Polyamour.info

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lyon (France)

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Discussion : Les lundis poly - 8 avril - Paris - Bubble Bar

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bouquetfleuri

le lundi 08 avril 2013 à 22h01

Je me serais bien installé au pied du canapé...

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Discussion : Phase passionnelle et polyamour

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bouquetfleuri

le vendredi 05 avril 2013 à 18h36

Les deux sont compatibles aussi. Vieux polyamoureux, je suis en train de vivre une belle histoire d'amour avec une polyamoureuse qui aspire à elle seule toute mon énergie amoureuse, et personne ne s'en porte mal... enfin, je crois

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Lesbiennes et polyamoureuses comment faites vous ?

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bouquetfleuri

le vendredi 05 avril 2013 à 16h35

Iam
Dans un monde sans domination lié au genre je serai certainement bisexuel(le)...

moi aussi, peut-être bien.

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Discussion : Les amours plurielles, est-ce politique ?

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bouquetfleuri

le vendredi 05 avril 2013 à 16h32

Le paradoxe est surtout de trouver cela paradoxal, à mon avis.
L'amour est le premier geste social et l'individuation est l'inverse de l'individualisation.
C'est aussi en cela que le polyamour est un geste politique fort qui est d'offrir à la société ses capacités d'individu fort de son libre arbitre et de sa raison à la transformation des règles construites soi-disant sur un modèle naturel qui briment et oppriment.
Et cela n'a rien de romantique.

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Discussion : Prévention mst/ist

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bouquetfleuri

le vendredi 05 avril 2013 à 09h00

Entendu sur france-culture ce matin quelque chose qui n'est pas assez diffusé :

après un rapport sexuel risqué avec une personne atteinte du VIH rendez-vous dans n'importe quel hôpital (peut-être pas une maternité).
Le traitement d'urgence existe et les résultats cliniques sont de zéro infection d'après madame Barré Sinoussi (ce qui donne quand même du crédit à l'information).

Nous sommes bien d'accord que cette info ne doit pas entraîner de relâchement à la discipline préventive concernant toutes les MST, mais elle peut permettre de ne pas paniquer, si la situation se présente

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Discussion : Phase passionnelle et polyamour

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bouquetfleuri

le jeudi 04 avril 2013 à 16h33

Et le travail que cela demande donne son prix au bonheur, loin d'une foire aux bisounours

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Phase passionnelle et polyamour

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bouquetfleuri

le jeudi 04 avril 2013 à 16h32

Et pourquoi cette exaltation devrait passer (je n'aime pas le terme de passion, trop proche de la souffrance à mon sens) ?
Garde ce sentiment merveilleux d'être retournée en adolescence, si tu ne prives personne de ton bonheur et nourris autant que tu le peux cette relation qui embellit ta vie.
Non, il n'est pas obligatoire que cet état majestueux passe, en tout cas pas immédiatement, pas brusquement, sauf à le vouloir et encore...

En revanche cela demande un investissement formidable, auprès de l'élu mais aussi auprès de tous tes amoureux qui vont bénéficier de cette force nouvelle qui t'illumine.
Pour moi, il s'exprime là, l'engagement.

Profite, la vie est belle !

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Discussion : Les amours plurielles, est-ce politique ?

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bouquetfleuri

le jeudi 04 avril 2013 à 10h55

Je souscris entièrement aux réflexions de wacko, no6tm et aimerplusieurshommes, le problème des relations amoureuses est éminemment politique.
Il s'agit bien de l'organisation d'une activité essentielle dont dépend la façon de vivre dans sa société.

En ce qui me concerne, mon approche du polyamour a accompagné mon envie de secouer un peu le système, dans le champ réduit d'un petit segment de la création artistique, en interrogeant des pratiques et des a priori, des définitions et des fonctionnements.
En étant en accord avec l'idée que le plus important est de créer de la relation entre les personnes, je vis mes relations amoureuses comme une expression particulière de ma démarche artistique.
À ce jour, je n'ai pas bien ébranlé le système. Disons que les résultats ne sont pas encore bien sensibles...hihihi

Je suis réceptif aussi au point d'éclairage particulier de MetaZet, Le polyamour s'articule mal avec une pensée conservatrice qui fait la part belle à la hiérarchie et à la morale au dépend de l'éthique.
Une autre observation de trente ans, celui qui se dit a-politique est toujours, toujours à droite. Pas forcément engagé, mais à droite. Pour la raison simple qu'il exprime implicitement se conformer à l'état politique profond du pays. Or, et ce n'est pas près de changer, la France est un pays latin, hiérarchisé, de culture judéo-chrétienne avec une tendance catholique et un reste de monarchie mal nettoyé, un pays ancré dans le conservatisme, malheureusement.
Ce qui explique en partie la difficulté de faire émerger simplement un autre regard sur les relations amoureuses

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : De la difficulté à discuter et rencontrer des "poly" en vrai...

