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Discussion : Bordel de solitude

PolyEric
le lundi 28 juin 2010 à 14h39
Ben, moi je cherche avec ferveur et acharnement ma moitié, ou une quart, ou même une 10%.
Et là, miracle, le problème diminue avant même d'être résolu.
Car un problème en cours de résolution est un problème à moitié réglé !
Discussion : Monogame jusqu'à présent, mais.... ?
Discussion : Assumer ou pas

PolyEric
le lundi 28 juin 2010 à 14h23
peche
J'ai dû mal m'exprimer car au contraire je pense que nous sommes tout à fait d'accord.
Oups
Discussion : Dire "non" - pas si facile!

PolyEric
le lundi 28 juin 2010 à 14h21
Rosalie a deux problèmes.
Le premier pour dire "non", à une question qui ne lui est pas posée "veux tu me donner ta main ?"
Et le second pour dire "oui", a une question qui ne lui est pas posée non plus : "Est ce que tu .... ?" Je laisse un peu de place pour l'imagination !
Elle est poly-problème avec un seul type. Ca fait beaucoup de problèmes pour une seule relation mais elle va y arriver, si, si, on y croit.
Quel âne ce gars là. Quand je pense qu'il y en a qui ne pensent qu'à ça et qui ne peuvent pas.
Discussion : Poly ou pas, l'amour c'est l'amour

PolyEric
le dimanche 27 juin 2010 à 22h40
bobonne
Quand tu rend un homme heureux pourquoi veux tu qu il s'en aille ?
Oui, effectivement. Mais comment tu fais pour rendre un homme heureux ?
Discussion : Écrire un article à plusieurs pour le site
Discussion : Solitude

PolyEric
le dimanche 27 juin 2010 à 22h26
J'ai bien remarqué que seule une personne qui s'exprime sur ce site, partage avec moi (surement sans le savoir) la chose la plus importante qui soit à mes yeux. <3
Elle vous expliquerait surement mieux que moi ce que je veux vous dire, mais ça ne changerait rien à votre statut de célibataire autonome qui fait de temps en temps ses courses. :-)
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Assumer ou pas

PolyEric
le dimanche 27 juin 2010 à 21h43
peche
L'intérêt de ce concept de liberté dans le couple, me paraît très intéressant dans la mesure où il n'y a plus la pseudo sécurité : "on est marié donc tout est acquis" mais il faut tout les jours se remettre en question et prendre soin de cette relation si on ne veut pas qu'elle se termine car avec "l'ouverture" ça serait plus facile de partir.
Maintenant ce que j'en dis n'engage que moi d'autant que je ne suis pas encore passée à l'acte donc on verra comment il réagira quand les choses vont être effectives ! Et comment je réagirais aussi...
On verra, mais déjà, concernant la sécurité, je vois les choses complètement à l'opposé de toi.
La pseudo sécurité : "on est marié donc tout est acquis" est très pseudo et pas sécuritaire du tout. La logique dérive progressivement vers le "on peut détruite car tout reste intact" ce qui apporte beaucoup d'insécurité. L'amour est finalement tué, quasiment à coup sûr.
Tu dis " avec "l'ouverture" ça serait plus facile de partir", et moi je pense que c'est le contraire. Avec l'ouverture, s'il y a un problème et que tu veux te séparer de l'un, il peut té répondre : "au lieu de me quitter, va voir si les autres peuvent te l'apporter, eux". Et ceci rend quasiment impossible la séparation sur un coup de tête.
Pour se séparer, il ne suffit plus d'un petit problème ou d'une petite frustration.
Personnellement, je trouve même que la situation polyamoureuse est trop stable, et qu'il faut savoir grossir un peu les problèmes, sinon ils ne se résolvent jamais, la solution est trouvée ailleurs et le problème dure, dure....
Discussion : Il faudrait pas faire de complexe... de supériorité.

