Polyamour.info

Siestacorta

Siestacorta

Paris (France)

mastodon.parleur.net/@Siestacorta

Participation aux discussions

Discussion : Mardi, c'est Poly (septembre)

Profil

Siestacorta

le jeudi 01 mai 2014 à 16h07

Méééé... Il me semblait qu'on devait décaler sur un jeudi, après la rentrée, non ?

Voir dans le contexte

Discussion : Mardi, c'est Poly (mai)

Profil

Siestacorta

le jeudi 01 mai 2014 à 14h51

Pour ceux qui s'inscrivent (ou pas d'ailleurs), je suis preneur de thèmes questions à proposer sur place !

Voir dans le contexte

Discussion : Petite nouvelle sur le forum, en amour, et en polyamour

Profil

Siestacorta

le jeudi 01 mai 2014 à 10h13

Bienvenue, félicitation pour ton travail de recherche jusqu'ici.

Alors, où en es-tu ?

Voir dans le contexte

Discussion : Dire à l'"autre" à quel moment on voit une autre personne ?

Profil

Siestacorta

le mardi 29 avril 2014 à 00h15

N.R.E : New Relationship Energy.

La version poly des premiers temps d'une relation. Dans le cas d'une relation ouverte qui veut durer, on tient compte que les débuts d'une rencontre que fait un partenaire ont des effets émotionnels forts. On amène le sujet parce que comparer une relation qui commence à la relation plus ancienne peut faire paraître celle-ci un peu terne, routinière, un peu dépassionnée.
Et ces mouvements du coeur peuvent faire que l'autre agit un peu moins en fonction de son attachement à nous, qu'il ne peut s'empêcher de réagir sans nous mettre en priorité.

L'important, c'est comme d'hab d'en parler. Pas passer son temps à parler de ça, parce que si ya que la question du troisième entre vous c'est autre chose, mais être honnête sur nos envies, émotions, peurs, jalousies et doutes.

Message modifié par son auteur il y a 11 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : [Théâtre] "Femme Libérée", La Troupe à Palmade, 2014

Profil

Siestacorta

le dimanche 27 avril 2014 à 20h30

Les deux m'iront.

Voir dans le contexte

Discussion : Dire à l'"autre" à quel moment on voit une autre personne ?

Profil

Siestacorta

le dimanche 27 avril 2014 à 19h12

gcd68

C'est un mot important s'il est dit avec sincérité. Je n'oublie pas celui de Siestacorta, car je ne doute nullement de sa réalité.

Il est aussi motivé par un esprit de démonstration, mais il prend en vrai sa source dans l'importance d'avoir quelqu'un qui accepte de discuter, et s'il est en désaccord, prend sur lui d'être malgré tout dans l'échange. Ca, c'est bon.

Voir dans le contexte

Discussion : [Théâtre] "Femme Libérée", La Troupe à Palmade, 2014

Profil

Siestacorta

le dimanche 27 avril 2014 à 18h12

Non, c'est jouable !

Voir dans le contexte

Discussion : [Théâtre] "Femme Libérée", La Troupe à Palmade, 2014

Profil

Siestacorta

le dimanche 27 avril 2014 à 17h48

C'est pas hype du tout, ça.
C'est du théâtre de boulevard, si j'ai compris.
C'est une troupe rassemblée par Pierre Palmade qui joue ce spectacle, mais c'est pas lui qui a écrit, c'est Noémie De Lattre, et apparemment, elle s'est inspirée de sa propre vie.

Vous imaginez bien que si j'en parle, c'est qu'il semble y avoir un contenu poly...
La femme a un mari, un amant qu'elle officialise, envisage que le père d'un enfant ne soit aucun de ces deux là...
Et tout tourne autour de cette liberté-là.
Elle et Palmade étaient invités dans On Est Pas Couché, l'émission de Ruquier sur la 2...
(Je vous avais dit que c'était pas hype du tout).

