Puis-je choisir les partenaires de ma partenaire ?
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Maxence_Lascombe
le lundi 16 septembre 2013 à 20h18
MetaZet
C'est juste quelqu'un avec qui la probabilité que je m'entende un minimum sans qu'on se donne des noms d'oiseaux est extrêmement faible.
Je prends des oppositions fortes pour parler de cas, ces cas aident à former une réflexion, cela me permet en tous cas de voir que les curseurs des uns et des autres sont clairement différents.
Comme je l'ai exprimé plus haut, ici la question se pause sur deux étages, complexifiant à souhait la situation :-)
@gcd68,
avec tout le respect que je te dois, tu sembles hors sujet dans tes dernières réponses. Je ne souhaites pas personnifier les échanges, mais chercher matière à réfléchir, soit par les exemples des uns et des autres, (ce que tu as fait plusieurs fois, et je t'en remercie) soit par les réflexions que certains/certaines ont poussées dans leurs coins.
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(compte clôturé)
le lundi 16 septembre 2013 à 21h05
Merci pour le respect. Les cartes se brouillent ou sont trop complexes pour moi. :-/
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ScottBuckley
le lundi 16 septembre 2013 à 22h37
Bon soir,
Ne le prenez pas mal, mais ça me fait penser à ce film, Le nom des gens, dans lequel la personnage principale (jouée par Sara Forestier, délicieuse !) couche avec des personnes de droite (alors qu'elle est de gauche), pour essayer de contribuer à les faire changer de mentalité :-)
( la bande annonce ici ) :
www.youtube.com/watch?v=SQUqffgJvKY
Et j'avoue que quand on y pense ;) , dans certains cas, ça fait réfléchir :
>> aurais-je accepté ou refusé de sortir et/ou coucher avec telle personne excitante où l'attirance est bien réciproque, si j'avais su pour qui elle votait ? aurais-je préféré l'ignorer, dans tel cas précis,
... ou ne l'apprendre que le matin au réveil, devant un poster de telle personnalité politique ?
Où sont nos limites, notre éthique, en tant que ' polys ' par exemple ?
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Anarchamory
le mardi 17 septembre 2013 à 00h27
Pas mal la référence GreenPixie ! ;)
Je suis peut-être naïf, mais je suis convaincu que la plupart des gens recherchent la vérité, et que ce n'est pas parce qu'ils sont de droite, de gauche, du centre, ou hors axe droite-gauche, que ça ne peut pas être, à chaque fois, de toute bonne foi, même si on a du mal à le comprendre quand on ne partage pas les idées en question. Je pense qu'il y a souvent, à chaque fois, une certaine rationalité qui se tient, qui entre en jeu. Après, reste à voir quel système d'axiomes on choisi. Souvent, quand je discute avec quelqu'un qui ne partage pas mes idées, j'essaye de me mettre à sa place, de le comprendre de l'intérieur, de voir quels sont les présupposés, et de repartir de ceux-ci pour voir si cela mène bien aux idées défendues. De toute façon, j'ai eu un peu un comportement de pendule idéologique, j'ai un peu exploré différents systèmes de pensée, avant de me stabiliser dans ce que je suis actuellement, je peux donc comprendre comment pense quelqu'un qui ne pense pas comme moi et même pourquoi il le pense. Souvent, j'aurais tendance à dire que c'est en poussant à l'extrême les raisonnements qu'on peut faire un peu le ménage idéologique, mais peu de gens ont la cohérence de pousser leurs raisonnements jusqu'à leurs conséquences ultimes. J'attache beaucoup de valeur à la cohérence en tout cas. Je préfère un intégriste catholique cohérent à un athée incohérent.
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ScottBuckley
le mardi 17 septembre 2013 à 01h00
...... Allons allons, je vais vous faire un aveu ( oublions la langue de bois, que diable ) : moi je suis un sale raciste certains jours, tout comme ce cher Michou !
Mais je veux bien que l'on me colle cette Très temporaire étiquette de raciste durant quelques minutes, à condition qu'on ne m'interdise surtout pas d'aimer Djamila & sa soeur en même temps, et de danser & dormir avec Nasredine et Fatima toute la nuit après avoir mangé & fêté un ramadan enfin mixte !
