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Siestacorta

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Discussion : L'amour et la façon d'aimer sont-ils ou doivent-ils être pragmatiques ?

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Siestacorta

le jeudi 04 février 2010 à 12h21

Je raque rien du tout, je suis déjà en train de descendre de mon sommet de sagesse ultime pour t'offrir gratos une leçon d'amélioration personnelle.

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Discussion : Il faudrait pas faire de complexe... de supériorité.

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Siestacorta

le jeudi 04 février 2010 à 12h17

Clementine


Tendresses de la vie sociale... viens sur mon blog ces prochains jours, j'ai justement une belle page en prépa sur les délices de la solitude bien pensée. :-)

Non mais là, c'est ma face sympa qui répond.
Ma face pas sympa, qui s'exprime plus rarement, elle dira carrément "tous des cons incurables, je vais rester seul avec mes bouquins et mon lecteur de DVD".

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Discussion : Il faudrait pas faire de complexe... de supériorité.

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Siestacorta

le jeudi 04 février 2010 à 12h16

Clementine


Un blague d'apparence raciste, mais dûment testée sur des aigles de couleur et des niaquoués de mon voisinage, et dans un contexte où ce sont les aigles et les nias eux-mêmes qui commencent, donnant clairement le ton, ah bien oui on sait où on fout les pieds, le contexte est clair.

Là, en l'occurrence, pas.


Pour moi, l'identitaire est une question psychologique qui se croit morale.
On revendique sa sexualité, ses origines, son club de foot... Et tarsagueule qui va contre.

J'essaie de le prendre avec recul, en me disant que "c'est important pour lui, mais ça l'est pas tant dans l'absolu".
Donc la revendication identitaire devient, pour moi, une possibilité ludique.
Certes, avec des niakoués qui vont rire parce qu'ils se rendent bien compte que je n'ai rien contre eux.
Mais aussi avec que des originaires du pays des camemberts et des caniches, parce que je me sens d'accord sur les limites du jeu identitaire.
Là, quand on balance trois conneries sur des partisans de l'exclusivité, j'ai pas l'impression de mépriser les exclusifs, mais de dire que les exclusifs peuvent avoir des défauts ou des signes reconnaissaibles, dont on parle peu. En plaisanter ici, c'est pas un mal, c'est même un des endroits où ça peut se faire.
C'est plus gênant, évidemment, quand la plaisanterie est liée directement à un "ben quand même, le poly, c'est plus naturel, plus sain, plus moral, plus beau et si je pouvais, je rendrais ça obligatoire dès la puberté."
Mais si il m'arrive aussi de sentir ce genre de fond là, je crois qu'ici, on pouvait dire que c'était pas le cas.
L'échange a lieu entre personnes qui rament, qui se posent des questions...
Ces doutes sont pour moi un grand panneau d'autorisation de dire aussi quelques conneries.

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Discussion : Il faudrait pas faire de complexe... de supériorité.

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Siestacorta

le jeudi 04 février 2010 à 12h06

Clementine
Oh, parce qu'il y a des médailles à distribuer en amour pour différencier les Oscars des Framboises, maintenant...

Ce pasage, là, je suis pas ?
A qui je distribue des médailles ?

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Discussion : Il faudrait pas faire de complexe... de supériorité.

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Siestacorta

le jeudi 04 février 2010 à 12h05

Clementine


J'aimerais bien connaître le barème qui permet de différencier le gras dénigrant du troisième degré éclairé, danger de se la péter grave...

Non, il n'y a pas de barême, évidemment !
Justement, c'est pour ça qu'il n'y a pas un moment évident et clair où telle blague est bête, et telle blague super marrante. C'est essentiellement une question de connivence, de bonne entente, de confiance.
Donc, dans un groupe social, le moment où ça passe ou pas, c'est assez subtil et personnel.