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le mercredi 03 avril 2013 à 17h16

Mais qui a dit cela ?
Je dis simplement que si on se met en quête exclusivement de polyamoureux, on peut passer à côté de belles histoires, sans être assuré de faire une rencontre.
Être polyamoureux n'est pas une qualité en soi.

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Discussion : De la difficulté à discuter et rencontrer des "poly" en vrai...

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bouquetfleuri

le mercredi 03 avril 2013 à 13h26

À chaque tri correspond tout simplement une barrière.
Les statistiques ne sont intéressantes que si elles restent à l'état de statistiques, c'est à dire des outils conceptuels pour modéliser un événement qui se répète.
La rencontre est tout sauf cela. C'est un événement unique qui se réalise au fur et à mesure, loin de toutes les projections que l'on peut faire.
Ainsi choisir de ne rencontrer que des polyamoureux empêche peut-être de faire la plus merveilleuse rencontre, celle de deux individus qui ont un mode d'approche différent, des opinions différentes sur des sujets essentiels et qui réussissent pourtant à se rencontrer en faisant chacun l'effort de se regarder tels qu'ils sont pour s'enrichir de ce qu'ils trouvent...
Pour moi, il est illusoire de penser que des similitudes de goût ou de comportement favorisent la qualité d'une rencontre.
J'irais presque jusqu'à prétendre le contraire.
En revanche, c'est certainement plus confortable.
C'est une question de choix, et dans ce domaine, tous les choix sont légitimes

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Discussion : Impression curieuse...

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bouquetfleuri

le vendredi 29 mars 2013 à 10h29

Je souscris aux dires de LuLutine et tentacara, et je rajoute une réflexion de petit vieux.

La conformité n'est pas seulement confortable, elle est parfois l'expression juste d'une ergonomie socio-psychologique.
C'est ce que montraient à contrario et plus prosaïquement les Monty Python dans leurs hilarants "ministères de la démarche" ou autres.
Si la conformité est repensée et choisie, rien ne permet de dire qu'elle n'est pas avantageuse.
Qu'une société de consommation conduise toutes les femmes à s'épiler "parce que c'est plus doux au toucher" n'implique pas forcément que ce n'est pas vrai.

Ce qui est intéressant à mon sens, c'est de se tenir près de l'entrée de la caverne et toujours sur ses gardes.

Plutôt à l'intérieur ou plutôt à l'extérieur ?

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Discussion : J'ai toujours aussi peur

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bouquetfleuri

le vendredi 29 mars 2013 à 08h54

Tu es Cendre et tu redeviendras Cendre... le calendrier se prête bien à ce rappel.

Je trouve ton post extraordinairement réjouissant et je l'ai lu en laissant percer une forme de joie intérieure, intellectuelle mais pas seulement.
Il est réjouissant pour qui sait la douleur nécessaire à la construction d'une relation humaine, chose insaisissable qui nous avale en entier, identité et projection comprises, encore plus facilement que Chronos mange ses enfants.
Il est réjouissant parce que derrière des affects difficiles à vivre et à exprimer dans leur complexion se concrétise une structure qui fait la part belle à l'analyse (déformation professionnelle peut-être), une structure solide prête à subir encore les mille tempêtes à venir.

Bien sûr, je pourrais avoir un peu d'empathie pour quelqu'un qui est tourmenté par le retour récurrent des questions existentielles qui lui permettent d'avancer vers un bonheur annoncé.

Mais j'ai plutôt envie de goûter tout ce que tu nous offres comme la preuve qu'il est toujours intéressant d'affronter les questions qui émergent au choc de la réalité contre l'espoir.
En quelques mots, tu nous dis que tu refuses la supercherie qui aurait entraîné votre mariage dans le mur, pas toi, pas ton époux, mais vous deux ensemble, Tu nous dis aussi que ton homme, auprès de qui il fait si bon vivre, sait tout de ta réflexion sur ton appréhension à la fois de l'amour et de tes relations amoureuses. Tu nous dis encore que tout ne roule pas comme dans un livre inexistant et que tu es obligée d'ajuster quelques petites choses quand vous êtes confrontés à la parole polyamoureuse. Tu nous dis que tu n'arrives pas à mentir, à dissimuler, que tu n'arrives pas à refuser ton nouvel oxygène, tu nous dis que ton mari t'aime et que cet amour délicieux perdure au milieu de toutes les questions qui se posent et celles que vous ne vous posez pas.
Mais quel bonheur ! Voudrais-tu le contraire ?
Ah oui, tu nous dis aussi que tu t'es trompée sur le regard que porte ton mari sur ton polyamour... ça c'est triste ! Mais c'est une défaillance passagère, n'est-ce pas ?

