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Siestacorta

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Discussion : Polyamoureuse pas assumée

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Siestacorta

le lundi 04 novembre 2013 à 11h19

Ben de fait, vous n'êtes pas tout à fait dans la même situation...
Pour hparti, la compagne s'est déclarée polyamoureuse, n'a pas débattu du concept ni des conditions pratiques avant, et a appris qu'elle était tombée sur quelqu'un qui avait menti sur sa situation, un "faux" polyamoureux dans le sens où il avait l'intention de rester dans un mensonge adultère, pour son côté.

Si l'un de vous faisait une rencontre, vous le feriez en pouvant poser les questions nécessaires dès le départ. Que la personne rencontrée soit célibataire, mono adultère, mono open, poly, vous pourrez penser à deux ce que vous pouvez faire, en tenant compte de votre relation.
La restriction, c'est qu'on peut pas déterminer pour l'autre par qui il est attiré, ému... De ce point de vue, il faut une bonne confiance en soi et en l'autre, quel que soit le modus vivendi que vous adopterez.

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Discussion : Polyamoureuse pas assumée

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Siestacorta

le dimanche 03 novembre 2013 à 13h38

Les réponses "réelles", elles dépendent des situations personnelles, et aussi de ce qui se vit, dans quel ordre et dans quel contexte. Tant que c'est des questions théoriques, on peut répondre bien ou mal, ça ne correspondra pas vraiment à une situation concrète.
On peut sécuriser les étapes, mais faut les vivre à un moment où l'autre pour que chacun sache ce qu'il désire ou refuse.

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Discussion : De la culture du viol à la culture du consentement

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Siestacorta

le vendredi 01 novembre 2013 à 01h41

Tu as sans doute raison pour ce qui est de considérer les éléments de tolérance du viol : le banaliser, survaloriser l'image du mec entreprenant et de la fille passive, blâmer la victime parce qu'elle devrait savoir quoi faire (mieux s'habiller ou se défendre), ignorer ses marques de refus et insulter si le refus est net. Ca, oui, je suis d'accord, tu en trouves très beaucoup partout.
Sachant que la lourdeur qualifiée ne passera pas par tous les élements mais qu'un suffit, oui, ils peuvent être prépondérants.

Pour les étapes moins symboliques pouvant s'approcher et atteindre le viol, je crois quand même que dire qu'un mec sur deux l'a fait...
Bon, pour ça, comme tu dis, c'est invisible, de mon côté, j'ai pas vu.
Mais je suis un mec, donc j'ai pas une conscience aussi nette et vécue de ces évènements, je ne sais pas si j'aurai la même impression globale si j'avais traversé les rues en tant que fille.
(bon par contre en tant que mec "pas viril", j'ai fait ça un moment, et ouais, je me souviens bien de la probabilité certaine de tomber sur des connards qui avaient besoin d'affirmer leur masculinité en mettant la mienne en doute)

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Discussion : De la culture du viol à la culture du consentement

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Siestacorta

le jeudi 31 octobre 2013 à 19h51

Oui et non. Green Man joue justement sur cette confusion entre "significatif", "répandu" et "majoritaire" dans son post.
Certes ça arrive au moins une fois à la plupart des filles d'être emmerdée ou agressée, mais ça veut pas dire que chacune d'elle a subi ça d'un garçon distinct. Il suffit qu'un même lourd emmerde trois filles.
Si, sur la question de la pression sexuelle, un certain nombre de mecs emmerdent des filles au point que la plupart des filles aient été emmerdées et qu'un nombre comparativement ridicule de mecs on été emmerdé, il y a déjà un question sur la culture ceci-dit, même si un grand nombre de mec n'a jamais emmerdé une seule fille.

Bref, on peut imaginer qu'il y a un grand nombre de mecs à qui çaviendrait pas à l'idée, un bon nombre qui sont lourds ou agressifs souvent, et qu'un nombre important mais pas nécessairement majoritaire a pu être lourd, mettre la pression ou être carrément abusif une fois au moins.

Donc,
- une minorité active de mecs lourds suffit à perpétuer une culture du viol tangible et vérifiable
- et même si les mecs n'ayant jamais rien fait de vraiment très con étaient une majortié relative, et s'il n'y a probablement pas un mec sur deux pour être un délinquant, beaucoup de mecslaissent faire, beaucoup trouvent que ces paroles sont spectaculaires mais pas significatives (et vaguement accusatrices, parce que hé, moi je suis pas comme ça alors on en parle pas même si c'est le sujet), certains qui éludent qu'on puisse conclure que la récurrence ait une signification sociale, et certains qui vont tenir un discours qui dit que "ouais mais en même temps, le discours des féministes est fait de préjugés", ce qui va sûrement aider la société a s'améliorer.

