Participation aux discussions
Discussion : Dieu est polyamour

kill-your-idols
le jeudi 13 décembre 2018 à 03h39
bidibidibidi
La marche pour le climat, c'est pour faire bouger les politiques. Les scientifiques ne peuvent rien faire contre le climat. Ils sont juste là pour alerter et aiguiller les politiques, mais ils n'ont pas le pouvoir de faire bouger les choses.
Le principal problème du climat, c'est justement que l'on n'écoute pas les scientifiques. Si on arrêtait de considérer le réchauffement climatique comme un thème politique (avec les absurdes climatosceptiques) et qu'on commençait à parler de la réduction du réchauffement climatique, qui lui est un thème politique.
Après, quand tu parles de la science qui devient une religion, j'ai un peu de mal à trouver un exemple. Autant l'idée est séduisante, autant j'ai l'impression qu'elle n'est que théorique.
Qu'elle soit faite pour alerter les scientifiques ou les politiques, la marche pour le climat reste un événement à caractère religieux.
Le mythe qui y est derrière est celui de l'Homme Tout-Puissant: l'Homme pourrait tout faire, y compris modifier le climat de la Terre et arrêter l'extinction de plantes et animaux. Mais, parmi les Puissants de la Planète, il y en a certains qui sont voués au Méchant Pétrole: si on arrive à les sensibiliser, et à les ramener dans le champ du Bien, le climat sera sauvé, et nous aurons une nouvelle ére de paix et prospérité.
Discussion : Dieu est polyamour

kill-your-idols
le mercredi 12 décembre 2018 à 08h51
pkd
@kill your idols
Que vient faire la marche pour le climat dans l'affaire ?
Je m'interroge... Climatoseptique ?
En dehors de ce point, désolé mais la science ne peut être une croyance que pour ceux qui ne comprennent pas ou pire ne veulent pas comprendre son mode de fonctionnement.
Il n'y a pas de croyances en sciences au même titre que la foi religieuse. Il s'agit d'un cycle interactif entre faits/théories/modèles pour faire en sorte que les théories et les modèles convergent vers les faits observables.
Ainsi certains confondent théories et modèles avec des vérités. Mais ce n'est pas du fait d'une approche scientifique honnête.
Si certains veulent penser que la science est une religion, grand bien leur fasse. Ce n'est pas la faute à la science, mais à leur propre et au manque général de culture scientifique dans la population et les décideurs.
La science ne demande pas de croire, mais de douter!
Tout bon scientifique qui se respecte passe son temps à douter, de ses résultats, de ses thèories et de celles des confrères... C'est la base. Mais, douter d'une conclusion scientifique quand on n'a pas les connaissances nécessaires pour remettre en question les résultats, c'est du niveau d'une discussion de comptoir. Après chacun est libre de prendre du temps pour acquérir les connaissances et avoir une opinion éclairée.
La Marche pour le Climat est un des cas où la Science reprend des sujets et rituels religieux: la population marche pour demander aux Scientifiques Tout-Puissants d'intervenir contre le Mechant Lobby du Pétrole et de sauver la Planète. C'est exactement le même rituel des anciennes processions, où la population marchait pour demander aux sacerdotes du Dieu Tout-Puissant d'intercéder pour chasser le Mal, nettoyer les Pechés, et garantir des recoltes abondantes.
(Après, la question concernant l'effective capacité des scientifiques de reparer le climat est un autre discours. Sur cela, j'en sais rien: peut-être ils y arriveront, peut-être pas. Ce qui m'intéresse est de souligner le caractère religieux de la demande qui leur est adressée)
Discussion : Dieu est polyamour

kill-your-idols
le mercredi 12 décembre 2018 à 08h11
Gugus
Pour moi la religion sert à imposer un sens à la vie.
D'où le besoin de déconditionnement pour pouvoir vivre le polyamour, qui est une des manières de donner un sens à la vie.
La religion sert à donner un sens à la vie de manière collective. Le problème avec le déconditionnement lié au Polyamour est qu'il se fait presque toujours de manière individuelle, tandis qu'il faudrait trouver une manière de le faire de manière collective, sans besoin de sortir de l'Église juste pour cela.
Probablement, d'ici quelques années, il y aura un schisme dans une des Églises existantes, avec un nouveau Patriarcat Autocèphale (dans le sens ecclesiastique du terme, pas dans le sens féministe), qui puisse accueillir en son sein les polyamoureux et les divorcés. Ou peut-ètre une nouvelle religion (une quelque forme de bouddhisme/hindouisme tantrique) qui prévoit le polyamour dans ses preceptes.
Pour l'instant il y a juste quelques signaux prémoniteurs, mais la tendance est là.
Discussion : Dieu est polyamour