Te fâchouille pas parce que je t'apporte de la contradiction, enfin...
Je fais ça dans un bon esprit (je crois), et je cherche à savoir si, ici, ton ethique a un rasoir d'Ockham, ou si elle est ouverte aux tendresses de la vie sociale.

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Discussion : L'amour et la façon d'aimer sont-ils ou doivent-ils être pragmatiques ?

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Siestacorta

le jeudi 04 février 2010 à 11h57

Si. Mais tu peux faire encore mieux. Encore plus organisé. Plus exhaustif. Plus proche direct vers l'usager. Plus parfait. Encore plus documentaliste, en somme.
Allez.
Au boulot, je veux pas entendre une plainte.

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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Discussion : Il faudrait pas faire de complexe... de supériorité.

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Siestacorta

le jeudi 04 février 2010 à 11h55

Clementine
il fallait que je le dise: si je ne peux pas dénier son droit de parole à quelqu'un que je considère comme un foutriquet, ce serait superbement non-éthique de me retenir de dire que je ressens le même malaise diffus devant certains propos, tenus par des personnes dont je me sens parfois proche à fraternité.

Oui ! Evidemment. Tu me connais, je trouve aussi important de trouver la petite bête avant qu'elle devienne plus grosse.

Mais une fois ce malaise nommé, la position prise... Je crois qu'on peut aussi se permettre d'être humble/ indulgent /simple face à des écarts éthiques qu'on commet soi-même.

Se permettre ces petites facilités, c'est comme... Faire une blague qui peut sonner raciste, ou homophobe, dans un entre-soi où on connait déjà bien la valeur morale de son interlocuteur. On sait que la connerie a un troisième degré, et que se permettre de la balancer quitte à passer pour plus con qu'on est en réalité, c'est aussi un défi moral.

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Discussion : Il faudrait pas faire de complexe... de supériorité.

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Siestacorta

le jeudi 04 février 2010 à 11h50

hm, c'est pas mal vu.

Je suis d'accord, le "principe" est pas gégène en soi. Et justement, avec assez de vigilance, je crois que le reconnaître est suffisant pour pas plonger dans la connerie grasse.
Mais je crois, pour ma part, que c'est pas pareil, vraiment, quand on est minoritaire ou majoritaire. Ca n'a pas le même sens, pas les mêmes effets. ET, malgré les effets négatifs que tu cites, les effets positifs psychologiquement existe.
Autrement dit : "frimer, ça fait du bien".
Se reconnaître le droit de frimer, c'est aussi reconnaître ce droit aux autres, et par là, prendre la connerie superficielle avec assez de connivence et de finesse pour savoir la reconnaître de la connerie profonde.

Je dis ça.

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Discussion : L'amour et la façon d'aimer sont-ils ou doivent-ils être pragmatiques ?

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Siestacorta

le jeudi 04 février 2010 à 11h45

Hm...
Voyons...
Dans ton caaaas...
Je dirai : il faudrait que tu travailles taréserve de doc pour avoir la possibilité de répondre avec des hyper-ressources, pourvues de citations et de commentaires dument signalés comme personnels ?

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Discussion : Il faudrait pas faire de complexe... de supériorité.

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Siestacorta

le jeudi 04 février 2010 à 10h50

Clem : >Bon, au cas où tu passerais pas sur l'autre fil que tu zappes, vile isolationniste que tu es :

Je voudrais rebondir sur ce que tu dis quelque part.
Tu parlais d'un complexe de supériorité qu'on pourrait exprimer en tant que PA, en se disant qu'on est trop fort et que les autres comprennent rien.

En soit, t'as raison... On est pas supérieur.
Mais on peut avoir envie quand même de jouer de notre altérité, de l'affirmer, d'en découdre pour nous payer le plaisir compensateur de la bonne vanne, face aux difficultés qu'on a face au regard des autres, face à nos propres "crampes psychiques".

