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Discussion : Faut il écouter sa tête ou son cœur ?

LuLutine
le vendredi 19 juillet 2013 à 02h31
Je plussoie bouquetfleuri :
bouquetfleuri
Attention de bien prendre en compte les divers paramètres qui composent votre situation. Cette envie de vous retrouver tous les deux, exclusivement est générée d'une manière active par tous les plaisirs que vous vous offrez, mais aussi d'une manière passive par votre statut, toi marié à une polyamoureuse, elle deuxième amoureuse, toi non exclusif, elle exclusive...
Vu de loin, la demande de ta deuxième amoureuse m'apparaît comme une insatisfaction qui a un rôle d'aiguillon entre vous et qui résout un peu votre équation, même si c'est par défaut. Quand tu lui seras entièrement dévoué, quelle sera la demande (par elle formulée mais portée par vous deux) pour conserver ou retrouver le déséquilibre qui vous fait vous retrouver avec autant d'ardeur ?
La solution d'un problème ne réside pas toujours dans un choix simple, applicable immédiatement
Je plussoie gcd68 :
gcd68
Comme indiqué précédemment, la passion et l'amour sont deux "ressentis" différents. C'est la passion qui occulte ta vision des choses. [...] J'ai pour habitude de dire que l'on sait ce que l'on perd mais pas ce que l'on retrouve. Avec ta seconde amie, tout est beau, tout est rose mais peut être justement parce que vous n'avez pas le "poids" d'une vie commune permanente.
D'autre part, pour ton avenir (sur du plus long terme), toi qui connait le polyamour et donc une certaine liberté et qui aspire à encore plus de liberté dans l'échangisme, pourras-tu être heureux avec une femme exclusive ?
[...]
Je plussoie MetaZet :
MetaZet
On sent bien que là tu es complétement aveuglé par la passion.
Tu ne cherches rien d'autre... pour l'instant. Mais dans un mois ? un an ? dix ans ?
De mon point de vue, quitter ton actuelle femme pour ta 2è amoureuse, ça serait faire le choix de renoncer à un vaste espace de liberté (ou peut-être tu t'ennuies un peu pour le moment, mais où tu as construit pas mal de choses), pour un séjour en prison parce qu'on t'a dit que pendant quelques mois il y aurait des trucs super excitants à y faire. [...] Elle n'a rien de spéciale cette 2ème femme, c'est peut-être la passion qui te donne l'impression du contraire, qui t'illusionne à son sujet... [...]
C'est beaucoup plus difficile de trouver quelqu'un qui nous corresponde vraiment, que de trouver quelqu'un avec qui passer quelques bons moments passionnés...
[...] Si tu te mets en couple avec cette 2è femme et que tu abandonnes la 1ère, la passion finira par disparaître aussi avec cette 2è femme, et ce n'est pas dit que ce qui restera sera aussi beau et profond que ce qui te lie à ta 1ère femme. Je crains que tu n'ailles au devant de grandes désillusions et qu'au final il y ait 3 malheureux !
Enfin, j'espère que si au final il y a trois malheureux, ils s'en remettront et ne le seront pas trop longtemps...
Discussion : Il veut pas savoir