PolyEric
le dimanche 27 juin 2010 à 21h22
Je ne vois pas ou est le complexe de supériorité.
Dans "complexe de supériorité", il y a supériorité (je la vois bien, d'ailleurs, la supériorité, là), mais il y a aussi "complexe", et là, excuse, mais je ne vois pas ce qui est complexe dans ce que tu dis.
Tu jette juste un petit caillou dans la marre, et ça peut blesser les gens qui se baignent dans la marre.
Si je te comprend bien, ici, c'est le fil "confession". On se confesse d'avoir bien pensé, et la punition (souhaitée, je sort mon martinet), c'est d'autoriser les autres à nous dire qu'on se la pète. Bon alors, aujourd'hui, c'est moi qui fait le curé.
Je suppose Siesta que tu as conscience de ton écart par rapport au droit chemin, et surtout conscience que tu te la pète. Bon, je te pardonne, vas en paix, et recommence plus souvent... Amène à boire et à manger.
Vas-y à toi, maintenant.
Discussion : Dire "non" - pas si facile!

PolyEric
le dimanche 27 juin 2010 à 21h07
C'est vachement intéressant, ça.
Ca vaudrait un fil de discussion.
Elle a peut-être l'impression de dire oui d'avance (ou que le prétendant vent la peau de l'ours avant de l'avoir tué).
Ou alors, elle a un doute, et elle voudrait lever le doute avant d'aller plus loin.
Ou alors, ce qui me parait ici plus exact, c'est qu'elle voudrait une relation très sexuelle, directe, sans route traçée. Elle ne veut pas des sentiers battus.
Enfin, il y a tellement de raisons possibles à cette apparente contradiction que l'on ne trouvera pas sans l'aide de Rosalie.
En tous les cas, pour toi, Rosalie, la question serait plutôt de savoir dire "non mais oui" que de savoir dire "non". En effet, tu semble vouloir quelque chose, donc ce serait dommage de rester incomprise car ce quelque chose est peut-être partagé (ou partageable) mais il n'ose peut-être pas, il croit peut-être bien faire.
Pour ne pas jouer avec le feu, je dirais un truc dans le genre "je préfèrerais que.... plutôt que...., parce que je trouve que ça fait un peu......". Laissant à l'intéressé le soin de savoir s'il est sur la même longueur d'onde ou pas.
Discussion : Solitude

PolyEric
le vendredi 25 juin 2010 à 07h56
Amorgen : ok, je vois
Boucledoux : ça fait toujours plaisir de te lire, même avec un contenu que je ne partage pas de trop.
Discussion : Écrire un article à plusieurs pour le site

PolyEric
le vendredi 25 juin 2010 à 07h51
Ca me parait une bonne idée de parler de confiance en polyamour (et en amour tout court d'ailleurs). Je m'en occuperai dès que j'ai le temps.
Merci de la part des plusieurs pour les plusieurs compliments.
Subimago : ok J'essayerai de rester fidèle (en écriture). De toute façon tu peut rectifier ou faire une réclamation.
Concernant les mots de passe, j'ai essayé en mode "privé" mais alors il fallait un mot de passe et un mail pour pouvoir lire, donc j'ai préféré prendre le risque de le mettre entièrement public, je n'avais pas trop le choix ou alors je n'ai pas compris.
Du coup, on est en plein dans la confiance.Tout le monde a tous les droits, et donc quelques devoirs....
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Solitude