Qui est Michou ?
Et pourquoi ces hautes âmes supérieures du P$ trouvent-elles que c'est un sale "raciste" ?
La réponse est ici, dans le film La crise ( de la si géniale Coline Serreau ! : 3 hommes et un couffin, La belle verte, Solutions locales... + une histoire de triade avec une femme & ses deux hommes : c'est d'elle ! ! )
Mais écoutons d'abord Michou :
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LuLutine
le mardi 17 septembre 2013 à 01h19
gcd68Pour ce qui est du BDSM, on en reparle en privé si tu le désires. C'est un type de relations que j'apprécie parfois mais je pense que cela fait partie de notre vie sexuelle (perso c'est un jeu qui la pimente, c'est tout) et donc très intime et donc... je ne pense pas que ce soit abordable ici.
Vous pouvez toujours créer un sujet dans la catégorie "sexualités".
gcd68(encore si c'était du sexe il comprendrait mais comme c'est pas mon cas).
C'est drôle, il y a des gens pour qui c'est exactement le contraire ! (Sans sexe, ils comprennent, avec ils ne comprennent plus du tout !) :)
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Anarchamory
le mardi 17 septembre 2013 à 11h26
LuLutine
C'est drôle, il y a des gens pour qui c'est exactement le contraire ! (Sans sexe, ils comprennent, avec ils ne comprennent plus du tout !) :)
Sur ce sujet, je ne résiste pas à l'envie de copier-coller un extrait du bouquin que je suis en train d'écrire (en même temps, vous pourrez me dire ce que vous en pensez...) :
[...]
ÉLEUTHÈRE ― C'est surtout le cas des siamois en Y qui nous occupera... Ceux-ci partagent le même abdomen et ont donc un appareil génital pour deux, puis divergent au niveau du thorax, d'où la forme de Y. Ces êtres ont-ils droit à l'amour ? Qu'il faille sans doute faire preuve d'une grande ouverture d'esprit pour apprécier la curieuse anatomie de ces êtres est une chose. Mais supposons-la acquise : a-t-on le droit de les aimer d'amour ? n'est-ce pas immoral ?
PHILÉMON ― Eh bien, non, ce n'est pas immoral, où voulez-vous en venir ?... Au contraire, je dirais même que c'est un amour d'autant plus valeureux qu'il est difficile et surmonte les apparences...
ÉLEUTHÈRE ― Pourtant, il ne vous aura pas échappé que si un homme fait l'amour à une femme, mais qu'il se trouve que cette femme partage son vagin avec une autre femme, il a également une relation sexuelle avec cette autre femme, qu'il le veuille ou non... Il « commet » donc l'adultère, même si c'est à son corps défendant... La seule façon, dans le cas de siamois en Y, de ne pas pratiquer la plurisexualité, c'est de s'abstenir totalement de relations sexuelles.
PHILÉMON ― Votre exemple est quand même bien tordu et extrême... Eh bien, disons que dans ce cas, la plurisexualité n'est pas immorale. Aux grands maux, les grands remèdes, et à circonstance exceptionnelle, règle exceptionnelle !
ÉLEUTHÈRE ― Vous ne pouvez pas vous en sortir ainsi, car si vous admettez que dans ce cas limite, la plurisexualité n'est pas immorale, vous êtes donc obligé d'admettre qu'intrinsèquement, elle n'est pas immorale. En effet, ce qui est intrinsèquement un mal – c'est-à-dire ce qui est un mal par lui-même – ne peut pas être rendu un bien du fait des seules circonstances, par définition du mot « intrinsèque » !
PHILÉMON ― Bon, alors disons que je me suis mal exprimé. Cela demeure un mal intrinsèque, mais un moindre mal.
ÉLEUTHÈRE ― Un moindre mal par rapport à quoi ?
PHILÉMON ― Par rapport au fait de n'avoir pas de relations sexuelles du tout !
ÉLEUTHÈRE ― Donc, à vous entendre, ne pas avoir de relations sexuelles serait un mal plus grand que celui de ne pas « commettre » l'adultère ? Votre conception du moindre mal me paraît bien bancale ! Votre curé devrait donc renoncer au célibat : par sa continence, il offense le Bien plus gravement que les personnes adultères...