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : De la culture du viol à la culture du consentement

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Siestacorta

le jeudi 31 octobre 2013 à 18h38

Green, tu demandes des stats quand on vient de te les donner.

Junon
Ensuite sur le plan national, étant donné que seulement 1 viol sur 11 fait l'objet d'un dépôt de plaine (ce qui ne veut pas dire qu'il y a une suite judiciaire bien loin de là...), qu'on estime à 75 000 viols par an et 198 000 tentaives de viols toujours par an en France, que pour accélerer les procédures de très nombreux viols sont déclarés en agression sexuelle, que dans 80% des cas l'agresseur(e) est un proche....

Je sais pas, pour moi, 75 000 et 198 000, c'est assez récurrent pour qu'on se dise que c'est pas juste quelques individus dans leur coin.
Ca rend pas tous les mecs coupable a priori, ça veut juste dire que dans la société où on vit, ça arrive, et à 98 % à des femmes, et qu'on a raison d'y faire attention et d'y réfléchir. Et souvent, les féministes font ça. Comme si ça en valait la peine ?

75 000 avérés, 198 000 tentés, et on sait qu'on a qu'un 10ème du truc, et on cause pas des autres agressions à caractère sexuel (jem'frotte, je te montre mon zguègue, je t'insulte si tu dis non) ça te semble pas représentatif d'un fait social ?
Bon, alors on va comparer ça aux stats globales de la violence en France ?.
462 350 atteintes à l'intégrité physique en 2009. Donc, on compte à la louche, 1/6ème de ces violences répertoriées sont donc des viols.
On a pas compté ceux qui sont pas déclarés, qui sont extrêmement majoritaires, notemment puisqu'ils ont lieu dans le cadre domestique.

Donc, le viol, c'est établi, tu peux pas le considérer comme accidentel.
Quand tu es une fille, tu peux légitimement flipper. Pas détester tout les mecs, juste te dire que ça peut t'arriver.

Bien. On parle des attouchements pas considérés comme des atteintes à l'intégrité physiques,? C'est là, 10è ligne du tableau : dans "baisers, caresses, et autres gestes déplacés".
Probablement pas décomptables "en dehors du ménage" : attouchements et gestes déplacés "rho, c'est pas grave". Ils existent, il foutent la pression, ils font flipper autant qu'un viol vu que tu sais pas où ça s'arrète.
Quand aux injures parce que la fille veut pas, on peut pas les déconnecter de la culture du viol. Le mec ira pas jusqu'à violer, mais la pression qu'il exerce (alleeeeez, donne ton numéro quoi) suppose que le refus ne vient pas de l'attitude du lourd, mais de celle de la fille. Et ça, c'est pas un cliché idéologique ou médiatique, il y a des lieux publics où tu ne peux pas passer une soirée sans tomber dessus.

Green Man Outside
le sujet de départ, et le titre de ce fil présuppose que la culture du viol est majoritaire

Non, seulement que la réflexion sur le consentement est nécessaire dans une société où le viol n'est pas une rareté, et où la plupart des filles que tu rencontreras te diront avoir eu un sale moment de pression sexuelle, quand ce sera pas le cas pour les mecs.

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Polyamoureuse pas assumée

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Siestacorta

le jeudi 31 octobre 2013 à 13h41

Curieusement, je suis content que ça fasse réfléchir d'autres gens dans des situations similaire.
Je ne vois pas de raisons "raisonnables" d'avoir peur du polyamour lui-même, mais de comment on décide ce qu'on vit et comment on parle de ce qu'on veut changer, oui, autant y aller en réfléchissant beaucoup.

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Discussion : Plus de désir pour mon partenaire

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Siestacorta

le mercredi 30 octobre 2013 à 19h54

Non, mais je comprends très bien pourquoi avoir un fils, hein.
J'ai une fille de huit ans sans jamais avoir eu le projet d'habiter avec elle et sa maman, la question du pourquoi serait toujours mal posée.

Non, c'est que cette chronologie me semble significative. Et que cette tension / obligationde la procréation que tu as décrite a pu beaucoup affecter ton désir.

Témoignage : après avoir été papa, après la naissance de ma fille, ben mon désir pour ma compagne n'est pas revenu.
Il y a plusieurs autres explications, mais en partie, c'est que procréation/paternité/ la mère de ma fille / son rapport à la maternité se sont associées dans ma tête, et bon, la parentalité que nous avions imaginée et l'enfant était plus importants que la partie amoureuse de notre relation, donc on a pas vécu ça comme un drame.

