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Discussion : Et la polyandrie et aussi la polygamie?

Siestacorta
le samedi 15 août 2009 à 14h31
Que notre partenaire aie de plus grand besoin que nous, ça ne signifie pas que pour équilibrer avec notre propres fonctionnement, nous sommes cantonnés à n'avoir besoin que d'elle (/lui).
Ce n'est pas nécessaire d'être dans le contraste absolu (elle fait ce qu'elle veut, et moi j'ai une vie de moine) pour que les sentiments soient beaux. On peut imaginer que l'un aie une vie sexuelle et affective riche en dehors de la relation principale, et que l'autre fasse quelques rares rencontres... Avec des aboutissement triolistes comme ceux que vous évoquez ou en gardant des épisodes plus intimes.
L'intention de rester ensemble n'est pas mise en danger parce que chacun n'utilise pas sa liberté de la même manière... ni au même moment.
J'ai le sentiment que dans ce témoignage, la compersion touche à l'abnégation. Je suppose que ça peut avoir sa beauté, mais au fond, je ne crois pas que l'amour et la pureté fassent bon ménage. J'insiste donc sur l'intérêt de ne pas trop définir le fonctionnement d'une telle relation, de lui laisser du jeu.
Message modifié par son auteur il y a 16 ans.
Discussion : Variation pour en été majeur

Siestacorta
le samedi 15 août 2009 à 14h22
Bonjour.
C'est peut-être évident, mais j'ajouterai que dans l'esprit polyamour, cette "phase de transition" dont tu parles n'est pas seulement un adoucissant de la rupture.
Ca peut être d'autres choses, tout un éventail qui va de garder une relation d'amitié avec ton mari jusqu'à entrer avec lui dans une relation de couple à nouveau classique. Ca fait des tas de possibilités, que la transition permet de laisser venir d'elles-mêmes.
Discussion : Ma femme me trompe et a un regard sur le polyamour

Siestacorta
le lundi 10 août 2009 à 10h43
fred
Si demain, moi je rencontre une femme jusqu’ou peut on aller avec le risque de ce dire finalement ma femme ne me satisfait plus ou moins c’est dangereux pour le couple
Oui, mais finalement pas plus que la monogamie quand elle fait face à la tentation, ou l'adultère quand il s'est installé...
Dans tous les cas, si la relation est assez forte, elle survit. CE type de danger n'est pas spécifique au polyamour.
Moi, ce qui me stresserait dans ta situation, c'est de me demander si le polyamour ne serait pas une façon de faire durer la relation adultère sans choisir entre toi et l'autre. Je pense que non, de tout manière on batit pas un foyer sur du vide absolu ! Mais il faudrait, si vous choisissez d'essayer, définir VOTRE polyamour par rapport à vous et votre passé, que le contexte de l'adultère soit vidé de ses peurs et rancoeurs.
fred
Pour les vacances j’aurai peut être envi de partir avec une future maitresse (enfin polyamour) voir peut être lui faire un bébé être avec elle etc….
Pourquoi pas ?
Le tout, c'est que ça rentre dans un cadre que vous vous fixez entre toi et ta femme, vos limites...
fred
Bcp de questions, la gestion du temps par rapport a ça …..
Souvent difficile !
fred
Si vous êtes une femme ou un homme dans ce genre situation, pouvez vous me donner des conseils ce que vous ressentez par rapport a votre vie de couples (aux pluriels) à vos enfants à votre mari ou femme, à vos ou votre amant (s)
Une fois qu'on a admis ce qu'on voulait, pourquoi chacun fait ça, c'est génial de vivre avec la vérité, la confiance qu'on a construit la dedans. Ca peut avoir la même force qu'une promesse de fiançailles, puisqu'on se donne un projet.
Le polyamour, c'est pas une situation "unique", c'est presque une façon d'aborder la relation. Pour l'instant, l'une de mes relation est en questionnement, je ne préfère pas l'aborder en témoignage. Ce que je peux dire, c'est que ce n'est pas à cause du polyamour. Le polyamour serait plutôt un plus, la relation de confiance impliquée nous permet de voir ça venir sans trop de dégats.
fred
Dites moi si il y a bcp de personne qui pratique le Polyamour
Beaucoup, c'est quoi ?
En France, c'est encore marginal... officiellement. Je crois qu'en réalité, il y a beaucoup de situations qui sont du polyamour mais sur lesquelles les gens n'ont pas (encore) mis les mots.
Et de façon plus large, la remise en question des fonctionnements et limites du couple est très répandue. Pour le coup, ce n'est plus une avant garde, ou un parti-pris idéologique, c'est tous les gens qui ont un peu vécu et réfléchi sur l'amour qui se retrouvent en train de chercher des solutions persos, notemment sur la question de la fidélité.
fred
Donner moi des sites ou il existe des dialogues la dessusY a-t-il des clubs de Polyamour ou des sites internet spécialisé
Ici, déjà.
Il y a polyamour.be et un équivalent québécois, qui sont plus anciens.
Et polyamour.fr qui est essentiellement un site informatif.
Il n'y a pas encore de club polyamour, mais sur ce site, nous nous rencontrons assez régulièrement, mensuellement au moins, surveille les propositions de rencontre les moins loin de chez toi. C'est essentiellement tourné vers l'échange et le témoignage.
Discussion : Amours à sens unique