LuLutine
le vendredi 19 juillet 2013 à 02h05
Cendre
Somme toute, les rares fois où j'ai vraiment abusé à ses yeux, il ne s'est pas privé pour me le dire (de plus, à froid, avec le recul de sa réflexion, de sa propre remise en question, qui rend mes maladresses encore plus percutantes)
Et bien, s'il sait le dire avec des mots (pas des insultes, des mots "normaux" !) et qu'il sait t'exprimer clairement ce qui n'est pas allé pour lui, je pense que vous êtes sur la bonne voie !
Cendre
Et j'ai vraiment beaucoup de mal à envisager une issue que je ne serais pas capable d'assumer. Une situation qui me ferait regretter cette année de découverte de moi-même, ponctuée d'instants de grâce inoubliables.
Pour ma part, il est parti, j'ai regretté...qu'il ne sache pas dialoguer, mais cela ne dépend pas de moi.
Je n'ai jamais regretté tout ce que j'avais vécu.
Je ne suis pas sûre qu'on puisse être poly et regretter de le vivre...
Vaniel
Le hic est évidemment que parfois des situations que je ne concevais pas comme problématiques pour l'autre ce sont révélées l'être. Mais, ce n'est pas forcément grave à partir du moment où il est possible de modifier son attitude pour qu'elle soit acceptée à l'avenir. Je n'entends pas par là qu'il faille multiplier les concessions. Souvent, quelques aménagements formels des deux côtés permettent au final de ne pas faire de concession sur le fond.
Oui, je suis d'accord avec ça. Enfin, ça ça fonctionne avec les personnes qui savent dialoguer...
(Je te rassure Cendre, il semblerait d'après ce que tu écris que ton compagnon en fasse partie ; je ne vois donc pas pourquoi cela se passerait mal ! :) )
Discussion : Pique-nique poly - 25 juillet à Paris

LuLutine
le vendredi 19 juillet 2013 à 00h16
MetaZet
Bon, je vais lancer un sondage...
Il est passé aussi sur facebook ?
Discussion : Girouette ou polyamoureuse ?

LuLutine
le jeudi 18 juillet 2013 à 15h22
MetaZet
A mon sens, tout est inextricablement mêlé. [...]
Je plussoie :)
Discussion : Pique-nique poly - 25 juillet à Paris

LuLutine
le jeudi 18 juillet 2013 à 15h16
Evavita
Je trouve qu'effectivement c'est mieux d'être à un endroit moins excentrée mais je ne sais pas si il est bien prudent de changer le lieu alors que nous sommes aussi prêt de la date. Si quelqu'un rate l'info il va vraiment nous chercher longtemps !
J'y ai pensé, mais si on change maintenant, c'est peu probable.
Mais c'est à vous de voir, La Villette me va aussi.
Discussion : Girouette ou polyamoureuse ?

LuLutine
le jeudi 18 juillet 2013 à 03h08
MetaZet
Ça m'a fait penser à ta distinction entre désir, sentiment amoureux et amour.
Ben c'est exactement ça, avec amour = attachement dans l'extrait que tu cites, et sentiment amoureux = amour romantique.
J'ai un attachement assez constant pour les gens que j'aime d'amour, avec un désir et un amour romantique qui fluctuent irrégulièrement dans le temps (avec des pics et des périodes "sans").
A noter que si j'y réfléchis bien, la passion peut concerner le désir, ou bien le sentiment amoureux, ou bien les deux. Et ainsi (du moins tel que je le vis), mon désir sera plus ou moins passionnel, idem pour mon sentiment amoureux / d'amour romantique.
Discussion : Pique-nique poly - 25 juillet à Paris

LuLutine
le jeudi 18 juillet 2013 à 03h02
EntreDeux
Y a t il au moins des toilettes au parc de Bercy, parce que au moins, au parc de la Villette, il y en a ( enfin, à condition de ne pas s'en mettre à 1 km, comme la fois dernière:-) Du coup, pour ma part, j'ai pas osé boire de toute la soirée :-/
Bonne question. Je n'en ai aucune idée.
A moins d'aller sonner chez mon ex Le Lutin Vert, je ne suis pas sûre qu'il y en ait. (Bon dans le coin y a quelques cafés où moyennant paiement d'une conso, il doit y avoir moyen d'utiliser les toilettes...)
Ayant longtemps habité le coin, je ne me suis jamais vraiment posé la question. Et si Le Lutin Vert n'a pas déménagé, vu qu'il est passé mono, ça risquerait de lui faire bizarre, 15 poly qui sonnent à son interphone pour aller faire pipi ^^ ! (Oui je suis optimiste sur le nombre, je sais ;) )
(Cela dit, ça me donnerait l'occasion de récupérer un ou deux trucs qu'il ne m'a pas rendus.)
Je sais que pour certains La Villette c'est loin, et que parfois Bercy est un peu moins excentré. D'où la proposition, mais on peut rester sur la Villette.
Discussion : Il veut pas savoir