Juste pour dire que je ne doute pas de ce morceau là.
Mais, partiellement en connaissance de cause, je pense que bien comprendre que le désir, c'est pas un truc ça y est / ça yest pas et la personne ne m'attire plus, mais un ressenti dans un contexte.
Les ressorts de ce désir disparu valent à mon avis le coup d'être démontés, pas forcément pour réssusciter le désir, mais parce qu'ils sont liés à des tas d'autres réalités sentimentales.
Le désir, ça change de direction facilement. Donc mettons que tu désires beaucoup ton amant maintenant, mais que demain le désir n'y soit plus, sans que tu saches plus comment pourquoi que pour ta précédente déception érotique...
Autant pour comprendre ta situation adultère actuelle que pour ton épanouissement person ensuite, que pour le bien de la relation avec ton compagnon, quelque forme qu'elle prenne ensuite, je crois que tu devrais vraiment te pencher sur la compréhension de l'histoire couple/ attente d'enfant contrariée / désir abîmé / maternité- rapports de parents / désir annulé et amant.

Et sur la communication dans ta relation...
Quelle part de non-dit tu as prise en charge ?
(autre truc, une parole libérée et une libido qui change, parfois, ça se rencontre bien).

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Café-Poly le 29/10 à La Cantada (Paris)

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Siestacorta

le mercredi 30 octobre 2013 à 13h25

Ben bienvenue, en tout cas.
J'espère que tu as été intéressée, et eu l'occasion de papoter de façon plus perso après les deux heures de prise de tête réglementaires :-)

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Discussion : Plus de désir pour mon partenaire

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Siestacorta

le mercredi 30 octobre 2013 à 13h22

Bsolument.
Et deux fois par soir peut être considéré comme un marathon.
Parole.

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Polyamoureuse pas assumée

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Siestacorta

le mercredi 30 octobre 2013 à 13h20

homme_partit
Si ma femme veut tester des pratiques sexuelles, je suis tout a fait d'accord. Dans le couple, c'est moi qui avait le moins de tabous et c'est elle qui me frustrait en refusant certaines pratiques, alors penser qu'elle puisse les faire avec d'autres ne m'enchante pas.

[...]
Je considère le sexe comme un baromètre du couple.

Comme le baromètre est fait de données de deux individus (au moins :-) ) et de données externes au couple (boulot, estime de soi, pilule, autres médications, expérience...) faut faire comme avec les tableaux impressionnistes, le regarder avec pas mal de recul.

Par contre un truc vrai de vrai, c'est que si la vie sexuelle est vraiment épanouissante pour les deux, penser à l'existence des tiers est moins difficile. Pas facile, juste moins difficile.

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Discussion : Les lundis poly - 11 novembre - Paris - Bubble Bar

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Siestacorta

le mardi 29 octobre 2013 à 11h47

Me demande quand même si un évènement ciblé "on fait de la figu dans un docu-fiction sur le polyamour" (enfin en plus accrocheur), serait pas plus direct, notemment pour expliqué que pour la partie film, c'est bien important d'arriver tôt-tôt.

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Discussion : De la culture du viol à la culture du consentement

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Siestacorta

le mardi 29 octobre 2013 à 11h22

ET le consentement, c'est aussi à propos de ça.

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Discussion : Plus de désir pour mon partenaire

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Siestacorta

le mardi 29 octobre 2013 à 02h20

Non mais j'insiste, la NRE qui ferait baisser le désir dans la relation plus ancienne, faut déjà qu'il y ait une nouvelle relation !

Le désir avait déjà disparu AVANT qu'il y ait un tiers : il pouvait pas y avoir New Relationship Energy, puisqu'à ce moment là il y avait pas New Relationship tout court.

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Plus de désir pour mon partenaire

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Siestacorta

le mardi 29 octobre 2013 à 02h13

ya bien une théorie des deux ans, mais c'est pas du tout à ça que je pensais. Les deux ans sans désir pour le compagnon ont commencé avant la nouvelle relation, dans le cas de woelleffchen (qui apparemment tient beaucoup à ce qu'on relise son pseudo 8 fois...).

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Discussion : Nouvelle, poly ou paumée et comment s'y prendre?

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Siestacorta

le mardi 29 octobre 2013 à 01h07

Vrai aussi. Je suis pas fan de demi-vérités non plus, mais dire une vérité pure et dure quand la réalité est encore floue, d'un autre côté, ça donne pas forcément des résultats plus convaincants, donc bon... "Ça dépend", pour reprendre un des leitmotiv des café-poly.

