Polyamour.info

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Discussion : Un non-polyamoureux appelle à l'aide

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longuesjambes

le vendredi 06 mars 2009 à 23h22

Bonjour Ranael, je n’ai pas lu toutes les réponses qu’on t’a données et il se peut que ce que je vais te dire, quelqu’un l’ait déjà écrit.
J’ai surtout lu, dans ton premier texte, ceci « Je souhaite pourtant le bonheur de ma compagne plus que tout, j'ai fait beaucoup d'efforts pour qu'on soit heureux ensemble. . . »
Je crois que cet amour que tu éprouves pour ta femme est une piste.

Souvent, le polyamour confronte le couple à la profondeur de son amour, aux raisons diverses de son amour.

En réalité, il est vrai qu’aimer l’autre, c’est vouloir son bonheur.
Et je suis sûre que ta femme aussi désire ton bonheur. Le tout est de savoir : qui a raison dans ses désirs, toi qui n’a pas du tout envie qu’elle puisse aimer non platoniquement un autre homme, ou elle qui aimerait aussi aimer cet autre homme tout en t’aimant toujours entièrement.

Je vois, que vous en avez déjà énormément parlé tous les deux.

Tu sais, la jalousie s’analyse, tu sembles très doué pour cela.
tu seras surpris des raisons réelles de la jalousie. Souvent cela n’a rien à voir avec l’amour.

Tu nous demandes une « solution »
Je vais te proposer celle-ci : si elle est libre, toi, tu l'es aussi. Cela ne te force nullement à devenir polyamoureux, libertin, coquin etc… Cela te permet d’être monogame parce que c’est dans ta nature, et non parce que ce serait un choix dû aux influences conscientes et inconscientes de notre société moralisante, ou dû à des restes d’éducation religieuse.
Continue à discuter avec ton épouse car comme le dit François Simpère, c’est bien plus là où se trouve l’amour profond avec une personne : savoir discuter ensemble sans se juger, se disputer, se haïr et tout en s’écoutant sincèrement. Je suis certaine que tu y sentiras la sincérité de l’amour de ta femme pour toi. Tu arriveras peut-être doucement à souhaiter qu’elle soit complètement libre juste pour voir comment en réalité tu vas réagir. Ton esprit analytique va prendre le dessus sur ton cerveau « reptilien » car je te jure, ce n’est pas le cerveau reptilien qui te rend jaloux ou possessif. La preuve, c’est qu’il existe encore des sociétés ou les hommes sont polygames et les femmes polyandres et leur cerveau reptilien ne semblent pas causer de problème. Ou bien il y a des sociétés qui ont des cerveaux différents du nôtre.

Expérimente. Et par amour, justement, ne casse pas tout avec ta femme ! Car de toute façon si tu refuses de lui laisse être ce que sa nature lui révèle depuis toujours, ta femme finira aussi par souffrir et cela cassera malgré tout quelque chose dans votre couple.

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Discussion : un extrait du roman " journal d'une femme qui aime les hommes"

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longuesjambes

le vendredi 13 février 2009 à 23h18

coucou tout le monde !

Le Troll, comme on l'appelle, j'en ai eus quelques uns sur mon blog. Ils finissent aussi par se calmer tranquillement.

J'avais lu son commentaire ici, et en fait, je ne répond plus à ceux qui n'argumentent pas leur point de vue. Leur injure ne me touche pas car au fond de ma conscience, je sais que j'agis avec sincérité et respect.

Je lis surtout la peur chez ceux qui répondent sur le ton de l'agressivité et de l'injure. Et en réalité, cela ne me touche plus personnellement mais cela me touche juste dans l'envie de souhaiter qu'ils soient sincèrement contents et heureux des choix qu'ils font dans leur vie.

Ce que je sais par expérience, c'est que les gens heureux et épanouis dans leur choix, qu'ils soient monogames, ou polyamoureux, n'ont plus d'agressivité et de haine en eux . . . . puisqu'ils sont heureux et surtout en paix avec eux-même.

Donc, au Troll qui pourrait encore nous lire :
si ton choix est de vivre dans la monogamie, que cela te rend heureux, que tu rend heureux ta femme, je suis très contente pour toi, et je te souhaite de vivre encore comme ça de longues années.

Mais . . . moi, j'ai d''autre façon d'être heureuse et mon entourage s'en porte très bien.

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Discussion : Faut-il essayer de convaincre des monogames du polyamour ?

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longuesjambes

le lundi 26 janvier 2009 à 11h20

En effet, pourquoi "convaincre " ?
de mon côté, je désire juste convaincre les gens que ce que JE vis ,c'est mon choix et il me rend HEUREUSE, donc, je n'aime pas qu'ils me fassent encore, et encore la leçon. Bien qu'en réalité, je m'en fou puisque c'est vrai, je suis heureuse et épanouie comme cela.