Tu as raison aussi, quand tu dis (je sais plus où, ou si j'interprète un passage, mais je crois que je suis dans le vrai sur ta position ) que c'est un phénomène de groupe, on exclue en se moquant de ce qui n'est pas nous (il y avait une intervenante passagère qui parlait de ça quand on marquait la différence avec les échangistes).
C'est un comportement identitaire, et donc à surveiller.

Mais pas forcément à complètement dénigrer. C'est un peu too much de comparer ceux qui ont ce comportement identitaire poly avec Le Pen, dans le sens où ce comportement ne peut se retourner que contre une majorité forte, pas des minorités faibles.

Donc, bon, se moquer des monos de temps en temps, c'est pas ce qu'on fait de plus intelligent.
Mais : -ça peut servir un peu (à sentir qu'on est pas un malade, mais quelqu'un qui choisit et vit un certain comportement, comme des tas d'autres, qui revendiquent leur différence),
- ça fait pas de mal à grand monde,
- et au mieux ça peut obliger ces débiles congénitaux de monos à se secouer un peu les neurone une seule petite fois dans leur vie de merde, pour se dire que sur l'intolérance, ils se posent là aussi, ces nazes.

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Discussion : Accepter la monogamie ?

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Siestacorta

le jeudi 04 février 2010 à 10h37

tsé, Clémentine, je voudrais rebondir sur ce que tu dis quelque part.
Bon, si tu passes plus sur ce fil, ce sera difficile.

Mais tu parlais d'un complexe de supériorité qu'on pourrait exprimer en tant que PA, en se disant qu'on est trop fort et que les autres comprennent rien.

En soit, t'as raison... On est pas supérieur.
Mais on peut avoir envie quand même de jouer de notre altérité, de l'affirmer, d'en découdre pour nous payer le plaisir compensateur de la bonne vanne, face aux difficultés qu'on a face au regard des autres, face à nos propres "crampes psychiques".

Tu as raison aussi, quand tu dis (je sais plus où, ou si j'interprète un passage, mais je crois que je suis dans le vrai sur ta position ) que c'est un phénomène de groupe, on exclue en se moquant de ce qui n'est pas nous (il y avait une intervenante passagère qui parlait de ça quand on marquait la différence avec les échangistes).
C'est un comportement identitaire, et donc à surveiller.

Mais pas forcément à complètement dénigrer. C'est un peu too much de comparer avec Le Pen, dans le sens où le comportement identitaire ne peut se retourner que contre une majorité forte, pas des minorités faibles.

Donc, bon, se moquer des monos de temps en temps, c'est pas ce qu'on fait de plus intelligent, mais ça peut servir un peu (à sentir qu'on est pas un malade, mais quelqu'un qui choisit et vit un certain comportement, comme des tas d'autres, qui revendiquent leur différence), ça fait pas de mal à grand monde, et au mieux ça peut obliger ces débiles congénitaux de monos à se secouer un peu les neurone une seule petite fois dans leur vie de merde, pour se dire que sur l'intolérance, ils se posent là aussi, ces nazes.

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Discussion : L'amour et la façon d'aimer sont-ils ou doivent-ils être pragmatiques ?

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Siestacorta

le jeudi 04 février 2010 à 10h16

Mais si, justement. Ce qui t'approcherait de l'attitude pragmatique idéale serait différent, et en tout cas différemment formulé !

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Discussion : Un couple à trois

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Siestacorta

le jeudi 04 février 2010 à 10h13

(Un couple à 3 pour un émoignage média ? ooooOOOOh que c'est originaaaaal !)

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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Discussion : Accepter ses propres sentiments

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Siestacorta

le mercredi 03 février 2010 à 15h06

woaaaa !!!
C'est, sincèrement, la question la plus mignonne que j'aie lue ici !

Je n'ai plus le temps maintenant pour une vraie réponse, mais je n'y manquerai pas (si d'ici là personne n'est venu te donner ZE déclic).
A bientôt, et bon courage.

