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Siestacorta

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Discussion : Qui sont les polyamoureux?

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Siestacorta

le mardi 05 janvier 2016 à 20h05

Apsophos
Un peu comme quand on demande comment ça va quoi ?

Ya de ça :-)

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Discussion : Qui sont les polyamoureux?

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Siestacorta

le mardi 05 janvier 2016 à 17h17

Apsophos
Et je fais de la pédago comme à mon habitude, l'intérêt de cette question me semble au moins aussi douteux que celui de certaines du questionnaire de Tlazol.

Arf, disons que parce que je te lis, je souhaitais plus poster la question que te la poser vraiment.
C'est pas intéressant, c'est pas douteux non-plus, j'aurais aimé que ce soit taquin.
Ou deux, ou plus.

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Discussion : Qui sont les polyamoureux?

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Siestacorta

le mardi 05 janvier 2016 à 15h08

Ok, vu.
Je vais répondre, ça me prendra pas 10 minutes.

Les questions sont basiques, je trouve pas là matière à résistance.
Il y a peut-être un biais local d'anticonformisme identitaire, ça m'étonne qu'à moitié que plusieurs personnes ici souhaitent pas se voir étiqueter... au point que cette anti-étiquetage devienne une étiquette :-)

Bon, par contre, le sondage tend vers le quantitatif, et je crains que les réponses que tu obtiendras soient surdéterminées... Plus ça va, plus je crois qu'une partie de la pratique poly (en France en tout cas) se montre peu. Le terme est connu, on commence à voir des gens qui en parlent spontanément hors de lieux d'échanges dédiés (en le vivant ou en l'interrogeant), mais je crois qu'il y a plus de gens qui se disent "je suis en train de vivre/tenter quelque chose qui ressemble peut-être à ce qu'ILS appellent polyamour" que "je suis polyamoureux". Les deux peuvent passer ici, mais c'est plutôt les seconds qui te répondront... ou insisteront pour ne pas répondre.

Tu peux compenser en allant dans quelques rendez-vous poly et voir si l'échantillon "live" ressemble à l'échantillon web. Mais là encore, comme dans nos rendez-vous on a une part conséquente du public qui change d'une date à l'autre (entre le tiers et la moitié, au doigt mouillé), on sait finalement que les proportions de "revendiqués", "pratiquants" et "intéressés" sont pas faciles à mesurer... D'autant qu'ils se reconnaissent parfois pas dans ce que d'autres pratiquent pourtant en commun avec eux.

Bon, mais te laisse pas décourager par ces emberlicoteries sociales, c'est ton boulot, aussi, de faire un peu de tri. T'en tireras bien quelque chose !

+ question 5 : quelle option décriT le mieux...

Message modifié par son auteur il y a 10 ans.

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Discussion : Qui sont les polyamoureux?

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Siestacorta

le mardi 05 janvier 2016 à 14h39

Apsophos, ya une pénurie de bière dans ton quartier, tu fais de la pédago ?

Tlazol, je vais jeter un oeil à ton document.

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Discussion : Polyamour rime-t-il avec autonomie et indépendance ou avec communauté et solidarité ?

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Siestacorta

le mercredi 09 décembre 2015 à 13h32

J'en ai retrouvé, mais il y a eu d'autres fois...

Message modifié par son auteur il y a 10 ans.

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Discussion : Polyamour rime-t-il avec autonomie et indépendance ou avec communauté et solidarité ?

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Siestacorta

le mercredi 09 décembre 2015 à 13h21

Ca recoupe souvent nos réflexions ici, oui.
Malheureusement, Mazaurette a aussi eu plusieurs fois des réflexions explicitement anti-polyamour...

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Discussion : En nous s'inventent les amours de demain…

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Siestacorta

le mercredi 09 décembre 2015 à 11h48

Un peu attrape-tout, mais bon esprit, merci !

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Discussion : Polyamour, libertinage et « matrice hétéronormative »

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Siestacorta

le mercredi 09 décembre 2015 à 11h40

Pas encore de réaction personnelle, mais déjà merci pour la diffusion du texte.

