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Discussion : Reconnaissance du polyamour dans la société ?

Ame-Ours
le mardi 30 avril 2019 à 15h40
PolyMel
En espérant que les personnes ne se déclarent pas polyamoureuses en faisant du n’importe quoi, ce qui dégradera l’image des gens respectables et qui respecte les autres...
D’accord sur le fond. Mais en même temps quand on regarde parmi ceux qui se déclarent monogames et fidèles..... Le problème n’est pas tellement quels sont les comportements ‘déviants’ (par rapport aux intentions déclarées), mais bien comment la société regarde et juge ces écarts (manifestement avec un certain fatalisme voire presque un peu de bienveillance pour ce qui est de l’adultère...)
Pourquoi des cas limites de polyamour un peu ‘éthiquement sous-dotés’ (que je ne cherche pas à défendre pour autant) seraient-ils pires ?
Mais on diverge par rapport au message initial.
Comment reconnaître que le polyamour est mal reconnu par la société ? Pour moi un exemple concret :
L’air totalement incrédule d’incurables monogames en série, plusieurs fois adultères et qui en souffrent réellement, lorsque je leur parle du concept en leur suggérant de s’y intéresser un minimum, ne serait-ce que sur le papier.
Il reste du chemin......
Discussion : [Livre] élaboration d'une Bibliographie, commentée, sur le polyamour

Ame-Ours
le samedi 13 avril 2019 à 20h16
Il y a un ouvrage que j’aime beaucoup et que je ne vois pas cité souvent ici - peut-être un peu parce qu’il est en anglais...?
Il s’agit de
« More Than Two, a practical guide to polyamory » de Franklin Veaux et Eve Rickert chez Thorntree Press (préfacé par Janet Hardy).
Comme son titre l’indique il y a un petit côté « mode d’emploi » avec recettes pratiques à des problèmes ou difficultés usuelles. Mais aussi beaucoup de réflexions pour amener des schémas typés de la monogamie au polyamour.
Je trouve d’ailleurs que ce livre mériterait presque plus le statut de « bible du polyamour » que le célèbre « La Salope Éthique ». En effet, ce dernier a certes l’antériorité pour lui en tant qu’ouvrage majeur remarqué et très complet sur le côté pratique des amours libres. Mais justement, il y a entre les deux une différence importante à connaître : Ethical Slut parle surtout d’amours libres, More Than Two spécifiquement de polyamour.
Ainsi, quand le premier parle énormément de sexe, dans toutes ses déclinaisons et avec des exemples parfois assez ‘crus’, le second comporte beaucoup plus de contenu sur les relations, les sentiments, le développement personnel au sens large, les parties sur le sexe étant relativement bien structurées et délimitées et non omniprésentes. Les deux se rejoignent tout de même sur les questions de transparence bien sûr, et aussi de ménagement des sensibilités de chacun, formulation, négociation et respect de limites, etc.
Cette différence m’a paru soudainement majeure le jour où j’ai tenté d’intéresser des gens plutôt ‘traditionalistes’ au sujet... Bilan : n’essayez même pas avec The Ethical Slut ! C’est un peu comme amener vos grands-parents dans un club échangiste pour leur expliquer que vous comptez vous mettre en ménage avec votre nouvelle relation sans pour autant passer par la case mariage ^^
Discussion : Dieu est polyamour

Ame-Ours
le mardi 11 décembre 2018 à 13h09
prière
Est ce que vous avez des notions en physique quantique ? Arrêtez de limiter la foi et la croyance à la religion seulement ! L'idéal scientifique n'est pas un sophisme , vérifiez vos notions de base scientifique avant de donner et prétendre connaitre la réalité de la science!
Parlons de sophisme ! Je suis totalement fasciné par le processus rhétorique en lisant ceci :
prière
[...]
Au sujet de Dieu et la science, les grands scientifiques se sont toujours posés cette question il y a des magazines comme science et avenir, science et vie qui ont sorti des articles très intéressants sur ce point. C'est un débat depuis Aristote et qui va continuer encore avec l'Univers! La physique quantique aborde en effet, différentes réalités rien que dans l'infiniment petit!
Plutôt que "réalités" je dirais "descriptions", mais c'est assez juste. Par contre, crois-moi bien, aucune d'entre elle n'a besoin de Dieu (ni n'y fait appel). Il n'y a aucun lien entre ces notions (la physique quantique et la religion). On peut aimer voir Dieu derrière les lois de la physique, ou pas, comme on peut souhaiter le voir derrière une fleur ou toute belle (ou moins belle) chose de la nature. Mais ce lien est une vue personnelle, au gré des sensibilités individuelles, pas une réalité tangible au même titre que la science ou la fleur elle-même.
La physique quantique est une science exacte, pragmatique, aux formulations certes surprenantes pour le novice, mais qui fournit de très bons résultats tangibles - nous ne serions pas en train de dialoguer via "supports électroniques" sans une bonne compréhension de cette discipline... Sans nier ce qu'elle peut apporter à ceux qui l'adoptent, la foi (religieuse, pas la confiance en la science) n'a encore connecté aucun ordinateur ou téléphone au réseau...
Et en effet, si Science et Vie a développé des parallèles avec ambiguïté, c'est plutôt que Science et Vie fait son fond de commerce de raccourcis douteux. Vraiment, ce que dit bidibidibidi est juste : essaie de lire de bonnes revues scientifiques si tu veux t'intéresser à la science. Après, il y a la philosophie, à laquelle beaucoup de scientifiques se sont aussi intéressés, notamment en lien avec leur spécialité. Mais toujours en sachant que ces deux disciplines sont bien différentes. C'est précisément cette distinction qui est éludée dans les publications que tu mentionnes - ça fait plus "sensationnel" et vendeur, mais ça peut faire du tort, de toute évidence...
Discussion : Dieu est polyamour