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Discussion : Nouvelle, poly ou paumée et comment s'y prendre?

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Siestacorta

le mardi 29 octobre 2013 à 00h47

arlina1302

Mais si cette vérité ne comptait pas assez aux yeux de son compagnon, est-il si néfaste d'y ajouter un temps où le réel d'une vérité partiellement découverte serait rassurant ? siestacorta, je suis vraiment navrée, mais je n'ai pas tout compris là. Peut etre est ce du au fait qu'il est minuit passé et que j'ai les yeux qui se ferment, mais oserais-je te demander de me rexpliquer cela ? ça serait vraiment chouette.

Nan mais j'ai des moments bien verbeux, aussi, faut pas hésiter à me demander de décoder.
Alors, en termes simples, si tu dis d'emblée "je vais avoir une relation avec quelqu'un pour qui j'ai des sentiments depuis très longtemps", ça fait beaucoup de vérité à entendre d'un coup, et ça peut être mal reçu (pas forcément par ton compagnon, je le connais pas).
Pourtant, au moment de lui dire ça, il y aurait une réalité importante : ça fait longtemps que la possibilité existe, si j'étais femme à sauter sur l'occasion et si je n'avais pas confiance enla valeur de notre couple, j'aurai pas attendu autant.
Cette partie là de la réalité, elle pourrait être moins entendue que "j'ai des sentiments depuis longtemps". Ce que peut retenir ton compagnon c'est "sentiment", pas "je suis prudente".

Par contre, en vivant des trucs avec ton "autre" amoureux, sans avoir souligné à quel point tu étais impliquée depuis longtemps, mais juste en laissant constater que ça ne change pas l'essentiel de ta relation de couple, que ton compagnon peut rencontrer ton amoureux, que ça ne part pas dans tous les sens... Ben du coup, si ce temps d'essai est concluant, tu pourras dire, si nécessaire, "en fait ça faisait longtemps que j'y réfléchissais, mais je crois que si je te l'avais annoncé tout à trac tu aurais eu peur de bouleversements qui n'auront pas lieu, comme tu le constates après ce premier temps de polyamour qui n'a pas été catastrophique".

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Plus de désir pour mon partenaire

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Siestacorta

le lundi 28 octobre 2013 à 22h40

Une question : si ça fait deux ans qu'il n'y a plus de désir pour ton compagnon, que tu as un amant depuis un an, et que ton fils a cinq mois... Quel était la façon dont tu envisageais l'avenir avant de faire un enfant, et dans les 6 mois antérieurs ?

Est-ce que tu désirais vraiment construire un foyer, pendant la relation ? Parce qu'une partie de ce que tu racontes ressemble à une expression de refus d'une vie domestique classique...
C'est pas un mal, tu seras sans doute une bonne mère, c'est pas du tout ça qui me fait réagir (si ça peut te rassurer mon propre rapport à la paternité est assez spécial pour que je ne juge personne... ).
Mais j'essaie de voir si ya pas un rapport entre le désamour, l'amant, et des aspirations qui ne soient pas d'ordre amoureux...

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Couple mono/poly, quels risques ?

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Siestacorta

le lundi 28 octobre 2013 à 22h00

Oh, je parlais pas pour essayer maintenant avec cette fille-là, mais justement parce que t'es jeune, plus tard si ça vient.

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Discussion : Mono / Poly, un déséquilibre de pouvoirs ?

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Siestacorta

le lundi 28 octobre 2013 à 21h46

En fait, je cherche à simili modéliser ça, parce que pour le peu qu'on peut répondre de vraiment utile en réaction aux confidences qu'on nous fait ici, ce serait pas mal d'être capable de dire "vous en êtes là, la force qui est développé en réaction à la tienne c'est ça, et ça veut pas forcément dire que c'est contre toi, les question que tu peux te poser en dehors de ces forces et qui ont du sens sont [détails en fonction des ressentis exprimés et de la personnalité qu'on découvre].

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Discussion : Elle veut tout contrôler, et ça vire au cauchemar

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Siestacorta

le lundi 28 octobre 2013 à 21h20

Vi mais justement, dans les rapports de dépendance affective, le sevrage complet serait une rupture, et je ne crois pas que ce soit souhaité !

Donc, même si le jeu de rôle me semble un peu vain vu d'ici, je comprend qu'il y ait une recherche de mise en pratique pour changer de mode de relation.

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