J'ajoute que la continence sexuelle n'est pas un acte, c'est un non-acte, donc quelque chose qui, sur un plan moral, engage nettement moins qu'un acte, comme l'adultère. Cela m'étonnerait beaucoup que votre religion enseigne qu'un non-acte, même mauvais, puisse être sauvé par un acte qui soit intrinsèquement un mal. Ainsi, il va de soi que la mort de 100 personnes est plus terrible que celle d'un clochard alcoolique et bougon sans famille et sans ami. Mais si le clochard en question n'y est pour rien, cela ne vous donne pas le droit de le tuer pour sauver la vie des 100 personnes, même si, par hypothèse, il n'y avait pas d'autres moyens de les sauver.
PHILÉMON ― Vous avez raison, ça ne tient pas...
ÉLEUTHÈRE ― Et donc, que concluez-vous ?...
PHILÉMON ― Si je veux continuer de soutenir que l'adultère est un mal intrinsèque, je suis obligé d'admettre qu'il est immoral d'avoir une relation sexuelle avec des siamois en Y... Ça me pose un dilemme, car d'un autre côté, j'ai vraiment l'impression d'être un salaud en disant ça... Déjà que les frères et sœurs siamois souffrent d'un lourd handicap et du regard de la société... Si en plus je leur retire toute vie amoureuse possible, c'est le comble !...
Maintenant, je peux peut-être m'en sortir de cette façon : les sentiments amoureux ne doivent porter que sur un seul des deux jumeaux ou une seule des deux jumelles, pas sur l'autre. Ainsi, même si la relation sexuelle concerne les deux, il n'y a que pour un ou une des deux qu'elle est la conséquence de l'amour. Dans l'autre cas, c'est du sexe pur, sans amour, ce qui est peut-être moins grave...
ÉLEUTHÈRE ― Mais je sais que de manière générale, vous êtes contre le sexe sans amour. Par exemple, je sais que vous êtes contre le libertinage. Aussi, comment pouvez-vous à la fois prétendre que le sexe sans amour est immoral, mais que l'adultère sans amour serait moins grave que l'adultère avec amour ? Bien au contraire, si l'adultère est une faute, le fait qu'il soit réalisé sans amour en est une seconde, qui s'ajoute à la première !
Par ailleurs, considérez ceci : lorsqu'une personne mariée éprouve de l'amour pour une autre personne en plus de son conjoint, la société, et même l'Église chrétienne, est généralement assez tolérante, voire bienveillante... si cet amour reste platonique... S'il faut donner du crédit moral à ce fait, alors nous pouvons poser l'affirmation suivante : l'amour sans sexe est toujours moral.
Si, par ailleurs, l'adultère sans amour est également acceptable, plus ou moins, alors comment expliquer que l'adultère avec amour, qui n'est que la juxtaposition des deux cas précédents, soit jugé comme d'une extrême gravité ? Ça n'a pas de sens...
PHILÉMON ― Je ne suis pas d'accord. L'adultère avec amour n'est pas que la simple juxtaposition de l'adultère sans amour et de l'amour sans adultère. Car dans l'adultère avec amour, l'amour est la cause de l'adultère. Ce ne sont pas juste deux événements indépendants qui se trouvent coïncider par hasard...
ÉLEUTHÈRE ― Fort bien. Le mal de l'adultère avec amour n'est donc ni la relation sexuelle, ni l'amour éprouvé, ni leur conjonction, mais c'est un certain type de lien causal qui unit les deux. Cependant, l'hylémorphisme nous apprend que ce lien n'est pas accidentel : il est essentiel.
Imagine-t-on cinq minutes la situation suivante ?
Une femme et un homme, nus dans un lit. L'homme lit négligemment un journal, puis relève doucement la tête vers la femme allongée à ses côtés en lui confiant : « Tu sais ma chérie, je suis en train de m'apercevoir que j'ai un désir fougueux de te faire l'amour comme une bête, là, maintenant, tout de suite, ça me prend aux tripes, ça me prend tout le corps, ça obsède mon esprit. Voilà, mais en fait, je vais continuer à lire ce journal totalement inintéressant, je voulais simplement te tenir informée de mes états intérieurs... ».
