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Discussion : Dieu est polyamour

bidibidibidi
le mercredi 05 décembre 2018 à 16h21
Coucou Toinou,
Qu'est-ce-qui t'a amené à aimer parler religion (et politique) ?
Discussion : Dieu est polyamour

bidibidibidi
le mercredi 05 décembre 2018 à 16h04
Salut Bonheur.
On s'est mal compris. Moi, je parlais de la discussion. Je dis pas que les livres de théologie sont inintéressants ou inutiles. Juste que sur ce fil, je vois pas où on va aller. Alors, il peut dériver (ce serait pas le premier), mais je continue à penser qu'on ne répondra pas à la question de l'auteur originel. Quant à l'auteur de ton livre, si tu arrives à l'amener ici, je le lirai avec plaisir ;-)
Sinon, j'avoue, je suis assez opposé aux religions. Ce sont pour moi des organisations politiques. Principalement, elles sont là pour convertir et diffuser leurs croyances. J'ai du mal à voir ça positivement. Ca rend mes propos plutôt expéditifs et désagréables, comme je sais l'être parfois :-)
Discussion : Dieu est polyamour

bidibidibidi
le mercredi 05 décembre 2018 à 15h05
La religion est en général un domaine dont on ne peut parler.
Déjà, des gens avec des vraies connaissances en théologie, il y en a extrêmement peu.
Ensuite, il y a toujours la rencontre entre la connaissance et la croyance. Beaucoup de gens estiment avoir droit à la parole dans un débat de fond parce qu'ils sont croyants. Autant ça ne leur viendrait pas à l'idée de participer à un débat sur les mathématiques sous prétexte qu'ils utilisent une calculatrice, autant, quand on parle religion, plein de monde y va de son point de vue.
Et pour finir, la grande majorité des gens qui s'intéressent à la théologie sont eux-même croyants et donc souvent pas objectif.
Enfin, tout ça pour dire que, à mes yeux, ce sujet ne peut absolument rien donner.
Discussion : Dieu est polyamour

bidibidibidi
le mercredi 05 décembre 2018 à 11h29
Dieu, sans parler de religion, ne possède pas grand chose. Un dieu avec des formes d'amour, c'est un dieu chrétien, je suppose. Je suis pas spécialiste en religion, donc je ne connais pas les "autres" dieux.
Le polyamour, c'est le fait d'aimer sentimentalement plusieurs personnes à la fois. Alors, le dieu chrétien est profondément anthropomorphe, mais il n'a pas de relations sentimentales à proprement parler. Donc le concept de polyamour me paraît assez incompatible avec le concept de dieu tel que les chrétiens le voient.
Je crains que, pour quiconque un tant soit peu terre à terre, ce ne soit pas un débat. Dieu et le polyamour ont assez peu en commun.
Après, si on parle de Zeus et le polyamour, le débat devient beaucoup plus intéressant. Zeus, polyamoureux ou queutard ?
Discussion : Couple vers Trouple notre transition notre histoire

bidibidibidi
le mardi 04 décembre 2018 à 09h42
Honnêtement, je n'ai pas pris la parole, mais je serai allé un peu dans la même direction que toi, Artichaut. Je trouve aussi que c'est rapide, au vu des conditions (enfants et vie de famille). J'aurais aussi tendance à encourager à y aller de façon plus graduelle, pour pas amener trop de chaos dans une vie déjà bien remplie. Et puis, ça permet de prendre un peu de temps avant d'en parler aux enfants, commencer effectivement à parler de copine, puis, si celle-ci emménage, faire évoluer le discours au fur et à mesure des événements.
Si on a du mal à parler de quelque chose, c'est souvent parce qu'on s'y prend pas exactement comme on devrait.
Pour le reste, bien entendu, il faut vivre ce qu'on a envie de vivre. Loin de moi l'idée de vous retenir. Et vous avez tous mes voeux de bonheur dans cette situation peu commune, effectivement, mais très agréable au premier abord.
Discussion : Vivre une relation mono ? Angoisses et questionnements existentiels