kill-your-idols
le mercredi 12 décembre 2018 à 07h56
prière
Dans la tolérance!
Plus que la tolérance, je soutiens l'hénothéisme: on reconnait qu'il y a plusieurs dieux, et chacun venère le sien.
Discussion : Dieu est polyamour

kill-your-idols
le mardi 11 décembre 2018 à 18h53
prière
Merci !pas pour les bidi et toinou , ils vont dire que t'es un troll!Que t'es un dindon de la farce qu'ils sont dans un dîner de cons!Parce qu'ils ont la vérité!
Je ne peux pas être un troll. je suis là depuis 2011! :-)
Message modifié par son auteur il y a 7 ans.
Discussion : Dieu est polyamour

kill-your-idols
le mardi 11 décembre 2018 à 18h31
Science et religion sont complémentaires:
- la science sert à expliquer le monde autour de nous
- la religion sert à donner un sens à la vie.
Et le problème est quand une des deux veut envahir le domaine de l'autre:
- en 1600, la religion voulait expliquer la science: et là, on a eu les persécutions contre Galilée, Giordano Bruno et tous les autres penseurs hérétiques.
- aujourd'hui, c'est la science qui est devenue une religion: et on arrive à des extrêmes comme les différentes théories psychologiques (qui prétendent vouloir curer l'âme comme on répare une voiture) ou les marches pour les climat (où on attribue à la science une tout-puissance qu'elle n'a pas).
Au contraire, il faudrait reconnaître que science et religion ont toutes les deux leurs points de force et leurs limites.
Discussion : Polyamour ou candaulisme ?

kill-your-idols
le samedi 25 août 2018 à 12h00
Manipura
Je ne suis pas certaine que le terme "indifférent" soit le plus juste. Ou du moins qu'il puisse recouvrir une généralité. Même si comme la expliqué @bidibidibidi dans un autre fil, il existe plusieurs forme de polyamour, donc de fait, tout le monde y trouve sa propre définition.
Mais le mot "indifférent" m'a quand même fait tiquée. Encore une fois, ça dépend de chacun, mais tout comme la communication semble être le point central d'une telle relation. Je crois qu'il est tout aussi important d'être dans le partage et la compréhension de ce que vit et ressent l'autre, pour qu'il n'y ait justement pas de fossé qui se creuse entre les deux partenaires. L'indifférence me renvois à un "fais ta vie, ça ne me concerne guère" mais peut-être est-ce une mauvaise interprétation de ma part.
"indifférent" c'est une moyenne. Il y a ceux qui tolèrent le fait que leur amoureux ait quelqu'un d'autre dans sa vie, il y en a des autres qui sont enthousiastes, des autres qui ne se mêlent pas de la vie amoureuse de leurs partenaires...
Discussion : L'amour n'existe pas.