Ame-Ours
le lundi 10 décembre 2018 à 19h59
Gugus
???
On ne doit pas parler de la même chose alors...
La science désigne justement le fait de s'appuyer sur des preuves.
N'est ce pas le contraire de la croyance ?
Je ne serais pas étonné qu’une bonne part de ce dialogue de sourds ne provienne d’un problème de rigueur dans le vocabulaire. Un mot a particulièrement attiré mon attention vers la fin du long message de Toinou ce matin, en association avec la science : confiance. Très bon choix.
Maintenant bien sûr si on dit que confiance et foi peuvent, dans la langue française, être parfois synonymes, selon le contexte; si on substitue systématiquement l’un par l’autre, sans se préoccuper de savoir si le contexte spécifique s’y prête vraiment; et si on lui assigne ensuite spécifiquement le sens religieux qui est l’un des sens possibles; avec ce même procédé sur tous les mots apparentés on obtient...... quelque chose de très proche de certains messages de ce fil !
Et puisqu’on a lancé le thème de la physique quantique, j’attends moi aussi avec intérêt la réponse de prière à la relance de Toinou.... après ça je lance un nouveau fil intitulé « le polyamour est de la mécanique quantique ». En se passant de l’intermédiaire divin....
Message modifié par son auteur il y a 7 ans.
Discussion : Novice pour un déconditionnement

Ame-Ours
le lundi 10 décembre 2018 à 14h04
novice
Il faut se déposséder de tout ?
Plutôt que de se déposséder, je dirais que c’est pratiquement le contraire : il faudrait se ‘réapproprier’
Par exemple, on a des des réflexes, des certitudes, qui nous guident. On ne peut aimer qu’une seule personne à la fois. En aimer deux c’est tromper et trahir. L’exclusivité sexuelle est le ciment du couple. etc etc.
Ces certitudes sont-elles vraiment nôtres ? Ou sont-elles simplement acquises ‘par défaut’, comme ‘imposées’ par l’influence des autres (éducation, règles sociales implicites ou explicites, ...). La réponse appartient à chacun.
On peut vivre en totale harmonie avec ces notions (et on reste un mono heureux, pour faire simple). Ou on peut réaliser après réflexion que non, ça ne correspond pas à ce qu’on ressent tout au fond, dans ses tripes. Il faut alors accepter que ces idées reçues ne sont PAS les nôtres, et retrouver la version, la variante que l’on a en nous et les faire nôtres - se les réapproprier !
Déconstruire veut dire se poser ces questions, et tenter d’y répondre POUR SOI, en faisant fi de toute influence culturelle, sociale, bref d’influence collective extérieure qui définirait ‘la norme’. Cela amène alors à ‘reconstruire’, élaborer toute une chaîne de raisonnements nouveaux, hors de la norme mais qui répond à une éthique personnelle défendable - pour soi-même, pas pour les autres... Il s’agit ici de pouvoir ensuite se regarder dans un miroir sans honte, pas faire une campagne électorale (bien que là l’ethique soit souvent reléguée assez loin, mais on diverge...)
Exemple simple (tendance simpliste) : Si je préfère aimer plusieurs personnes, pourquoi serait-ce mal ? Cela ferait-il du tort à autrui ? Oui, peut-être à l’une ou l’autre de mes relations qui ne souhaiteraient pas que cela se produise. Mais alors si j’en parle avec eux, les rassure et m’assure que la situation est acceptée ? Ça devient ‘éthique’ et acceptable, non ? Etc...
D’où l’ideé : avant d’arriver au polyamour et d’y être à l’aise, il semble assez judicieux de reprendre point par point tous les préceptes de la société qui sont en totale contradiction avec ce qu’on pense vouloir vivre, et vérifier qu’on sait bien leur tordre le cou sans risquer la crise de schizophrénie à tout moment. Déconstruire...
Est-ce plus clair comme ça ?
Message modifié par son auteur il y a 7 ans.
Discussion : Un peu perdu...