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Discussion : L'amour et la façon d'aimer sont-ils ou doivent-ils être pragmatiques ?

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Siestacorta

le mercredi 03 février 2010 à 01h40

J'ai vraiment rien à faire ces jours ci, shoot me, j'en arrive à des monologues gênants. Pour moi, alors pour vous j'ose pas imaginer.

Je relis...

titane
donc j'essaye de résumer un peu... être pragmatique reste dans le champs des idées et de la méthode... mais une méthode intéressée aux conséquences pratiques et où les idées restent un instrument... méthode validée par l'expérience...

donc si on lit une idée qui propose de poser un autre regard sur sa détresse et sa souffrance et qui propose d'en faire l'expérience afin de voir si du coup la souffrance ainsi relativisée est un peu plus supportable... reste pragmatique !

Oui.
A ceci près que la forme que prend la proposition compte beaucoup. Bien sûr, chaque lecteur est supposément assez grand pour faire son tri lui même, et trouver son miel même dans des remarques pas forcément faites pour être lues agréablement.

Je remercie en passant tout ceux et celles qui arrivent à me lire comme ça, je suis pas toujours certain d'y arriver.

Mais l'existence de lectures distanciées ne nous empêche pas nous d'écrire de façon accessible. Donc selon moi, le pragmatisme, dans ce type d'échange/conseil sentimentaux , c'est
- répondre aux besoins spécifiques de la personne quitte à ne pas proposer l'issue qui nous aurait convenu à nous. C'est arrivé souvent, ici, qu'on finisse par dire à quelqu'un que sa recherche ne devrait pas concerner directement le PA, mais une perspective plus classique (ex : ne te pose pas des questions sur la fidélité si ton problème c'est de ne plus avoir envie d'être avec ton partenaire)
- rester dans la discussion, le questionnement, la proposition de pistes. On essaye d'éviter des assertions trop fermées.
On essaye...

Je ne me sens pas tous les jours pragmatique.
Je compense en essayant de me relativiser tout seul.

Là par exemple, je ne suis pas du tout pragmatique, parce que je pressens bien que je n'use pas de la meilleure forme pour te convaincre toi.
Ces mots sont efficaces pour éclaircir mes idées à moi, me faire plaisir dans mon goût du débat, mais au delà...

Si je voulais te pousser toi à une attitude pragmatique... Je te parlerai sans doute des vertus de l'écoute silencieuse, et, dans l'intervention, de l'intérêt de se recentrer soi-même, pour aboutir à une parole claire, riche et simple dans sa radicalité.

Ce qui est pragmatique de ma part, c'est de considérer que pour obtenir la même attitude de Benjamin ou Clémentine, je dirai quelque chose de très différent.

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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Discussion : L'amour et la façon d'aimer sont-ils ou doivent-ils être pragmatiques ?

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Siestacorta

le mardi 02 février 2010 à 23h38

Clementine
Hautement interprétatif de mes intentions et de mon état d'esprit, ça :-D

Je crois que c'est de moi qu'il s'agit, là.

titane
c'est que je m'amuse à proposer dans le fil de "l'amour écologique"... où on chercherait à évoluer d'une idée d'amour basée sur un réflexe de "besoin" et basée sur la pénurie, la productivité et la quantification... vers une innovation basée sur une expérience de l'abondance, la transformation et la qualité...

le pragmatisme ne serait donc pas de se protéger, d'accumuler ou de protéger son "capital amoureux"... mais au contraire de transformer, de partager et de rechercher la qualité de l'expérience amoureuse...

Le polytruc devrait alors aller au delà du nombre et se pencher sur la transformation amoureuse et la qualité de l'amour... beaucoup de contribution dans ce forum l'aborde sans l'aborder...