kill-your-idols
le samedi 25 août 2018 à 11h26
Discussion reprise d'un autre fil, désormais clos. Avec @bonheur et @Lili-Lutine.
Après 6 ans de vie polyamoureuse je suis arrivé à l'idée que l'amour n'existe pas, et que le mot "amour" indique un ensemble de choses différentes. Si on arrive a indiquer chaque chose avec son nom (en séparant notamment la relations des sensations qu'elle provoque aux personnes intéressées) on se libère de pas mal de contradictions et on comprend mieux le monde autour de nous.
Une première chose qui fait partie du concept d'Amour est l'ensemble des sensations qu'on perçoit quand on croise une personne qui nous attire.
Une deuxième chose qui fait parte du concept d'Amour est l'ensemble des relations qui on attribue habituellement à la vie de couple: vivre ensemble, faire l'amour, se marier, faire des enfants.
Donner le même nom à ces deux choses implique l'obligation d'organiser sa vie relationnelle en fonction des sensations que la vue de l'autre personne nous provoque. L'autre personne éveille en nous des émotions? Vite, il faut l'appeler, sortir avec elle, lui faire l'amour, l'épouser, faire des enfants... L'autre personne ne nous fait plus rêver? Vite, il faut faire chambre à part, arrêter de faire l'amour, se quitter, trouver au plus vite une autre personne qui nous fasse rêver!
De mon côté, je suis un bouddhiste radical. Ma religion m'interdit d'écouter toutes les émotions, sauf la sensation de plénitude qui dérive du fait d'être en harmonie avec l'univers. Si je vois passer une autre émotion, je l'observe, je la reconnais, je la remercie, et je la laisse passer.
Par contre, ma religion ne m'interdit pas d'entrer en relation avec les gens, d'aller vivre avec eux, de faire l'amour, de faire des enfants avec eux, et de faire tout ce qui font les couples, mariées ou pas.
Je suis même très proactif dans la recherche de nouveaux partenaires, ainsi que dans le maintien des relations existantes (héritage de mon passé chrétien-protestant), mais je ne suis pas obsédé par l'obtention d'un quelconque résultat. L'autre personne ne veut pas de moi? La relation est devenue quelque chose de différent? Je ne ressens plus les sensations d'avant? L'univers a décidé ainsi.
L'avantage de cette attitude? La stabilité. Je sais que devant moi j'ai une autre personne, avec ses passions, ses joies et ses souffrances: en ayant pas de passions moi-même, je peux écouter et observer les passions de l'autre personne, et répondre de la manière la plus adéquate pour elle. Comme résultat, il y a moins de conflits, moins de manipulations, et des relations plus heureuses.
Message modifié par son auteur il y a 7 ans.
Discussion : Polyamour ou candaulisme ?

kill-your-idols
le vendredi 24 août 2018 à 10h30
Dans le candaulisme, on est excité par le fait que son partenaire ait des rapports avec quelqu'un d'autre.
Dans le polyamour, on est indifférents au fait que son partenaire ait ou pas des rapports avec quelqu'un d'autre.
Discussion : Jaloux d’un rapport sexuel échangiste

kill-your-idols
le vendredi 24 août 2018 à 10h25
La différence fondamentale entre libertins et polyamoureux ne concerne pas l'amour*, mais le fait de parler ou pas de sa relation. Les libertins agissent sans parler, tandis que les polyamoureux parlent ouvertement de ce qui se passe dans leur relation. Un libertin qui commence à parler de sa relation rentre de facto dans le cadre polyamoureux: il emploie un langage différent, mais les questionnements sont les mêmes.
*après 6 ans de vie polyamoureuse je suis arrivé à l'idée que l'amour n'existe pas, et que le mot "amour" indique un ensemble de choses différentes. Si on arrive a indiquer chaque chose avec son nom (en séparant notamment la relations des sensations qu'elle provoque aux personnes intéressées) on se libère de pas mal de contradictions et on comprend mieux le monde autour de nous.
Message modifié par son auteur il y a 7 ans.
Discussion : Jaloux d’un rapport sexuel échangiste

kill-your-idols
le vendredi 24 août 2018 à 10h04
Pour moi, au contraire, ce fil a toute sa place ici. Les libertins ont souvent très peu d'occasion pour discuter de ce qui se passe dans leur vie relationnelle. Donc, c'est très bien qu'il y ait un espace de discussion aussi pour eux!
Pour revenir au sujet de discussion: ta copine est tombée par terre pendant le rapport avec l'autre, mais elle a quand même épousé toi et pas lui. Et très probablement, elle va rester mariée avec toi même si elle a bien aimé coucher avec lui (c'est un peu ça la raison d'être du libertinage: coucher avec qui on a envie, sans mettre en péril son mariage).
Bref, il faut attendre un peu, et tout rentrera dans la normalité.
Discussion : Rencontre & Papotage
Discussion : [Orga] Rencontres à la Ferme
Discussion : [Orga] Rencontres à la Ferme