De mon côté, je vis mon coeur polyamoureux de plus en plus ouvertement. En réfléchissant souvent, je fini par adopter la description de Françoise " lutineurs, lutineuses" car le mot "amour" dans "poly" semble encore être un mot que j'utiliserais pour me justifier que ce que je vis "est bien, puisque je suis dans l'amour"
Un zeste de peur d'être jugée me ferait utiliser le mot "polyamour" plus que Lutineuse.

mais revenons en à l'envie, au besoin, ou au désir d'en parler autour de soi. Je le fais, selon les gens, les circonstances et mes enfants finissent même par dire à leur copines " mais parles-en à Maman, elle vit cela, elle aime plusieurs hommes en même temps". En fait, la liberté que nous vivons point de vue amour, elle est réèlle lorsque nous ne devons plus cacher notre joie de vivre avec ceux que nous aimons.

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Discussion : Aimer sans limites

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longuesjambes

le lundi 26 janvier 2009 à 10h42

Je crois qu'il n'y a rien à rajouter ! Tout est exactement, mot pour mot, ce que je ressens de l'amour !
Bien sûr que l'amour est illimité et donc, impossible à limiter, emprisonner à l'image d'un couple traditionnel tel que le conçoit nos sociétés occidentales.

Comme le démontre la partie visible des sondages de "l'iceberg Amour" tout prouve en effet que notre nature d'Humain est faite pour aimer sans restriction.

Je disais toujours, et je le redis : La parole de Jesus fut "aimer vous les uns les autres, comme vous même" et c'est devenu "aimer votre conjoint uniquement, comme vous même"

Moi, j'ai opté pour les "uns et les autres" comme le disait Jesus.
D'ailleurs,c'est la seule chose que je retiens comme message de cet homme.

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Discussion : Nos différences, entre les hommes et les femmes

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longuesjambes

le dimanche 18 janvier 2009 à 10h54

Hou là ! Cela va trop vite ! Ces derniers temps, j'ai peu de temps, et ce matin, alors que tous le monde dort encore, et fait la grâce matinée, je venais dire mes impressions.

MIV ! et Clementine de la Belgique ! ! !

Pouvez-vous me contacter le plus vite possible, dès aujourd'hui, sur mon adresse que vous trouverez en cliquant sur mon pseudo ?
C'est un peu compliqué de répondre sans avoir accès au messages, lorsque je me trouve comme maintenant, sur la page blanche qui me permet d'écrire ce tout petit mot.
Bon, je retourne au lecture des nombreux textes, mais MIV et Clementine, contactez moi le plus vite possible.

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Discussion : Nos différences, entre les hommes et les femmes

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longuesjambes

le jeudi 15 janvier 2009 à 18h27

Bonsoir à tous ! C'est un vrai régal de vous lire ! je passais juste comme ça, pour vérifier les derniers messages. Je ne vous dis que quelques mots maintenant, mais je reviendrai dans la soirée. Je poserai mes pinceaux, j'ai trop envie de continuer cette conversation ! Mais à l'instant précis qui est là, il me faut terminer encore deux trois chose sur ma toile avant qu'elle ne sèche trop.

A tout à l'heure !

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Discussion : Nos différences, entre les hommes et les femmes

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longuesjambes

le lundi 12 janvier 2009 à 08h06

MOi aussi, j'aimerais entendre les hommes s'exprimer sur le sujet : leur désir pour une femme reste-il intact après plusieurs années ensembles, leur faut-il vraiment des stimuli , le polyamour leur permet-il de garder ce désir pour leur nombreuses femmes aimées ? ? ? OUbien n'est ce que par lassitude de désir pour une femme qu'ils en aiment une autre ?

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Discussion : Nos différences, entre les hommes et les femmes

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longuesjambes

le lundi 05 janvier 2009 à 23h46

j'ai dû très mal m'exprimer !

OUI, les femmes sont des grandes lutineuses comme l'explique bien Françoise mais, en tout cas en ce qui me concerne, je garde mon DESIR pour mes amoureux aussi fort qu'au premier jour,si pas plus. Et encore plus lorsque je suis lutineuse, ce que j'avais vécu avec Pascal.
Je voulais dire que les hommes ne gardent pas intacte leur désir pour une femme. Au bout d'un certain temps, il s'etompe. Je trouvais cela assez général chez les hommes.
Mais je constatais que si ces hommes avaient la liberté de lutiner, parfois, et souvent cela leur permettait de garder intacte, ou enrichi, leur désir pour les femmes avec lesquelles ils vivent en couple.

Bon, je ne suis pas douée du tout ces derniers jours en écriture ! En Bref, je voulais en arriver là : le polyamour permet de garder le désir pour un amoureux ou une amoureuse plus longtemps que si on devait lui être exclusif sexuellement.
mais de façon général, en ce qui me concerne, si j'ai désiré une fois un homme, ce désir est acquis, que je sois en lutinage ou pas. Même si j'ai avec lui un temps d'exclusivité. Par contre, je constate que les hommes n'arrivent de toute façon jamais à garder ce désir pour une femme si ils sont coincés dans une monogamie. Ce qui le leur permet est souvent la pratique du polyamour.