bidibidibidi
le lundi 03 décembre 2018 à 10h47
Je rejoins Alinea. Ce qui est important, c'est de vivre chaque instant tel qu'il se propose, en en connaissant les limites. Tu rencontres quelqu'un qui est mono. Tu es pour le moment célibataire. Tu n'as donc pas de raison d'avoir peur de cette relation, qui te mènera où elle te mènera. Et la probabilité qu'elle dure toute la vie est faible, et, même si ça arrive, il est fort possible qu'elle change entre temps. Donc plutôt que de faire des plans sur la comète, prends ce que la vie te donne, en sachant qu'elle pourra te le reprendre aussi vite qu'elle te l'a donné. Profite.
Discussion : Un peu, beaucoup perdu... Ma femme veut une relation poly

bidibidibidi
le lundi 03 décembre 2018 à 09h57
Hoggarpomarya
— message modéré —
:-D :-D :-D :-D :-D :-D
Pourquoi faut-il toujours que les postes comiques soient bardés de fautes d'orthographe ? Ca nuit à la compréhension !
Discussion : Perdue

bidibidibidi
le mercredi 28 novembre 2018 à 16h59
laila95
Mon mari préfère me partager que de me perdre, c'est ce qu'il me dit.
Le fait que ce ne soit plus secret ne change rien au plaisir avec mon amant, étrangement c'est surtout vis a vis de mon mari que cela me gène
Tu as conscience de combien c'est illogique :-)
Tu te sens mal vis-à-vis de ton mari quand tu es honnête avec lui. Peut-être dois-tu faire évoluer ta vision des relations sentimentales, accepter le fait qu'on puisse en avoir deux en simultanée qui nous apportent énormément l'une comme l'autre.
Discussion : Perdue

bidibidibidi
le mercredi 28 novembre 2018 à 14h53
Vu le geste de ton mari, je lui demanderai à lui comment il voit cela.
Sauf si le fait que ce ne soit plus secret nuit au plaisir que tu éprouves à avoir un amant...
Discussion : Une polyamour veut que je dégage car on continue une relation d'amour depuis 20 ans avec mon homme

bidibidibidi
le mercredi 28 novembre 2018 à 13h03
Note, Bonheur, si tu lis bien El, son homme refuse aussi qu'elle ait d'autres personnes dans sa vie.
Est-ce-que tout le monde est au courant de ce qui se passe ? Je pense notamment à cet "autre homme", est-il au courant de la relation entre ton homme et elle ?
Discussion : Aimer un histrionique

bidibidibidi
le mercredi 28 novembre 2018 à 09h43
En général, les professionnels n'étiquettent pas. Par exemple, on parle de trouble du spectre autistique, et pas directement d'autiste. Et pour définir que quelqu'un souffre d'un trouble du spectre autistique, il faut qu'il ait un certain nombre de critères sans nécessairement tous les avoir.
Sinon, histrionique, c'est le mot officiel pour désigner un hystérique (qui n'est plus un terme officiel du fait de sa racine sexiste).
Cette discussion me rappelle le concept de pervers narcissique. Quand le concept est apparu, tout le monde est devenu pervers narcissique. C'était un peu la cause de divorce numéro 1 : Mon mari/ma femme est un(e) pervers(e) narcissique. Au final, même en m'étant renseigné un minimum, je n'arrive toujours pas à comprendre ce qu'est ce concept, et mon impression est que c'est un joyeux fourre-tout à problèmes de couples.
Donc, un peu de wikipedia :
"Selon le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux de l'Association américaine de psychiatrie (AAP), le trouble de la personnalité histrionique est un mode généralisé de réponse émotionnelle excessive en quête d'attention, représenté par au moins cinq des neuf manifestations suivantes :
Le sujet est mal à l'aise dans des situations où il n'est pas le centre de l'attention d'autrui ;
L'interaction avec autrui est souvent caractérisée par un comportement de séduction inadapté, ou d'attitude provocante ;
La satisfaction immédiate de ses besoins, par autrui, est une préoccupation constante pour elle;
Son expression émotionnelle est superficielle et instable ;
Le sujet utilise régulièrement son aspect physique pour attirer l'attention ;
La manière de parler est trop subjective et pauvre en détails ;
Il y a une dramatisation (théâtralisme, exagération du pathos) et une exagération de l'expression émotionnelle ;
Le sujet fait preuve de suggestibilité : il est facilement influencé par les autres ou par les circonstances ;
Le sujet a tendance à considérer que ses relations sont plus intimes qu'elles ne le sont en réalité."
Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