Siestacorta
le mercredi 05 août 2009 à 17h07
Ca me fait penser à la fable de Kipling :
"je suis le Chat qui va son chemin tout seul, et pour moi tous les endroits se valent".
Ca parle d'indépendance et d'attachements compliqués...
Discussion : Amours à sens unique

Siestacorta
le mercredi 05 août 2009 à 02h41
LuLutine
L'avantage du polyamour c'est qu'on ne reste pas fixé sur un unique objet d'amour.
Et tant qu'il y a des gens avec qui c'est réciproque, moi je me porte plutôt bien...
En revanche je le vivrais sans doute mal si *tous* les gens que j'aimais avaient pour moi des sentiments neutres ou "juste amicaux"...
Là ça me parle plus qu'au début.
Mon idée, c'est qu'on peut laisser vivre en soi un amour à sens unique, en vivre l'expérience un certain temps, parce que dans ces conditions, vivre l'amour à sens unique ne revient pas à finir seul.
Mais pour moi, l'expérience n'est pas aussi durable qu'elle semble l'être pour toi. Comme Clem, au bout d'un temps, je coupe court et fini par être heureux du détachement qui suit.
Je veux bien entretenir une nostalgie, disons cultiver en moi un sentiment bonsaï, mais pas le laisser prendre trop de place, de temps dans ma vie psychique.
Je comprend qu'il y a des vertus dans un tel ressenti.... Mais au bout d'un temps, je ne pourrai qu'interroger la raison de mon sentiment. Quel intérêt aurais-je à ne pas le laisser se déssécher ?
Je m'aventure à une interprétation de la situation que tu décris ici et ailleurs (donc j'ai peut-être faux, et mon propre jugement est partial - sa limite et son intérêt) : un amour à sens unique peut apporter un équilibre à une situation affective pas assez positive.
Je vois ça un peu comme la dépendance au net, certaines amours par correspondance, et les amours adolescentes pour un apollon qu'on ne connait que de vue, de l'autre côté de la cour de récré... Un remplissage par du simulacre compensatoire.
Dans mon raisonnement, qu'est ce que ça compense ?
Bien, tu dis que ton autre relation n'est pas toujours très satisfaisante : tu as dit ailleurs que ton ami était parfois "autiste" et que les sentiments qu'il exprime ne sont pas équivalents aux siens. Ca fait déjà pas mal de moments de solitude, pour toi.
La question derrière "pourquoi j'en veux deux, ou plus ?" se pose à chacun d'entre nous, et les réponses sont multiples (elles aussi...)
Pour moi, être polyamoureux, c'est aussi parce qu'on connait son fonctionnement affectif : nos besoins ne se concentrent pas naturellement sur un seul objet. Ca a un corollaire : nos sentiments, même dirigés vers des personnes différentes, sont liés entre eux. J'aime Delphine et Marinette pour des raisons différentes, dans des circonstances différentes, mais je suis la source unique de ces amours. C'est d'ailleurs ce qui peut faire du polyamour une situation où mon épanouissement avec Delphine épanouit aussi ma relation avec Marinette.
L'envers de la même pièce : le polyamour peut aussi être une façon de s'adapter soi-même à des objets d'amour qui ne laissent pas se concentrer plus de telle ou telle intensité affective sur eux.
Dans ton cas, il se peut que tu entretiennes ce "sens unique" par ce que l'autre relation est insuffisante.
C'est bien sûr la définition même du polyamour : un ce n'est pas assez, ou pas tout. Mais en répondant au "pourquoi deux", tu as une réponse à ta question spécifique sur le sens unique.
Après, "désir ou frustration ?", c'est la poule et l'oeuf...
(d'où je parle : personnellement, je suis limité dans ma façon de donner en amour. Consciemment, pas volontairement, je ne plonge pas complètement dans mon ressenti. Donc je tends vers le polyamour pour atteindre une intensité amoureuse poly-dépendante, puisque la mono-dépendance me fait peur. A la différence d'autre PA plus épanouis selon moi, je ne double pas ma mise avec ma recherche, je ne fais qu'assurer un résultat... Même si parfois, ces résultats sont meilleurs qu'escomptés, mais c'est une autre histoire)
Discussion : Ah les fous !

