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Existe-t-il une prédisposition pour les relations intimes ?

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bidibidibidi

le jeudi 17 janvier 2019 à 17h03

Depuis que j'ai commencé à avoir une vision polyamoureuse, je me suis mis à réfléchir beaucoup plus sur mes relations et sur les relations intimes en général. Il faut dire qu'il y a, de fait, plus de matière à étudier.
Je pense qu'on sera tous d'accord pour dire qu'il existe, en matière de relations, des traits souhaitables et d'autres moins souhaitables. Par exemple, la générosité, la qualité de communication ou l'ouverture d'esprit sont plutôt des indicateurs positifs quant au partenaire qu'on pourrait être. Inversement, la jalousie, le mutisme ou être rancunier seraient plutôt des indicateurs négatifs.
J'en suis venu à me poser cette question : Est-on plus ou moins faits pour les relations ? A-t-on des prédispositions (ou pas) pour les relations intimes ?

L'idéologie de l'âme soeur, de la moitié d'Aristophane, aurait tendance à indiquer que quand on trouve la bonne personne elle se révèle, pour nous, le partenaire parfait. Une fois qu'on sort de cette illusion, qu'on trempe son doigt dans le polyamour ou qu'on y parvienne par d'autres biais, on doit bien réaliser qu'il y a des gens faciles à vivre, et d'autres beaucoup moins. Tout comme on peut objectivement dire que j'ai pas trop de prédispositions pour le football (j'ai aucune coordination) mais que j'en ai quelques unes pour le ping pong (j'ai de bons réflexes), je me demandais s'il y avait des gens plus ou moins aptes à former des couples heureux et à nouer des relations intimes satisfaisantes (pour leur partenaire, mais aussi pour eux).

Pour résumer : Est-ce-qu'on peut déterminer (relativement) objectivement la qualité d'une personne à mener ses relations intimes, ou est-ce-que c'est juste une histoire de compatibilité entre partenaires ?
Si le sujet vous intéresse autant que moi, je vous dis : A vos plumes !

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Alinea7

le samedi 19 janvier 2019 à 00h49

Comme dans tous les domaines j'imagine.
Mais comme dans d'autres domaines je ne crois pas qu'on vienne au monde avec cette limitation. Je crois que les gens vivent des choses qui les marquent, et/ou qu'ils ne peuvent se construire que de ce avec quoi ils sont nourris.
Comme dans les autres domaines, chacun fait comme il peut, donc.

Et en même temps personne n'est irrémédiablement figé dans un état, on apprend toute notre vie. Avoir envie d'être une personne meilleure pour quelqu'un qu'on aime ça peut être un puissant moteur.

Ça me surprend comme débat venant de toi. Est-ce que je me trompe ou c'est toi qui disais que tu avais du progresser en terme de séduction, te trouver ? Je confonds peut-être.

Par ailleurs effectivement je crois qu'il y a aussi pour partie un effet de compatibilité de personnes. Certes certaines personnes ont tendance à être socialement plus universellement compatibles que d'autres. Pour autant, je ne connais personne qui s'entende avec tout le monde. Ni personne qui ne s'entende avec personne. Comme dit l'autre, on est toujours le con de quelqu'un.

D'une manière générale dès qu'on essaie de faire des catégories j'ai l'impression qu'on essaie d'enfermer les gens dans des cases. Quelqu'un me disait qu'on ne pouvait pas connaître exactement la position et la vitesse d'une particule. Pour les personnes en tout cas je crois que c'est vrai : si on étiquette quelqu'un on ne se rend plus compte qu'il évolue.

Voilà j'espère que je n'ai pas répondu à côté de ta question. :-)

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bidibidibidi

le vendredi 25 janvier 2019 à 17h12

alinea7
Voilà j'espère que je n'ai pas répondu à côté de ta question. :-)

Tu as parfaitement répondu. Et moi, j'ai mis un bon bout de temps à trouver une réponse qui me plaise :-)

alinea7
Mais comme dans d'autres domaines je ne crois pas qu'on vienne au monde avec cette limitation.

