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De l'égoisme en amour

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(compte clôturé)

le jeudi 25 février 2010 à 22h46

Bon, comme la jouissance et les bienfaits du PA ont pas mal le monopole sur d'autres fils ^^ ... souffrez que je continue d'explorer cette piste intéressante ici :-P

L'égoïsme, vu sous l'angle d'une grande trouille, d'un manque de confiance, c'est un truc très différent de l'égoïsme sain.

C'est comme manger, et se payer une indigestion. Boire un bon verre de vin, et prendre une torchée.

Si on pousse encore plus l'analogie, devenir obèse ou alcoolique. En être malade, quoi.

Si la jalousie peut devenir pathologique et toxique dans une relation, l'égoïsme aussi, sûrement.

A part ces deux-là, qu'est-ce qu'on peut encore avoir comme difficulté dans un lien amoureux?

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ERIC_48

le jeudi 25 février 2010 à 23h02

Bon, je souffre, mais comme tu as l'air de jouir de ma souffrance, je souffre en silence, ou presque, et je continue
A part ces deux là (jalousie et égoïsme), il peut y avoir plein d'autres problèmes:
- le sexe (pas assez, trop, pas assez doux, trop doux, pas assez dur...)
- l'incompréhension
- la mésentente sur l'éducation des enfants
- l'addiction de l'un à quelque chose
- la maladie
- le décès
- l'éloignement
- la belle mère
- le manque d'argent
et je dois en oublier

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(compte clôturé)

le jeudi 25 février 2010 à 23h04

Tout ce qui suppose ingérence ou interférence dans le lien lui-même, et dissipe l'illusion de la fusion. Oué, pas mal, bonne piste.

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(compte clôturé)

le jeudi 25 février 2010 à 23h23

ERIC_48
Bon, je souffre, mais comme tu as l'air de jouir de ma souffrance, je souffre en silence

Bah, c'est juste que je crois très fort en la puissance d'un bon lavement pour purger un côlon un peu encombré qui ne peut plus réabsorber de nutriments; ou, en moins crade, débrider une plaie pour qu'elle puisse guérir. Mmmh, c'est pas moins crade en fait... mais si je vous l'enjolive, ça va perdre de son impact. ;-)

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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ERIC_48

le jeudi 25 février 2010 à 23h24

:-D

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(compte clôturé)

le jeudi 25 février 2010 à 23h38

Bon, si tu rigoles, la douleur doit être supportable :-)

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sissi (invité)

le vendredi 26 février 2010 à 10h54

la douleur n est supportable que si l on sait qu elle est ephemere sinon elle n est pas vivable

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(compte clôturé)

le vendredi 26 février 2010 à 11h17

Et comment peut-on savoir qu'elle sera éphèmère ?

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Junon

le vendredi 26 février 2010 à 11h22

Pas d'accord avec toi Sissi, je crois qu'on peut supporter énormément de douleur, qu'elle soit mentale ou physique.

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LittleJohn

le vendredi 26 février 2010 à 11h27

Junon
Pas d'accord avec toi Sissi, je crois qu'on peut supporter énormément de douleur, qu'elle soit mentale ou physique.

Surtout les femmes... :D

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Junon

le vendredi 26 février 2010 à 11h28

Bien obligées...tout ça pour un pauvre trognon!

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Drya

le vendredi 26 février 2010 à 11h31

Junon
Pas d'accord avec toi Sissi, je crois qu'on peut supporter énormément de douleur, qu'elle soit mentale ou physique.

En fait, je suis d'accord et pas d'accord.. (sic)
Quand on est soumis à une douleur imposée, qu'on ne peut rien faire (maladie par ex.), on en arrive à ne plus en tenir compte: ça devient normal (comme c'est galère tous les matins de devoir sortir du lit alors qu'il fait froid dehors).
Par contre, quand on sait qu'il y a une solution et/ou que cette souffrance nous est imposée par quelquechose ou quelqu'un qui pourrait être différent et éviter ou diminuer cette souffrance, elle devient beaucoup moins tolérable...

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le vendredi 26 février 2010 à 11h38

Tout à fait d'accord avec toi Drya.

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Junon

le vendredi 26 février 2010 à 11h41

Pas si sûre, au vu de ce que certains et certaines s'infligent en matière de relations toxiques, amoureuses ou non...

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(compte clôturé)

le vendredi 26 février 2010 à 11h44

Je crois que le niveau de tolérance remonte, on ne se rend même plus compte... l'esprit est un génie quand il s'agit d'oblitérer la réalité.

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(compte clôturé)

le vendredi 26 février 2010 à 12h09

L'égoïsme (pas le "bon-de-base", entendons-nous), je commence à le voir comme une manière de dire à son partenaire "N'existe pas trop en dehors de moi" tout en se donnant liberté, à soi-même d'avoir un trait de caractère qui "excuse" de faire quelque chose qu'on a bien de la peine à accorder.

Qu'on n'accorde peut-être, finalement, que pour pouvoir être soi-même égoïste en paix, pour que ça ne soit pas reproché en somme. Ca demande donc du calcul.

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ERIC_48

le vendredi 26 février 2010 à 12h36

Moi j'aurais vu cela en sens inverse.
Quelque chose que l'on ne peut accorder que si on l'a soi-même
Le calcul est plus rapide. D'abord moi, et ensuite les autres.
Alors que je n'avais pas encore cette philosophie, mais plutôt celle inverse, il m'est souvent arrivé que des personnes en interraction avec moi restent bloquer tout de suite après leur "d'abord moi".
Mais depuis que j'ai inversé la philosophie, ils restent bloqués dès le début, ce qui n'est guère mieux finalement.

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sissi (invité)

le vendredi 26 février 2010 à 12h48

moi je dis que si on a la clef de la souffrance de l autre et qu a notre niveau on peut y faire qq chose on ne souffrira plus de sa souffrance!
toujours est il qu il faut trouver la cause l analiser et la juguler.
le mienne a coté c est du pipeau
j ai les clefs et j ai du mal a trouver la serrure!

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sissi (invité)

le vendredi 26 février 2010 à 12h50

une fois que la clef est entree reste a savoir preserver la magie de l ouverture!
moi je dis ca.....

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ERIC_48

le vendredi 26 février 2010 à 12h55

Je vais t'aider.
Si la souffrance de l'autre vient du fait que tu considères que ta souffrance est du pipo, plus tu t'écraseras pour enlever sa souffrance, et plus il souffrira. Ne disais tu pas hier que la solution était de jouir de la jouissance de l'autre. Aujourd'hui, tu imposes à l'autre de jouir malgré ta souffrance, et tu demandes ou est le trou de la serrure ? Regarde bien, c'est là ou un brin de lumière arrive à passer.
Tu vois que les psy, ça sert à quelque chose (enfin j'espère).

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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