kill-your-idols
le samedi 28 avril 2018 à 17h25
PolyEric
Je précise en outre que l'organisateur ne peut pas autoriser des comportements interdits dans la société. Par exemple, il ne peut pas organiser "une roulette russe". Je dis ça surtout concernant la fumette en fait..
Dans ce cas, on parle de comportements illégaux, tels que prendre des drogues, voler les affaires des autres, tirer avec des armes, etc...
Pour ces comportements là, la règle est simple: ce qui est illégal à l'extérieur est également illégal dans l'événement.
bonheur
C'est bien sur le papier, pas dans les faits : comment savoir qu'une comportement pourrait subvenir, alors qu'il ne le devrait pas ? Et puis, comment savoir si la personne que l'on côtoie va respecter cela ?
Je suis open pour la liberté, mais je crois, et TrioBulle a mis le doigt dessus : définir en premier lieu ce que l'on attendra de notre participation. Personnellement, je n'adhère pas à la coucherie qui remplace la découverte des autres et les discussions. Je mets en effet les pieds dans le plat. Je n'adhère pas non plus aux personnes qui ne me connaissent pas et dont les mains auront parcouru la surface de mon corps uniquement dans le temps de me dire bonjour.
Pour les comportements qui sont légaux, mais pas forcement courants, le meilleur système est de les expliciter dans une règle.
Par exemple, l'organisateur peut décider que dans l'événement c'est ok de se promener tous nus, ou de toucher les fesses des nouveaux arrivants, ou encore de s'isoler dans les différentes chambres de la maison.
Ou bien, qu'on peut toucher les fesses des nouveaux arrivants, mais uniquement après avoir leur demandé leur consentement.
Ou encore, qu'on peut faire à manger, mais uniquement des cuisses de poulet.
Les participants ne connaissent pas les intentions de l'organisateurs, et par conséquence ce qui est permis ou interdit dans l'événement. Donc, tout ce qui s'écarte de l'ordinaire, il faudra le mettre noir sur blanc, et de manière qui ne laisse la place à des malentendus. ça sera aux participants décider si le cadre leur convient ou pas, et s'ils veulent confirmer leur participation à l'événement ou pas.
Message modifié par son auteur il y a 7 ans.
Discussion : Construire une polyfamille...

kill-your-idols
le samedi 21 avril 2018 à 16h00
artichaut
Pour poursuivre dans l'idée de la co-parentalité, mon expérience très perso, c'est que avoir un enfant c'est bien, mais c'est aussi très très prenant, surtout quand on aime avoir une vie bien remplie.
La solution qui s'est imposée a moi, à nous (on a fait cet enfant en couple conjugal standard) fut de se séparer. Et la parentalité en couple (ou foyer) séparé, je trouve ça tout simplement génial. C'est comme en polyamour, quand tu es avec quelqu'un (en l'occurence ton enfant) tu peux l'être vraiment et pleinement, et quand tu n'es pas avec, tu peux avoir une vie à toi pleinement remplie de pleins d'autres choses (et avec d'autres personnes).
Ce ne fut pas mon cas, mais clairement, l'idée de faire un enfant dans cette configuration choisie (avec 2 foyers) me semblerait très pertinente (ça évite le drame de la séparation).
Non ce n'est pas déstabilisant pour l'enfant. Presque au contraire : 2 foyers, 2 visions de la vie, bref de quoi se forger sa personnalité d'autant plus facilement.
Il doit bien exister quelque part un site de rencontre dédié à ce genre de recherche !
oui, il faudrait faire un site, ou des rencontres. Je suis partant!
Discussion : Construire une polyfamille...

kill-your-idols
le mercredi 18 avril 2018 à 16h43
Me voici! :)
Je suis un peu dans le même cas: je suis quelque chose qui ressemble a un homme, j'ai 39 ans et je suis en relation ouverte avec une jeune femme de 30 ans, qui au départ voulait des enfants avec moi, et maintenant a décidé plutôt de profiter de la vie.
étant donné que je veux avoir des enfants et pas des petits-enfants, je commence à voir ailleurs.
En 5 mois, j'ai déjà reçu 3 demandes en mariage, qui n'ont pas abouti pour cause d'incompatibilité sur les détails (notamment sur le détail que je suis contraire au mariage).
Sur cela, je suis confiant: il faut juste du temps,du travail, et on finira tous pour trouver la bonne personne.
Discussion : Polyamour et relation à distance