J'ai tendance à croire que c'est un mélange d'inné et d'acquis. Qu'il y a des choses qu'on peut apprendre, mais comme dans beaucoup de domaines, la progression est limitée par nos capacités respectives.
Ce qui est sûr, c'est qu'on n'enseigne pas ça sur les bancs de l'école, et, pour moi, c'est bien dommage.

alinea7
D'une manière générale dès qu'on essaie de faire des catégories j'ai l'impression qu'on essaie d'enfermer les gens dans des cases.

Ho, je ne voulais pas faire de catégories.
J'ai tendance à douter grandement du couple. Clairement, j'en doute en tant que seul modèle relationnel valide pour élever des enfants. Pour moi, il faudrait ouvrir le choix pour que chacun puisse vivre dans la structure relationnelle qui lui convient le plus. Et par là, je ne parle pas que de l'exclusivité, je parle aussi de la vie commune, de la taille de la cellule familiale, etc...
A mon avis, en limitant les possibilités au couple, on fait un grand paquet d'exclus et pas mal de malheureux.

alinea7
Ça me surprend comme débat venant de toi. Est-ce que je me trompe ou c'est toi qui disais que tu avais du progresser en terme de séduction, te trouver ? Je confonds peut-être.

Tu ne confonds pas, mais j'ai peine à voir le lien entre les deux. Peux-tu m'expliquer ?

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Caoline

le vendredi 25 janvier 2019 à 18h26

bidibidibidi

J'ai tendance à douter grandement du couple. Clairement, j'en doute en tant que seul modèle relationnel valide pour élever des enfants. Pour moi, il faudrait ouvrir le choix pour que chacun puisse vivre dans la structure relationnelle qui lui convient le plus. Et par là, je ne parle pas que de l'exclusivité, je parle aussi de la vie commune, de la taille de la cellule familiale, etc...
A mon avis, en limitant les possibilités au couple, on fait un grand paquet d'exclus et pas mal de malheureux.

Il y a d'autres choses qui se développent même si elles sont encore rares. De toute façon, les enfants vivant toute leur enfance avec le même couple, qui plus est heureux tous les d'eux d'être en couple, ça devient rare aussi donc c’est sûr qu'il y a des choses à inventer.

Par contre je ne vois pas le rapport avec le sujet.... ou alors tu voulais dire des prédispositions pour la vie de couple ?

Message modifié par son auteur il y a 4 ans.

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bonheur

le vendredi 25 janvier 2019 à 19h50

Je dirais que l'on a des prédispositions, certainement. Par contre, ne pas oublier qu'aimer est une chose... être en lien en est une autre. Dans un lien, on est deux. Quand on joue au ping-pong, on joue à deux, mais on est un bon ou un mauvais joueur, soi... quelque soit la personne que l'on a en face de soi (même si le jeu d'autrui impact notre jeu). C'est comme jouer en simple ou en double, finalement. Un sport d'équipe demande une adaptation aux autres joueurs.

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bidibidibidi

le lundi 28 janvier 2019 à 15h49

Caoline
Par contre je ne vois pas le rapport avec le sujet.... ou alors tu voulais dire des prédispositions pour la vie de couple ?

Disons que le couple est la manière la plus classique de vivre une relation intime.

Après, c'est peut-être le concept de relation intime qui demanderait une définition. Peut-être ai-je manqué de clarté, ou que l'on voit plusieurs potentiels sujets pour cette même question ?

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calinou696

le lundi 28 janvier 2019 à 15h59

Autant il y a des prédispositions génétiques qui sont favorables pour certains sport (ex : volley ou basket, vaut mieux être grand).
Autant pour l'amour je ne vois pas.

Maintenant, il parait que l'essentiel du relationnel se fait avant 3 ans.