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Discussion : Nos différences, entre les hommes et les femmes

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longuesjambes

le lundi 05 janvier 2009 à 08h54

En discutant avec quelques-unes de mes amies proches, je constate qu'elles ont les mêmes interrogations que moi sur les différences flagrantes entre la façon d’aimer des femmes et des hommes.

Lorsque je tombe amoureuse d'un homme, je l'aime de plus en plus et mon désir pour lui augmente. Chaque jour, même si cela fait plus d'un an par exemple, j'apprécie mieux ses traits de visages la forme de ses mains, la silhouette de son corps. Tout cela nourrit à chaque fois mon désir pour lui, ma tendresse.
Je n’ai pas besoin qu’il mette des habits sexy, ni qu’il fasse preuve d’inventions spéciales pour que ce désir soit nourri. Il est tout simplement nourri par la simple vue de lui-même, par sa simple gentillesse et galanterie.
Nos conversations, nos difficultés même, cela me rapproche encore plus de lui, et augmente mon amour.

Les hommes, cela semble une autre paire de manche !
Plus le temps avance, plus leur désir diminue. Les premiers mois, il leur suffit de nous voir pour qu’ils bandent. Et puis, on ne sait pourquoi, mais il faut trouver , en tant que femme, des trucs de plus en plus compliqués pour que leurs désirs reste vivace. Genre, mettre des minijupes, des bas jarretelles, de la lingerie de plus en plus compliquée, sexy etc…….
Mais ces mêmes hommes sont aussi satisfaits de rester avec leur femme, l’aimant confortablement, la baisant gentiment sans trop d’effort. Il y a la de la commodité pour eux, une femme toujours disponible, qui les aime de toute façon, donc, ce n’est plus vraiment nécessaire d’être aussi amoureux et galant qu’au début de leur rencontre afin d’obtenir de la tendresse et de l’amour.

Une de mes amies m’a fait une magnifique confidence. Elle est la maîtresse d’un homme qui vit en couple. En ce qui la concerne, cet amant est l’homme de sa vie, ils s’étaient rencontrés lorsqu’elle avait 19 ans. Cela fait plus d’un an qu’après des années d’absence, ils se sont retrouvés. Mais elle n’est que sa maîtresse. Alors qu’un jour, cet amant se retrouvait avec des amis et qu’ils jouaient à écrire la liste de leur « ex », ayant omis d’y écrire le nom de mon amie, un copain de l’amant lui dit :
- Tu oublies, la belle Louve !
- - Non, Louve n’et pas une ex. Elle, c’est comme au cinéma !

Comment se fait-il que deux êtres qui sont censés vivre et s’aimer tout une vie ensemble ont tant de différences ?
Car, comme me le dit Louve avec lucidité « Ce n’est probablement que parce que nous vivons dans un interdit que l’excitation et le désir persistent chez lui»

Les femmes, elles aiment leur homme comme au cinéma, pour toute une vie. Elles sont fidèles, et dans leur cœur, et dans leur désir, pour leur mari ou compagnon. Ce n’est que parce que ceux-ci s’éloignent d’elles en attention dans leurs rapports sexuels, que souvent elles prennent des amants. En fin de compte, elles aiment leurs époux et leurs amants.

Mais donc, pourquoi cette différence de désir entre la femme et l’homme ? Est une erreur de fabrication, ou bien est-ce nous qui nous nous trompons pensant qu’il faut vivre en couple exclusif avec un seul partenaire ?

Peut-être ne sommes-nous vraiment pas fait pour cela, peut-être que l’homme garderait plus son désir pour chacune de ses femmes s’il pouvait en aimer et désirer plusieurs en même temps ? Peut-être que les femmes seraient moins frustrées, pouvant être désirées et aimées par d’autres hommes que leur mari ou compagnon officiel ?
Ce qui se passe en général, c’est qu’un homme attend de se lasser d’une femme pour en rencontrer une autre, se lasser d’elle aussi et ainsi de suite. Je crois que s’il la culture sociale et religieuse dans laquelle nous serions élevés, permettait aux hommes et aux femmes d’aimer et désirer en même temps plusieurs partenaires, la lassitude envers ceux qu’ils ou elles aiment ne viendrait pas, ou en tout cas pas si vite.

Je me souviens lorsque je vivais encore avec Pascal et que je pratiquais ouvertement le polyamour, ou le libertinage, je me sentais de plus en plus amoureuse de Pascal, mon désir de lui, tel qu’il était et non tel que mes fantasmes le voulaient, grandissait.

Ce qui fait que je vais reprendre sérieusement ma vie de polyamoureuse en main. Si, si !

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Discussion : Polyamour et jalousie

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longuesjambes

le mercredi 31 décembre 2008 à 11h55

La jalousie est, comme beaucoup d'autres défauts" une sorte d'émotion.