LuLutine
le jeudi 18 juillet 2013 à 02h40
Cendre
(avec d'autant plus de sérénité au vu des derniers bannissements de trolls)
Euh, tu sais, il n'y en a qu'un seul qui a été banni ^^
Enfin, c'est vrai que c'est un peu plus calme maintenant... :)
Sinon, je retrouve beaucoup de ce que j'aurais pu dire il y a quelques mois dans ton message :
Cendre
Être poly, pour moi, cela reste la possibilité de vivre plusieurs relations intimes simultanées, avec l'accord de tous.
Il y a des jours où c'est plus facile à assumer que d'autres...
Dire que j'ai l'accord de mon compagnon est beaucoup dire.
Il fait avec.
Et moi j'essaye d'apprendre.
C'est pas simple. [...]
Me voici à nouveau bien accrochée à quelqu'un.
[...] Je vais en accumuler combien comme ça ?
[...] j'en suis à trois. Trois en moins d'un an.
(bon, moi c'était deux de plus en un an, pas trois)
Cendre
Et l'envie de leur faire une place dans ma vie.
Une vraie place.
Pas celle d'un amant d'un jardin tenu rigoureusement secret ou d'une relation secondaire
Et pour l'instant, mon compagnon ne veut pas savoir.
Là par contre, je n'ai pas vécu la même chose. Il voulait savoir. Pas les détails, mais qui je fréquentais, et quand. Et il voulait la garantie que je le voyais lui plus souvent qu'un autre (promesse que j'ai tenue, même si les autres étant très pris - et moi aussi, par mon travail et des activités perso - ce n'était pas très compliqué : je veux dire par là que je n'ai jamais eu à renoncer à un rendez-vous parce que ça aurait fait "trop" par rapport à ce que j'avais promis au partenaire "principal").
En revanche, il était très peu loquace. Quand je l'informais que j'avais rendez-vous avec un autre, je ne recevais jamais aucune réponse. Essayer de discuter de façon constructive du sujet était souvent peine perdue.
Et j'en étais arrivée à peu près au même point que toi :
Cendre
Ça m'aide vraiment pas à savoir ce qui est acceptable pour lui et ce qui ne l'est pas.
D'un coté, j'ai l'impression qu'il chemine à son rythme dans l'acceptation de ma nature polyamoureuse. Qu'il faut lui laisser le temps, encore, d'appréhender le concept, d'apprendre à vivre avec cette femme dont il n'est pas l'unique source d'euphorie.
De l'autre, constater que mes envies vont beaucoup plus vite que cela. Que je peste contre certaines occasions manquées liées à cet excès de prudence que son comportement crée chez moi, ou à l'opposé, quand je réalise que je suis (encore) allée au delà de ce qu'il est capable d'entendre sereinement.
Sur cette phrase :
Cendre
que l'amour se dissolve dans les contraintes et les manques de disponibilité ?
Je voulais dire que je ne pense pas que l'amour se dissolve comme ça...
Après, ça dépend peut-être des gens, mais si je peux ne pas voir quelqu'un pendant plus de sept ans, et le revoir avec toujours autant d'amour en moi, comme si cela ne faisait que sept jours...je ne pense pas que quelques contraintes et indisponibilités changent tant que ça les sentiments !
Pour reprendre le fil, j'ai le sentiment d'avoir vécu quelque chose de proche de ton expérience, et j'aurais pu à peu de choses près écrire les passages que je cite :
Cendre
Alors que j'aspire à me sentir libre de mes mouvements, je ne le suis pas du tout.
[...] Je prends le plaisir où il est, profite de ce qui m'est offert, et porte une confiance aveugle dans l'avenir, portée par la certitude que tout cet amour en partage devrait pouvoir nous sortir d'une éventuelle situation fâcheuse...
Je sais pour ma part que je survis très bien.
Je peux me prendre des vestes, des méchantes [...] Je me relève même plutôt bien, même si [...] plus tard, les cicatrices restent plus sensibles que je ne l'aurais imaginé.