Ame-Ours
le mardi 16 octobre 2018 à 00h30
Eh oui, les parents c'est parfois un peu prompt à s'inquiéter, c'est comme si c'était l'impulsion de base pour aider le rejeton qui en aurait besoin. Sauf que ça peut être crispant et contre-productif :-/ (et j'ai la "chance", ces temps, d'être simultanément des deux côtés du parloir !)
Tout un sujet à part entière, complètement hors carde ici :-D
Si tu es en Haute Savoie tu es peut-être à mi-chemin entre la Suisse et Grenoble. Je sais qu'il y a eu des rencontres à Genève ces derniers mois mais je ne suis pas sûr qu'il y en ait de nouvelles à l'agenda. Il y en a par contre une par mois à Lausanne, les prochaines sont le 13 novembre et le 11 décembre, tu en trouveras plus ici
Discussion : Arrêter d'espérer trouver un deuxième "prince charmant"

Ame-Ours
le mardi 16 octobre 2018 à 00h11
enreflexion
De plus presque personne dans ma région.
Oui, c'est à ça que je pensais en disant "dans certains cas" : il y a de grands déserts géographiques sur OKC...
Par contre je rejoins Siesta et je précise : la partie payante de OKC c'est juste pour savoir qui t'a "liké" sans devoir les liker toi-même d'abord. Les messages sont toujours accessibles sans abonnement, mais ils ne sont pas faciles à trouver - ils n'apparaissent pas dans les conversations tant que tu n'as pas liké son auteur. Le message sera d'abord visible sur la page de profil de son auteur, le hic c'est que le site ne te dit pas directement de QUI était le message que tu as reçu, juste que tu en as eu un (quelle idée, non ?!?)
Mais il y a une astuce pour ne pas devoir liker la moitié du monde avant de découvrir le message : ils ont un cadre bleu autour de la photo de profil - reste à les dénicher dans la masse. Ou alors il faut utiliser le mode "DoubleTake", qui te présente les profils un à un pour que tu les "like" ou "pass". En effet ce mode va te présenter en priorité les profils qui t'ont écrit un message (et tu verras donc leur message avec leur profil complet, avant même de savoir si tu likes ou pas), puis ceux qui t'on juste liké (sauf que tu ne le vois pas si tu ne paies pas l'abonnement, mais ils sont là devant tes yeux malgré tout), puis les autres.
Ça ne va pas faire apparaître des profils dans ta région, mais si ça te permet déjà de lire le petit mot écrit et envoyé à ton intention, c'est irrésistible, non ? :-)
Discussion : Première expérience.... Et confusion... Suis-je trop idéaliste ?

Ame-Ours
le lundi 15 octobre 2018 à 20h36
Pour commencer, ton histoire de départ (ton mariage, ton divorce) me touche énormément. Elle est encore extrêmement récente (tu parles bien d’août cette année ???) et je SAIS ce qu’elle représente (sans m’étaler, j’ai vécu le même printemps et été que toi, avec les mêmes rôles mais les sexes inverses, et après 20 de vie commune - je compatis, vraiment)..
Du coup si tu es sensible comme moi, je conçois bien que cette expérience récente décevante fasse mal, si proche des autres blessures pas totalement cicatrisées... Et un bon gros dégât dans la confiance en soi.
Mais il y a lieu de relativiser. Tu envisageais une rencontre ‘légère’, elle a eu lieu et elle n'était pas totalement horrible si je comprends bien. Par contre tu avais aussi d’autres attentes, d’autres besoins, et là c’est très décevant. Mais pas rabaissant pour autant ! Ce n’est pas toi qui a raté quelque chose dans ce rendez-vous, ni qui a été nulle...
Même dans ce qu’il aurait fallu faire pour éviter ça (hormis un premier rencard dans un bar comme déjà souligné) tu l’as fait juste si je te lis bien, puisque vous avez échangé pas mal de messages où vous avez discuté vos attentes et goûts (préliminaires, sensualité...) - et honnêtement dans un bar il aurait juste continué à te servir le même rôle probablement...
Bin voila. La réalité de votre premier rendez-vous montre que vous ne parliez pas le même langage. Même si ça te blesse profondément vu les circonstances et c’est compréhensible, c’est ‘juste’ une divergence d’attentes, qui n’a rien d’une faute ou faiblesse de ta part. Il s’est montré égoïste, peut-être manipulateur, il n’est pas intéressant (ou alors tu le lui expliques et lui laisses une autre chance, mais d’ici en lisant ton récit ça ne donne pas l’impression d’être une bonne idée).
Par contre tu ne te dénigres pas, parce que je ne vois pas de bonne raison de le faire.
Oh et je ne vois pas le problème de poster ici. La non exclusivité, le polyamour, les relations libres sont un long chemin, il faut toujours commencer quelque part et aller chercher des conseils de temps en temps, à tous les stades. Ce que tu as vécu peut être le début d’un long parcours positif sur ce chemin, alors on va essayer de laisser ouvert le portail de départ !
Fais une petite pause, digère tranquillement sans paniquer, et..... recommence en mieux !
Discussion : Arrêter d'espérer trouver un deuxième "prince charmant"