J'ai surtout appris à ne pas la nier, la jalousie. Rien de pire que d'essayer de se convaincre " je ne suis pas jalouse". C'est alors qu'elle glisse dans la perversité et va pourrir son entourage.
S'il m'arrive d'être jalouse, je me contente de l'accueillir en moi, et de faire en sorte qu'elle ne dérange pas mon entourage. Parfois, c'est une petite jalousie bénéfique, celle qui stimule ma féminité, ma créativité, mon humour. En fait, j'aime me sentir un peu jalouse, ce sentiment me réveille de la routine, ou la lassitude, dans laquelle la relation avec un amoureux peut, éventuellement, sombrer.
Lorque c'est mon amoureux qui est jaloux et essaye de l'utiliser pour me faire du chantage ou des menaces de rupture, je n'y répond surtout pas.
Petit à petit, l'un et l'autre, nous apprenons simplement à contrôler notre jalousie, non pour ne plus la sentir en nos esprits, et coeurs, mais tout simplement pour qu'elle n'aille pas emmerder l'autre.

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Discussion : un extrait du roman " journal d'une femme qui aime les hommes"

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longuesjambes

le mercredi 31 décembre 2008 à 11h31

Bonjour La Brune

Il n'y a aucun problème à ce que vous preniez mon texte du moment que vous signaliez qu'il est écrit par Catherine Ailesse, alisas Longuesjambes, et que c'est un extrait d'un roman en construction.
Merci à tous pour vos commentaires, vos partages. Pour l'instant, il me faut absolument terminer d'autres "chantiers " en cours mais je reviendrai donner quelques commentaires car je suis très inspirée par ce que tous disent ici !

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Discussion : Il y a déjà plus de trois ans. . .

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longuesjambes

le jeudi 25 décembre 2008 à 10h53

Chère Clémentine !

Vous êtes une femme attirante et ma curiosité me pousse à vous connaitre mieux. Dès que les fêtes se calment un peu, je prend mes dix doigts et ce clavier pour répondre à quelques une de vos conversations ;
Bonnes fêtes !

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Discussion : Il y a déjà plus de trois ans. . .

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longuesjambes

le jeudi 25 décembre 2008 à 10h45

Chère Clémentine !

Vous êtes vraiment une femme intéressante et ma curiosité me pousse à vous connaitre mieux !

Dès que toutes ces fêtes se calmeront un peu, j'ai , en effet, de quoi répondre à quelques discussions que vous avez lancez !

je reviens, n'en doutez pas un instant !

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Discussion : un extrait du roman " journal d'une femme qui aime les hommes"

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longuesjambes

le jeudi 25 décembre 2008 à 10h42

Ce roman est en correction et est de moi. je ne devrais pas comme clea en donnez déjà quelques extraits, mais ici ,sur ce forum, je trovuais que le sujet pouvait y être traité.
Le roman est donc chantier depuis 3 ans, et je le termine fin février.

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Discussion : Pour une "biodiversité amoureuse"

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longuesjambes

le mardi 23 décembre 2008 à 18h08

Ce que je trouve le plus important, et c'est très ubtile aussi - car souvent pour ne pas perdre un amour, nous faisons ce qu'il , ou elle, aimerait - c'est la phrase de Françoise Simpère :

"Il faut avoir les épaules solides, et posséder une sacrée dose d'humour. Il faut surtout être sûr qu'il correspond à ses vrais désirs, qu'on ne le fait pas pour être à la mode ou faire plaisir à l'autre."

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Discussion : Quelques réflexions sur la sécurité des relations

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longuesjambes

le mardi 23 décembre 2008 à 14h26

"l'invité" ci dessus,, c'est moi, Longuesjmaes qui avait oublié de se connecter.

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Discussion : un extrait du roman " journal d'une femme qui aime les hommes"

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longuesjambes

le mardi 23 décembre 2008 à 12h01

Personnellement, j'ai longuement réfléchi à ces mots être trompée.
Je ne les ai jamais compris dans le contexte où ils sont généralement utilisés.
Être trompée, dans mon esprit, cela veut dire qu'on m'a fait croire quelque chose et que ce n'est pas vrai, qu'on m'ait menti, ou trompée sur la marchandise la faisant passer pour quelque chose qu'elle n'est pas.

Dans un couple, selon les critères sociaux si je dis « je suis trompée » cela explique que mon partenaire a eu une relation sexuelle, ou parfois même juste un baiser, avec une personne autre que moi.

Mais alors trompée par rapport à quoi ?

La tromperie devient réelle dès lors que mon partenaire se sent obligé de cacher cette infidélité, de ne pas la dire. Tout se fait derrière mon dos, il évite que je puisse savoir qu'il y ait une, ou d’autres relations extras conjugales.