Message modifié par son auteur il y a 10 ans.

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Discussion : [Musique] Chansons, poèmes, divers poly

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Siestacorta

le dimanche 29 novembre 2015 à 11h44

Sense8 est très libéral sur les mœurs, mais n'aborde pas vraiment le sujet.
Il y a une scène d'échangisme surnaturel, mais c'est plus du lâcher-prise non-exclusif.
Trois des personnages de la scène sont concernés par une question d'inclusivité, et il y a une subversion du "quotidien de couple" qui se fait dans une certaine tendresse, mais il n'y a pas d'enjeu amoureux pour le tiers, dans la situation.

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Discussion : Un couple gay vers un possible trio amoureux?

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Siestacorta

le vendredi 13 novembre 2015 à 17h35

Pas de billes à donner pour cet échange, mais en passant, merci de partager vos questions et expériences ici, Thierry et Metamortis. Je ne sais pas si c'est conscient pour vous, même même sans nécessairement pourvoir de solutions ou de conseils, ça rend l'existence de ce genre d'histoire envisageable autrement qu'un grand saut dans un inconnu nécessairement hostile.

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Discussion : Petite histoire positive pour les monos qui doutent de leurs efforts...

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Siestacorta

le vendredi 13 novembre 2015 à 17h30

Very merci, et compliments pour le travail sur toi-même, et pour l'écoute.

yoyoland
La peur de perdre et la plus difficile à gérer/lâcher/accepter. Mais depuis que j'ai pris conscience que si je partais je le faisais pour MOI et MON bien être, bizarrement (c'est de la rhétorique bien sur) j'ai moins peur.

Tu veux dire qu'en prenant conscience que tu aurais la capacité de décider de partir, que ce serait un choix de bien-être comme on en fait d'autres, et pas un choix uniquement lié au conflit, tu as pu voir l'ensemble de la situation comme une décision que tu peux prendre plutôt que quelque chose de subi ?

Ou le "faire pour MOI" s'oppose à une autre perception encore, et alors, laquelle ?

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Discussion : Un couple gay vers un possible trio amoureux?

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Siestacorta

le jeudi 12 novembre 2015 à 18h28

Metamortis

Dans notre cas c'est un peu prématuré comme question car nous ne savons pas encore vraiment comment se verrait l'autre personne dans ce type de relation

Rien que se poser cette question en préalable plutôt que de se dire "on veut un troisième, voilà comment il devrait vivre avec nous", c'est un bon signe. Je sais pas si la personne concernée s'en rendrait compte, elle découvrirait peut-être le PA en même temps que les deux personnes qui lui en parlent, mais de ce point de vue au moins, c'est une bonne disposition d'esprit, les attentes du troisième sont effectivement aussi importantes que les votres.

Effectivement, pourquoi pas ?
La réponse "sans rien connaître aux caractères ni à l'histoire", c'est que c'est possible, ce genre d'ouverture, mais comme l'écrit gdf, les expériences sur ce type d'histoire ne foisonnent pas assez pour qu'il soit facile de te les renvoyer.

(sinon, en plus du terme trouple, tu peux faire une recherche avec "triade / tryade". Ca veut dire la même chose. Le premier est plus souvent utilisé dans les échange récents, mais esthétique mise à part (difficilement mise à part...), le comptage en "ades" a le mérite de pré-exister comme numération (monade, triade, tétrade, myriade). Bon bref cherche triade polyamour ou tryad polyamory, tu auras peut-être des infos en plus).

Message modifié par son auteur il y a 10 ans.

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Discussion : [Lexique] Définition(s) du polyamour

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Siestacorta

le mercredi 11 novembre 2015 à 11h58

Incidemment, je viens de tomber sur l'épisode 23 de la Saison 8 de Big Bang Theory.
Dans les cinq dernières minutes, il y a un long échange qui éclaire bien le sens de "intimate", qu'est si pratique dans la définition anglaise. Le mot est employé à la fois pour parler d'une relation sexuelle et pour décrire une intimité plus large.