kill-your-idols
le mercredi 11 avril 2018 à 13h29
Sur la distance, je suis assez strict:
- De préférence, des personnes qui habitent près de chez moi (Genève ou Annemasse)
- Possibilité de relations secondaires avec des personnes qui habitent dans des villes que je fréquente habituellement (Lausanne, Neuchâtel, Sion, Lyon, Grenoble, Valence, Thonon-les-Bains), ou des villes que j'aimerais fréquenter davantage (Montpellier).
- Pas de nouvelles relations en dehors de ce périmètre.
Discussion : Quelle sorte de polyamoureux êtes-vous ?

kill-your-idols
le jeudi 22 mars 2018 à 19h17
Intéressant! je me prête volontiers au jeu.
O Axe - VITESSE : A quelle vitesse créez vous des connexions/relations, en général ?
Fluide - Plutôt rapide dans la formation de liens affectifs et/ou sexuels.
Croissant - Formation de liens affectifs et/ou sexuels de façon délibérée/réfléchie.
Statique - Lent dans la formation de liens affectifs et/ou sexuels.
.
.Réponse en italique: Je fais vite des nouvelles connaissances, mais je mets du temps à les consolider.
.
O Axe - STRUCTURE : Comment décririez-vous la structure de votre relation poly idéale ?
Ouvert - Les gens vont et viennent à volonté formant des "polygroupes" qui consistent en des relations dyadiques (ce qui lie 2 choses) individuelles.
Réseau - Les gens se connectent souvent socialement avec des métamours. Une démarche du type « apprendre à se connaître » est généralement proposée dès le début d’une nouvelle relation avant de faire partie du groupe élargi.
Fermé - Approbation des membres existants nécessaires avant qu’un nouveau membre soit autorisé.
.
..Réponse en italique: Je l'appelle "la loi de l'hôtel: chacun peut faire ce qu'il veut, pour autant qu'il nettoie derrière lui
.
O Axe - ATTITUDE : Quel est le niveau d'intrication souhaitée avec des partenaires et/ou métamours ?
Indépendant - Préfère que chacun fasse leur propre occupation avec leur propre partenaire.
Communautaire - Aime faire partie d’un groupe socialement connectés de temps en temps.
Familial - Partage prioritairement le temps et/ou l’espace avec les partenaires et leurs métamours.
.
..Réponse en italique: je suis tendanciellement solitaire, donc je préfère les interactions à deux aux interactions de groupe.
.
O Axe - NIVEAU D’INTIMITÉ : Quel niveau d’intimité souhaitez-vous avec les autres ? Possibilité de choisir plus d’une réponse.
Sexuelle - Se connecte avec les autres par le partage de l'intimité physique.
Émotionnelle - Se connecte avec les autres par le partage des sentiments.
Activités et expériences partagées - Se connecte avec les autres par le partage d'expériences et le temps passé ensemble.
.
..Réponse en italique Ma compagne idéale serait une amie, avec qui faire des activités (notamment des voyages) et avoir une entente sexuelle. Pas d'amour (je suis contre)
.
O Axe - PRIORITÉ :
Hiérarchique - Priorité est donnée à la préservation de la/des relation(s)s primaire(s) existante(s).
Pondéré - Certaines relations sont prioritaires sur les autres, mais c’est ouvert aux changements comme l'ajout d'une relation primaire supplémentaire, etc
Egalitaire - Engagé à ne pas faire passer une relation en priorité sur les autres.
.
..Réponse en italique Tout quitter pour une nouvelle personne est exclu. Les relations existantes ont fait leur preuves, les nouvelles relations vont et viennent.
.
O Axe - SATURATION DES RELATIONS : Quelle serait votre nombre de relations idéal ?
Carton plein - Entièrement satisfait de relation(s) en cours. Préfére les relations aux sorties/rencontres ponctuelles.
Ouvert aux opportunités de se connecter - Ni fermé à la formation de nouvelles relations, ni en recherche active, mais se fermer aux opportunités serait restrictif.
Recherche active de nouveaux partenaire(s) - Vous cherchez de nouvelles connexions indépendamment de la situation actuelle en terme de partenaires. Toujours ouvert à de nouvelles rencontres et découverte
.
..Réponse en italique: Les sites de rencontre sont un peu mon deuxième chez moi
.
O Axe : INNÉ OU ACQUIS
Né Poly - Est sorti de l'utérus câblé pour de multiples connexions. Être monogame ne serait pas naturel.
Poly par choix - Poly est logique, et c’est un style de relation souhaitable pour une multitude de bonnes raisons. Peut parfois entrer dans une relation monogame.
Mono ou poly - Heureux d'être ouvert soit poly ou mono, en fonction des circonstances de la vie, si le partenaire actuel est ouvert à poly, etc.
.
..Réponse en italique Ce n'est pas juste moi: c'est la monogamie qui ne fonctionne pas.
.
O Axe - CIRCULATION DE L'INFORMATION
Confidentiel - Pas envie d'entendre parler des activités des autres partenaires et/ou d’avoir des informations sur la/les relation(s) dans lesquels ils sont impliqués avec les métamours, sauf autorisation explicite à l'avance.
Pertinence - Pas besoin d'avoir tous les détails, mais vous souhaitez voir partagé des informations personnelles pertinentes.
Transparence - Application de la libre circulation des informations sur toutes les relations et les partenaires impliqués, et qui sont à l'aise avec ce partage avec les métamours.
.
..Réponse en italique vous êtes des adultes, donc soyez libres de gérer votre vie affective comme mieux croyez. Pour moi, si vous respectez les engagements pris avec moi,
c'est suffisant.
.
Axe - FORMALITÉS :
Détaillée -Vastes accord /contrats couvrant toutes les éventualités.
Général - Accord sur les grandes lignes.
Court terme - Accord temporaire seulement.
.
..Réponse en italique Un accord sur les grandes lignes, puis le reste on gère au jour le jour.
Message modifié par son auteur il y a 7 ans.
Discussion : Et vous, comment faites-vous pour vos nouvelles rencontres ?