En ne voulant pas me donner ce sentiment d'être trompée, afin d'éviter une souffrance chez moi, l’infidèle mentirait, cacherait, inventerait des histoires et c'est justement à ce moment-là qu'il me trompe. Ce n’est pas l’acte en lui-même qui est une infidélité, c’est de le cacher.

C'est pour cela que je suis incapable de cacher à Pascal, mon compagnon de vie, mes libertés, mes joies, mes aventures, ce qui me fait du bien.
Même si j'essaye, je n'y arrive pas, je le respecte trop pour lui cacher cela. Je n’ai pas besoin d’agir dans l’ombre car je suis certaine de mon amour pour lui, je ne doute pas que j'aime Pascal, cet amour n'a rien à craindre, il est sans condition, cela le rend infini.
Je l'aime et j'aime d'autres hommes. En aimer d’autres ne vide pas mon coeur de l’amour que j’ai pour lui, ce n’est pas comme un verre dont on verse le contenu dans un autre verre. C’est simplement une cascade qui remplit toutes les coupes qui sont sous elle.
Je ne lui clame pas à chaque fois que je vais voir un de mes amoureux, mais il me demande souvent « où vas-tu ? » et je lui réponds par la vérité. S’il ne me questionne pas, lorsque je reviens, rien qu'à ma tête, il sait.

Je l'aime cet homme, ce Pascal ! Il est fort, je l'admire de me prendre dans mes bras et de rire de mon amour des hommes lorsque je reviens d'une de mes escapades ! Je l'admire de ne pas laisser sa jalousie agir, je l'admire de savoir qu'il m'aime au point de me laisser être ce que JE SUIS. Je l'admire de travailler comme il le fait, je l'admire de son courage devant tous ces impôts imbéciles à payer, je l'admire de donner une pension à son ex-épouse pour leurs enfants - ce qui est normal ! - je l'admire quand d’autres femmes lui tournent autour, je l'admire quand je vois que l'une d'elles lui plait. J'admire tant de chose en lui.
(Sauf son désordre. )

J'ai pensé :, mais, qui je trompe ? Lui, moi ? Si je me force à être quelqu'un que je ne suis pas, c'est moi-même que je trompe, je me fais croire être une personne que je ne suis pas, je lui fais croire donc, que je suis une femme qui ne s'intéresse pas aux autres hommes. Les hommes qui aiment les femmes, qui ont eu plusieurs amours dans leur vie qui jurent fidélité à leur épouse le jour du mariage le font-ils par conviction, crainte, par devoir, avec joie, avec des regrets, sûrs de leur promesse?
Sont-ils dans le mensonge ou dans le souhait de vivre cette promesse avec sincérité ?
Dans leur esprit, sont-ils fidèles ? Le fait de ne pas passer à l'acte les empêche-t-il de ne pas y rêver, y songer ?
Depuis quand l'amour est-il mauvais? Depuis quand réglemente-t-on ainsi l'amour? Depuis quand aimer UNE personne, c'est faire preuve d'amour? C'est plutôt limité comme amour. Depuis quand réduit-on l'amour avec des lois, des cadres, des interdits, des règles? L'amour n'est-il pas infini?

Qui, qui, qui a mis ces sottes idées dans nos têtes ?
Les religions !
Paul de Tarse que je trouve stupide - celui qu'on ose appeler Saint Paul! - qui devait être impuissant, qui détestait les femmes, a exigé, via ses épîtres, que le monde lui ressemble. L’Eglise a pris modèle sur ces écrits-là essentiellement.
L’autre - que je trouve tout aussi mauvais (tant pis pour le blasphème dont je vais être accusé) - Mahomet, a voulu enfermer toutes les femmes sous des voiles et des lois du genre autorisation de lapidation si elles « trompaient » leur mari. Cela ressemble surtout à l’attitude d’un homme incapable de se contrôler, un homme totalement incontrôlable sous l’excitation que lui procure une femme, qui les culpabilise donc, les rendant responsables d’être femmes tout simplement

Ces deux hommes se sont vengés, ils ont assis leur domination sur elles, ils les ont rendu fautives de leur peu de contrôle sur eux-mêmes, elles sont devenues blâmables du désir qu'ils éprouvaient en voyant une belle femme, condamnables de les mettre sens dessus-dessous. Ils se sentaient humiliés de tous ses désirs qu'ils éprouvaient pour les femmes. L’un de ne pouvoir les satisfaire, l’autre de ne pouvoir leur résister, peu importe leur âge.

Tous ces gourous du genre qui ne sachant pas baiser convenablement une femme, ou qui étant incapables de se dominer pensent que le monde est comme eux, que tout le monde est comme eux. Ils imposent donc leurs maladies à tous par des lois de fidélité, par des lois de voile, par des lois de chasteté, de lapidation, d’obéissance aux hommes etc....
Ils se déculpabilisent en forçant le monde à leur ressembler.

