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Siestacorta

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Discussion : Amour = Souffrance

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Siestacorta

le mardi 08 octobre 2013 à 21h59

Idéalement, tu peux espérer qu'ils précisent eux aussi quels compromis, quelles attentes et quels aspects inacceptables. Il s'agit pas seulement d'être fidèle à toi-même, faut considérer les gens quand ils le sont.

Maintenant, laisser les autres choisir... C'est pas que c'est particulièrement lâche, puisque les autres aussi pourraient préférer que ce soit un autre qui fasse le choix. C'est humain de ne pas vouloir renoncer sans y être contraint.
C'est pas lâche, mais c'est aussi un choix de ne pas choisir : c'est le choix, assumé ou pas, de dire qu'on est capable de vivre avec la situation qui nous fait souffrir et fait souffrir un autre.
On peut vivre avec, on peut être assez fort, le jeu peut valoir la chandelle et les bons moments être plus grands que les mauvais, ou penser sincèrement que tel moment de souffrance est une étape d'un processus, pour l'autre ou avec l'autre.
Mais, si on ne peut pas vivre avec, maintenant qu'on a fait le point sur les je peux / je peux pas, faut être capable de tirer les conséquences.

C'est difficile, hein, moi j'y suis pas toujours arrivé aux bons moments : quitter/ laisser partir, c'est pas facile. Mais si on le fait en ayant chacun compris et dit en quoi on cesse ainsi de se faire mutuellement du mal, on peut continuer à se respecter ensuite... Ce qui n'est pas un simple vernis : ça rend les rapports humains futurs nettement moins désespérants. Au début, elle est froide, mais après, elle est bonne, pour dire ça bêtement.

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Discussion : Les lundis poly - 7 octobre - Paris - Bubble Bar

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Siestacorta

le mardi 08 octobre 2013 à 15h25

Tiens, oui, j'ai pas repensé à ça, mais sur "contrainte", j'ai un avis !

Une contrainte n'est pas nécessairement quelque chose de désagréable, un truc qui va contre ce qu'on désire. C'est pas une injonction, une obligation. Par exemple, une contrainte horaire, le spectacle commence à 19h et le public ne peut plus entré une fois le spectacle débuté, ben c'est comme ça, quand on décide d'aller le voir, on fait avec cette contrainte.

Pour une contrainte d'honnêteté... Disons que même si a priori, ça peut être au contraire une spontanéïté pour certains, ça peut être spontané de dire qu'on a telle relation avec tel tiers ET plus contraignant de prendre en compte les demandes de l'autre une fois l'information passée : par exemple, oké, tu vois untel, mais en ce moment, j'ai besoin de te voir beaucoup.
La contrainte de vérité peut contenir une partie de ce qu'on va faire une fois qu'on sait qui en est où.
A mon avis doit même y avoir un minimum, dans le sens où si je n'attache aucune éventualité de devoir modifier mes plans à la réception de l'information que je donne sur ma situation, c'est que la réaction de l'autre m'est indifférente.
Meme au minimorum avec une personne qu'on ne voit que pour un truc restreint et peu contraignant - du sexe, mais pour d'autres trucs ça marche aussi bien - l'indifférence signifierait que je ne m'intéresse pas à ce que ce que vis dans cette relation continue ou s'arrête.

J'entre en relation, je suis contraint de fait (c'est pas douloureux) à une considération. C'est pas une contrainte que l'autre exerce volontairement, et si je veux je peux ne pas en tenir compte ; mais si je tiens pas compte de cette contrainte de faire avec autrui, je n'ai pas de relation avec autrui, il n'y a plus que ce que j'impose, si ça lui plait pas c'est pareil, au pire je me casse.

Il n'y aurait aucune contrainte si tous ses partenaire disaient à quelqu'un : tu fais tout ce que tu veux, je ne te demande rien, toi seul demandes et tu obtiens toujours (O my lord ).

Du coup, je ne fais pas tout ce que je veux sans contrainte, en partie parce que je suis partie de la vérité et de mon engagement dans la relation (quel que soit la hauteur l'engagement : répondre aux messages, venir aux dernier rendez-vous pris, ou soutenir la personne de façon plus continue).

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Discussion : Les lundis poly - 7 octobre - Paris - Bubble Bar

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Siestacorta

le mardi 08 octobre 2013 à 11h06

Katouchka
Je tiens à préciser au passage que je ne suis pas mariée. En même temps, je comprends que le terme de mari soit plus facile à décrire la situation que compagnon ou autres...

Gloups.
En même temps quand mes potes ont commencé à se marier, je continuais à leur dire "ta copine, ton copain".
Doit yavoir un ensemble de concepts pas clairs pour moi, là. Ou un subconscient un peu trop affirmatif...

