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Discussion : 80 députés UMP réclament le retrait de manuels scolaires abordant la notion de genre
Siestacorta
le mardi 06 septembre 2011 à 10h19
"il n'y a pas de catégorisation légitime, mais il y a un groupe social (les hommes) qui domine en entretenant la catégorisation."
honnêtement, cela m'intéresse, et m'aide à réfléchir, et affine certainement ma perception au quotidien, sans dec, j'y trouve mon compte.
Mais problème : les hommes dominant deviennent eux-même un catégorie dans l'oeil de celui qui les critique, en opposé à la "bonne" catégorie de "ceux qui essaient de se libérer des diktats de genre".
Donc dès qu'une personne dit un truc pas compris dans le corpus de gender studies, elle entre dans la catégorisation illégitime et on peut la catégoriser avec notre métacatégorisation.
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Il n'y a pas d'en dehors ou d'autres approches éthique envisageables dans la peinture "genrée" du monde : soit on est un méchant sexiste (plus ou moins conscient de l'oppression à laquelle on participe), soit on est une personne critique qui a conscience que la différence de sexe est un connerie. Pas d'autre regard possible, pas de réfutabilité.
De même : si tu ne crois pas à la psychanalyse, c'est que tu fais du déni, et si tu nies ton déni, c'est que tu fais de la résistance. Donc la psychanalyse est juste
Ou : si l'astrologie ne marche pas sur toi, c'est que tu es incrédule, et si tu nies être un incrédule, c'est que ton signe astrologique te donne tendance à t'opposer. Donc l'astrologie est juste.
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Tiens, j'en profite pour vous placer Dustan, que je lis en ce moment.
Lui, si je comprend, il essaie de sorti du piège du discours sexué en promouvant un discours sexuel... Vous allez voir.
(Guillaume Dustan in Génie Divin, Balland, 2001)
"C'est pas propre, la sexualité, c'est pas possible, et en plus c'est bien de se voir comme ça, parce que ça nous fait comprendre un truc qui est qu'on ne sera jamais propres, l'être humain ne sera jamais propre, non. Sinon la solution c'est Houellebecq, pas d'organe génitaux
[NDSiesta : c'est une ref au roman "La possibilité d'une Ile", ou Houellbecq envisage comme avenir radieux un monde où on serait sans organes génitaux, donc ne souffrant plus de pulsions de désir].
mais s'il y a des organes génitaux on ne sera pas propres, parce que même le jour où tu arrives à faire de la merde qui ne sent pas ou je ne sais pas quoi, il y aura toujours les sécrétions vaginales et les spermes, c'est dégueulasse quand même et ça restera toujours dégueulasse, ça colle, c'est un mot bizarre, c'est super contraire à tout le délire hygiéniste du 20ème siècle".
Sans suivre Dustan sur tous ses choix éthiques (lui promeut la baise sans capote, sa notion de la responsabilité est assez claire mais construite différemment de la mienne), je pense comme lui que le "sexué" et le "genré", donc ce qu'on est anatomiquement et ce qui est une construction sociale et culturelle, ça se résout pas seulement une lecture dominants/dominées du monde.
C'est aussi quelque chose qu'on doit comprendre en soi pour pouvoir en jouer et en jouir.
On sort pas de l'oppression, patriarcale ou autoritaire, en créant un nouveau fardeau moral au dessus. On en sort par la pratique de la liberté, une liberté qui ne finit pas où l'autre commence, mais sous condition de la liberté deS autreS (je paraphrase Benasayag).
Message modifié par son auteur il y a 14 ans.
Discussion : L'amour raison ?
Siestacorta
le mardi 06 septembre 2011 à 09h19
Un torrent de quoi, effectivement ?
Est-ce que la présence du flic n'est pas ce qui rend le "quoi" torrentiel ?
Ou, pour faire mon malin :
"On dit d’un fleuve emportant tout sur son passage qu’il est violent, mais on ne dit jamais rien de la violence des rives qui l’enserrent. " (Bertolt Brecht)
Discussion : L'amour raison ?