Je ne crois pas un seul instant qu’à l’époque de Mahomet, les femmes se faisaient toutes violées, martyrisées et que c’est le port du voile qui les a sauvées !
Je pense plutôt que le monde n’a pas changé et comme aujourd’hui, à partir de quelques exceptions, on impose des lois qui limitent, culpabilisent, enferment toute une population entière.
En Belgique par exemple, suite à l’assassinat d’une nounou et sa petite par un raciste, une loi a été crée vite faite interdisant le port d’armes sans permis et tous ceux qui avaient un fusil ou une arme à feu devait la rendre à la police, qui croule actuellement sous des milliers d’armes ne sachant pas qu’en faire.
Les religions ont fait pareil : elles pondent des lois à partir de la frustration, la faiblesse d’une petite poignée d’hommes, mais en réalité elles ne font aucune éducation!

Bon, je suis fâchée dès que je suis lancée sur ce sujet ! fâchée de tant de siècles de manipulation parce que ces gourous ont eu l'intelligence machiavélique de dire « dieu m'a dit que... dieu me parle, je suis l'élu, l'envoyé de dieu »
Comment mettre la parole de dieu en doute ?
Comme le dit très bien Chahdortt Djavann « La légitimité des trois religions monothéistes procède du fait que cette légitimité est divine, donc absolue et hors de toute discussion. Et comme Dieu , Allah, Yahvé se font rares, les croyants doivent obéir à leurs représentants sur terre »


Juste avant d'être condamnée d'impie, je vais recopier ce que dit Raoul Vaneigem, mon philosophe préféré, avec Michel Onfray, de ce siècle :
« quiconque s'érige en messie, prophète, pape, imam, pope, rabbin, pasteur et autre gourou a le droit de crier au blasphème, à l'anathème, à l'apostasie, dès l'instant que l'on persifle son dogme, sa croyance, sa foi, mais qu'il ne s'avise pas de susciter un interdiction judiciaire à l'encontre des opinions qu'il exècre ni d'en vouloir interrompre la diffusion en menaçant leur auteur selon des méthodes d'Inquisition, de charia ou de mafia , que le sens humain révoque à jamais » Raoul Vaneigem " Rien n'est sacré, tout peut se dire "

Ma question est : pourquoi la fidélité sexuelle serait la plus belle preuve d'amour qu'on peut donner ? Pourquoi donner des preuves à l'amour ?
Pourquoi mettre en doute ces mots de vérité : je t'aime ?

Si des preuves sont nécessaires cela veut dire qu’il y a des doutes. L'amour ne se prouve pas, il EST, et cela ne se démontre pas puisqu'il EST.
Je considère comme une éventuelle preuve, si cela devait être nécessaire, que vivre avec la personne qu'on aime en est une. Bien qu’en ce qui me concerne, je sois douée pour vivre avec tout le monde, ayant un caractère simple. Mais en amour, c’est courir des risques : celui d’affronter le quotidien, celui de perdre dans les petits détails toute la magie de l'état amoureux, celui de ne plus supporter l'autre juste pour une brosse à dents toujours mise dans le mauvais verre par exemple. Je crois que toute personne qui propose à une autre de vivre avec elle démontre son amour pour cette personne.

Non, personnellement, je regrette que ce soit cette chanson qu'on nous impose de fredonner faussement : « être fidèle est une preuve d'amour »
C'est exactement ce refrain qui fait mal à ceux qui se croyant trompés concluent « il, ou elle, ne m'aime pas. » Alors que l'autre partenaire l’aime parfaitement si pas de plus en plus. Je crois sincèrement que ceux qui sont fidèles sans ce sentiment de devoir donner des preuves par leur constance, c'est que tout simplement ils n'éprouvent pas de désirs ailleurs. Ils sont nés comme ça : un seul homme ou une seule femme et les autres ne les intéressent plus. Ce n'est pas de la fidélité, c'est un tempérament différent tout simplement.

Ne désirer qu'un seul partenaire n'est pas plus une preuve d'amour. C’est tout simplement une démonstration d'exclusivité dans son tempérament. Le partenaire qui se sait être la seule source de désir de l'autre peut se sentir en effet plus en sécurité mais pas plus aimé que les autres. Disons que les autres ne sont simplement pas aimés, ce qui n'est pas si charitable en allant au bout d'un certain cynisme.

Il est bon aussi de se souvenir que c'est un instinct qui a mis au point ce concept de la fidélité : elle est apparue petit à petit, au fur et à mesure ou le clan s'individualisait de plus en plus. Précédemment, celui-ci prenait en charge les enfants. La mère avait moins peur de ne pas pouvoir nourrir ses enfants. Au fur et à mesure que l'individu s’est détaché du clan, la femme a eu besoin d'un homme pour nourrir ses petits. La femme dépendait des hommes, les hommes étaient les chasseurs et plus il y avait de femme à nourrir dans un foyer, plus cela mettait en péril les besoins de celles-ci et leur progéniture. Ce sont d'abord les femmes qui ont exigé la fidélité aux hommes. Elles savaient que les sentiments qui lient un homme à une femme parce qu'il a eu des relations sexuelles avec elle, sont forts. Ces sentiments risquaient de faire naître en lui des préférences pour distribuer les fruits de sa chasse.