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Discussion : Les lundis poly - 7 octobre - Paris - Bubble Bar

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Siestacorta

le mardi 08 octobre 2013 à 01h22

Hé ben c'était avec plaisir.

Désolé aux nouveaux, le thème sur l'engagement choisi ce soir est pas le plus sexy et le plus facile d'accès, et on le prend pas forcément sous l'angle le plus décomplexé... J'espère que c'était pas pessimiste pour autant.
Faudra d'ailleurs qu'on réfléchisse à des débats ou des accueils "mes premiers pas poly", ou quelque chose comme ça.

Sinon, en clin d'oeil, je voulais féliciter le mari de Katiouchka et son amoureuse venus pour la première fois ce soir : ils venaient alors qu'une partie de leur histoire nous avait été racontée de deuxième main, et c'est discrètement vachement fort de leur part de parlotter avé le sourire quand on est précédés de récits qu'on a pas fait soi-même. Katiouchka aussi bravo, mais hé, honneur aux newbies.

Et aussi féliciter / m'excuser, LittleJohn et Vaniel, que je les ai lourdé avec des questions indiscrètes, mon côté Délicator, et ils m'ont même pas mis des pains (je perd rien à attendre ? je fermagu. ? ok).

Et un de ces quatre faudra laisser un gros gâteau au barman du bubble, parce que bon, on est gentils mais on consomme pas autant qu'on cause.

Et puis faut qu'on réfléchisse à un concept de soirée Saint-VaLutin.
Et une soirée polydancing.
Et...
(vais me coucher, tiens)

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Discussion : Amour = Souffrance

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Siestacorta

le lundi 07 octobre 2013 à 16h31

Je récupère une réflexion qu'on m'a faite il y a pas longtemps : il ne s'agit pas de choisir entre l'un et l'autre, parce que si on pose le choix comme ça, aucun ne peut être bon.
Il s'agit de savoir ce que tu veux absolument avoir à l'avenir, ce à quoi tu peux renoncer, ce qui, en te manquant, te serait néfaste, ce qui est néfaste tel quel.

Ca peut être l'enfant, ça peut être les relations plurielles, ça peut être un aspect de ta relation avec untel... Tu choisis pas une personne (ou les deux), tu choisis ce que tu peux vivre.
Ca rend pas le choix facile, mais ça te permet d'être sûre que tu choisis ce dont tu as besoin, pas une option abstraite.

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Discussion : Les lundis poly - 7 octobre - Paris - Bubble Bar

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Siestacorta

le dimanche 06 octobre 2013 à 22h26

Quitte à faire du néologisme, polyamorie me semble esthétiquement ni meilleur ni pire que polyamour : les deux sont moches :-) ; et moi aussi je trouve que ça lèverait une ambiguïté sur la variété des pratiques possibles. Tout en étant un barbarisme plus proche de celui d'origine...

Mais à côté de ça, je crois que l'usage de polyamour a une longueur de temps d'avance. Les québécois l'employaient avant qu'on ait notre forum... Et depuis, il est repris dans des publications et des articles français.
En admettant que certains se mettent à employer polyamorie, je me demande si, au mieux, on aboutirait pas à avoir les deux mots, et que les gens demandent s'il y a une différence de fond pour ceux qui les emploient ?

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Discussion : Comment sortir de la dépendance affective ?

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Siestacorta

le vendredi 04 octobre 2013 à 13h37

Ilis
envie de lui écrire ça : c'est idiot : "Je souhaite de tout mon être que tu m'aimes ! J'ai l'impression que ton amour serait la preuve que j'ai de la valeur. Je t'assure que parfois j'ai l'impression de n'être pas plus importante qu'un verre de terre sur cette planète. Un seul regard de toi... un seul regard de toi où je lis un peu d'appréciation et je me sens pousser des ailes." mais je ne le ferai pas.

C'est pas idiot. Pour moi, ça veut dire que tu situes vraiment le problème dans ce que tu ressens : ton besoin d'être aimée parce que tu te sens verre de terre n'est pas la même chose que le besoin d'aimer le gars.
Je crois que tu sens bien, en ce moment, en quoi le premier ressenti empêche l'autre d'être bon, c'est une des raisons pour lesquelles tu pourrais ne pas avoir envie de lui envoyer le message.

L'estime de soi, ça se travaille.
D'ailleurs, selon tes moyens (sauf quelques médecins qui font ça en cabinet, c'est pas remboursé), je pense que pour travailler sur son estime de soi, c'est bon d'aller voir un thérapeute comportementaliste. Ce qui est bien dans leur type de thérapie, c'est que tu vas pas seulement parler, tu vas te retrouver à faire des exercices, des petits trucs, qui à un moment vont ressembler de près aux actions que tu voudrais pouvoir faire pour changer ta vie. Du coup, tu sens ton progrès...