Sheldon et Amy, qui sont dans une relation asexuelle depuis plusieurs saisons, font face à l'éventualité que leurs personnages dans le jeu donjons&dragons aient une relation "intimate". Amy s'en attriste, car elle craint de ne jamais en avoir dans la vie réelle. Sheldon lui explique qu'il n'a jamais été dans une relation aussi "intimate" auparavant avec qui que ce soit... Ils finissent par jouer "dans le jeu" - c'est à dire, qu'en vrai ils ne font que décrire une scène de sexe pour leurs personnages, en continuant à jeter les dès pour savoir qui touche qui où.

Dans le cadre du feuilleton, cette séquence est amusante et émouvante, intime sur la caractérisation des personnages de la série.

Bref... Ca me renforce dans l'idée que le terme intimate est spontanément ambivalent entre sexe et intimité globale en demeurant plutôt explicite sur la connotation sexuelle, quand intime ne prend connotation qu'avec un contexte plus précis.

Cette ambivalence est importante pour moi, parce que dans la définition de départ en VO de polyamory, on parle à la fois de sentiments et de sexe. Ce qui est intimate en pratique est laissé au choix des personnes impliquées, mais le cadre de départ s'ouvre aussi bien à l'aspect sexuel qu'à l'aspect sentimental. La pratique va définir de quoi relève l'intimité en question, mais en principe, la définition ne décrète pas quel genre de sentiment ou de sexualité est en jeu dans ces relations.

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : Retour à la case monogamie

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Siestacorta

le samedi 07 novembre 2015 à 23h47

Oui, merci d'avoir développé.
Je lis ça un peu tard, j'espère avoir un peu plus de répondant à un prochain passage...

Je sais qu'il y a beaucoup d'amoureux de l'amour qui te diraient "si t'es encore amoureuse, ne désespère pas"... Je suis d'une nature, hmf, pessimiste, donc j'espère que quelqu'un te donnera ce retour-là à ma place.

Pour ma part, c'est ta retenue, pas trop demander pour pas l'étouffer, qui m'interpelle. Je comprend bien cette réaction, et je comprend aussi qu'on puisse décider de rompre pour avoir un pouvoir de décision, de préférence à rester à souffrir.
J'ai une hypothèse, selon laquelle cette réaction va avec une culpabilité antérieure (liée peut-être à l'acceptation de ton mari : tu ne parles pas des contreparties pour lui, donc tu te sens peut-être libre sans le mériter assez), c'est à dire que d'une certaine manière, tu te punirais d'être aussi libre et d'avoir autant d'émotions, avant d'être réprimée "de dehors". C'est qu'une hypothèse, tu dis si ça résonne.

Dans votre cas, quels auraient été les risques, si tu t'étais lâchée sur les demandes sans crainte ? Quelles auraient été les réactions de ton amoureux primaire et de ton amant ?

Message modifié par son auteur il y a 10 ans.

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Discussion : Retour à la case monogamie

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Siestacorta

le samedi 07 novembre 2015 à 19h15

bonjour.

On pourrait croire que dans le monde poly, il n'y a pas de raisons de rompre et/ou pas de raison de ne plus vouloir de relation, puisque la notion de relation serait élastique... mais c'est pas le cas. Et c'est aussi triste pour nous que pour les monos, d'avoir à renoncer...
On doit se dire que la tristesse de la fin laissera la place au bonheur d'avoir vécu quelque chose... mais bref, même si c'est ton amant et pas l'homme avec qui tu vis, je voulais affirmer que c'est bien une peine d'amour comme les autres.
Ca ne t'empêche pas de continuer ta vie avec ta relation primaire, et d'y trouver du bon, mais au cas où tu en douterais, la peur et la peine ne sont pas des trucs superflus, ça fait partie de la vie affective, t'as le droit d'en avoir. Je dis ça, parce que même si on s'autorise la non-exclusivité, on peut se sentir coupable quand on arrive pas à la vivre bien (puisqu' "on nous avait bien dit que ça marchait pas"). Et bon, tu t'en doutes, je pense que ce ressenti là peut embrouiller les autres...