Et bon, malgré tout ce côté grosse machine popu, ben ça m'a quand même donné envie de voir. Yen a que ça intéresserait ?

Message modifié par son auteur il y a 11 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : Dire à l'"autre" à quel moment on voit une autre personne ?

Profil

Siestacorta

le dimanche 27 avril 2014 à 14h43

Hm, à part ça, merci pour cet échange sur la dépendance parce que j'ai dû réfléchir sur moi en cours de route.
Comme je suis content de cet échange, que je veux qu'il puisse y en avoir d'autres comme ça, je prend la responsabilité de faire des efforts pour que le forum et les cafés continuent à tourner, et pour que des gens comme toi puissent s'y exprimer. Même quand ce serait plus facile de venir que quand je suis d'humeur...

(tu la sens, là, l'argumentation qui vient ?)

Message modifié par son auteur il y a 11 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : Café polybertin Dijonnais - découverte en club sauna libertin

Profil

Siestacorta

le dimanche 27 avril 2014 à 14h26

Lili-Lutine


La prochaine fois je ferai une capture d’écran avant que tout disparaisse et je pourrais les dénoncer individuellement et publiquement au groupe FB hahaha les vilains :-D

Hm, on diffuserait pas, parce que ça peut construire des conflits... mais si tu fais ces captures, envoie les aux modos, qu'on sache à quoi s'en tenir avec un profil et qu'on puisse filtrer. Ca aura le mérite de pas laisser les gens prendre de risque d'être inopportunément alpagués à cause de leur inscription au groupe.

Voir dans le contexte

Discussion : Dire à l'"autre" à quel moment on voit une autre personne ?

Profil

Siestacorta

le dimanche 27 avril 2014 à 14h21

gcd68
Toutes les relations seraient dispensables en elle-même, je crois. Personne n'est irremplaçable.

Ou tous ceux qu'on aime le sont...
Je peux vivre sans eux, mais ça pourrait me faire très mal. Peut-être pas me détruire, mais vivre bien plus malheureux qu'avec eux.
J'y survis, je peux vivre comme ça.
Je vis comme ça : pas dans la même maison que ma fille, et mes relations amoureuses ne se sont jamais transformées en foyer.
Je n'ai pas fait ça, pourtant, je désire tisser des liens amoureux forts, et j'en dépend, même si en pratique je fais tout pour que ce soit le plus minimum possible, j'en dépend fortement.

Je ne peux pas faire que ressentir ces liens, ils participent à ce que je deviens. En échange, je participe à ce que deviennent les personnes à l'autre bout. Je tisse et protège le lien, que ce soit en faisant gaffe à ce que je fais comme en répondant, dans la mesure de mes moyens, à ce qu'on me demande.

Si je ne faisais que laisser les liens se tisser et se détacher, si je ne prenais pas en charge l'importance qu'ils ont pour moi, je la laisserai sur les épaules des autres et ne ferait que prendre aux autres, prendre leur propre besoin de lien et ce qu'ils me donnent pour le maintenir.

Je crois que dans ta vie, tu ne fais pas que prendre, gcd... et tu peux appeler ça affectivité, c'est quelque chose que tu construits aussi avec ceux avec qui tu es en relation. Tu le fais parce que tu le veux, mais aussi parce que c'est indispensable. Parce qu'avec ces personnes avec qui il y a de l'amour, tu ne souhaites ni quitter, ni être quittée. Alors tu ne fais pas que ressentir, tu fais avec, tu prends la responsabilité (héoui) de tenir compte du lien que ceux qui t'aiment tissent avec toi.

Voir dans le contexte

Discussion : Il tombe amoureux... j'ai peur.

Profil

Siestacorta

le dimanche 27 avril 2014 à 13h49

avelia


Mais là où je bute c'est que si durant ces décalages, on comble le vide, celui là même qui engendre le manque et le retour du désir,

Le désir et le manque sont liés, mais pas nécessairement joints.
Tu peux désirer quelque chose qui ne dure pas (une satisfaction), sans en manquer.
On ne désire pas manger du chocolat parce qu'il nous manque, mais parce que le chocolat, c'est bon.

