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Saint Quentin en Yvelines (France)

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Discussion : [En ligne] Café poly Paris de mars 2022 en ligne #25

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gdf

le vendredi 11 mars 2022 à 10h06

Hello
Avec la fin des contraintes sanitaires, est il envisagé de reprendre les cafés en présentiel ?

Merci

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Discussion : Dire je t’aime

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gdf

le lundi 23 septembre 2019 à 18h03

Le problème avec "je t'aime", c'est que ça peut vouloir dire tout et n'importe quoi.
Alors je ne le dis qu'accompagné du détail de ce que ça signifie, pour être sûr qu'il n'y ait pas d'incompréhension.
Quand je dis je t'aime à mon épouse ça ne veut pas dire la même chose que quand je le dis à ma lutine. Elles savent chacune ce que je veux dire quand je le leur dis.

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Discussion : Dire je t’aime

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gdf

le lundi 23 septembre 2019 à 17h59

Il y a des ombres dans "je t'aime"
Pas que de l'amour, pas que ça
Des traces de temps qui traînent
Y'a du contrat dans ces mots là

Tu dis l'amour a son langage
Et moi les mots ne servent à rien
S'il te faut des phrases en otage
Comme un sceau sur un parchemin

Alors sache que je
Sache-le
Sache que je

Il y a mourir dans "je t'aime"
Il y a "je ne vois plus que toi"
Mourir au monde, à ses poèmes
Ne plus lire que ses rimes à soi

Un malhonnête stratagème
Ces trois mots là n'affirment pas
Il y a une question dans "je t'aime"
Qui demande "et m'aimes-tu, toi?"

Alors sache que je...

(Jean Jacques Goldman)

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Discussion : Agressions sexuelles. La parole (manquante) des hommes.

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gdf

le mercredi 03 juillet 2019 à 05h59

artichaut
La proposition de ce fil n'était pas forcément de parler à tous les hommes, de convaincre massivement, etc.
Un terrain n'exclut pas l'autre. Si la pédagogie est importante ce n'est pas le seul terrain d'action.

La proposition de ce fil n'était pas tant de dire "vous", que de dire "je" (ou "nous"). Et d'inviter ceux qui le souhaitent (ceux qui y consentent !), à pareille introspection.

Merci pour la proposition d'introspection. Comme je l'ai dit dès le début, je suis d'accord avec la démarche, l'ai pas avec le vocabulaire. Tant qu'on est entre nous, c'est pas très grave.
Je pense que le vocabulaire utilisé nuit à la pédagogie, mais on a le droit de ne pas être d'accord, et si la pédagogie n'est pas le but initial de ce fil, j'arrête de vous embêter.

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Discussion : Agressions sexuelles. La parole (manquante) des hommes.

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gdf

le mardi 02 juillet 2019 à 18h04

Les bons mots, c'est les mots que les gens comprennent. Faute d'autre référence, ils les comprendront au sens légal. Si tu décides d'utiliser les mêmes mots dans un sens différent, il ne faut pas s'étonner de ne pas être compris.

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Discussion : Agressions sexuelles. La parole (manquante) des hommes.

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gdf

le mardi 02 juillet 2019 à 17h31

Une agression sexuelle est passible de 5 ans de prison.
A titre de comparaison, un vol est passible de 3 ans de prison. Des coups et blessure avec ITT de plus de 8 jours sont également passibles de 3 ans de prison.
Ce que tu dis, c'est que toucher les seins d'une fille sans son consentement, c'est plus grave que de tabasser quelqu'un suffisamment pour qu'il ait 8 jours d'arrêt de travail ? Je ne suis pas d'accord.
Comme je le disais, j'ai été agressé, j'ai eu le nez cassé. C'est même pas passible de prison, si ce n'est pas une récidive. C'est plus grave pour quelqu'un de se faire peloter que de se faire casser le nez ?

Il y a des fois où braquer les gens, ça peut être efficace. Il y a des fois où braquer les gens, c'est contre productif, parce qu'ils ne vont pas t'écouter et donc ils ne vont pas changer.
Dans le cas qui nous intéresse, je pense que c'est contre productif.

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Discussion : Agressions sexuelles. La parole (manquante) des hommes.