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Discussion : Comment sortir de la dépendance affective ?

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Siestacorta

le vendredi 04 octobre 2013 à 01h08

Qu'est-ce que tu as à perdre à essayer quand même ?

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Discussion : Comment sortir de la dépendance affective ?

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Siestacorta

le vendredi 04 octobre 2013 à 01h01

Oué, tu es à l'ouest, bon. On va dire que tu t'en rends compte, et que c'est déjà un bon début pour y faire quelque chose.

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Discussion : Comment sortir de la dépendance affective ?

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Siestacorta

le jeudi 03 octobre 2013 à 22h46

Hm, tu sais, tu peux sauver ton couple et continuer à faire des conneries, hein. Tant que tu fais la différence entre les conneries qui te pèsent toi et celles qui pèsent sur les autres, et que tu fais ton possibles pour alléger les secondes, t'as pas à te détester de pas être idéale.

C'est pas grave de rater sa correspondance ou de laisser la lumière allumée, si une autre partie du temps tu prends soin de toi et des autres.

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Discussion : Comment sortir de la dépendance affective ?

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Siestacorta

le jeudi 03 octobre 2013 à 22h30

C'est peut être une question de caractère, de période de ta vie, de circonstances récentes, mais tu es en plein rush d'émotions.

Du coup, forcément, en face, le type qui réagit avec du recul, t'as l'impression qu'il capte pas ce qu'il t'arrive.

Aller voir un psy va pas te rendre plus supportable pour lui dans l'immédiat, mais si dans une thérapie t'arrive à t'apprécier toi, oui, là, t'auras moins de raison de douter de ce que vous ressentez lui et toi : tu te poseras peut-être les bonnes questions, tu sauras mieux à quoi t'attaquer.

Ton psy a raison de vouloir savoir si c'est pour toi que tu veux le voir... Mais, pour ce que tu as raconté avant, tu as "compris" que tu souffrais déjà des mêmes trucs avant ton Thierry. Et donc que tu dois t'occuper de ça, quitte à comparer expériences passées et actuelles.

Enfin, un truc qu'on répète souvent à des monos dans des situations différentes des tiennes : l'oxygène que tu donnes à quelqu'un de plus indépendant que toi, c'est en partie ce qui va l'attacher plus solidement à toi. Savoir que tu peux lui donner du temps et de l'espace sans toi, ça fait qu'il peut te garder une place.

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Discussion : Comment me "détacher" sexuellement d'une relation amicale?

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Siestacorta

le jeudi 03 octobre 2013 à 17h18

MetaZet
Oui, mais je suis bien d'accord. Seulement, il me semble que la tendresse non-voulue ne pose pas de problèmes pragmatiques aussi graves quand même que le sexe non-voulu (ce qui ne veut pas dire que ça n'a pas d'importance, mais j'espère que tu es d'accord qu'un viol sexuel est encore plus traumatisant qu'une accolade non-voulue).

Vivi, mais en fait, l'asymétrie entre les besoins de tendresse, c'est pas résolu au cas par cas, souvent. C'est sur le fond et le long terme de la relation que ça joue. Donc pour celui qui ne veut pas de tendresse, mais qui en reçoit plus ou moins régulièrement, ou est exposé régulièrement au déplaisir du tendre, il ya un sentiment de harcèlement, pour le tendre qui se retrouve avec trop dans les mains, il y a une incommunicabilité des sentiments.
Donc ne pas s'entendre sur ça est moins violent, sur le moment, évidement, mais il y a un enjeu qui est moins doux qu'il n'en a l'air

C'est un choix de ce qu'on vit dans l'intimité.
Il suffit de se dire que tu peux avoir ta nuit pourrie parce qu'un ronfleur dort à côté de toi pour voir que cotoyer quelqu'un qui exprime la tendresse trop différemment peut jouer. Pas juste "dans la tête", mais parce que c'est la rencontre entre toi et l'autre, qui se joue. Sans violence physique.

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Discussion : Douloureuse découverte du polyamour

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Siestacorta

le mercredi 02 octobre 2013 à 08h48

J'espère qu'on m'excusera le mindfuck passager...
La valeur n'attend pas le nombre des années, bon, bien, oui, mais la maturité peut être inégalement répartie selon les domaines...
Mettons, on peut être très mûr très tôt sur "bien tenir un lieu de vie", et pourtant complètement immature dans sa façon de dialoguer avec des proches.

Pour m'approcher plus précisément du fil, la projection à long terme d'une relation n'est pas, pour moi, un signe indiscutable de maturité.
Mettre quelqu'un dans ses projets, parce qu'on a soi-même tendance à projeter, sans tenir compte assez de la probabilité que la vie de l'autre change (ça peut arriver, au hasard, si l'autre est jeune, étudiant... ... .... ), ça peut être plus de l'impensé que de la maturité.