Siestacorta
le mardi 06 septembre 2011 à 09h00
ladymarlene
Parce que, justement, j'ai le sentiment vague de passer mon temps à expliquer que j'ai rien choisi du tout !
Tu choisis de ne pas agir. L'inertie de la situation, quand on en connait les paramètres, est un choix.
C'est pas parce que tu désires agir sans le pouvoir que ta volonté de ne pas agir n'existe pas.
Discussion : Le polyamour: idée séduisante mais...
Siestacorta
le mardi 06 septembre 2011 à 08h56
Ils ne comprennent pas, ou ils font semblant ?
Sont-ils parmi nous ? (8E
Discussion : L'amour raison ?
Siestacorta
le mardi 06 septembre 2011 à 08h53
ladymarlene
Je m'aime bien, globalement mais je pense (et en l'écrivant, je me rends compte à quel point c'est tordu) qu'être dure avec moi même fait partie de l'amour que j'ai de moi même, en gros le sempiternel "qui aime bien châtie bien."
Bon, donc, tu t'aimes avec ton surmoi à la con, parce que tu penses encore que le surmoi est ta "bonne" part...
Que sans lui tu serais une tache.
Est-ce vrai? Est-ce qu'à chaque fois que tu cesses de penser "il faut" et pense "je veux" à la place, tu fais une connerie ?
Discussion : L'amour raison ?
Siestacorta
le mardi 06 septembre 2011 à 08h50
Je remercie la résistance de Ladymarlène à dire "c'est moi qui choisis d'être encore aujourd'hui dans la même situation qu'il y un an" pour nous avoir donné l'occasion de développer le terme de responsabilité (comme très différent de la culpabilité et de "c'est qui qu'a commencé"),thème central à mes yeux dans les rapports amoureux et à fortiori polyamoureux
Et merci Eulren pour avoir taquiné fermement, j'adddhowre quand on fait ça.
Message modifié par son auteur il y a 14 ans.
Discussion : Le polyamour: idée séduisante mais...
Siestacorta
le mardi 06 septembre 2011 à 08h40
ladymarlene : ça te fait mal que les autres ne sachent pas ce que tu ressens ?
Explicite ?
Discussion : Décoller cette étiquette de "bobos"-polys
Siestacorta
le mardi 06 septembre 2011 à 08h38
Et quand deux amoureux ont déjà chacun un amoureux dans leur chez-eux, et qu'ils sont pas particulièrement dans la perméabilité totale de leur intimité, on fait quoi ?
Message modifié par son auteur il y a 14 ans.
Discussion : Queer theory et poly-trucs
Siestacorta
le lundi 05 septembre 2011 à 21h48
"souviens-toi que tu es unique... comme tout le monde".
Discussion : Queer theory et poly-trucs
Siestacorta
le lundi 05 septembre 2011 à 18h47
"immersion sociale", je viens de l'inventer.
Dans mon idée, c'est qu'au fond, il y a plus d'autres que de "nous les gens tous pareils", même si c'est pas déclaré, avoué. L'ironie du slogan "les Autres, c'est Vous" est là pour ça.
Donc, si il y a plein d'autres, du discrètement décalé au pur freak, on peut submerger la norme. On devient conscient de l'intérêt de notre unicité ni en égalisant tout ce qui dépasse, ni en se juchant sur sa petite forteresse plus ou moins victimaire : on prend conscience que l'individualité est l'intérêt même de l'humanité en plongeant à fond dans le désir qu'il y ait des Autres, plein de type d'autres, de combinaisons d'altérité, plein d'autres, plein.
Immersion sociale dans une société de diversité.
Donc.. revendication du goût pour la diversité comme dépassement "optimiste" du droit à la différence
Message modifié par son auteur il y a 14 ans.