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gdf

le mardi 02 juillet 2019 à 15h45

Il est possible que j'ai participé à faire dévier cette discussion et j'en suis désolé. Comme j'ai essayé de l'exprimer, je pense qu'il ne faut pas nier notre part de responsabilité, mais il ne faut pas non plus dramatiser toutes les actions au risque de braquer une partie des hommes.

Puisqu'on parlait de voler des œufs ou des bœufs...
Quand je lis dans des textes "toutes les femmes ont été agressées, c'est bien qu'il y a des agresseurs" (pas forcément avec ces mots là, mais à peu près), j'ai envie de faire le parallèle avec une autre situation vécue : pratiquement tous les gens que je connais se sont fait voler un vélo dans ma ville. Et pourtant, je ne connais pas beaucoup de voleurs de vélo.
Je peux le dire, j'ai déjà volé. Des stylos à des collègues par exemple. Des fois inconsciemment et des fois consciemment (je me suis rendu compte que je l'avais pris, et j'ai décidé de pas le rendre). Mais j'ai jamais volé de vélo.
J'ai déjà perdu plusieurs fois un point sur mon permis, mais je suis jamais descendu en dessous de 11. Je ne conduis jamais bourré, et je suis respectueux sur la route.
J'ai déjà dépassé les bornes dans les relations avec les femmes (et aussi les hommes), mais je n'ai jamais violé personne.

Ce que je veux dire, c'est que si on dit aux gens, "vous êtes des voleurs", "vous êtes des chauffards" ou "vous êtes des violeurs", on les braque, ils ne se reconnaissent pas dans le même groupe que les voleurs, les chauffards ou les violeurs, et le message est perdu.
Quand le titre d'un article est "for monsters, rapists, abusers," etc., il ne faut pas étonner si le mec moyen se défend en disant "ce n'est pas moi". Ce ne sont pas les bons mots.
Pour être constructif, je vais proposer d'appeler ça les incivilités sexuelles du quotidien. Des trucs qui ne méritent pas la prison, et peut être même pas une amende, mais qui rendent la vie désagréable, et dont il faut prendre conscience pour pouvoir les éviter.

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Discussion : Agressions sexuelles. La parole (manquante) des hommes.

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gdf

le lundi 01 juillet 2019 à 20h12

bidibidibidi
C'est moi qui ait mal interprété tes propos. J'ai compris que ce n'était pas grave du tout, de la manière dont tu le disais. Tu avais l'air de le comparer aux jeux avec tes amis.

Oui, je le comparais bien au jeu des potes (le contexte étant que je connaissais cette fille, et que ce geste que j'ai eu avec elle, je ne l'aurais pas eu avec une parfaite inconnue ni même avec d'autres de mes amies), mais pas pour dire que c'est pas grave du tout, juste pour dire que dans l'échelle des gravités, c'est plutôt bas. Je suis sûr qu'on arrivera à trouver des trucs encore moins grave, mais c'est pas hyper grave non plus.

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Discussion : Agressions sexuelles. La parole (manquante) des hommes.

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gdf

le lundi 01 juillet 2019 à 19h26

bidibidibidi
Après, je dis pas qu'il te faut te flageller en place publique, juste relativiser la portée de ce genre de comportements.

C'est exactement ce que je fais, je relativise. Je compare à un comportement idéal, et je dis "c'est pas bien". Je compare à des comportements plus grave et je dis "c'est pas aussi grave". A aucun moment je n'ai dit que c'était pas grave du tout. J'ai comparé à des choses plus grave et moins grave pour essayer de voir quel était le niveau de gravité. C'est bien ça, relativiser, non ?

Message modifié par son auteur il y a 6 ans.

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Discussion : Agressions sexuelles. La parole (manquante) des hommes.

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gdf

le lundi 01 juillet 2019 à 19h10

bidibidibidi
Je t'encouragerai à retrouver cette fille et à lui demander comment elle l'a vraiment vécu, et à combien de personnes elle a mis un verre à la figure,

On est resté en contact épistolaire pendant un moment (c'était avant Facebook et WhatsApp...on devait prendre un stylo, et se déplacer jusqu'à la boîte aux lettres, mais on se racontait beaucoup plus de trucs...), et on a eu l'occasion de s'expliquer sur le sujet.

laurent59
je rejoins l'auteur du fascicule mentionné plus haut et certains propos d'artichaut concernant la nécessité première de reconnaitre que certains de mes agissements passés furent des agressions sexuelles, même si la personne qui les a subi n'a pas porté plainte, n'a pas dis non, ou a pu ressentir du plaisir au cours de ceux ci.