Par ailleurs, pendant qu'on "manque", on peut repousser la satisfaction en éprouvant du plaisir : la jouissance.
Bon, là je te sors un bout copié-collé de mon propre travail en thérapie, mais il a beaucoup de sens je crois.

Imagine un chien. Il a un nonos. La satisfaction, ce serait de le ronger, croquer, à fond. Mais non, il l'enterre. Des fois ce serait super de croquer le nonos (satisfaction), mais il le garde sous terre, il sait qu'il est là, sous sa patte droite. Et il est content sans le déterrer. Il pourrait même oublier qu'il peut le déterrer et le ronger. Il peut se balader, partir en vacances avec la famille, jouer avec les petits, il jouit de savoir que son nonos est là, que c'est son nonos et qu'il peut, quand il veut, venir le croquer (jouissance).

Des fois, on est content parce que dans 3 semaines, on va faire un truc bien. Partir en vacances, aller au ciné, prendre deux trois jour pour être seul, manger ce super bon truc... On est pas encore en train de le faire, mais rien qu'attendre fait partie du plaisir.
Pendant une attente, il n' y a pas de vide, il y a toi et ton rapport au désir. Ca peut être du manque, c'est possible, mais ça peut être aussi juste toi qui connait ta satisfaction à venir.

Un des trucs qu'on travaille et développe pour poursuivre les relations moins classiques et prévisibles liés au polyamour, c'est la confiance en soi et en l'avenir. On en a un peu au départ, mais faut pas croire qu'on en a forcément plus que les autres - on a juste décidé que c'est pas à un partenaire exclusif de nous la fournir.

J'en sais rien si ta relation se termine ou pas, et je suppose que c'est de ça dont tu voudrais parler à tout le monde, et surtout à H. Mais je pense que si tu trouves la confiance que tu as dans la profondeur de votre relation, tu craindras moins qu'une absence soit un abandon.
Et du coup, tu profites mieux quand il est là, et tu peux écouter autre chose que l'absence, tu peux être toi présente, avec ou sans ton attente, avec tes autres plaisirs (ceux qui font que tu as été capable, au départ, de lui parler de polyamour).

Message modifié par son auteur il y a 11 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : Dire à l'"autre" à quel moment on voit une autre personne ?

Profil

Siestacorta

le dimanche 27 avril 2014 à 02h13

gcd68
Inutile donc que j'exprime ma conception de la dépendance et des attentes relationnelles en dehors du couple.

Arf, dommage, car ce sont pourtant des sujets extrêmement intéressants !

Voir dans le contexte

Discussion : Dire à l'"autre" à quel moment on voit une autre personne ?

Profil

Siestacorta

le dimanche 27 avril 2014 à 02h08

Alors, Julie...

Relation primaire, relation secondaire.
Peu de poly se reconnaissent spontanément dans cette terminologie, mais beaucoup vivent ce à quoi elle correspond.

- une relation qui se confond avec la structure de notre vie et de l'avenir (l'époux, parent des enfants, celui qui est là depuis longtemps et avec qui on a des projets, celui qu'on suivrait s'il déménageait loin),
- et une (ou plus) qui fait que cette même vie ne serait pas intéressante sans elle.

Beaucoup de poly ont du mal à dire "secondaire", parce que ça leur sonne comme si ils disaient "dispensable". Alors que, si on est poly, c'est bien que cette relation et la (les) personne que ça concerne est essentielle.

Selon les situations, très variées, il peut y avoir des différences sur ce qu'on partage en pratique avec telle relation et pas telle autre, ou sur ce qu'on ressent, mais c'est généralement des nuances difficiles à décrire.
Tout le monde préfèrera dire "je l'aime" - peut-être histoire de pas trop regarder sous les jupes des sentiments, pas trop détailler comment c'est fait de peur d'y perdre de la magie.