J'ai envie de communiquer mes ressentis et mes difficultés en PA.
Et ça me fait du bien de me sentir un peu moins décalé que d'hab.
C'est pour ça que je viens ici.
On aura compris que je prend un plaisir certain à la contradiction. Face à des monos, des situations, je ne vais donc pas faire les ermites mutiques sous prétexte que je ne crois pas que ma parole changera grand chose.
J'essaierai quand même de dire quelque chose, de faire valoir mon point de vue.

Mais mon expérience amoureuse, (l'exploration de quelques champs des possibles, hein, lésinons pas sur les syllabes) me pousse à penser que mon mieux-être n'est pas quelque chose de transmissible (tout juste communicable).
Pour dire ça autrement, je peux communiquer mon questionnement, mais mes réponses resteront toutes subjectives. Ce serait inutile que quelqu'un fasse "comme moi", puisqu'il sera le plus souvent dans une situation très différente.

Le sujet de départ c'est "l'amour doit il être pragmatique". Dans ce qu'on peut en communiquer aux personnes avec qui nous n'avons pas de relation amoureuse, oui, nécessairement.
Ce que nous considérons comme un progrès, notre liberté amoureuse, constitue une voie sans issue, ou une donnée sans pertinence.

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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Siestacorta

le mardi 02 février 2010 à 21h34

titane


je ne vois donc pas pourquoi on me taxerait de "non-pragmatique" comme si c'était une maladie... mais ce n'est pas trop grave ça...

Ici, dans un forum, au fond... on s'en fout, effectivement !
Et personnellement, je ne suis pas toujours pragmatique, j'ai de grands moments d'idéalisme.
Et souvent, derrière le mot pragmatisme, se cache un côté réac, "je veux pas m'attaquer à un problème avec de nouvelles idées, je préfère les choses telles qu'elles sont, je suis pragmatique", glissement de sens.

titane
L'amour na rien de pragmatique car ne s'appuie pas sur une idée de départ... par contre la façon d'aimer oui certainement... elle s'appuie sur une idée anthropologique de l'amour qui en définira le champs d'expérience...

Ben non, justement, "l'idée anthropologique de l'amour" n'est pas pragmatique, puisqu'elle n'est pas fondée sur l'efficacité au présent.
Ce qui est pragmatique, c'est de dire : il faut chercher une solution pour chacun, pas une solution pour tous.

titane
le combat de l'amour multiple serait d'élargir ce champs, non?...

Notre combat en tant que polyamoureux, vivant nos situations individuelles, oui, puisque ce mode de vie nous met en opposition avec certaines normes, coutumes, traditions...
Mais selon nos tempéraments, nos environnements, les difficultés ne se présenteront pas de la même manière.
En répondant aux questionnements amoureux des autres, on peut transmettre la partie de notre expérience qui nous semble adaptée.
On peut même diriger vers des sorties qui n'ont rien à voir avec notre expérience...
Mais notre combat pour ouvrir les champs de possibles en amour n'a pas forcément de sens pour tous : je veux dire que dire à une mono malheureuse en amour "aisse tomber tes anciens fonctionnements et échange les contre les amours multiples", ça n'est pas toujours ce qui fera le plus de bien (même si on aimerait).

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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Siestacorta

le mardi 02 février 2010 à 21h09

grave mal à la tête... Une seul syllabe, ça coute moins cher.

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Siestacorta

le mardi 02 février 2010 à 21h03

ayé : l'équivalent angliche de grave, c'est "bad".

"I want something badly" ou même "I want it bad", ça veut pas dire que tu va mordre ou que tu veu customiser ce que tu désires en dark vador. Tu le veux profondément, tu le veux grave.
Et on est grave d'accord, we totally agree.

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Discussion : L'amour et la façon d'aimer sont-ils ou doivent-ils être pragmatiques ?

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Siestacorta

le mardi 02 février 2010 à 20h55

(et pour les accents qui merdent en messagerie, ça peut être une question de browser ou d'O.S, aussi)

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