Après, évidemment, il y a des gens qui savent très tôt construire des relations solides, ET qui sont pragmatiques de penser que ni eux ni leur partenaire n'auront de changements importants dans la vie. Si on a vécu tous les deux face à face dans la même rue, qu'on s'aime depuis la maternelle, que moi je vais reprendre le garage de mon père et toi l'épicerie du tiens, il se peut qu'on ait raison de pas bouger de là.
Disons que là, l'impensé et le pragmatisme arrivent au même.

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Discussion : Café-Poly le 29/10 à La Cantada (Paris)

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Siestacorta

le mardi 01 octobre 2013 à 21h44

Sinon, tu veux qu'on publie sur le groupe FB ?

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Discussion : Café-Poly le 29/10 à La Cantada (Paris)

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Siestacorta

le mardi 01 octobre 2013 à 10h37

(arf, le spectacle qui aura lieu en même temps est vachement bien, hein)
super bon plan, la cantada, merci Paul, comment t'as eu l'occasion ?

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Discussion : Comment sortir de la dépendance affective ?

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Siestacorta

le lundi 30 septembre 2013 à 23h16

On dit que la vie repasse les plats, jusqu'à ce qu'on ait compris comment on arrivait à toujours commander le même.
Apparemment, tu es sur cette prise de conscience-là.

- demain, les semaines qui viennent, tu vas être sensibilisée. Si ton état de souffrance dure depuis longtemps, que tu as des enfants, et que tu luttes pour faire ta journée, pense éventuellement aux médocs. Plutôt pas les benzos, parce que si tu es compulsive, tu va galérer pour en décrocher. Mais quelque chose qui t'apaise un peu, le temps de penser un peu droit.

- après et jusqu'à ta mort, la personne qui sera jusqu'au bout avec toi, c'est toi. C'est toi, la seule personne dont tu dépends complètement. Donc oui, t'as tout intérêt à te dénouer pour avoir une bonne relation avec toi, et un psy, ça peut bien t'aider, beaucoup plus que des amants , qui ont le défaut de ne pas pouvoir te soutenir malgré toi.

- cette histoire de manque affectif, ça passe pas tout seul, tu vas y passer du temps. Mais la bonne nouvelle, c'est qu'une fois que tu seras dans le travail psy, même sans avoir déjà changé, tu auras le sentiment de te prendre toi-même en charge. Ce qui te redonnera un peu confiance pour comprendre ce qui se passe vraiment dans tes rapports au présent, pas juste la compulsion.

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Discussion : Paumée avec un polyamoureux

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Siestacorta

le dimanche 29 septembre 2013 à 02h12

C'est difficile de répondre quand il s'agit de survie.
Je te souhaite de survivre, re-vivre, et j'espère que la survie trouvera, comme c'est sa nature, des façon inédites et bénéfiques pour que tu t'en sortes, et que les survies précédentes te rendront cet effort le moins pénible possible.

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Discussion : Les lundis poly - 7 octobre - Paris - Bubble Bar

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Siestacorta

le samedi 28 septembre 2013 à 18h29

Tout est en libre consultation, certain sujets sont signalisés "pour lecteurs majeurs", mais suffit de cliquer.
C'est plutôt les pseudos qui garantissent un peu de discrétion.

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Discussion : Les lundis poly - 7 octobre - Paris - Bubble Bar

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Siestacorta

le samedi 28 septembre 2013 à 13h12

Tu peux créer un sujet "présentation" si tu aimes faire ça, d'autres l'ont fait.
Ici, il y a des intervenants qu'on connait parce qu'ils sont arrivés en racontant leur histoire, soit ils on répondu à quelques personnes et ont fini par se présenter (parfois longtemps après) au fil d'un sujet, soit ils ont rempli un peu leur profil (comme tu l'as fait).

Pour voir un peu qui viendra à un café où tu comptes aller, tu peux déjà voir la liste des inscrits, aller sur leur profil, et remonter leur discussions.

En tout cas, bienvenue !

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Discussion : Amoureuse de 2 hommes : incapable de gérer

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Siestacorta

le samedi 28 septembre 2013 à 00h10

Propositions :
- discuter de la nature de cette relation, et effectivement, discuter TOUS de la nature de cette relation, pour que les sentiments n'y sois pas culpabilisés ni pour rien, ni par fausse convenance.
- se rendre compte que se priver d'une relation aussi durable n'apportera sans doute de bénéfices à personnes, même à l'épouse du monsieur (beaucoup de ressentiments possible, "j'ai fait ça pour toi, et je t'en veux de m'y être tenu, donc je t'aime moins...)

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