Pour le reste alinea7 a bien répondu.

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calinou696

le lundi 28 janvier 2019 à 16h03

Après tu peux regarder les profils de ceux qui s'interessent au polyamour, par exemple en allant dans un café poly : il y a de vraiment de tout (et qu'on ait une facilité relationnelle ou non).
A la limite, on pourrait p-e dire que ceux pour qui le couple mono leur va bien sont ceux qui se posent le moins de questions ? ;)

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artichaut

le jeudi 14 février 2019 à 00h42

calinou696
Autant il y a des prédispositions génétiques qui sont favorables pour certains sport (…).

Autant pour l'amour je ne vois pas.

Je partage cet avis.

bidibidibidi
Ce qui est sûr, c'est qu'on n'enseigne pas ça sur les bancs de l'école, et, pour moi, c'est bien dommage.

Oui, comme tant d'autres choses fort utile à la vie en société.
Et inversement, c'est bien dommage de passer autant de temps à étudier autant de trucs inutiles.
Le seul intérêt que ce ne soit pas enseigné, c'est que si ça l'étais ce serait hyper dogmatique.
Alors c'est pour éviter le côté secte sans doute.
Mais depuis le temps, que n'a t-on inventé (ou plutôt mis en place) d'autres manières de faire…

Plutôt que prédispositions il y a des constructions sociales (notamment genrées, de classe…), puis il y a les parcours de vie (éducation, personnes ou groupes dont tu croise le chemin, accident de la vie, etc) et puis oui les affinités (la fameuse "compatibilité" de personnes, ou la "Philia") du genre t'es, à mon sens, souvent attiré par des gens qui cherche (consciemment ou inconsciemment) à résoudre les même problèmes que toi (contrairement à l'Eros d'Aristophane qui cherche son exact complémentaire).

Tu connais, je présume, les réflexions sur l'amour d'André Comte-Sponville (Eros, Philia, Agapé).
Comme par exemple cette citation tiré de ce lien

L’amour philia, parce qu’il permet de connaître l’autre tel qu’il est et de l’aimer pour cela, s’oppose ainsi à la séduction, qui ne montre à l’autre qu’une image de soi, dans le but de faire illusion.

Il est certain que selon où t'en es, et ce que tu cherche, tu va pas accrocher avec les même personnes (et réciproquement).

Je sais par exemple, qu'avec plusieurs des personnes avec qui je relationne aujourd'hui, ça n'aurais pas du tout collé, il n'y a encore pas si longtemps.
Du coup, perso, ça me semble assez mouvant, tout ça.

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bidibidibidi

le jeudi 14 février 2019 à 09h57

artichaut
Je partage cet avis.

Si je prends ton polybéral, dans la définition que tu en as donné, donc plutôt symptomatique d'un fonctionnement relationnel problématique, qu'est-ce-qui, pour toi, l'a amené à agir ainsi dans ses relations ?

artichaut
Le seul intérêt que ce ne soit pas enseigné, c'est que si ça l'étais ce serait hyper dogmatique.

Des exercices de care, d'utilisation de son intuition, voire la présentation de quelques théories (5 langages de l'amour, attachement) en restant assez clair sur le fait que ce sont des grilles de lecture et pas des lois universelles... Je pense qu'on pourrait éviter le dogmatique. En fait, je vois même pas comment on pourrait faire plus dogmatique que les 50 dernières années de production hollywoodienne.

artichaut
Plutôt que prédispositions il y a des constructions sociales (notamment genrées, de classe…), puis il y a les parcours de vie (éducation, personnes ou groupes dont tu croise le chemin, accident de la vie, etc) et puis oui les affinités (la fameuse "compatibilité" de personnes, ou la "Philia") du genre t'es, à mon sens, souvent attiré par des gens qui cherche (consciemment ou inconsciemment) à résoudre les même problèmes que toi (contrairement à l'Eros d'Aristophane qui cherche son exact complémentaire).