Discussion : Queer theory et poly-trucs
Siestacorta
le lundi 05 septembre 2011 à 15h30
Sinon, une idée de nom de mouvement ou de slogan :
"Les Autres, c'est Vous "
Idée d'un mouvement un peu "queer" / "multidentitaire" / pro-sexe/ polytruc / kinky / branché libertés sensuelles mais aussi libertés privées
dépassement de la tolérance et de l'insertion par l'immersion sociale et la douceur éthique
ca parle à quelqu'un ? Sinon, c'est pas grave, on dira que lire guillaume dustan me met la tête de traviole.
Message modifié par son auteur il y a 14 ans.
Discussion : Queer theory et poly-trucs
Discussion : Inconcevable pour ma femme !
Siestacorta
le vendredi 02 septembre 2011 à 02h05
Lulutine + 1 ...
Le polyamour n'oblige pas à tout raconter même quand l'autre n'a pas envie d'entendre, juste à s'accorder, chacun à sa façon, sur une honnêteté.
C'est pas "tout dire" ou "rien dire", mais choisir dans le large éventail entre "tout dire" et "s'accorder sur le principe sans aborder les détails".
Discussion : [Médias] Appels à témoins, témoignages, médias divers, etc.
Siestacorta
le mercredi 31 août 2011 à 19h05
29aout, pseudo : Cath, cnardone @ raizaivoar prowde
Boulets Prod :
J'ai lu avec attention votre post et je me permets donc de vous contacter.
Je suis Catherine, journaliste
retapeuse. A ce niveau là, journaliste est quand même un peu survalorisant
pour l'émission Toute une Histoirediffusée sur France 2.Je travaille actuellement sur le thème des
polyamoureux. Nous cherchons simplement à comprendre quelle est cette philosophie de vie, comment cela se gère au quotidien, et pour cela, nous cherchons des personnes qui viendraient témoigner sur notre plateau à Paris (les frais de voyage sont à notre charge). Nous ne sommes pas une émission voyeuriste, nous ne nous permettons pas de juger ou de critiquer l'histoire de chacun.Tssé en même temps, si une émission te montre des échanges entre les mamans de la gauche caviar et celle de la droite pizza, elle peut ne pas les critiquer et être voyeuriste quand même.
Nous cherchons aussi d’autres profils - dont une
triade - que vous trouverez dans l’appel à témoins ci-dessous. Bien évidemment, étant sur le service public, nous ne détaillons pas à l'antenne toute votre vie intime.Juste la partie pouvant faire spectacle. (nans mais on se sent vraiment pas pris pour un crétin, là)
Si vous souhaitez partager votre histoire
ou que vous connaissez quelqu’un de concerné, n'hésitez pas à me contacter au plus viteAu plus vite ? Oulah, ça a l'air urgent... Vous devriez peut-être pas parler de gens qui construisent leur histoire avec prudence, si vous êtes si speed... Les gens pratiquant la masturbation-minute, ça vous branche pas mieux ?
Suit l'appel à témoin qu"'on commence à BIEN connaître.
Catherine
Discussion : [Médias] Appels à témoins, témoignages, médias divers, etc.
Siestacorta
le mercredi 31 août 2011 à 10h23
J'adore.... J'ai participé à la vague d'aboements contre le spamming de Reservoir Prod et je reçois donc, sur la MP poly.info :
" j'ai bien lu votre post, et je me permet donc de vous écrire pour vos demander de témoigner".
"BIEN LU" ????
Après, ça se défend en disant "nous ne sommes pas voyeuriste, nous ne jugeons pas".
Hé, un voyeur ça juge pas du tout. Au contraire. Ca prend tout ce qu'on lui donne, parce que tout ce dont on lui parle pas d'habitude, qui relève de l'intime, se vaut pour lui.
Dire que la télé n'est pas voyeuriste, c'est dire qu'elle ne cherche pas du tout à montrer ce qu'on ne voyait pas avant... Bon ben faites de la radio, ou une revue papier à partir de recherches anthropologiques...
