardi 08 novembre 2011 à 09h27
ladymarlene
Et je me rends compte de certaines choses à côté desquelles j'étais passée.
Quelles choses ? pas précisément, mais les domaines concernés ?
Discussion : Charte de discussion
Siestacorta
le mardi 08 novembre 2011 à 09h20
Bohwaz
- la réponse est déjà graduée (en fonction des agissements ça peut directement passer à un grade supérieur) : avertissement, modération, re-modération, re-avertissement, bannissement (cas extrême).
Ca, c'est le rapport avec le membre / l'intervenant et son type d'action qui est gradué, comme pour les avertissements d'Hadopi.
Or c'est la modération d'un message, de son contenu, qui est l'approche a priori du forum, puisqu'il est possible de poster un message sans être membre.
Quand je tente de parler d'autres méthodes possibles, c'est au contraire en mettant en avant que ce qui est modéré, c'est le contenu d'un message, pas l'auteur et son historique... Sauf avec les méthodes de "karma", justement, qui ont l'avantage d'être le reflet d'un regard collectif sur la personne concernée, et décharge le modo d'une partie de la responsabilité de trancher seul ou en comité de "qui dit une connerie mais n'en dit généralement pas donc on laisse" et de "qui dit tellement de conneries qu'on a aucune raison de laisser dire".
La distinction entre les deux est aussi "humaine", c'est pour ça qu'être créatif et éthique sur le sujet vaut le coup, pour pouvoir tirer le meilleur des membres et des modérateurs qui travaillent pour eux.
Bohwaz
tout est définit dans la charte déjà si je ne me trompe pas
Ce que dit la charte, c'est "ya de la modo et elle se fait dans tel esprit" (nétiquette).
Elle ne dit pas "les modos travaillent comme ça".
Indépendamment de ce que je peux penser des méthodes de ce travail (et je comprend d'ailleurs très bien qu'on puisse se foutre de mes opinions en la matière), tu pourrais répondre d'emblée à un bon tiers du débat ici, et son éventuelle résurgence, simplement en renvoyant à une partie de la charte qui dirait "les modos travaille ainsi et sont recrutés comme ça".
Une partie de la tension sur ce fil vient de l'impression, de l'extérieur, qu'il n'y a qu'une seule modération possible, donc qu'on a pas à la définir. Tu sais, comme quand les ultralibéraux te disent "There Is No Alternative" ? Ben quand tu définis pas précisément ta méthode, tu affirmes un peu qu'il n'y a pas de définition nécessaire, en partie parce qu'il n'en existerait pas d'autres.
Que tu aies confiance en la tienne, très bien, et même si ça me défrise, je trouve ça normal que tu croies à ton point de vue. Mais que tu affiches pas "on choisit ça ici", ça laisse l'impression qu'il n'y a a pas eu du tout de choix, et que c'est juste laissé à la fantaisie du responsable.
J'ai bien compris, dans cet échange et avant, que ça ne se passe pas comme ça dans les faits. Mais moins j'en sais sur ce qui se passe, plus je pose de questions et émet des théories. Parfois pas intelligentes. Plus les médias et les états désinforment et zappent certains débats, plus les citoyens fantasment sur les théories du complot, alors qu'une information complète et repérable y prêterait moins le flanc.
(désolé, j'ai des obsessions politiques en ce moment)
Message modifié par son auteur il y a 14 ans.
Discussion : Enfin, le rivage !
Siestacorta
le vendredi 04 novembre 2011 à 11h19
peut-être que ce départ de l'autre était ce qui pouvait t'arriver de mmieux, pour que cesse l'aspect "marotte" de cette question et que ce soit entre toi et toi...
(ce n'était pas qu'une marotte, je sais, mais c'est cet aspect qui faisait, je crois, que tu n'amenais pas toi de décision)
Bref, bon retour parmi les causants.
Discussion : Charte de discussion
Siestacorta
le jeudi 27 octobre 2011 à 14h51
Nan, je connais pas les marmousets. C'est comme les borrowers ou les minipouss ?
