Je veux en parler au monde entier !
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Jena
le jeudi 14 janvier 2010 à 00h03
Lire les sourires entendus des membres de nos familles, en regardant ce t-shirt, ça n'a pas de prix; ça vaut toutes les acceptations, c'est plus que ça, c'est une connivence.
C'est "Je sais, c'est cool, on n'a même plus besoin d'en parler, parce ue ça coule de source".
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titane
le jeudi 14 janvier 2010 à 14h28
pourquoi avons nous besoinde cette "validation" familiale ?... la famille est un tremplin... sauf celle qui est devant nous... à réinventer...
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(compte clôturé)
le jeudi 14 janvier 2010 à 14h34
Parce que c'est important de garder un équilibre général, la famille c'est important. Et si elle est assez chaleureuse et compréhensive pour être OK avec ça, c'est tout bénéf': on arrête de te bassiner avec des questions gavantes comme: "Alors, mariage?", "C'est sérieux cette fois?", et de subtiles remarques comme "Je voudrais bien voir mes petits-enfants avant de mourir".
Celle-là quand j'y ai eu droit, je me suis sentie chauffer dedans, genre cocotte-minute. Heureusement que ma frangine est venue à mon secours, avec ses trois loupiots :P
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titane
le jeudi 14 janvier 2010 à 14h37
tu as raison, mais je crois que le vrai défis est la famille qui vien et qui doit être réinventée sans cesse... "on ne choisit pas sa famille"... sauf elle que l'on réinvente... et puis c'est plus durable... et ça peu servir à nos loupiots à nous...
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(compte clôturé)
le jeudi 14 janvier 2010 à 14h46
Ah tu parles de ta famille créée. Oui, celle-là, c'est autre chose.
L'autre, pour être en crise assez aiguë avec en ce moment, j'en éprouve aussi le manque. Là aussi, il y a à re-créer: c'est pas parce qu'on est du même sang qu'on est amis, et si un tel lien n'est pas évident, il peut cependant se créer.
Une amitié, un amour, ça disparaît plus facilement du paysage qu'une famille d'origine.
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Tchu
le jeudi 14 janvier 2010 à 15h03
titane
pourquoi avons nous besoinde cette "validation" familiale ?... la famille est un tremplin... sauf celle qui est devant nous... à réinventer...
J'ai pas forcément besoin de leur approbation, c'est plutôt une démarche empathique, de type "bon, voici les gens qui me rendent heureuse, rencontrez les, parce que je vous aime, voilà."
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(compte clôturé)
le jeudi 14 janvier 2010 à 15h05
Voilà, c'est ça. On peut être solidaires, même en n'étant pas d'accord.
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Junon
le jeudi 14 janvier 2010 à 15h12
Tchu
J'ai pas forcément besoin de leur approbation, c'est plutôt une démarche empathique, de type "bon, voici les gens qui me rendent heureuse, rencontrez les, parce que je vous aime, voilà."
C'est exactement ça. Tchu, je t'aime!
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titane
le jeudi 14 janvier 2010 à 17h25
vous êtes tous de la famille de Tchu?...
Je comprends bien, c'est sympa d' petre "reconnu" par ses pairs... et je crois quand même que "ma" vraie famille est celle que je construis et moins celle qui m'a construit... j'en suis reconnaissant bien sur, mais voilà, le motus vivendi chez moi c'était: donne tout à tes enfants et n'attend rien d'eux... ce qui est un bel exemple d'amour gratuit, spontané et libre.. même si en pratique ce n'est pas si évident...
Bref ce que je veux dire c'est qu'avec la famille d'où l'on vient, ce qui est beau c'est qu'on s'en détâche pour y revenir librement: on fait il y a une étape dans la vie où oui on choisit sa famille... ou plutot on fait le choix de la rechoisir ou pas... sans condition bien sur...
mais vous avez raison... j'ai réagis car souvent celaq est un symptome de manque de confiance et souvent on recherche au sein de la famille des alibis ou une approbation que l'on n'ose pas se donner soi-même.. ou pour monhtrer combien elle est ouverte notre belle et jolie famille sachant que cette qualité nous retombe dessus par filialtion...
Bon d'accord, des suppositions et des procès d'intention... sur la place publique pour qui veut bien... la poubelle n'étaqnt pas si loin...