Voyeuriste, c'est pas forcément montrer des culs et dénoncer l'objet du reportage/ entrentien.
C'est pousser les gens à regarder un spectacle sans que les gens regardés se rendent exactement compte à quel point ils sont un spectacle.
Et spectacle, c'est pas forcément des nains transsexuels qui ont une aventure incoryable avec une vedette de troisième zone.
Spectacle, c'est le moment ou pour rendre "plus intéressant" le document, on fait un montage. Quand tu as parlé 6h avec quelqu'un, où tu sentais empathie et profondeur de ton interlocuteur, et où au final il reste de ça une heure avec les moments où tu es le plus ému, ou le plus sceptique, disons, ou ça se voit le plus possible que t'es bizarre.
NON J'IRAI PAS ARRETEZ D'ECRIRE.
Discussion : Toujours au même point....
Siestacorta
le lundi 29 août 2011 à 11h35
Pusillanime, c'est un mot moche, une sale étiquette (oups), mais dans certains cas, reconnaître son comportement, ça aide à le changer (ou l'assumer).
Alors, Ladymarlène, tu as du caractère : est-ce que tu assumes d'être rêveuse et d'aimer cela, ou est-ce que tu es prête à te dire à toi-même que tu as été, sur ce coup là, un peu trop velléitaire ? (voir pusillanime)
(et je te dis ça en totale connaissance de cause sur moi : je le suis souvent.)
Discussion : Toujours au même point....
Discussion : Toujours au même point....
Siestacorta
le lundi 29 août 2011 à 11h05
Janis à LadyMarlène, le 26 Mars :
Janis
Ce qui te fait le plus peur finalement, c'est que ça s'arrête. Que l'ambiguïté qui s'est installée, qui te permet de rêver, de désirer, tout ça très discrètement et sans que ça devienne trop lourd de conséquences, prenne fin. Parce que oui, même si c'est frustrant, il ne faut pas perdre de vue que c'est agréable ces plages de désir muet où tout est possible parce que rien n'a encore été posé.Se déclarer ça sonnerait la fin de la récréation. Tu sortirais du rêve et ce serait peut-être mieux, peut-être moins bien. Et tu n'as pas envie de prendre cette responsabilité. Et tout le monde ici je crois peut comprendre ça.
Moi je te conseillerais volontiers de prendre encore ton temps. De profiter de tes sensations, d'en jouir autant que possible, de te laisser aller à tout ça, parce que tout ça est sans doute bon pour toi - au moins parce que ça remue des choses importantes dans ta tête, des choses qui compteront plus tard et qui te feront prendre des directions nouvelles.
Siestacorta à Ladymarlène le 26 aout
Siestacorta
Essaie de voir tes neurones comme un circuit élctrique.
En ce moment, le moteur LadyMarlène produit plein d'énergie. La partie du circuit "l'homme qui me plait" est celle où on peut en envoyer le plus facilement, parce que ce circuit est plus "rapide" pour l'électricité de ta tête que celui qu'elle aurait fait d'habitude : avec famille, boulot, perspectives.
Demeter à Ladymarlène, le 28 aout :
Demeter
Ce questionnement auquel tu ne souhaites pas donner de réponse, n'est -ce pas le constat (j'y reviens je suis têtu, mais tu ne m'as pas donné de réponse la dernière fois, peut-être parce que tu n'en as pas) que cette relation te plait telle qu'elle est, avec sa part d'incertitude et de devenir ?
Popol à LadyyMarlène, dans le message juste au dessus...
Popol
Si les choses deviennent trop claires, elles risquent de perdre de leur intérêt.SI ça se trouve, c'est plus la tension qui t'habite qui est stimulante. Or, une discussion de ce genre, c'est quitte ou double. Je postule que si tu ne l'as pas encore eue, c'est que la tension, pour inconfortable qu'elle soit, est encore avantageuse. Imagine que la réponse de cet homme soit une fin de non-recevoir... gros vide, non ? Bref, pour faire place nette, il faut aussi être capable d'envisager de perdre même le compromis.