Sur ce cas particulier, comme sur d'autres, je reconnais que certains de mes agissements passés ont dépassé les limites de l'acceptable, que ce soit envers des femmes ou des hommes, et on peut appeler ça aggression sexuelle si ça fait plaisir à certains, mais je trouve que l'utilisation abusive du terme agression lui fait perdre son sens.
Il m'est arrivé souvent de me faire emmerder, mais je considère que j'ai été vraiment agressé le jour où on m'a cassé le nez.
La fois où mon voisin m'a poussé par terre devant les gosses, j'hésite...il y avait plus de peur que de mal.
Faudrait juste trouver d'autres mot pour nuancer la gravité des faits. De même qu'il y a des contraventions de différentes classes, puis des délits, puis des crimes...
En droit français, une agression sexuelle est un délit, comme la conduite en état d'ivresse ou les excès de vitesse de plus de 50km/h. Moi je suis pas parfait, il m'arrive de faire des excès de vitesse, mais jamais plus de 10km/h...
Que peloter une fille non consentante mérite une contravention, ça me va très bien. Que ce soit un délit (et donc passible de 2 à 10 mois de prison), je coince.

Message modifié par son auteur il y a 6 ans.

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Discussion : Agressions sexuelles. La parole (manquante) des hommes.

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gdf

le lundi 01 juillet 2019 à 15h49

bidibidibidi
Tu ne peux comparer un jeu entre potes et une agression sur quelqu'un qui n'a à aucun moment émit le désir d'être touché. C'est comme ne pas faire de différence entre un passage à tabac et un match de boxe.

Ce qui me dérange, c'est le mot "agression" à toutes les sauces. C'est comme mettre dans le même panier le fait de pousser l'épaule de quelqu'un, une gifle qui laisse une marque rouge quelques instants, un coup de poing qui laisse un cocard plusieurs jours et un passage à tabac qui envoie à l'hôpital. On peut appeler tout ça "agression", mais on mélange des trucs dont le niveau de gravité n'a rien à voir.
Tu me diras, qui vole un œuf vole un bœuf, et qui touche les seins d'une fille va ensuite lui sauter dessus à la première occasion, c'est la culture du viol. Mais je ne suis pas d'accord. Et à mon humble avis, mettre le gars qui pousse l'epaule et le gars qui passe à tabac dans le même panier, ça dessert le message plutôt qu'autre chose.

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Discussion : Agressions sexuelles. La parole (manquante) des hommes.

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gdf

le lundi 01 juillet 2019 à 13h15

laurent59
Pour en revenir au sujet, je plussois la réflexion de @bidibidibidi, la définition légale des termes 'agressions sexuelles' (délit) et 'viols' (crime) sont très clairs (et c'est un des points qui me fait enrager lorsque les juges requalifient un viol en agression sexuel, apparté perso) je pense que dans le cas de @gdf ce serait plus qualifié d'abus sexuel (donc une agression sexuelle) que de viol .

Je précise qu'il ne me viendrait jamais à l'idée de me plaindre de cet événement, même s'il peut être juridiquement qualifié d'"agression sexuelle". Ce que je voulais dire, c'est que ça me dérange d'avoir une définition tellement vague qu'elle englobe une relation où on est pas forcément très motivé (au milieu de nombreuses autres relations consentantes), le fait de toucher les cheveux de quelqu'un pour essayer, maladroitement, de manifester son affection (c'est un des exemples donné dans la brochure je ne veux plus être un violeur) et le fait de faire des attouchements sexuels (mains aux fesses, pelotage, etc.).
Ce n'est pas du même ordre, et on risque de tout mélanger. Et même les attouchements, ils peuvent être de plusieurs ordres. Ca m'est arrivé de toucher les seins d'une fille, juste par provocation, à une soirée. J'ai pris son verre de bière dans la gueule, c'était bien mérité, et ça m'a bien fait rire. Mais dans le même ordre d'idée, mon groupe de potes jouait souvent à touche zizi, donc j'ai moi même subi de nombreuses "agressions sexuelles" avec des gens qui touchaient mes parties intimes à travers les vêtements par surprise.
Je ne dis pas que toucher les parties intimes, des garcons ou des filles, c'est très malin, mais bon, on avait 15 ans, et on découvrait la vie. Toucher les seins d'une amie ou le pubis d'un ami à une soirée, c'est irrespectueux mais ce n'est pas non plus la fin du monde, et ce n'est pas aussi grave, par exemple, que de se coller à un(e) inconnu(e) dans le métro.