PolyEric
le jeudi 24 juin 2010 à 05h51
zina
[ajout] Je me rends compte que dans la manière de faire part à l'autre de ce manque il y a encore une distinction à effectuer : Vouloir faire part tout de suite à l'autre, sur le moment, de la souffrance qu'on a, vouloir dire qu'on a mal, c'est compréhensible, parce qu'on a mal, mais ca revient à ne pas gérer la solitude - comme disait MelleChat, il y a une différence entre ne pas aimer et ne pas gérer la solitude. Attendre que l'émotion soit retombée et en parler la prochaine fois que le partenaire est disponible - du fait qu'on aimerait le voir plus souvent ou être en contact plus souvent - me semble peut être plus approprié... Mais là j'attends des réactions pour me contredire ou au contraire me dire que ca peut en effet être acceptable.[fin de l'ajout]
Si je peux me permettre, il me semble que le fait de le dire sur le coup est acceptable alors que le fait de rendre officiel ton manque ne l'est pas.
Ce qui me parait acceptable, c'est que tu exprimes une émotion sur le coup, puis ensuite que tu fasse comprendre à l'autre que tu gère, que c'est ton problème et qu'il est bien libre de faire ce qu'il veut, qu'il n'est pas là pour combler ton manque, mais là pour chercher à combler le siens (Amorgen grrrr).
Hors là, tu fait le contraire. Tu réprime tes émotions (ou tes sensations), puis tu rend officiel un truc qui ne tient pas debout : Demander à l'autre d'être là pour toi, peut-être même tenter de le culpabiliser ou de faire pression sur lui...
Renoncer à l'enfance, me parait essentiel dans ton cas. Chercher plusieurs amoureux aussi. Car le but n'est pas de vivre avec le vide mais de combler le vide (Amorgen grrrr).
Par contre, ce que tu peux dire, tout à fait officièlement c'est que tu aime bien quand l'autre est là...
Je modifie pour ajouter une remarque essentielle à mes yeux : Ca me parait très faux de considérer que gérer consiste à ne plus avoir le problème. Il me parait évident que gérer consiste à règler le problème, donc s'il n'y a pas de problème, il n'y a rien à gérer. Autrement dit, avouer que l'on a mal, ce n'est pas faire preuve de "non gestion", mais prendre conscience qu'il y a un truc à gérer. Un peu comme le courrier qui arrrive le matin dans une grosse entreprise. Le boulot se pointe, il faut le gérer. De là, à supprimer le courrier du matin...
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Solitude

PolyEric
le jeudi 24 juin 2010 à 05h38
amorgen
La pensée d'être une moitié névrosée errant dans la vie à la recherche de sa partie manquante .... (Le mythe mono le plus destructeur à mes yeux)
Présenté comme ça, c'est vrai que ça hérisse le poil.
Mais si tu enlève "névrosée" et que tu remplace "errant dans la vie à la recherche de" par "trouvant dans les autres", ça donne "être une moitié trouvant dans les autres sa partie manquante" c'est déjà plus conforme à ce que je pense.
Je veux bien admettre qu'il ne te manque rien, mais de là à me transformer en névrosé parce qu'il me manque quelque chose quand je n'ai pas ce qu'il me faut, je trouve que c'est justement ce qu'il ne faut pas faire.
Quand il fait chaud, que l'on se désydrate et que l'on a soif, le fait de chercher de l'eau est une activité de mono névrosé à tes yeux ?
Il ne faut pas confondre le fait de combler un vide psychique avec le fait de chercher à combler un manque que la nature a délibérément conçu.
Par ailleurs, j'insiste sur le fait que le "vide psychique" que le "névrosé" essaye en vain de combler, provient (il me semble) d'un refoulement de cette impression de vide. Il n'essaye donc pas de combler réellement ce vide, tourne autour, et finit par avoir le vide en permanence avec lui, qu'il soit mono ou poly .
amorgen
Une recherche d'autonomie.
Pour moi, l'autonomie parfaite est parfaitement impossible dans la solitude. J'aime bien être Robinson sur son île parfaitement autonome, si je ne suis pas seul sur mon île (bien accompagné).
amorgen
En ce qui me concerne j'ai besoin de larges plages de solitude parce que la compagnie de mes congénères génère à mes yeux plus de contraintes que de
plaisir.Ne soyons pas caricatural, être solitaire n'empêche pas de bien choisir les quelques personnes avec qui on a des contacts.
Ca va de soit. Il faut pouvoir choisir ses congénères et même le moment de les cotoyer. Je reconnais volontiers que certains contacts soient contraignants et que l'on puisse se sentir seul dans la foule.
Je ne parlais pas de combler la solitude par de la foule ou avec n'importe qui.
amorgen
Dans quasiment toutes les traditions spirituelles de la planète, le solitaire est considéré comme un sage, il n'y a que dans le monde moderne que le solitaire est considéré comme un paria.
Je veux bien ne pas te considérer comme un paria, mais de là à constater ta sagesse...
amorgen
Il est des personnes pour qui bien vivre la société c'est bien vivre la solitude. Si on veut pinailler, on peut dire qu'en faisant le choix d'affronter la solitude tu l'a transformée en solitude choisie. :)
Oui, on peut le voir comme ça. Mais pinailler, ça serait plutôt de dire que Amorgen n'est surement pas aussi seul qu'il veut bien le faire croire.
Discussion : Solitude