Etant donnée la difficulté que tu sembles éprouver à prendre ta décision, je n'arrive pas en te lisant à être certain qu'elle soit déjà prise.
Du coup, ta question ici pourrait avoir deux objets :
- le premier, que tu explicites toi-même, celui de te confier, dans un cadre plus neutre qu'avec les principaux intéressés
- le second, que les réponses ici te donnent des raisons de repousser cette décision

Est-ce que je m'avance trop, avec cette deuxième possibilité ?

Troisième point, puisque tu souhaites te confier un peu, peux-tu raconter l'histoire derrière les manques et les incertitudes dont tu parles ?
Comment tu es arrivée à la non-exclusivité ? (raconte un peu ce qui s'est passé, quand ça a commencé)
Ce serait quoi, un amant dont le manque ne te serait pas douloureux ?

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Discussion : Egoïsme vs Bonheur comment placer le curseur au plus juste

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Siestacorta

le jeudi 05 novembre 2015 à 20h18

camelezebre

Pour lui le faite de disposer de son corps ça voudrait dire qu'en gros on peut s'envoyer en l'air avec n'importe qui, n'importe quand et que notre couple n'a plus raison d'être.

Une métaphore imparfaite, pour parler de la différence entre une fidélité "autoritaire" et une fidélité-loyauté : on dit qu'un chien est fidèle à son maître, non pas parce qu'il est enchaîné près de sa niche, mais parce que quoi qu'il advienne, l'animal suit sa famille et revient à la maison de lui-même. C'est cette assurance de retour, la fidélité.

Donc même en ayant plusieurs dizaines d'amants par an, si tu continues à te soucier de ton compagnon (mari / partenaire / amoureux, whatever), à entretenir la relation avec lui, à donner de toi parce que tu aimes ça, alors cette relation a une raison d'être. Au moins une...

Bon, par contre, tu parles de flamme, toi, de sentiments. Donc le côté charnel est pas le seul à entrer en compte... et je suppose que les préjugés moraux, les craintes d'abandon, les remises en question narcissiques et les questions de représentation sociale ("on aurait l'air de quoi si on est plus un couple modèle, que vont dire les parents et puis les copains et les voisins...") doivent se mélanger allégrement. Mais ce n'est pas parce que ça se confond maintenant qu'il n'y a pas une difficulté plus importante que les autres pour lui (ça change selon les gens) ; celle-ci peut être identifiée, comprise, peut-être déconstruite... Ca peut ne pas suffire, mais ce travail sur "qu'est-ce qui bloque le plus, vraiment, et pourquoi", c'est un élément essentiel du dialogue.

(Oups, EDIT d'un gros paragraphe, une partie de ce que je répondais faisait écho à un tout autre fil de discussion)

Sinon, un rappel, du point de vue non-exclusif, il y a un égoïsme assez maousse aussi dans l'exclusivité : on demande à l'autre de ne jamais être heureux sans nous. Oui, je veux que tu sois heureux, mais comme je te dis de l'être, à ma façon.
Je veux bien que les gens fassent ça avec altruisme, quand ils se promettent mutuellement ce genre de choses, mais en soi, c'est pas altruiste, c'est surtout un échange contraint...

Message modifié par son auteur il y a 10 ans.

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Discussion : [Musique] Chansons, poèmes, divers poly

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Siestacorta

le mercredi 04 novembre 2015 à 01h18

Rho, Dostoïevski, dites-donc. Ca fait plaisir à lire.
Je le prends au premier degré, mais c'est le personnage central du roman qui dit ça ? L'auteur en a fait un genre d'avocat du diable, si je me souviens, un immoraliste.Je sais plus si comme lecteur on a l'option de valider ses positions ou non ?
Bon, de toute façon, ses propos aiguillonnent, c'est le principal.