Cela ne peut que prêter à sourire ! Un désir contient toujours, nécessairement, une disposition à sa propre réalisation, et un désir qui reste inassouvi, ça ne peut être qu'un désir frustré par un obstacle physique, psychologique, social, religieux ou moral !
PHILÉMON ― Certes...
ÉLEUTHÈRE ― Par conséquent, il n'est pas naturel – même si cela peut évidemment arriver ! – que l'amour extra-conjugal sans adultère consommé ne vienne pas à être consommé à l'un ou l'autre moment.
PHILÉMON ― En effet, oui...
ÉLEUTHÈRE ― Or, si l'amour extra-conjugal sans adultère consommé est moralement acceptable, c'est par nature qu'il l'est, sinon, ce sont les circonstances qu'il faut juger moralement acceptables, et certainement pas l'amour lui-même, puisque ce qui rendrait moralement acceptable ce dernier, ce serait seulement ces circonstances qui l'empêcheraient de s'exprimer charnellement. Un acte ne peut pas être moral par lui-même parce qu'il a été empêché dans sa réalisation ! Encore une fois, ça n'a pas de sens. Certes, sur le plan des conséquences, rater un cambriolage est moins grave que de le réussir. Mais sur le plan de l'acte lui-même, il est tout aussi grave dans les deux cas. Le voleur qui a raté son coup n'avait certainement pas pour objectif d'échouer ! L'échec non voulu de cet acte n'appelle donc nulle clémence dans son jugement.
En effet, pour des actes réussis, si le principe est bon, les conséquences sont bonnes ; et si celles-ci sont mauvaises, c'est donc que le principe est mauvais ! C'est de la logique de base ! Donc, si le mal de l'adultère avec amour réside dans le lien causal entre l'amour éprouvé et la relation sexuelle, il s'ensuit qu'il réside aussi dans l'amour éprouvé, car ce lien causal lui est intrinsèque. Par conséquent, l'amour extra-conjugal sans adultère consommé est immoral malgré tout. Donc il faut cesser d'admirer le « bel » amour platonique unissant une personne mariée avec un tiers, comme c'est le cas dans le fin'amor, c'est-à-dire l'amour courtois...
D'ailleurs, Jésus-Christ, que vous vénérez, ne disait-il pas que l'adultère de cœur est aussi grave que l'adultère en acte ? Il n'y a pas 36 façons d'interpréter la chose. Soit il voulait dire – entre autres – qu'il n'y a pas de place pour un prétendu amour extra-conjugal mais qui serait « pur » car platonique, et qui s'opposerait à un amour extra-conjugal « impur » car charnellement exprimé. Soit il voulait dire, tout au contraire, avec une pointe d'ironie, et en un raisonnement par l'absurde, que puisque l'amour platonique n'est jamais impur, il en est de même de l'amour charnellement exprimé qui est sa conséquence naturelle non contrainte.
[...]
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ScottBuckley
le mardi 17 septembre 2013 à 12h15
Bonjour MetaZet,
Eh bien je ne savais pas que tu écrivais un livre... (eh eh) .
... Par contre, ne le prends pas mal, mais si tu avais un blog ou un site web par exemple, pour en présenter des extraits, ce serait peut-être plus facile de les lire là, + de présenter et permettre de découvrir ton ou tes univers, non ?
Car là, ci-dessus, ça fait beaucoup (à lire "d'un trait"), et je n'arrive donc pas à le lire (en raison du contexte, du forum, de la mise en page tassée...).
Mais ce n'est que mon humble point de vue.
Message modifié par son auteur il y a 10 ans.
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(compte clôturé)
le mardi 17 septembre 2013 à 12h51
Juste pour info rapide, j'écris actuellement un nouvel essai "entre amitié et amour, la complexité de la polyaffectivité". Mais bon, j'aime pas trop faire lire en cours de route car je modifie, j'ajoute, je supprime constamment...
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Maxence_Lascombe
le mardi 17 septembre 2013 à 14h34
@all,
Tsss ... ne dérivons pas vers le propos politique, ce n'est pas du tout ce que je voulais aborder. Je parlais des limites liées à l'éthique de chacun.
@GreenPixie
«Où sont nos limites, notre éthique, en tant que ' polys ' par exemple ? »
- C'est tout à fait le sens de ma question.