kill-your-idols
le jeudi 22 mars 2018 à 14h09
Au contraire de vous, j'en parle pas tout de suite.
En général, je recherche deux types de personnes:
- Celles avec qui je veux fonder une famille et faire des enfants
- Celles avec qui je veux passer des moments en amitié (et plus si affinité).
Et selon le type de personne, j'adapte mon discours:
- les personnes avec qui je veux passer des moments en amitiés (et plus si affinité) savent déjà que j'ai quelqu'un dans ma vie: il s'agit souvent de personne de mon entourage, qui connaissent mon ouverture mentale et décident d'aller de l'avant en toute connaissance de cause.
- les personnes avec qui je veux fonder une famille et faire de enfants, je les connais moins. Souvent, je les rencontre via un site de rencontre, et dans ce cas j'attends avant de parler de ma non-monogamie: de toutes façons, la plupart des rencontres s'arrête au 1er RDV, et ça ne veut pas la peine de s'embêter avec des discours sur le polyamour avec une personne que probablement je ne reverrai plus jamais. Après, si on commence à se voir plusieurs fois, je parle aussi du polyamour. Normalement se passe comme ça: la personne me demande si je suis célibataire; je réponds "oui, plus ou moins"; l'autre personne me demande si j'ai des "friends with benefits"; je réponds "oui", et je change de discours. Le message est passé, sans besoin de trop de discussions.
Message modifié par son auteur il y a 7 ans.
Discussion : Pourquoi le Polyamour ne marche pas – pour moi –

kill-your-idols
le samedi 17 mars 2018 à 09h25
Siestacorta
Ou c'était peut-être monogamie vestigiale, maintenant que j'y pense.
Vestiges d'exclusivité. Quelque chose dans ce style.
Après avoir lu les dernières deux pages de cette discussion, je me dis que les polyamoureux sont allés trop loin. (c'est aussi pour cela que je suis pour les relations ouvertes, mais contre le polyamour).
Je recommande à tout le monde un bain de réalité: une visite dans la France profonde (celle où on vote FN et on fait des gamins à 20 ans) pourrait faire l'affaire.