Aussi, lorsque est apparue la certitude chez les hommes qu'ils avaient un lien de parenté avec les enfants, ce sont eux qui ont exigé la fidélité de leurs femmes.

Par l’exigence de la fidélité sexuelle, les hommes étaient assurés que c’était bien pour leur progéniture qu'ils chassaient et pas pour celle d'un autre homme. Tous cela vient en fait d'une forme instinctive d'égoïsme : « moi d'abord, mes enfants d'abord et surtout pas l'autre femme, ni l'autre enfant qui n'est pas de moi »
Les amérindiens n'avaient pas ces concepts-là, ils s'occupaient de la tribu, parfois les femmes changeaient d'homme au cours de leur vie, cela ne causait pas de problème pour leurs enfants, toute la tribu s'en occupait. Les hommes se permettaient de convoiter d'autres femmes. Je ne dis pas que la jalousie n'existait pas, elle se réglait, je crois à coup de bagarre s’il le fallait. Ou bien c'était la femme qui tranchait, elle choisissait. Je pense allègrement que toute cette histoire de fidélité débouche d'une individualisation naturellement égoïste. Cela n'a rien à voir avec l'amour, mais avec le besoin de survie, se nourrir, se protéger, avoir un toit, tout ce qu’éprouve chaque individu. Pas besoin de justifier de l'amour pour cela. C'est l'Existence qui veut ça.
Depuis que certaines femmes sont indépendantes financièrement, quelques unes osent reconnaître leur vraie nature de polyandre.

Souvent la question est « que cherches-tu ? » alors que je ne cherche rien.
Je vis, je donne, je reçois. Je ne prends pas si ce n'est pas donné.

Pourquoi ceux qui sont fidèles ne chercheraient-ils pas aussi quelque chose ? Une récompense par exemple, un bravo de la part de leur partenaire, une conscience tranquille ?

Le choix de la fidélité est un choix parmi des milliers d'autres. Je le respecte évidemment !

Je ne peux par contre, accepter que ce choix soit déclaré comme seul chemin initiatique pour un couple comme le prétendent le livre " fidélité et couple " paru chez Flammarion.

Je connais les deux chemins, j'ai été fidèle pendant longtemps et je ne le suis plus (dans le sens politiquement correct)
J'ai expérimenté l’exclusivité sexuelle. J'expérimente ce que tous appellent par erreur l'infidélité. Je connais les deux.
J'affirme que l'autre chemin est initiatique aussi, et ô combien initiatique pour un couple ! Il purifie l'amour qui lie deux êtres de tout égoïsme, de tout sentiment de possessivité.

C'est parce que je n'éprouve aucun besoin d'être aimée par un seul compagnon que je peux aimer plusieurs hommes chacun de façon différente comme j'aime aussi les femmes, les enfants, les animaux, la nature, chacun de façon adéquate. Luis Ansa disait, et je confirme, qu'il faut désirer l’autre avec ses sens pour pouvoir le percevoir et l'aimer. On peut désirer sans passer systématiquement à l'acte sexué. Je désire caresser mes chiens, leurs poils se glissant entre les doigts, je désire prendre mes canaris sur le bras, leurs petits crochets griffant doucement la peau. Je souhaite prendre dans mes bras mon amie Doudouce lorsqu'elle pleure, souffre.

L'amour sans désir n'est pas amour, je le crois.
L'amour sans désir est pitié ou devoir. Les plus grands saints classés comme tels par les églises sont ceux qui parlent de Dieu ou de Jésus avec sensualité. Ceux-là, je suis prête à les croire, ils aiment certainement l'objet de leur dévotion.

Je ne fais aucun mal à bercer dans mes bras un enfant que j'aime, que ce soit le mien ou celui d'une autre maman. (Tant que l'enfant le veut bien évidemment) Pourquoi serait-ce immature de le faire avec un homme que j'aime ou une copine?
Je parle d'après mon vécu, j'affirme d'après mon vécu : la vérité est multiple, mais elle est vraie que si elle est vécue par au moins une personne.