Depuis combien de temps t'immerges-tu dans ce feu brûlant de la découverte du polyamour et, par opposition, combien d'années as-tu passé à établir patiemment sans le connaître vraiment le schéma amoureux qui vous lie ton mari et toi ?
Trouverais-tu normal, sous l'effet de la révélation que tout ton univers converge soudain dans une direction unique, sous les halleluia et sans aucune anicroche ?
As-tu vraiment envie de penser que finalement, le polyamour ne soit qu'un maquillage du monoamour ?
Tu as peur en ce moment, alors que tu sais où tu as envie d'aller à défaut de savoir où tu aboutiras ; n'est-il pas normal que ton mari ait encore plus peur que toi ?

J'aime bien ce qui ressemble à des anti-phrases, tu ne regrettes absolument pas que ton mari soit assez informé pour t'accompagner et oui, tu lui portes bien assistance, même en étant ballottée comme en ce moment.
Et cela est vraiment réjouissant, c'est même la première condition pour y arriver.
Ce n'est qu'une question de temps et d'attention, deux choses dont tu ne manques pas, me semble-t-il.

Votre souffrance remplace peut-être la culpabilité, celle qui maintient les amoureux en prison. L'avantage avec la souffrance, c'est qu'elle ne dure qu'un temps.

On annonce en ce moment une résurrection, la vôtre peut-être ?

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Discussion : pique-nique chez Bouquetfleuri

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bouquetfleuri

le jeudi 28 mars 2013 à 14h15

Mes attentions se développent en permanence envers tous ceux qui font partie de mon univers ; et j'espère que mes amoureuses et tous ceux que j'apprécie, ici ou ailleurs, parfois sans les connaître s'en rendent compte. Le 28 juillet sera à cet égard un jour comme un autre...

gcd68, tu seras la bienvenue à ce pique-nique, comme tous ceux qui se décideront au dernier moment.
Nous avons une certaine culture de l'accueil et du partage chez les polyamoureux

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Erreurs courantes en polyamour

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bouquetfleuri

le jeudi 28 mars 2013 à 11h14

veto est un mot latin (1ere pers. du sing. de vetare) qui signifie : je m'oppose
un veto est une opposition formelle, une interdiction

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Discussion : Erreurs courantes en polyamour

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bouquetfleuri

le jeudi 28 mars 2013 à 08h33

Cela fait plaisir de se sentir en phase avec un article intelligent, pas prétentieux, pas moralisant, élaboré à partir d'expériences aussi diverses.
Et comme Siestacorta : "Merci boucouboucou au posteur traducteur"

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Discussion : Libérons le verbe aimer ! ☺

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bouquetfleuri

le jeudi 28 mars 2013 à 08h21

Libérons le verbe aimer.
Libérons-le, ce joli mot enfermé dans une prison dorée au milieu de tant d’autres concepts quotidiens et d’usage, jouir, profiter du temps présent, choisir, laisser aller, découvrir, papillonner…

Rendons au verbe aimer sa liberté et sa totale puissance, déconditionnons-le, n’acceptons plus de le mettre en regard de chacun des gestes qui l’expriment.

Aimer, c’est transformer toutes les contraintes en plaisir.
Aimer c’est une philosophie de vie, c’est un état d’être, c’est prendre la mesure de sa propre énergie.
Aimer, c’est transformer la liberté de l’expérience en expérience de la liberté.
Aimer, c’est accepter de n’être plus jamais oublié.
Aimer, c’est désaliéner son être pour en faire le premier interlocuteur de la nature.
Aimer, c’est devenir le tabernacle de la vie, la résonnance de toutes les cultures.

Et cela n’empêche ni de jouir de tous les plaisirs, ni de profiter du temps présent, ni de choisir, ni de se laisser aller, ni de découvrir, ni de papillonner…
Il est temps de libérer ce joli verbe, cette parole et (je reprends les mots de LiliLutine) d'oser, de faire confiance, de se laisser faire, d'être seul avec soi

Libérons le verbe aimer et avançons vers cet absolu d'humanité.

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Discussion : Prévention mst/ist

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bouquetfleuri

le mercredi 27 mars 2013 à 20h58

Il vaut mieux être une extra-terrestre en bonne santé ! Ne cède pas, change plutôt d'amants

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Discussion : De la difficulté à discuter et rencontrer des "poly" en vrai...