[...] Obtenir un certain niveau de sécurité est important, vouloir l'augmenter au delà confine à la paranoïa et finit par étouffer le sujet.
[...] Je prends des risques parce que je vais bien.
Le fait de l'informer (contrairement à ton compagnon qui ne veut pas savoir) ne m'a pas fait me sentir plus libre - si ça peut te consoler un peu !
Sans doute parce que je savais que c'était dans une volonté de contrôle, et que je sentais qu'un jour, sans que je comprenne pourquoi (j'ai toujours pas compris d'ailleurs, il n'a pas su m'expliquer, enfin il paraît que c'est moi qui suis "conne"), il allait me tomber dessus suite à une quelconque de ces annonces - qu'il avait pourtant lui-même exigées.
Oui, j'avais confiance en l'avenir, et même s'il n'est plus là, j'ai toujours confiance en la vie. Incurable optimiste, sans doute.
Oui, j'ai pris des risques lorsque j'allais à peu près bien. Ensuite, j'ai été plus raisonnable, du moins il m'a semblé. Et puis, c'est allé mal. Du coup j'étais moins disponible, j'avais du mal à être à l'écoute, même si j'ai fait de mon mieux (pas facile d'écouter avec empathie la souffrance de quelqu'un quand tu es toi-même en souffrance !).
Et c'est ce moment-là qu'il a choisi pour partir.
Je crois que c'est l'accumulation qui l'a poussé à partir. Autrement dit, les risques que j'acceptais de prendre lorsque j'allais bien ont eu une incidence plus tard, lorsque j'allais mal. Je crois qu'on ne peut pas dire "Je prends des risques parce que je vais bien, mais si ça va moins bien je redeviendrai sage" ; parce que les conséquences ne sont pas toujours immédiates. Elles se ressentent à long terme.
L'avantage, c'est que c'est aussi vrai des conséquences négatives....que des conséquences positives.
Je ne voulais pas d'une relation où je me sentirais enfermée, où j'aurais l'impression de rendre des comptes, comme une ado à ses parents, qui aurait abusé de sa permission de minuit...
Je ne voulais pas avoir à me justifier sans cesse de mes rencontres et désirs fortuits - pour moi, c'était comme si je lui avais demandé de se justifier à chaque fois qu'étant entré dans une librairie sans but précis, il ressortait avec un ou plusieurs nouveau(x) livre(s)...
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Cela étant, d'un point de vue plus pragmatique, sur le titre de ton fil, j'ai envie de de te dire qu'il y a des relations où l'un "ne veut pas savoir" et qui fonctionnent très bien.
Même certains polyamoureux n'ont pas envie de connaître le détail des autres relations, et un simple "Ce soir je ne dors pas à la maison", ou bien "Je vais dîner avec un copain" suffit parfois à signifier qu'on ne sera pas là, sans entrer dans les détails. Ce sont des phrases ne signifiant pas forcément qu'on se rend à une rencontre amoureuse.
Un soir, j'ai dîné avec Françoise. Elle m'a dit qu'en sortant, elle avait dit à son mari "Je vais dîner avec une amie".
A mon avis, elle aurait aussi bien pu lui dire "Je vais dîner avec UN ami". Il n'en aurait pas été plus dérangé. Sachant qu'un ami, cela peut être un "simple ami" ou bien quelqu'un avec qui on a des relations plus intimes. Finalement, le détail de la chose nous regarde, non ?
Et si quelqu'un ne veut pas savoir, cela évite de lui imposer la réalité brutalement...
(Précision : je ne dis pas que le mari de Françoise ne veut pas savoir - d'ailleurs, elle l'a écrit dans Aimer plusieurs hommes, à une époque il voulait même tout savoir, et c'est elle qui a désiré avoir un peu plus de jardin secret. Je dis juste que c'est un fonctionnement...qui peut fonctionner ;) !)
Discussion : Girouette ou polyamoureuse ?