bidibidibidi
le jeudi 22 novembre 2018 à 17h28
Merci.
Oui, j'ai vu, mais j'ai pas trop su quoi y répondre, et puis, la discussion porte sur tout autre chose et je n'ai pas envie de la parasiter. Donc je reste ici pour parler sexe :-)
Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

bidibidibidi
le jeudi 22 novembre 2018 à 16h23
Je suis malade depuis le début de la semaine, donc niveau émotionnel, pas très équilibré :-)
Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

bidibidibidi
le jeudi 22 novembre 2018 à 15h43
Arf, dommage. Enfin, j'ai peut-être réagit de manière un poil impulsive. Mais je pense quand même qu'on dit, beaucoup, de s'adapter au rythme du partenaire originel, ce qui, pour moi, est une certaine mise de côté des ressentis du métamour.
Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

bidibidibidi
le jeudi 22 novembre 2018 à 15h21
bonheur
Et bien, soit on divorce et on retrouve son entière liberté... ce qui va à mon sens à l'encontre du polyamour. Soit on ment... ce qui va à mon sens à l'encontre du polyamour. Soit on tente de concilier et on demande que le rythme d'avancée de la nouvelle relation s'adapte. Et puis, en polyamour, le métamour a son entière liberté, sinon, à mon sens, on n'est toujours pas dans du polyamour.
Ben oui, c'est ce raisonnement que je critique. Si les deux ressentis ne peuvent être satisfaits, tu choisis de suivre celui du partenaire originel. Le métamour, il prend les restes. Et si le métamour a besoin de sexe pour sentir que la relation existe, et bien c'est lui qui poireaute.
Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

bidibidibidi
le jeudi 22 novembre 2018 à 14h31
Le sexe déclenche pas l'émotion. Le sexe révèle l'émotion.
Maintenant, il te reste à te demander d'où vient vraiment cette émotion, ce que le sexe représente pour toi.
Déjà, quelle émotion est ce que ça révèle ?
Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

bidibidibidi
le jeudi 22 novembre 2018 à 14h23
bonheur
Aimer sans sexe, est dans ce cas, à mes yeux, la solution première, pour justement laisser le temps à cet "irrationnel" que nous avons tous au fond de nous.
Je réagis à cette phrase, Bonheur, que je trouve fausse et injuste (et aussi simpliste).
Premièrement, elle considère l'amour comme plus important que le sexe, vu qu'on est censé considérer qu'une relation sentimentale sans sexe a une quelconque valeur. Elle peut ne pas en avoir.
Ca part aussi du principe qu'il est plus facile d'accepter des sentiments en dehors du couple que de l'intimité sexuelle, ce qui n'est pas le cas pour tout le monde.
Et pour finir, elle fait une croix sur les désirs du métamour, qui lui n'a qu'a prendre les miettes qu'on lui laisse.
Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