PolyEric
le mercredi 23 juin 2010 à 13h38
J'ai tendance à penser comme Zina.
Mais par contre, il me semble qu'il y a quelque chose de très important à retenir dans ce que dit Bobonne.
En tous les cas, le terme de "souhaité" brouille beaucoup trop le sujet. Il ne fait pas assez référence à ce qui se passe après l'abandon. Bobonne a l'air de dire que l'abandon est souhaité, hors il me semble que ce n'est pas ce qu'elle veut dire. Je pense qu'elle fait allusion à ce qui se passe dans la tête après l'abandon, parfois longtemps, ou très longtemps après l'abandon. Je vais prendre ici le cas de l'abandonné puisque c'est celui que Zina soulève, mais il faudrait aussi prendre le cas de l'abandonnant.
Soit la personne abandonnée souhaite utiliser l'abandon subit pour en faire quelque chose et atténuer un peu le mal (par exemple, en faire un bouc émissaire à tous les problèmes de la vie qui n'ont pourtant rien à voir, ou se faire plaindre pour obtenir des choses qu'il n'aurait pas eu s'il avait été dans une situation plus classique, ou tout simplement coller à l'image que tout le monde a de lui "le pauvre petit")
Soit la personne abandonnée, abandonne l'abandon, c'est à dire jette l'abandon à la poubelle comme on rejette une souffrance passée que l'on ne veut plus voir, c'est à dire ne le conserve pas en tant que source de plaisir. Dans ce cas, seul l'abandon proprement dit produit ses effets, qui sont certes néfastes voir mortels si l'abandon a lieu dans un endroit invivable. Mais la plupart du temps, les effets directs de l'abandon sont bien moindres que les effets indirects monstrueux que produisent l'exploitation de la situation d'abandonné comme source de plaisir ou source de culpabilisation d'autrui.
Zina : la première chose qui te vient à l'esprit est l'abandon d'enfant.
Cela ne me semble pas anodin dans une discussion concernant l'amour.
Entre l'enfant et les parents, se passent deux choses, en même temps.
D'un côté, une relation évidente de dépendance physique et culturelle, et en ce sens là, l'abandon est réel. De l'autre côté, une relation moins évidente à cerner qui est une relation d'amour, pas toujours réciproque. Cette relation d'amour est classiquement voulu par le(s) parent(s) (pas toujours, mais admettons). Par contre, elle est seulement découverte par l'enfant (du moins lorsque cette relation d'amour existe).
C'est presque une question pratique pour l'enfant. L'enfant aime la personne qui se trouve là, à côté de lui. Pourquoi chercher ailleurs ce que l'on a sous la main. L'abandon de ce second type de relation, est pour le moins salutaire.
Normalement c'est l'enfant qui provoque cet abandon (sous l'effet entre autre des pulsions sexuelles inassouvies), mais s'il est un peu faignant ou qu'il n'ose pas quitter le nids (ou que la masturbation lui suffit !), la mère peut-être amenée à le pousser dehors.
La "vilaine", peut se dire l'enfant qui ne pige pas tout, c'est à cause d'elle que si que ça. Il pense que c'est bien pour lui de croire qu'il est le pauvre petit abandonné.
La question est : Est ce vraiment intéressant de jouer le pauvre petit abandonné dans cette situation, ou vaut-il mieux voler pour aller voir ce qui se passe ailleurs ?
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Solitude