LuLutine
le jeudi 18 juillet 2013 à 01h43
Len
Donc plus haut tu m'écris que tu as du désir pour certaines personnes depuis plusieurs années, que tu n'as pas eu de relation sexuelle avec eux et qu’aujourd’hui encore si l'occasion se présente tu le ferais vu que ta passion est restée intacte.
Je ne dirais pas que ma passion est la même qu'à l'époque (j'ai dit que la période passionnelle n'avait pas été raccourcie par l'abstinence, je n'ai pas dit que cette période n'avait pas de fin !).
Il n'y a donc plus forcément de passion (parfois oui, parfois non selon la date plus ou moins lointaine de la rencontre) mais le désir, oui il est toujours là.
Donc, ce n'est pas "parce que la passion est intacte" que je le ferais, c'est bien parce que le désir est toujours là. C'est ce que je disais :
LuLutine
Tu seras intéressé d'apprendre que le fait d'avoir laissé passer la période passionnelle dont tu parles n'a pas réduit mon désir physique.
Je fais bien une différence entre désir et passion amoureuse.
Len
Est-ce que tu as vécu une amitié où tout simplement appris à connaitre ces personnes, fait des choses avec eux au fil du temps, des semaines, des jours ?
Et bien ta question est très intéressante parce que :
- pour certains d'entre eux, oui (étant même parfois déjà amie avec eux avant),
- pour certains d'entre eux, non !
Et je me rends compte que dans les deux cas les sentiments et désirs que j'avais à leur égard, même s'ils évoluent un peu (moins passionnels après plusieurs années, même si ça peut me "reprendre" par périodes), sont bien toujours là...
Len
Aussi par rapport à cette passion, est-ce que finalement ce ne serait pas le souvenir de ce que ces gens provoquent en toi qui la maintient dans le temps ?
Comme je l'ai dit plus haut, la passion n'est plus toujours ce qu'elle était à l'époque de la rencontre, et on ne peut pas dans tous les cas parler de passion au sens propre. Mais je pense souvent à ces gens. Pour ceux que je ne vois pas, évidemment je n'ai que le souvenir, qui fait qu'en effet les choses restent assez "figées" ("Je vais arrêter de la voir, elle va m'oublier", est une TRES mauvaise tactique à avoir vis-à-vis de moi :P !).
Par contre pour ceux que je vois, ce sont au contraire tous les contacts que j'ai avec eux qui alimentent mes désirs et sentiments. Et qui leur permettent d'évoluer, peut-être aussi...(même si le désir reste là).
Discussion : Et la capote ?