Message modifié par son auteur il y a 6 ans.

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Discussion : Que faire ?

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gdf

le mercredi 26 juin 2019 à 12h37

Bonjour zic
Deux questions pour commencer :
- le désir d'enfant est il partagé avec ta copine ?
- parlez vous ensemble de votre vie intime "au plus bas" ?

De façon générale, je dirais qu'il ne faut pas ouvrir son couple quand il ne va pas bien, sauf si c'est dans l'intention de l'achever. Donc mets de côté la meilleure amie, et règle ce qui ne va pas avec ta copine.une fois que c'est au clair, tu pourras élargir ta réflexion...

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Discussion : Agressions sexuelles. La parole (manquante) des hommes.

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gdf

le mardi 25 juin 2019 à 15h48

Je suis tout à fait d'accord sur le besoin de prise de conscience, mais je suis très mal à l'aise avec l'extension des termes "aggression sexuelle" et "viol".
Tels qu'ils sont, j'ai déjà agressé sexuellement (je m'en suis rendu compte après coup) et peut être même violé (mais personne ne m'a dit après coup "en fait j'avais pas envie").
Mais j'ai moi aussi été agressé sexuellement et violé. Oui ça m'est arrivé d'être réveillé au milieu de la nuit, j'avais pas envie mais j'ai pas osé dire non et je me suis forcé. C'est bien un viol, non ?
Ben ça me pose problème d'utiliser le même mot pour décrire quelqu'un qui réveille son conjoint au milieu de la nuit, quelqu'un qui s'impose à son conjoint par la force, quelqu'un qui s'impose à un inconnu par la force.
Ça ne veut plus rien dire...

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Discussion : [A vos témoignages] Quelles ententes/règles avez vous mis en place ?

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gdf

le jeudi 20 juin 2019 à 19h04

Ah ben justement, j'avais cherché des règles exemples, et j'en avais pas trouvé, on a fini par construire notre propre "contrat" avec mon épouse.
Je le partage bien volontiers (en ne gardant que la trame). C'est notre truc à nous, résultat de longues discussions, et chacun fera ce qu'il veut, mais si ça peut aider d'autres d'avoir une trame...

Article 1 - Objet
Gdf et Mme Gdf sont mariés et comptent bien le rester

Article 2 – Temps alloué aux lutins
Le temps maximum alloué aux lutins est limité à :
Un week end par mois (du vendredi soir au dimanche 18h00)
Un soir de semaine (du lundi au jeudi) par semaine
Le total weekend / soir de semaine ne peut excéder 4 nuits par mois glissant.

Article 3 – Planification
Les rencontres avec les lutins sur le temps commun doivent être placées dans l’agenda au moins 7 jours avant la date de l’événement.

Les rencontres n’ayant pas d’influence sur le temps commun n’ont pas à être placées dans l’agenda, mais l’autre doit être informé dans un délai de 24h, par un simple message “j’ai vu X tel jour”, sans autre détail.

Article 4 – Activités autorisées
Gdf et Mme Gdf sont complètement libres de leurs activités.

Article 5 – Nouvelles rencontres
Les nouvelles rencontres doivent être déclarées dans un délai de 7 jours à partir du deuxième rendez vous (les rencontres d’un soir ne sont donc pas concernées).
On ne peut s’interdire l’un à l’autre de fréquenter un lutin.

Article 6 – Budget
Le budget alloué aux sorties avec les lutins ne doit pas dépasser X% de la contribution nette au budget du foyer.

Article 7 – Protection
Les relations sexuelles avec les lutins doivent être protégées. Un bilan sanguin doit être fait une fois par an minimum.

Article 8 – Information
L’existence de lutins ne doit pas être communiquée en dehors des personnes concernées sans autorisation expresse au sein des connaissances communes du couple primaire.

Article 9 – Suivi hebdomadaire
Chaque dimanche soir, un bilan du temps passé séparément et ensemble sera fait.