Jusqu'ou je peux ignorer "qui" fréquente celle que j'aime.
A partir d'ou je me sens en droit de tirer la sonnette d'alarme.
L'éthique concerne bien d'autres champs que la politiques (les idéaux sociaux), c'est la famille, c'est la religion, c'est le travail, c'est le militantisme, c'est la manière de se nourrir, c'est notre réseaux d'amis, nos réseaux sociaux, nos relations aux autres... Par conséquent, des valeurs fortes que je crois devoir à minima partager de manière rapprochée avec ma compagne, mon épouse, mon amoureuse, ma Cunégonde. Sans faire la moins hiérarchie entre les amours, c'est entendu !! :-)
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Marie-Georges
le mardi 17 septembre 2013 à 15h40
Maxence_Lascombe
A partir d'ou je me sens en droit de tirer la sonnette d'alarme.
Merci d'avoir recentré sur le sujet, ML. Je dirais que tu as le droit de tirer la sonnette d'alarme tout le temps, parce que c'est un excellent point de départ à la discussion.
Sur le droit de véto, moi je suis contre. Je ne me vois pas demander à la personne que j'aime de faire quelque chose qu'elle n'a absolument pas l'intention de faire. Si je me sens délaissée j'ai tendance à ne pas l'exprimer (c'est sans doute mal, je ne sais pas), je vaque à autre chose, la queue basse...
Je suis prête à entendre tout et n'importe quoi de la part de mon partenaire sur mon autre partenaire, mais je réplique aussi sec si je ne suis pas d'accord. Enfin, je ne supporterais pas qu'un de mes partenaires soit malveillant à l'égard d'un autre. Cela signerait la fin de notre relation. Du coup, je pense que je suis suffisamment sensible à cela pour ne pas arriver à la situation où l'un aurait à me signaler que l'autre le met en danger (mais c'est peut-être présomptueux, disons alors que ça ne m'est jamais arrivé).
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LuLutine
le mardi 17 septembre 2013 à 21h14
@MetaZet :
"Déjà que les frères et sœurs siamois souffrent d'un lourd handicap et du regard de la société... Si en plus je leur retire toute vie amoureuse possible, c'est le comble !... "
A ce moment tu parles de vie amoureuse alors qu'il s'agissait de relations sexuelles, me semble-t-il ?
@les autres : Désolée pour le H.S.
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Anarchamory
le jeudi 19 septembre 2013 à 19h03
Bonjour GreenPixie,
GreenPixie
Bonjour MetaZet,
Eh bien je ne savais pas que tu écrivais un livre... (eh eh) .
J'en avais déjà parlé il y a un an et demi :
/discussion/-wz-/Epanouissement-ou-non-dans-le-plu...
Mais je n'étais pas revenu là-dessus dans d'autres sujets donc je comprends parfaitement que ça ait échappé à ta vigilance ;-)
GreenPixie
... Par contre, ne le prends pas mal, mais si tu avais un blog ou un site web par exemple, pour en présenter des extraits, ce serait peut-être plus facile de les lire là, + de présenter et permettre de découvrir ton ou tes univers, non ?
J'ai bien un blog, mais il commence à sentir le renfermé... :-(
Tu as raison, il faudrait que je le réalimente, ou carrément que je crée un nouveau blog...
GreenPixie Car là, ci-dessus, ça fait beaucoup (à lire "d'un trait"), et je n'arrive donc pas à le lire (en raison du contexte, du forum, de la mise en page tassée...).
Mais ce n'est que mon humble point de vue.
Tu as raison. En fait, à la base, il y avait des retraits, mais ils ne sont pas passés...
LuLutine
@MetaZet :
"Déjà que les frères et sœurs siamois souffrent d'un lourd handicap et du regard de la société... Si en plus je leur retire toute vie amoureuse possible, c'est le comble !... "
A ce moment tu parles de vie amoureuse alors qu'il s'agissait de relations sexuelles, me semble-t-il ?
Bien vu ! Merci (+)
LuLutine @les autres : Désolée pour le H.S.
Euh, désolé aussi ! Je vais peut-être créer un nouveau sujet, du coup, ou bien remonter le tout vieux que j'ai mis en lien...