Quand je me retrouve dans cette situation, bien que dire à quelqu'un "tu es une partenaire secondaire" me ferait mal à la bouche, je pense qu'il est honnête de lui dire que sa place n'est pas / a peu de chance de devenir la même que celle de l'autre partenaire. Ca fait partie de l'honnêteté que j'essaie de pratiquer...

Message modifié par son auteur il y a 11 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : Café polybertin Dijonnais - découverte en club sauna libertin

Profil

Siestacorta

le dimanche 27 avril 2014 à 01h41

Lili-Lutine

PS => mon profil Facebook est public, le lien entre la Lili d’ici et celle de Facebook est facile à faire, j’ai dénoncé à Facebook deux hommes qui ont cherché à me contacter pour participer à cette soirée avec moi, leurs propos n’étaient pas vulgaires en soi, mais c’est le principe que je dénonce ici de cette drague facile qui personnellement me met toujours autant en colère !

T'as écrit à Facebook-facebook ou à un modo du groupe poly sur FB ? Parce que s'il y en a qui bavouillent sur des polyamoureux qui leur ont rien demandé sur le groupe FB, on préfèrerait être au courant...

Voir dans le contexte

Discussion : Passage tacite de Mono à Poly

Profil

Siestacorta

le samedi 26 avril 2014 à 18h18

Juliejonquille


Désolée pour mon manque de maturité et de lucidité, je me pose beaucoup de questions depuis que j'ai franchi le pas sans vraiment arriver à dénouer les fils. J'ai toujours cru que ce genre de choses n'arrivaient qu'aux autres ! (sic)

Ya pas à être désolée... On est content d'être là pour te donner des échos différents que ceux que tu rencontrerais généralement ailleurs.
Et ce qui t'arrive, c'est pas un problème, c'est ta vie affective. Ca, ça arrive à tout le monde... et tout le monde ne se donne pas la possibilité de penser à ses choix.
Donc, bravo de te les poser, ces questions.

Tu es allée voir l'article que j'ai mis en lien ? T'en pense quoi, par rapport à ta situation ?

juliejonquille
Tes questions me font réaliser que non, ma relation avec ces amants n'est pas aussi forte qu'avec mon mari.

Et tu n'attends probablement pas ça.
Mais ce n'est pas pour autant tout ou rien, les relations sexuelles et affectives. Dire que ce n'est pas comme avec ton mari, ça n'empêche pas de dire qu'il y a du sentiment, c'est sans doute en ça que tu peux te retrouver dans le polyamour.
Ce que je t'engage à faire, c'est à le décrire, à le penser, pour pouvoir savoir si tu te sens d'en parler avec ton mari, ou avec d'autres personnes par la suite.

Que trouves-tu dans ces relations, à part la part de sexualité qui te manquait ?

Message modifié par son auteur il y a 11 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : Passage tacite de Mono à Poly

Profil

Siestacorta

le samedi 26 avril 2014 à 17h18

Juliejonquille
Oui, mes pauvres amants passent après mon couple et ma petite fille de trois ans... Ils sont sur mon temps libre... ^^
Je n'ai pas non plus de compte-joint avec eux, ni de projets de vacances...

Nan mais ça c'est pas un problème, et ils peuvent très bien s'y retrouver. Mais à un moment, ya plein de situations du quotidien (dire où on sort, passer plus d'une soirée, qui c'est au téléphone, oh-tiens-on-se-croise, je dis quoi à ma famille) où on sent que ni rien dire ni dire "j'ai une autre relation aussi forte qu'avec mon époux" ne convient
A toi de voir ce que tu veux dire à la place, où ne pas dire du tout, et si ça convient aussi à tes amants.

Message modifié par son auteur il y a 11 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : Passage tacite de Mono à Poly

Profil

Siestacorta

le samedi 26 avril 2014 à 16h58

Juliejonquille

Je lui avais demandé une fois : "est-ce que tu voudrais savoir ?" et il m'avait dit non...