Donc : si ne pas agir te soucie tellement, pour qu'on te répondre à plusieurs sur plusieurs mois que "rêver" ton sentiment semble plus t'avantager que le déclarer, c'est que ne pas agir a ses avantages.
Lesquels ?
Une fois que tu le sauras, tu sauras mieux les équiliber avec les avantages de chopper ton roméo par la nuque et lui mettre la langue d'autorité.
Tu fais un deux colonnes comparatifs entre les deux possibilité et leurs avantages, en mettant bien tout, super honnêtement, avantages fort ou même futile.
Et tu vois ce qui sort... Et si finalement tu a encore envie de ne plus en être "au même point".
Message modifié par son auteur il y a 14 ans.
Discussion : Décoller cette étiquette de "bobos"-polys
Siestacorta
le lundi 29 août 2011 à 01h51
Ladymarlène : la fatalité et les déterminismes sociologiques, c'est très différent.
Je dis pas que reconnaître des déterminismes change la façon dont je regarde les gens qui les subissent, ni que- dans ma catégorisation "mentale" ni dans celle de la société - les gens ne sont pas libres de sortir du tiroir où on les case.
Mais dire que ces déterminismes n'existent pas et/ou sont sans conséquence pratique notable (instruction, temps libre, loisirs, milieux fréquentés, possibilité d’ascension sociale, espérance de vie, régime alimentaire...) parce qu'on a une haute idée de la liberté personnelle, c'est soutenir que la nuit n'existe pas parce que le jour c'est plus sympa.
Dire que "il suffit d'être différent de ce qu'on dit de nous", ça, c'est simpliste. Il ne suffit pas, non. C'est pas facile. ET ça dépend pas essentiellement de mon regard à moi sur la caissière de supéretten, qu'une majorité de caissières aient une culture.
Je le dis avec d'autant plus de facilité que j'ai moi-même tenu une caisse en grande surface.
Et comme tu dis, le regard des autre compte. On en tient compte. Ne serait-ce que pour le déjouer.
D'où : plusieurs étiquettes, le plus paradoxales et revendiquées possibles, jusqu'à ce que le regard des autres soient "intrigué".
Comme ta dame de beau quartier, habillée chanel, qui prend des respnsabilités dans un parti trotskyste, ou la punk qui me sert en pharmacie : elles jouent (courageusement) avec les étiquettes, au lieu de tenter de les effacer.
Message modifié par son auteur il y a 14 ans.
Discussion : Décoller cette étiquette de "bobos"-polys
Siestacorta
le dimanche 28 août 2011 à 13h15
Popol
Et que cette jolie "étiquette" est donc caricaturale, bêtement manichéiste, fouzytout et creuse tout ensemble... et tout autant collée sur une cible facile...Bref, qu'on s'en prenne aux supposés moutons de Panurge du pékin moyen (population à laquelle, évidemment, l'auteur d'un "collage" aussi enfantin n'a aucune chance d'appartenir vu ce qu'il s'attribue visiblement comme haute qualité d'idéaux!) ou qu'on se croie ici régulièrement membre d'une élite pensante ou agissante - en particulier en donnant prise à l'idée qu'on serait des bobos ! le masochisme est une source de plaisir pour le maso, est-il utile de le rappeler ? - voilà qui contribue à me faire ignorer délibérément certaines réponses, parce que pour avoir envie de comprendre, faut dépenser une de ces énergies... :-(
C'est toi qui reste sur un point de détail, là. Le fait que les classes moyennes soient une question qui peut traverser le débat ne se confond pas avce "mon goût" pour l'étiquette classe-moyenne
Tu déformes beaucoup mon point de vue.
JE réexpliquerai pas pour pas de taire dépenser d'énergie, de la même manière que tu "ignores délibérément certaines réponses" (les miennes, j'imagine). Le débat va vachement avancer, tiens.
Message modifié par son auteur il y a 14 ans.