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Discussion : Arguments de la manosphère contre le polyamour

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Siestacorta

le lundi 02 novembre 2015 à 11h55

Rien, ha ouais, une trad du billet dont tu parles m'intéresserait bien, moi.

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Discussion : Après la phase passionnelle : descente en enfers ou montée en maturité ?

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Siestacorta

le dimanche 25 octobre 2015 à 18h41

NRE et phase passionnelle, en termes de ressentis, c'est assez semblable, oui. Je ne sais pas si dans le monde anglophone on fait la distinction, mais lorsque j'entends l'expression chez les poly francophones, c'est aussi pour dire que la "nouvelle relation" vient s'ajouter à une déjà existante, quand le concept de passion amoureuse est conditionné par la norme exclusive.

NRE permet donc de concevoir que :
- certaines personnes peuvent ressentir de la passion simultanément pour plus d'une personne à la fois
- il y a beaucoup de gammes de sentiments possibles entre "être amoureux" et "aimer", on peut donc "être amoureux" / en phase passionnelle et continuer à aimer d'autre personnes.

"phase passionnelle" aurait plus tendance à valider une fatalité à négliger les autres relations simultanées, par sa proximité avec le cadre de référence mono.

NRE c'est donc aussi une façon de prendre conscience de la passion, de prendre le recul sur les rapports sociaux qu'elle va engendrer, de les interroger avec les partenaire concernés, plutôt qu'en rester à un constat fermé au travail personnel, qui dirait "je suis pris par la phase passionnelle" comme on dirait "j'y peux rien si je fonctionne pas comme d'habitude, je suis malade".

Je n'ai pas de vraies réponses à tes questions de départ, je vais quand même faire semblant avec la première :

Bagheera
Qu’est ce que le polyamour amène de particulier à cette étape, de facilitant ou de plus délicat dans l’adaptation nouvelle à trouver?

De plus délicat à gérer, c'est assez clair : le cadre poly expose à plus d'occasions de passion, puisqu'il permet (en théorie...) des rencontres dans plus de cas. On consent à ce que l'autre vive une intensité qui ne nous concerne pas. Donc on tente de lâcher prise sur sur certaines projections à court-moyen terme ; et la sécurité, qui dans la monogamie est "garantie par contrat", doit maintenant être garantie par le travail pour la confiance, sur soi, et avec l'autre.

De facilitant, pas grand chose en soi...
C'est le fait de pouvoir parler de polyamour, de nommer les situations qui peut aider. Il y a d'autres gens qui ont vécu ça, qui échangent sur le sujet, on a l'occasion de trouver les mots des autres, donc on sort de "l'impensé". On a ainsi plus de chances de pointer exactement ce qui marche et ce qui ne marche pas, donc de pouvoir travailler dessus.
Par exemple, sans la "communauté polyamoureuse", la culture poly qui se développe dans les cafés, les livres et les sites internet, on pourrait ressentir la compersion mais ne pas la nommer, donc manquer de la valoriser et de constater que c'est tout aussi "réel" que la jalousie, qu'on peut donc s'appuyer sur ce ressenti pour déterminer ce qu'on projette de faire.

Message modifié par son auteur il y a 10 ans.

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Discussion : Annoncer à son mari que l'on est poly

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Siestacorta

le samedi 24 octobre 2015 à 11h40

En fait, dans l'offre de liberté, c'est pas forcément "toi aussi vas-y éclate-toi" le plus important, c'est "si toi tu vis autre chose, mon amour envers toi restera". Que le partenaire exerce ou non cette liberté, c'est la cohérence de bienveillance de l'autre qui compte beaucoup, c'est une façon de mieux caractériser "mais mon amour pour toi demeure le même quand je me rapproche d'un tiers, comme je ne craindrais pas que le tiens soit amoindri parce que tu aurais fait une rencontre".

Ca peut être une offre ou annonce, mais selon le caractère du gars, c'est aussi une réflexion sur le sens de la relation, sur sa solidité au delà du changement d'accords.

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