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Discussion : Rencontrer son autre partenaire ? Bonne idée ou pas ?

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gdf

le jeudi 20 juin 2019 à 18h35

De mon côté, aucun des hommes de mon épouse ne veut me rencontrer (ils pensent que je suis dingue), mon épouse ne veut pas rencontrer mon amoureuse, qui n'y tient pas trop non plus. Je suis apparemment le seul du polype à ne pas être contre. Mais comme je ne suis pas non plus très demandeur, je laisse pisser...

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Discussion : Peut-on imposer son "besoin" de polyamour?

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gdf

le mardi 18 juin 2019 à 19h37

Lagriffeofficiel
Quand je parle d’égoïsme je dis sa par rapport au fait que sur le forum beaucoup de personne me donne l’impression que le poly-amour est une sorte de moyen soit d’evasion de son couple soit d’esquive Dés problèmes profonds au fond de son couple.

Je crois au contraire que pour que le polyamour fonctionne, il faut que le couple soit très fort. L'ouverture du couple peut révéler des problèmes profonds (révéler = les rendre visibles, pas forcément les créer), et tout le monde ne peut pas les surmonter. Par contre, mettre les choses sur la table, ce n'est certainement pas de l'esquive ou de l'évasion.

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Discussion : Peut-on imposer son "besoin" de polyamour?

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le dimanche 16 juin 2019 à 14h42

je pensais naivement que par amour il me dirait "bon ok"...mais cest évident quil nacceptera jamais et quil me mettra un ultimatum, et que je devrais choisir

Tu ne sais pas à l'avance s'il te mettra un ultimatum, ce dépend de lui. Tout ce que tu peux faire c'est envisager les possibilités pour toi, et les possibilités pour lui, et espérer qu'il y ait des matchs entre vos attentes.

Pour toi (non exhaustif)
- le quitter pour cet autre homme
- ne pas le quitter, mais voir l'autre homme
- ne pas le quitter, rester en contact avec l'autre homme sans le voir
- ne pas le quitter et renoncer à l'autre homme

Pour lui (non exhaustif)
- te donner son accord pour voir l'autre homme, mais en exprimant ce que ça lui fait (probablement de la souffrance)
- t'interdire de voir l'autre homme
- te quitter de toute façon
Etc.

Quelque part, chacun reste toujours libre de ses actions, et peut donc "choisir", mais il faut en assumer les conséquences.
S'il t'interdit quelque chose auquel tu tiens, tu peux outrepasser cette interdiction, et mettre fin à ton couple.

Si ni lui ni toi ne voulez vous séparer, vous pouvez en discuter et essayer de trouver un compromis.
Mais attention, il y a aussi la possibilité qu'il te laisse faire et que ça le fasse souffrir. Es tu prête à choisir de voir l'autre homme et rendre ton mari malheureux ?

Il n'y a pas de bonnes réponses, il faut juste être ouverte à toutes les possibilités, essayer, s'adapter, et accepter les conséquences quelles qu'elles soient...

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Discussion : Nouvelle polyamoureuse

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gdf

le lundi 19 novembre 2018 à 21h22

NRE c'est New relationship energy, c'est le petit nuage sur lequel on est au début d'une relation.
Une bonne facon d'aborder le sujet, c'est de passer par des bouquins. Le guide des amours plurielle de Françoise simpere ou vertus du polyamour de Thalmann.
Tu peux les lire toi même, plus ou moins ostensiblement, et ça engagera la discussion...

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Discussion : Nouvelle polyamoureuse

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le vendredi 16 novembre 2018 à 19h50

Bonsoir et bienvenue
Pour commencer, tes deux relations sont très jeunes ! un mois, c'est une goutte dans une vie ! Tu as sûrement des sentiments très forts pour l'un et pour l'autre, mais il est un peu tôt pour les connaître vraiment...
De façon très simple, si tu viens nous demander conseil à propos du "polyamour", on va te conseiller de dire la vérité et d'être transparente sur tes sentiments. Tu dis "j'ai peur de tout gâcher", mais c'est par le mensonge que tu risques le plus de gâcher !
De deux choses l'une, soit c'est acceptable pour eux, et ça se passera bien, soit ça ne l'est pas, et il vaut mieux le savoir le plus vite possible, non ? à quoi bon commencer une relation basée sur le mensonge ?

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