PolyEric
le mercredi 23 juin 2010 à 08h40
Ou là, je lirai tout à l'heure car je dois aller au boulot.
Mais, je suis flatté d'avance d'avoir réussi un exploit !
Discussion : Écrire un article à plusieurs pour le site

PolyEric
le mercredi 23 juin 2010 à 08h38
En tous les cas, moi je la trouve bien ta phrase.
Bien sûr Titane ne la trouve pas neutre, mais il va nous expliquer pourquoi, parce que c'est vrai que je ne vois pas trop.
Et il y a surement des gens qui trouvent que c'est un raccourcit un peu rapide, voire faux, mais bon, le but ici n'est pas d'avoir raison, mais de présenter des idées, côte à côte, parfois en opposition, pour rassembler les différences, et faire ressortir quand-même une sorte d'unité globale, montrer que toutes ces différences forment un tout qui se tient, finalement bien.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Écrire un article à plusieurs pour le site

PolyEric
le mercredi 23 juin 2010 à 08h34
Concernant ton point faible, je ne parlais pas de ta capacité d'écriture mais du fait que tu étais perturbée à l'idée que j'allais te "modifier", ou à l'idée qu'il y avait quelque chose d'imparfait qui dusse être retouché dans ce que tu écris. Je ne pensais pas avoir un ascendant sur toi au niveau de l'écriture, ni de la pensée, plutôt même le contraire.
Ne t'inquiète pas, elle est très bien comme ça ta phrase, je ne la retoucherai pas (ou alors juste pour t'embêter), c'était juste pour prendre des précautions de principe au cas ou j'aie besoin de changer une virgule, de faire un lien avec le reste ou je ne sais quoi, je n'avais pas d'idée de modification en tête. Ce n'était pas une critique, et même plutôt un compliment vu que je voulais la reprendre.
J'ai vraiment trouvé ton point faible, là, on dirait, non ?
Des fois, par hasard, on trouve des trucs...dont il ne faut pas se servir.
Discussion : Solitude

PolyEric
le mercredi 23 juin 2010 à 08h26
Admettons
Disons que lorsque ma solitude est remplie de moi, mon moi me dit de chercher quelqu'une pour être vraiment lui.
Discussion : Je voudrais vous comprendre sans devenir Poly

PolyEric
le mercredi 23 juin 2010 à 00h11
Jules
Je pense aussi que ce sont les règles qui ont fait la société, et non l'inverse, et que si règles il y a c'est que les sages qui les ont posées savaient (par expériences) qu'en les franchissant cela créait des problèmes. Ils n'ont pas dit : nous établissons des règles pour le bien commun, les transgresser c'est interdit. Ils ont dit : nous établissons des règles pour que la société soit viable. Chacun est libre de les "transgresser" (les franchir) mais que chacun sache que cela amène des problèmes. Alors : es-tu capable d'affronter ces problèmes ?
Euh le raisonnement me parait foireux.
Si les sages avaient l'expérience avant de faire les règles, c'est que les règles sont venus après l'expérience, et donc que la société a précédé les règles.
Jules
Chacun est libre de les "transgresser" (les franchir) mais que chacun sache que cela amène des problèmes.
Si ça amène des problèmes, ce n'est pas une liberté. La liberté de faire quelque chose, c'est quand il n'y a pas de problème à le faire. Sinon, comment tu distingue la liberté et la contrainte ?
Si la liberté s'effectue sous la contrainte, qu'est ce que va être la contrainte ?
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.