bidibidibidi
le jeudi 22 novembre 2018 à 13h26
Sif
A vrai dire, ça fait partie de mon débat intérieur du moment. C'est aussi la logique qui me permet de "taire", d'assoupir l'émotionnel. Mais en plus d'être pensants, nous sommes des êtres sentients. Si mes tripes tirent la sonnette d'alarme, c'est qu'une blessure est réactivée, je ressens une souffrance, déclenchée par une violence faite par autrui. Je suis responsable face à cette blessure et cette souffrance, certes. Mais taire la souffrance par le rationnel ne guérit pas la blessure il me semble, du moins c'est là où j'en suis aujourd'hui. Je peux me répéter à l'infini que ça ne change rien entre elle et moi, que ma réaction est non logique, qu'elle est tirée d'une construction sociale, du mythe du prince ou de la princesse charmante, de l'alter ego unique.. Rien n'y fait. Ou du moins, je peux surmonter le moment, rendre la souffrance diffuse et m'occuper pour penser à autre chose et détourner mon attention. Jusqu'à la prochaine réactivation, où si je n'ajoute pas autre chose que la logique, je pense devoir faire la même chose. Après je reviens de loin, j'ai été dépendant affectif, certaines de mes réactions émotionnelles sont très fortes et ma vie émotionnelle intérieure est toujours très forte. Si je "surmonte" l'émotionnel, je supprime une partie de moi. Pourtant, cet émotionnel exacerbé fait aussi partie de mes qualités et de ce que mes partenaires ont tendances à aimer chez moi : je suis très empathique, aimant, attentionné, j'aime beaucoup donner (bien que je sache difficilement recevoir). Si ce sont deux facettes d'une même pièce, je ne sais pas si je peux faire taire mes ressentis négatifs sans tuer les positifs.
Il faut faire attention avec ta logique. Il est bon de mettre des pensées rationnelles sur nos réactions, pour déterminer quand une émotion est souhaitable ou dommageable. Par contre, si on la considère comme dommageable, il ne faut pas la taire. Il faut l'exprimer, dans tous les cas, il faut exprimer ses émotions. Par contre, il faut apprendre à les exprimer de manière douce pour l'autre : "Ca me fait mal que tu couches avec d'autres, mais je sais que cette émotion est négative, donc je ne veux pas que tu changes quoi que ce soit, juste que tu saches que je serais certainement mal à ton retour, et qu'il faudra gérer mon état émotionnel ensuite."
Après, il est possible de dépasser ses émotions, mais c'est un autre travail, qui arrive après. D'abord, il faut savoir, dans son couple, trouver la force de partager ce qui est bon et ce qui l'est moins.
Discussion : Une petite clef?

bidibidibidi
le mardi 13 novembre 2018 à 16h31
Minora
Sauf que, selon toi, laquelle des deux doit s'arrêter?
On peut pas raisonner comme ça. La situation (globale) doit s'arrêter. Les règles doivent être redéfinies, à 4, pour que tous y trouvent leur compte.
Comme Primevere ne peut rien faire à la place des autres, et s'il n'y a pas consentement pour une redéfinition globale de la situation, alors elle ne pourra cesser que la relation sur laquelle elle a une emprise.
Sinon, dans l'absolu, le noeud du problème, c'est les deux relations du métamour qui sont manifestement incompatibles. Et à partir de ce constat, tout le monde se met à jongler, pour lui permettre de ne pas avoir à gérer son problème en face. Le métamour ment, le cocu ne voit rien, le mari de Primevere jongle, et Primevere se sent en opposition avec cette situation et ferme les yeux pour ne pas le voir.
De mon point de vue (forcément limité), c'est une situation qui va créer plus de mal que de bien, et s'en extraire est la meilleure chose à faire.
Discussion : Une petite clef?

bidibidibidi
le mardi 13 novembre 2018 à 14h42
Donc, si je comprends bien, actuellement, tu ne peux rien faire au risque de rompre un équilibre tellement précaire que l'immobilité est la seule possibilité. Sauf que personne ne souhaite réellement que la situation actuelle perdure, vu qu'elle est douloureuse pour toi, pour ton mari et pour le cocu (du moins, elle va l'être).
Ma réponse va peut-être te paraître violente, mais, pour moi, il y a un moment où il faut savoir trancher le noeud gordien. Les amours impossibles existent, et le cas présent m'a l'air d'en être une belle représentation. A la fin de Roméo et Juliette, ils meurent tous les deux. Il vaut mieux éviter d'aller aussi loin et savoir renoncer à ce qui est beau mais douloureux. L'amour doit nous élever, pas nous détruire.