Je ne cherche rien dans mes amours multiples, j'aime.
Point.
C'est tout.
Pourquoi croire que celui qui a trouvé l'amour de lui-même devient d’office fidèle sexuellement envers son partenaire? Cela voudrait dire que toute relation sexuelle ne serait toujours qu’une recherche d’amour qui manque en nous-même, même si il n’y a qu’un seul partenaire.
En tout cas celui qui sait s’aimer lui-même devient fidèle à sa réelle nature, son réel tempérament.
Je ne cherche pas à être aimée. Je sais que cet amour est en moi et depuis, je n'ai plus peur de le perdre, il est partout, il n'est plus chez un seul homme qui m'aime.
S’il n'y a qu'un seul homme que je peux aimer, j'aurais peur de le perdre. Actuellement je n'ai pas peur de le perdre, quoi qu'il fasse comme choix, - même me quitter un jour bien que je tienne à lui pour le plaisir que j'ai de vivre avec lui - je continuerai de l'aimer sans avoir besoin de lui! Je ne m'accroche plus à personne, je donne si je peux, l'autre reçoit s’il peut, s’il veut. Je reçois si je peux, si je veux. Je serais vaniteuse de dire que je ne reçois pas ou que je n'ai rien à recevoir ! Recevoir le don de l'autre, c’est lui faire honneur, c'est l'enrichir de lui-même plus que de m'enrichir moi. Un pommier donne sans « fidélité » à son propriétaire. Ramasse qui passe, les pommes, les fruits offerts gratuitement. En mangeant ses pommes, l'homme rend le pommier utile, beau, gratuit, généreux. Je me sens pommier, arbre fruitier, c'est vrai. Je me sens aussi femme qui mange le fruit d'un homme. Mais il me faut laisser d'autres femmes manger les fruits de l'arbre sinon, je rends le pommier égoïste et sélectif. Je le fais pourrir en fait de tous ses fruits que je peux seule, manger.
Voilà aussi une initiation que ne peuvent comprendre que ceux qui l'ont expérimenté.

Ne peut parler d'initiation de l’exclusivité sexuelle que celui qui en fait l’expérience parce qu'elle vient du fond de ses tripes et non par convenance sociale. Alors, oui, il peut parler d'initiation. De ma part, la fidélité n'était pas un choix profond et réel, mais j’ai cru dogmatiquement pendant tout un temps en effet, que c'était une preuve d'amour pour l'autre. Dans mon cas, c'était faux. C'était de la lâcheté sociale.

J'aimerais que tous m'affirment sans hypocrisie que leur exclusivité sexuelle les rend heureux, épanouis, bien dans leur peau et que leur entourage ne souffre pas de leurs éventuelles frustrations. J'aimerais que tous choisissent cela, non pour faire les perroquets de la bonne morale ou de la bonne religion, mais parce que c'est un choix de leurs propres réflexions et surtout propres désirs!

Expérimenter, expérimenter, expérimenter, voilà la seule vérité. Si l'expérience donne du bonheur à soi-même et à l'entourage, c'est que c'est la bonne. Si elle crée des sentiments de malaise, et surtout de frustration - donc par là des attentes envers le partenaire et l'entourage - c'est que l'expérience n'est pas positive ni enrichissante.

Qui peut me répondre aux questions :
1) Pourquoi faut-il consacrer toute son affection et ses désirs à une seule personne ?
2) Pourquoi faut-il prouver l'amour ?
3) Pourquoi une seule personne, elle, et pas une autre, peut recevoir notre amour et cela devient une preuve d'amour pour elle ?
3') Ou : pourquoi faut-il aimer qu'une seule personne de tout notre être et ne pas en aimer plusieurs comme le suggère la phrase « aimez-vous les uns les autres comme vous-même »? On se limite depuis des siècles à « aimer un seul comme soi-même ». Personnellement, si j'osais exiger cela de mon partenaire, je me considèrerais comme un vampire, une ogresse, une grosse égoïste en manque d'amour, en peur de ce manque, qui veut tout garder pour elle-même.
4) L’exclusivité sexuelle initie à quoi ?

Une chose est certaine pour moi :
Ne peut être polyamour, sans risque de mettre son couple en péril, que celui qui est sûr de son amour pour son partenaire, sûr de sa propre force, et qui ne cherche pas à combler une grosse frustration. Ne peut accepter le libertinage de son partenaire que celui qui est fort en lui-même, qui ne construit pas sa propre estime sur l’exclusivité sexuelle de son partenaire, mais parce qu'il l'a découverte par sa propre fierté. Ne peut accepter le liberté de son partenaire que celui qui l'aime sans aucune condition et qui n'a pas été trompé sur la véritable nature, la véritable personnalité de ce partenaire dès le départ. Un homme qui aime les femmes ne devrait pas le cacher, une femme qui aiment les hommes ne devraient pas le cacher, il n'y a rien de mal ni de pervers à cela. Le cacher, c'est tromper son partenaire

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Discussion : Il y a déjà plus de trois ans. . .

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longuesjambes

le mardi 23 décembre 2008 à 11h34

. . . que j'écris et que je corrige le journal d'une femme polyamoureuse. Le début de ce roman se trouve sur ce blog ,dont je vous donne le lien . serialwriters.lalibreblogs.be/
Il fut avant ,ce deuxième blog, "serialwriters," publier en brouillon sur un autre blog dont j'ai tout enlever mais bientôt, j'espère terminer sa correction et l'envoyer à quelques éditeurs.

Amusant comme les choses se vivent et se révèlent plus tard à tout le monde !

Bonne journée à tous !

Longuesjambes

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