Les contraires s'attirent, qui se ressemble s'assemble, y en a pour tous les goûts :-)

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artichaut

le jeudi 14 février 2019 à 10h40

bidibidibidi
Des exercices de care, d'utilisation de son intuition, voire la présentation de quelques théories (5 langages de l'amour, attachement) en restant assez clair sur le fait que ce sont des grilles de lecture et pas des lois universelles...
Je pense qu'on pourrait éviter le dogmatique.

Ah oui y'a moyen, je dis pas (et ça se fait dans certains milieux).
Mais disons, que j'ai pas du tout confiance que ce serait comme ça (y'a qu'à voir comment on enseigne l'Histoire).

bidibidibidi
En fait, je vois même pas comment on pourrait faire plus dogmatique que les 50 dernières années de production hollywoodienne.

Ah ça… c'est pas moi qui dirais le contraire.

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artichaut

le jeudi 14 février 2019 à 11h20

bidibidibidi
Si je prends ton polybéral, dans la définition que tu en as donné, donc plutôt symptomatique d'un fonctionnement relationnel problématique, qu'est-ce-qui, pour toi, l'a amené à agir ainsi dans ses relations ?

Construction sociale.
Comme tu dis "on n'enseigne pas ça sur les bancs de l'école".
Quoique en un sens, si on te l'enseigne. On t'enseigne que ça relève du domaine privé (comme le consentement et tous ces trucs là), que "ben, démerdes toi comme tu peux" (et c'est pas grave si tu foire), que ce qui compte vraiment c'est trouver un job, et travailler à la croissance du pays, etc.
On t'enseignes que l'économie est la valeur suprème pour analyser toutes les relations (transactions, pardon) donc amoureuses, idem.

Et selon si t'es un homme, une femme, un enfant de pauvre, un enfant de riche, un noir, etc, on t'enseigne qu'elle est ta place.
Tu rajoutes un petit parcours de vie perso à ça. Qui fait que par exemple tu va devenir poly (ta petite originalité à toi), mais t'y va avec les valeurs monos qu'on t'as (non)enseigné sur les bancs de l'école et dans les films hollywoodiens. Et on n'est plus très loin du compte.

Pourquoi t'enseigner + ou autrement à relationner, puisque t'es censé avoir une seule relation, qui restera du domaine du privé ?
Le "fonctionnement relationnel problématique" est généralisé me semble t-il.
C'est plutôt pour ne pas être (po)lybéral qu'il faut avoir des "prédispositions" (parcours de vie chaotique).

Si je voulais être caricatural, je dirais que tu naît avec plein de belles choses en toi (poly, bi, empathie, instinct relationnel…), que la société, les bancs de l'école et les films hollywoodiens t'enseignent à abandonner ces belles choses, contre une norme qui varie avec les époques, mais qui tend à n'envisager les relations que sous des formes de dominations diverses et variées, avec une place attitrée pour chacun.e.

Et qu'à partir de là, ton parcours de vie va un peu changer des choses, mais pour celles et ceux qui deviennent poly, on sera encore nimbé de cette construction sociale, et on va galérer, et +ou- réussir à faire autre chose.

Je dirais que dans le monde poly, on est plutôt moins enclin à avoir un "fonctionnement relationnel problématique" (parce que arriver là, dénote un parcours de vie atypique, parce que le poly justement réfléchis et invente sur les relations affectives), et que celles et ceux qui gardent le plus de MonoNorme (avec et sans jeu de mot !) seront plus enclin à être polybéral.

Ceci étant vrai jusqu'à présent. Mais avec l'inclusion du polyamour dans les mass-médias, la part de lybéral tend à augmenter dans le poly (si je puis m'exprimer ainsi).

Plus besoin de "parcours de vie chaotique". On peut débouler dans le poly par hasard, ou par effet de mode. Ce qui n'est pas grave en soi, mais on ramène + de MonoNorme avec soi.