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Tchu
le jeudi 14 janvier 2010 à 18h07
Je sais bien que je suis une grosse veinarde avec ma famille, surtout la maternelle. Ils sont hors normes :)
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tentacara
le jeudi 14 janvier 2010 à 18h31
Tout pareil comme Tchu!
J'ai la chance d'avoir une famille qui m'aime telle que je suis. Ils me voient rayonner de bonheur depuis quelques mois et ont été enchantés de rencontrer mes hommes.
Je ne cherche ni approbation ni validation. Je les mets face à ma réalité : voici mes hommes, ils font partie de ma famille désormais. Je ne mets pas en opposition la famille qui m'a construite avec celle que je construis. C'est une continuité.
Par ailleurs, j'ai été touchée de rencontrer les leurs, de familles, de m'y sentir accueillie.
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LuLutine
le jeudi 14 janvier 2010 à 23h43
Si je veux garder des contacts normaux avec ma famille, il faut que j'aie un minimum leur approbation, surtout celle de mes parents.
Au fond, ça me serait égal qu'ils désapprouvent....si dans les cas où ils désapprouvent, ils ne me harcelaient pas jusqu'à ce que je tombe en dépression pour me faire changer d'avis, et choisir ce qu'ILS pensent être "bien" pour moi (qui c'est qui leur explique qu'après 20 ans, et encore plus autour de 30, les enfants sont assez grands pour savoir tous seuls ce qui est bon pour eux ? ^^ ).
Du coup, oui, j'ai besoin qu'au minimum mes parents acceptent mes choix, même s'ils n'approuvent pas.
Bon pour l'instant, ils ne sont pas au courant (ou alors je l'ignore)...mais ça finira par sortir un jour, et ce jour-là j'aimerais autant qu'ils acceptent (même petit à petit) plutôt que d'être obligée d'aller au clash.
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titane
le vendredi 15 janvier 2010 à 10h48
"Du coup, oui, j'ai besoin qu'au minimum mes parents acceptent mes choix, même s'ils n'approuvent pas" ...besoin ou envie ?.. pas pareil ! approbabtion ou accueil et acceptation ? pas pareil non plus...
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Jena
le vendredi 15 janvier 2010 à 11h37
Elle a bien dit "besoin" :D
Besoin et pas juste envie, parce que c'est un chose de "revenir" ou pas à sa famille une fois qu'on en a décollé, c'en est une autre de savoir qu'on n'y sera PAS accueilli tel quel.
Même s'ils n'approuvent pas, qu'ils acceptent, ça veut dire qu'on peut y revenir quand on veut.
S'ils n'acceptent pas, c'est un rejet...
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titane
le vendredi 15 janvier 2010 à 12h19
pas compris...
"Besoin et pas juste envie, parce que c'est un chose de "revenir" ou pas à sa famille une fois qu'on en a décollé, c'en est une autre de savoir qu'on n'y sera PAS accueilli tel quel"... c'est quoi le rapport avec "besoin"?
A-t-on besoin de notre famille ou a-t-on envie d'être reconnu par notre famille ? ça fait longtemps que je n'ai plus besoin de ma famille et que j'apprécie d'en être reconnu et acueilli... justement parce que ce n'est plus un besoin mais une envie partagée... vachement plus agréable d'ailleurs !
Message modifié par son auteur il y a 16 ans.
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titane
le vendredi 15 janvier 2010 à 12h25
dans une famille tout n'est pas accepté sans avoir de rejet automatique... ce n'est pas le pied mais justement certains amours passent au dessus de certaines non acceptations..
ça devrait nous interroger justement cette capacité d'aimer au delà de l'acceptation.
Je n'accepte pas tout de toi (tes slips sur le divan, tes mensonges, ton orgueil déplacé) mais je t'aime quand même... alors ? c'est quoi cette étrange phénomène ?
Et aimer au pluriel nous expose davantage à ce genre de situations...
Message modifié par son auteur il y a 16 ans.
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(compte clôturé)
le vendredi 15 janvier 2010 à 12h51
Si j'en ai un à la maison qui laisse traîner ses slips sur le divan (ou tout autre défaut bien tue-l'amour), j'essayerai que celui que je n'ai pas à la maison soit un peu plus classe ! Lol.