Siestacorta
le mardi 04 août 2009 à 15h04
Mirabelle
.. Bonjour tout le monde,
Au hasard du web, je suis tombée sur ce site et comme sa lecture m'a plutôt plu, j'ai eu envie de vous la faire partager.
Certains ou certaines connaitront déjà peut-être..
ah-les-fous.com/amants-creatifs/philosophie-amoure...
Bonne lecture.
woush ça c'est une démarche proselyte qu'il a !
C'est pas un mal, hein, je savais pas si ça existait.
(ce serait un bon participant pour la fondation d'un bar Shortbus, tiens...)
Discussion : Cherche psy pour couple en région parisienne

Siestacorta
le mardi 04 août 2009 à 14h58
Ben on a pas, hélas.
Une idée, ce serait peut-être de chercher dans le milieu homo/bi, plus structuré : il y a peut-etre des adresse de thérapeutes moins biaisés que ceux qui n'ont que des hétéronormés...
Discussion : Quels mots pour se déclarer poly ?

Siestacorta
le lundi 03 août 2009 à 14h18
nan, moi je fais dans le post-modernisme bien roots, je mélange tout et je prend au premier degré jusqu'à ce que je sache ce que je veux.
(mais franchement, je plane pas si haut, c'est une tambouille de Baudrillard/Debord/Vaneigem/ William Gibson avec des fraises tagada, si c'est pas pertinent ça fait forcément plaisir, na.)
Discussion : Quels mots pour se déclarer poly ?