.

Oui, mais selon ce qu'il y a à savoir, c'est pas la même question.
Dans beaucoup de cas, répondre "je ne veux rien savoir", c'est limiter le contenu caché à quelque chose qui n'est pas difficile à cacher, ou pas assez important pour être dit.
Mais est-ce que ces bouts de ta vie vont être ainsi ?
Tu n'en sais rien, mais il ne peut pas en décider à ta place non plus, en voulant "faire comme si c'était pas important".

Par contre, même si tu as des sentiments pour d'éventuels amants, si tu penses qu'ils sont là pour compenser et pas parce que ce sont des rencontres, alors effectivement, ça peut rester dans le non-dit, puisque ça n'est pas essentiel pour toi personnellement, seulement dépendant de comment se déroule ton mariage.

Ce que je veux dire, c'est qu'une des différences entre polyamour et adultère, c'est que dans le premier cas, on tient compte de plusieurs personne, tandis que l'amant caché du second cas n'a pas de légitimité à être pris en compte.
Et je ne dis vraiment pas que l'adultère c'est mal : il y a des gens pour qui ce rapport est satisfaisant et bénéfique (clique sur le lien !).

Message modifié par son auteur il y a 11 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : Dire à l'"autre" à quel moment on voit une autre personne ?

Profil

Siestacorta

le samedi 26 avril 2014 à 16h02

Lili-Lutine

C’est juste dommage de nier ou de refuser l’existence des nuances et des complexités à l’intérieur et à l’extérieur de chaque mot de notre langage, ou pire encore d’enfermer les mots dans une seule définition, c’est rétrécir notre langage à bien peu d’émotions …

Mais j'adhwore les nuances, la complexité, les synonymes... Je m'en sers souvent (je crois), de cette richesse de la langue, et je ne réduis pas les mots à une seule définition.
Je me trompe peut-être, mais les fois où gcd écrit "je n'aime pas parler de responsabilité", c'est plutôt là que je sens que beaucoup du sens du mots sont écartées, en faveur d'une définition personnelle.
Ce qui me pose plus de problèmes, c'est ni l'invention de mots, ni le fait de tendre vers un de leur sens réel, c'est de dire "moi je donne ce sens-là que vous autres ne donnez pas"... C'est là où j'ai l'impression qu'on rate une partie de l'intérêt de la complexité et du spécifique, où il y a comme un différenciation qui assume pas à fond : "je parle avec votre langage, mais moi c'est différent". Si c'est différent, autant le dire bien ! Je sais que gcd écrit, lit beaucoup. Je pense vraiment que plutôt que de dire "pour moi ce mot a ce sens particulier même si c'est pas comme ça qu'on l'emploie en général", il serait intéressant de trouver les mots qui parlent mieux et plus directement de son particulier.

Au lieu de dire "je ne suis pas dans la responsabilité parce que je définis pas responsabilité comme ça", on peut dire "ma façon d'agir est sans doute responsable selon vous [et gcd l'est], mais je parle aussi d'un ressenti et d'autre valeurs qui me sont aussi chères". Ca empêche pas le mot responsabilité d'avoir le sens que les autres lui donnent, et ça parle bien de la situation réelle.

Message modifié par son auteur il y a 11 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : Passage tacite de Mono à Poly

Profil

Siestacorta

le samedi 26 avril 2014 à 15h52

Content que ça t'aide !

Mais fais gaffe sur le "tacite" donné dans le titre.
Selon les gens, il peut ne pas y avoir de gêne pour un type de non-exclusivité et y en avoir pour un autre, que ce soit sur la plan sexuel ou sur le plan sentimental.

Donc si tu vas vers des relations plus impliquées avec d'autres personnes, c'est important que ton époux sache la valeur que ça prend pour toi, que vous ne découvriez pas par accident que ce que vous pensiez tacite est un malentendu sur ce que vous vous autorisez...

Voir dans le contexte

Retour au profil