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artichaut

le jeudi 14 février 2019 à 11h32

J'utilise MonoNorme en rapport à la norme monogame, bien sûr, mais aussi en référence à la MonoForme énoncée par Peter Watkins, qui fait une critique généralisé du monde des média audiovisuels (ciné, télé & co). Et qu'on peut étendre à la mono-manière de penser le monde en régime capitaliste avancé ("pensée unique", ou "pensée économique" si on préfère).

…d'où le "avec et sans jeu de mot"…

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bidibidibidi

le jeudi 14 février 2019 à 11h42

Je te trouve trop extrême. Je suis le premier à reconnaître l'impact de la domination sociale dans les relations sentimentales. Mais en général, son effet principal est que les protagonistes d'une relation sentimentale appartiendront à la même catégorie sociale. Et face à un partenaire de même niveau social, tout ton raisonnement tombe.
Surtout que, à mes yeux, ton polybéral n'est pas nécessairement un mec. Je connais des femmes avec des comportements assez similaires, qui parlent de relations intimes alors qu'elles ne cherchent que des expériences et ne vont clairement pas perdre leur temps à nourrir une relation quand il est si facile d'en créer une nouvelle.

Alors, peut-être que le polybéral choisit des partenaires de niveau social inférieur pour pouvoir appliquer une forme de domination, mais c'est alors visible.

Non, pour moi, même si le care n'est pas enseigné aux hommes, la mythologie relationnelle de notre société n'élève pas le polybéral à un quelconque niveau acceptable. Il est même plutôt déconsidéré. C'est le "connard" en opposition au "chevalier blanc" qui lui prend soin de ses relations (en allant affronter des dragons... pardon, travailler 70 heures par semaine).

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artichaut

le jeudi 14 février 2019 à 11h57

Clairement le polybéral, selon moi, est plutôt un mec (cis-hétéro-blanc). Parce que en tant que mec, on t'enseigne le "don't care, va affronter des dragons !".

Et je ne suis pas d'accord sur la valorisation du "chevalier blanc". Je trouve le "connard" vachement valorisé aussi. Mais bon tout ça est mouvant.

Mais bien sûr qu'il y a des femmes aussi ! (et idem des non-cis, des non-hétéro, des non-blanc). Déjà parce que le monde change. Aussi parce dans ce monde, pour être accepté en tant que femme, soit tu te plie aux injonctions de ton genre, soit faut… "devenir un mec" (= adopter les comportements genrés mec… et on va tous et toutes devenir des salauds qui s'entretuent). Enfin parce que oui les genres sociaux ne disent pas tout (heureusement !) et qu'il y a des exceptions (ouf).

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artichaut

le mardi 30 avril 2019 à 17h46

artichaut
Je dirais que dans le monde poly, on est plutôt moins enclin à avoir un "fonctionnement relationnel problématique" (parce que arriver là, dénote un parcours de vie atypique, parce que le poly justement réfléchis et invente sur les relations affectives), et que celles et ceux qui gardent le plus de MonoNorme (avec et sans jeu de mot !) seront plus enclin à être polybéral.

artichaut
J'utilise MonoNorme en rapport à la norme monogame, bien sûr, mais aussi en référence à la MonoForme énoncée par Peter Watkins, qui fait une critique généralisé du monde des média audiovisuels (ciné, télé & co).

Je découvre avec plaisir ce concept de MonoNorme (que je pensais avoir forgé moi-même, et puis en fait non, ou alors parallélement) ailleurs sur le net (lien), en l'occurrence sur le site La vie en queer. Chouette.

Il y est question aussi de Mononormativité et d’Amatonormativité (ça on connaissais) : norme dans laquelle les relations romantiques sont considérées comme supérieures aux autres et qui mène à l’arophobie i.e. l’oppression contre les personnes.aromantiques).

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