Siestacorta
le lundi 03 août 2009 à 13h28
Oh mais...
Ce n'est pas parce que je peux nommer mes mauvaises raisons, mes défauts, qu'il n'y a pas de bons côtés qui correspondent.
Je pense qu'effectivement j'ai un côté immature à "tout vouloir", que c'est une immaturité assez formée par une société de consommation. Mais... Je crois aussi que ne pas être adulte et mature, c'est être un peu plus vivant, un peu meilleur.
(grosse digression hors-sujet)
Vaneigem en parle d'ailleurs souvent, notemment dans "nous qui désirons sans fin" : on nous éduque à désirer tout, on nous implante de faux désirs. Mais la course en avant de l'entretien de ces désirs va trop vite, se dévore elle-même (c'est un des principes d'une société capitaliste, je crois). Et nous devenons une foule sentimentale plus exigeante. Pas mieux éduquée (loin de là), mais finalement aboutissant à des demandes de plus en plus "épanouissante". On veut que notre bonheur s'achète ?
Bien. Je veux du bio, de l'ethiquable, des préservatifs dans les rayons des supérettes. Une part du marché touche à l'essentiel, l'essentiel finira par nous toucher de nouveau.
Bon, la limite que je vois là tout de suite à mon raisonnement, c'est la vie en simulation 3D, avec combinaison à sensations et tout.
Cacommence avec les consoles à mouvements, et les manettes qui vibrent pendant le jeu. On prend l'habitude.
Quand plonger physiquement dans un monde virtuel sera possible, la "falsification" du désir, la perferction du simulacre sera bien pérenne. J'avoue que même moi, j'en ai envie ! Les romans de SF parlent tous de ça, de logiciels qui simulent le sexe avec... qui/ce qu'on veut.
D'un autre côté... un peu comme internet change les moeurs, et la vie politique
(tout le monde est son prorpre paparazzi, les egos gonflent... le désir aussi, et tout le monde est un peu journaliste. Ca fait un pas un métajournal de qualité, ni particulièrement vérifiable mais le jour où il se passe vraiment quelque chose, mettons une contestation démocratique en Iran, l'info passe)
>comme internet change les moeurs et la politique, les simulacres et les virtuels ne grandiront pas en vase clos, et nous aboutirons peut-être à des bienfaits dans la vie du hors des mondes-mirroirs.
La vie déborde toujours les mauvaises rives, quoi.
Quidoncatoutsuivi ?
Discussion : Quels mots pour se déclarer poly ?

Siestacorta
le dimanche 02 août 2009 à 23h49
Clown_Triste
Dans le regard de beaucoup, le polyamoureux est une personne qui se comporte en grand gamin : "je veux tout, en même temps, sans avoir à faire de choix."
Pour être parfaitement honnête avec moi-même, ça joue un peu dans mes choix. Ca fait partie de mes mauvaises raisons subjectives. Avec l'envie aussi d'avoir plus de choix devant que derrière moi...
C'est pas très malin, mais... c'est curieusement romantique, non, de pas être malin sur ce point ?
Clémentine
Or quand je suis tombée sur certains textes, qui parlaient du PA comme d'un chemin encore plus difficile que le monoamour, ça m'a donné l'impression de la pièce restée coincée dans le distributeur de BC/ PdA (Bonne Conscience et Paix de l'Ame)
Peut-être un petit reste d'éducation chrétienne : si j'en bave pour l'avoir, j'ai droit ?
Discussion : Quels mots pour se déclarer poly ?

Siestacorta
le samedi 01 août 2009 à 21h44
MetaZet
J'ai fait un rêve... où les gens seront tellement ouverts à l'idée du polyamour que ce sont les monogames qui devront faire leur coming out, genre : "euh, tu sais, je voulais te dire, ça me gène un peu de te l'annoncer de but en blanc... mais, euh, voilà, en fait, je suis monogame" :-)
Oh yeah... ça c'est une idée qui me fait sourire aussi !
Discussion : Combien de temps ?

Siestacorta
le vendredi 31 juillet 2009 à 01h07
Ben on oublie pas vraiment, hein.
On garde ça au coeur, et au bout d'un moment ça n'est plus un désir, juste un souvenir fort. Après, le temps... ça dépend combien de temps on met à rencontrer quelqu'un d'autre, et aussi un peu pourquoi / comment / aubout de combien de temps ça s'est fini.
Sinon, tu n'as pas à t'en vouloir. Je ne sais pas exactement ce que tu as fait pour que ça finisse, mais si ça a mené à une rupture, c'est peut-être aussi que ça a révélé d'autres obstacles entre lui et toi. Un seul suffit rarement...
Discussion : Je suis perplexe, ou Comment être trop parfait

Siestacorta
le lundi 27 juillet 2009 à 09h38
Une hypothèse :
Elle dans un dilemme cornelien.
Elle est pas vraiment poly, même si elle essaie.
Elle est un peu amoureuse de toi.
Tu t'intéresses au poly, elle essaie encore. Mais ce qu'elle veut, c'est juste vivre son sentiment. Sans nos emberlificotations locales.
Donc, quand tu lui dis "suis moi dans mon trip", elle entend "on ne va pas être ensemble comme tu le désires au fond".
Discussion : [Le site] Le chat remarche
Discussion : Arguments contre le polyamour et pour la monogamie strictement exclusive ?