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bouquetfleuri

le mercredi 27 mars 2013 à 17h46

Le seul intérêt des sites, majeur cependant, est de pouvoir trier sur un panel inaccessible au quotidien.

Mais je rejoins "aimerplusieurshommes" sur le fait que la rencontre, site ou pas ne commence qu'en présence de l'autre. Je rejoins MetaZet sur la "méthode" aussi.

Il y a un autre point que je voudrais souligner : pour moi, polyamoureux ne signifie pas faire beaucoup de rencontres ou avoir toute licence pour additionner les rencontres, cela signifie être en mesure de le faire, mentalement, sentimentalement, moralement.
Pouvoir être amoureux simultanément de plusieurs personnes ne consiste pas à substituer un déficit par un objectif de réussite.
Et ce n'est pas parce que j'en suis capable que je vais me forcer à tomber amoureux.

Une image me vient, forcément un peu fausse : j'adore bien manger, et de tout, mais je fais attention à ma ligne et n'ai pas envie de souffrir d'obésité. Bon, mais c'est vrai que je mange tous les jours...

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Discussion : Réalité existentielle de la solitude et comment apprécier mon café du matin...

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bouquetfleuri

le mercredi 27 mars 2013 à 17h19

Ah, le beau sujet…
Ou comment vivre avec son idéal, sans s’en charger ni s’en décharger.
J’ai besoin d’aimer pour vivre. La vie ne m’intéresse pas si je ne suis pas amoureux.
Préparer mon petit déjeuner, admirer un soleil couchant, soigner un rhume ou même boire un bon vin ne trouvent grâce à mes yeux que si avant, pendant et après ces actes quotidiens je sais qu’il existe une, des personnes qui m’enrichissent par leurs existences, par leur désir.
Seule l’effervescence entre deux personnes amoureuses réalise entièrement le sens de ma vie. Être le meilleur de celui que je peux être, devenir qui je suis ne s’exprime que dans ces bulles-là.

Rien de ce qui s’évalue dans une grille comptable, sociologique ou culturelle, rien de ce qui est quantifiable ne m’intéresse, mon idéal est ailleurs, dans le souffle empressé de mon amoureuse, dans sa respiration et son écriture, au loin ou près de moi, dans ses mots intérieurs et son envie de me retrouver.
Voilà aussi pourquoi, quand tout passe, quand tout disparaît hors le souvenir, je peux rester seul, amoureux de ma solitude. Alors je retrouve dans le vent qui fait chanter les arbres la voix de mon amoureuse et dans un sourire printanier la fraîcheur d’une autre amoureuse. Et mon idéal perdure, parce que j’ai aimé, parce que j’aime.

Et quand, au détour d’un long dialogue une femme me redonne vie, je ne suis plus moi tout seul et je me découvre, construit par elle, comme par ceux qui m’entourent. Je ne possède ni son temps ni son espace, ni ses goûts ni ses envies, ni ses mots ni ses références, mais elle me possède en m’offrant un instantané de son histoire, au moment où elle me regarde.
Elle n’est pas mon unique, mais elle n’est pas interchangeable. Notre histoire est unique et je ne perds rien de cette histoire en acceptant de n’être pas seul.

J’ai découvert l’infinité amoureuse quand j’ai cessé de vouloir maîtriser ce sentiment, quand j’ai accepté de me perdre au creux de son attention.
Frêle esquif dans la tempête, je chavire sans cesse et me noie avec délice dans cet océan de bonheur.

Tant pis !

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Discussion : Casse-tête

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bouquetfleuri

le mardi 26 mars 2013 à 15h41

bonjour no6tem,

Le chantage n'a pas sa place dans le polyamour.
À part cette règle brutale mais irréfragable, la bonne approche me paraît être dans ton envoi : "Et moi, je veux quoi..."
et à partir de là, tout pourrait bien s'agencer avec le temps selon la bonne logique de qui autorise quoi.
Par exemple, c'est la relation première qui permet que la deuxième s'installe, la première et la deuxième qui permettent que la troisième retrouve sa place etc.
La difficulté réside dans l'appropriation de cette autorisation par le deuxième de la troisième relation, non pas comme une forme de pouvoir, mais bien comme un accomplissement. Quand il comprendra que cette troisième relation donne du prix à la sienne, il saisira la vanité de l'exclusivité.

C'est difficile. L'enjeu est tout de même de passer d'un réflexe monoamoureux à une expérience polyamoureuse. C'est un mécanisme fragile et il faut beaucoup de patience et d'accompagnement, mais si la relation s'annonce riche, les difficultés seront vite oubliées.

Bon courage à vous quatre

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