Discussion : Charte de discussion
Siestacorta
le jeudi 27 octobre 2011 à 14h50
transposé au forum, le mandat impératif, ce serait :
- une définition pratique et publiée de ce que c'est que la modération ici : quels outils, quels principes, qui prend quelle décision à quel moment
- l'engagement des modos à suivre le fonctionnement écrit, et à poser la question publiquement quand ce qui est écrit ne permet pas d'agir sur une situation.
- le fait de ne pas faire autre chose : par exemple, quand tu modères, tu signes modo, mais quand tu réponds tes idées personnelles sur un sujet dans lequel tu vas intervenir / tu es intervenu comme modo, tu ne le fais pas sous la signature "l'équpe de modération". Ca engendre aussi beaucoup de self control quand tu réponds avec ton pseudo normal sur le même sujet, voir une décision de pas prendre parti à ce moment là, ou de le faire beaucoup moins subjectivement que tu ne le ferais autrement. Ca c'est pas le mandat, mais l'honnêteté avec lequel on le remplit.
Discussion : Charte de discussion
Siestacorta
le jeudi 27 octobre 2011 à 01h04
Ouch, j'ai l'impression de m'être fait cloner et de voir une armée de mini siestas en train de courir partout. Ambiance Gremlins 2.
Vais prendre une aspirine et un rendez-vous avec un spécialiste, alors :-)
Précisions :
- le mandat impératif, c'est un gros mot de constitutionnaliste, pour dire "je ne suis pas élu, mais soit désigné, soit volontaire (les deux, ça existe souvent aussi) pour accomplir telle tâche (ici, la modération) en suivant telles règles qui ont été fixées collectivement. Je ne suis pas légitime quand je n'applique pas ces règles, que je prend des décisions sur des domaines pour lesquels je suis pas mandaté". Ex : tu fais un mandat impératif à un urbaniste pour qu'il redessine le quartier d'une ville au nom de ses habitants et selon des spécifications précises, mais s'il se met à dire "on embauche des flics" ou "les apparts qui donnent sur la rue que j'ai dessiné doivent contenir un des lampes de 70 watt max", il est hors mandat.
Quand je donnais cette expression, c'était moins pour comparer le forum à une démocratie (ce qu'il n'a pas à être, je le dis sincèrement) que donner un modèle au volontariat.
- le flameboard demande, comme la plupart des idées qu'on a pu développer, un peu plus de boulot de modérateur, tout en l'allégeant par la suite. Par contre, il s'agit pas seulement des sujets "pas publics", il s'agit de fixer le moment où le ton est monté tellement dans l'agressivité que le débat est devenu "incendiaire". Derrière la proposition de flameboard, il y a de toute façon l'idée qu'en pouvant déplacer un message ou une série de message d'un fil à un autre, on évite de les traiter de la même manière, par effacement, que s'ils étaient injurieux ou illégaux.
- les points de karma, c'est quand les membres d'un forum font un petit click sur le nom d'un autre, pour dire "celui-là je lui fais confiance" ou "celui là il fait vraiment beaucoup de conneries". En gros, du coup, quand un type dit un truc un peu plus difficile que d'habitude mais que plein de gens lui ont donné des points avant, il risque moins d'être incompris, puisqu'il est signalé sur son pseudo s'il est réglo d'habitude ou s'il est plutôt dans le genre à foutre le merdier.
Message modifié par son auteur il y a 14 ans.
Discussion : Idées de conférences, débats, etc.
Discussion : Idées de conférences, débats, etc.
Siestacorta
le vendredi 21 octobre 2011 à 18h47
Qu'on vient pas égorger leurs fils et leurs compagnes :-)
Discussion : Charte de discussion
Siestacorta
le vendredi 21 octobre 2011 à 18h45
heu, avec littlejohn, en insistant bien pour que le "nous", tu sois dedans, bohwaz...
Discussion : Nouveau café poly sur Paris?
Siestacorta
le vendredi 21 octobre 2011 à 13h21
pour une soirée "juste comme ça", sans un peu de rameutage sur FB et amours.pl, tu auras pas forcément une foule énorme, mais la salle en question est "intime", quand on est 15 dedans on se sent pas pour autant trop esseulés