LuLutine
le jeudi 18 juillet 2013 à 01h27
gcd68
Je ne perçois pas le port du préservatif comme un manque de confiance mais plus au contraire comme une attitude responsable envers soi mais aussi envers les autres.
(+) (+) (+)
Discussion : Et la capote ?

LuLutine
le mercredi 17 juillet 2013 à 17h34
Calinou
La gale passe à travers le latex !
Ce n'est pas ce que milou a dit :
milou
Malheureusement, la capote ne protège pas de la gale .... et le temps de comprendre qu'on a cet acarien dans la peau, on le transmet à tous ces "sujets contact" °O°
Calinou
Non, pas possible
C le contact de la peau ailleurs qui donne la gale !
Oui, c'est ce que milou a sous-entendu.
Discussion : Pique-nique poly - 25 juillet à Paris

LuLutine
le mercredi 17 juillet 2013 à 17h09
Autre possibilité de lieu, on peut aussi aller au parc de Bercy (moins excentré peut-être, mais pas trop de plan de secours s'il se met à pleuvoir, ce que je n'espère pas toutefois).
Discussion : Girouette ou polyamoureuse ?

LuLutine
le mercredi 17 juillet 2013 à 01h06
aviatha
C'est moins de la possessivité que de l'incompréhension je pense.
Ca me semble possiblement juste, comme vision.
Discussion : Quels avenirs pour les relations affectives plurielles ?

LuLutine
le mercredi 17 juillet 2013 à 01h05
Geraldin-e, j'adhère à tes deux messages !
Et je plussoie la création du bisounoursland que tu décris :D !
(Ah oui ça serait cool si on pouvait simplement décider de le créer, comme ça...)
Discussion : Compersion, et vous ?

LuLutine
le mercredi 17 juillet 2013 à 00h59
bouquetfleuri
Ah, mais l'absence se déguste aussi ! Et toutes les absences ne sont pas identiques.
En effet, elles ne sont pas toutes identiques, et en l'occurrence je parlais d'une absence définitive. J'aurais du le préciser.
Pour ma part, je ne savoure rien du tout dans ces absences-là.
Discussion : Comment me "détacher" sexuellement d'une relation amicale?

LuLutine
le mardi 16 juillet 2013 à 20h49
lam
J'ai déjà vécu une situation similaire à la tienne et ça m'a pris du temps avant de me sentir à l'aise avec mon désir, avant d'être bien en observant que oui je ressens du désir mais non je ne dépasserai pas le consentement de l'autre, mais j'y suis arrivée. C'était important pour moi d'y arriver, j'ai beaucoup d'amour pour elle et je ne voulais pas perdre la relation.
Très bien écrit, j'aurais pu écrire la même chose !
Discussion : Comment me "détacher" sexuellement d'une relation amicale?

LuLutine
le mardi 16 juillet 2013 à 20h44
MetaZet
Cette formulation me va. Alors disons que le sexe, par lui-même, peut poser des problèmes pragmatiques.
Ben, la tendresse aussi.
On n'impose pas plus la tendresse à quelqu'un qui n'en veut pas / ne peut pas le gérer, que le sexe ou autre chose...
Discussion : Girouette ou polyamoureuse ?

LuLutine
le mardi 16 juillet 2013 à 20h33
Siestacorta
Je renouvelle brièvement mon observation : le projet et le désir de faire l'amour à quelqu'un d'autre peuvent avoir plus de conséquences sur la relation qu'être passé à l'acte
Ah oui, là je suis d'accord.
Mais notre amie avait l'air de sous-entendre qu'elle se contenterait bien d'une relation platonique ?
Evidemment, s'il y a projet de, c'est différent.
Cela dit, dans cette situation aussi, on peut réfléchir aux peurs qui entraînent des résistances par rapport à ça...
Discussion : Comment me "détacher" sexuellement d'une relation amicale?

LuLutine
le mardi 16 juillet 2013 à 20h30
Oui, un enfant peut pratiquer le rugby, et certains le font, si je ne me trompe.
Oui, un enfant peut pratiquer la course automobile à un niveau qui lui est adapté.
Le fait qu'il ne sache pas conduire et qu'on décide pour lui qu'il n'ira pas dans un engin qui fait du 200 à l'heure ne traduit en rien l'existence d'un "côté sombre" de la course automobile.
Pour moi ce sont juste des questions pragmatiques. Le rugby n'a rien de sombre, la course automobile non plus, le sexe non plus. Mais pragmatiquement, tout le monde ne fait pas tout n'importe comment.
Ou alors, tout a un côté sombre (ce qui va à l'encontre de ce que tu disais pour commencer, puisque tu affirmais que la tendresse n'a pas de côté sombre).
Discussion : Quels avenirs pour les relations affectives plurielles ?

LuLutine
le mardi 16 juillet 2013 à 20h24
MetaZet
De manière empirique, par l'observation de mes congénères, l'écoute de leurs déceptions...
Je n'ai pas parlé des autres, parce que je n'aime pas parler à leur place.
Mais si j'ai parlé de mon cas particulier, j'ai également "observé mes congénères" comme tu dis.
Bon bah, on n'a pas les mêmes congénères, c'est sûr.