Siestacorta
le jeudi 23 juillet 2009 à 23h27
Oui, le sexe et l'exclusivité...
Pour reprendre une vieille formulation, si une histoire de cul peut briser une histoire de coeur, c'est qu'on a placé le cul au dessus du coeur.
Ce jeu de mot me semble très parlant !
Discussion : Arguments contre le polyamour et pour la monogamie strictement exclusive ?

Siestacorta
le jeudi 23 juillet 2009 à 19h33
Je réadapte ce que je répète : l'argument de la monogamie, c'est que, en théorie, c'est plus simple.
Et en matière d'amour comme en d'autre, la plupart des gens n'envisagent pas que la vie soit complexe, et encore moins que cette complexité puisse être positive.
C'est vraiment un argument important, il comprend l'idée du temps partagé ou pas, et de tous les choix qu'on a pas à renouveler ; que le projet de vie serait meilleur avec un plan de construction "standard"...
Cette simplicité apparente, c'est l'impression que le comportement amoureux n'est pas un objet d'analyse.
Cela correspond à une sorte de spontanéité et d'ineluctabilité qu'on associe au sentiment amoureux. En fait, la simplicité, dans le temps, prolongerait l'esprit de l'amour spontané.
Une simplicité qui, vue d'en face, est un pilier. Vue d'un peu plus haut, c'est une enceinte.
Message modifié par son auteur il y a 16 ans.
Discussion : [Le site] Le chat remarche
Discussion : De la théorie à la pratique...

Siestacorta
le mercredi 22 juillet 2009 à 10h35
(arg, c'est dur de te lire quand même... Tu peux pas te connecter avec un ordinateur, et un vrai clavier surtout ?)
Bon. Je vais te répondre que la sensibilité que tu exprimes me semble normale. Ca m'arrive à moi, en tout cas. Ca ne vient pas tellement du "troisième larron", mais du changement dans le rapport de couple. On interprète tout à travers nos craintes.... notamment celle que la relation se termine.
C'est intéressant, pour une fois, d'avoir le point de vue d'un partenaire mono, ça m'oblige à penser sa demande.
Je pense que la solution, tu la pratiques déjà : en parler à l'autre, pas garder ça pour soi. Dire qu'on est conscient que la peur est en nous, qu'elle ne vient pas de l'autre et de ce qu'il fait.
Et aussi demander à l'autre de nous protéger, d'être très attentif à nos réactions. Dans le PA, on donne une grande importance au respect de l'autre et de sa liberté. Mais cette liberté n'a de sens amoureux qu'avec la responsabilité et le respect qu'elle implique. Tant que ce duo liberté/responsabilité n'est pas intégré dans les sentiments même (et c'est pas du gâteau d'en arriver là), on doit l'assurer par un surplus d'attention et de communication. L'autre doit nous donner ça.
De ton côté, tu dois juste savoir parler de tes sentiments. Pas toujours facile non plus... Décrire exactement ses réactions, poser des questions sans faire de reproche... Bref, consolider la confiance face au changement.
Ca a l'air un peu abstrait, mais je crois que ça s'applique au quotidien :
- je me sens triste de penser à tel w-e qui est dans longtemps mais où je sais que tu seras avec l'autre.
- mais là je suis avec toi. On va faire un gateau. Et si tu veux, on peut commencer à programmer un w-e après celui dont tu parles "pour nous".
A peu près, hein.
Discussion : Pour celles et ceux qui aiment lire : une déconstruction du mythe de l'amour toujours
Discussion : articles et traductions pour polyamour.info

Siestacorta
le mercredi 15 juillet 2009 à 03h35
Oué.
En passant, polyamour.fr c'est vachtement bien fichu.
(nan pas "mieux", rhaaaa, tout de suite...)