Ame-Ours
le lundi 15 octobre 2018 à 19h54
Tiens, toujours pas vraiment une expérience personnelle en lien avec ton sujet, mais une autre réflexion :
Je vois que tu envisages, en fait, changer DEUX choses :
- des relations plus légères
- avec des gens déjà en relation
Tu ne dis pas quelles sont les raisons (multiples) des déconvenues, mais je peux imaginer que la non exclusivité en fait notamment partie (raison pour laquelle tu envisages changer ceci parmi les solutions).
As-tu pensé à ne changer qu’un des facteurs à la fois ? Surtout le seul que tu peux vraiment contrôler il me semble...
Commencer par orienter tes choix vers des partenaires non exclusifs (plus difficile, oui, bien que des sites de rencontre comme OKCupid peuvent aider dans certains cas), et laisser ces relations devenir ce qu’elles doivent, légères ou intenses tu ne choisiras pas complètement... sur ce dernier point tu peux agir sur tes attentes, certes, mais moins sur le résultat, il me semble.
Discussion : Comment relativiser ?

Ame-Ours
le mardi 17 juillet 2018 à 12h57
Avez-vous pu discuter de son polyamour, de comment votre relation existante peut s'intégrer là-dedans ?
As-tu eu l'occasion d'accepter, ou refuser, que les choses se passent ainsi, à ce rythme ? Peut-être cela est-il juste allé trop vite ?
Y a-t-il des choses rassurantes, réconfortantes, qu'elle pourrait faire pour toi ? Ou au contraire des choses qu'elle dit, fait qui augmentent ton malaise, ton insécurité, ta révolte ?
Parfois communiquer ses ressentis en toute transparence et en toute confiance débloque des situations apparemment épouvantables...
Discussion : Je me suis ouvert au poly

Ame-Ours
le mardi 17 juillet 2018 à 12h38
Difficile de dire si Martinpêcheur nous lit encore... bien qu'il ait re-posté pour débuter un nouveau fil après celui-ci.
M'étant trouvé moi-même dans une situation un peu 'symétrique' au même moment que Martin, et tétanisé à l'idée de devoir remettre profondément en question mon couple avec enfants - la fameuse "famille", j'ai beaucoup souffert à la lecture de certaines réponses plus haut, que j'avais ressenties comme très 'culpabilisantes', et joyeusement envoyées à l'emporte-pièces.
Mon histoire s'est depuis 'mal' dénouée. Je suis forcé de prendre un peu de recul, même si les blessures sont encore vives.
Alors oui, les enfants regretteront dans tous les cas une séparation des parents. A vrai dire, ils y trouveront aussi en partie des avantages par rapport à la situation "d'avant", même sans violence physique, sans souffrances extrêmes clairement affichées. Et tout cela dépendra complètement de la façon dont les parents le vivent, le conçoivent.
Le plan de réflexion dans une telle crise doit à mon avis être et rester le couple, la relation. Ne rien décider, ou justement décider, "pour les enfants", parce qu'"il le faut", ne va pas fonctionner dans tous les cas, dans ceux où précisément les difficultés relationnelles vont toujours revenir 'empoisonner', gâcher à l'excès la vie de la famille.
Si se 'rabibocher' est possible, tant mieux. Mais la question de savoir si on peut le faire, et comment le faire, ne doit rien avoir à voir avec les enfants, il me semble. Sinon on entre dans le domaine du chantage affectif (sur l'autre ou sur soi-même), et au final la contrainte. C'est bien la relation du couple qui doit rester au centre de CE débat.
Ce qui n'empêche pas bien entendu qu'une fois une voie choisie, quelle qu'elle soit, on prenne le plus grand soin des enfants, en parents responsables, en trouvant les mots qu'il faut selon leur âge. Les aider à nous suivre dans ce chemin de vie (puisqu'ils n'ont pas le choix sur ce point).
La complexité de chaque situation, de chaque relation à la base d'une famille, ne permet pas de poser "les enfants" comme à la fois une recette et un motif de décision de tenir "coûte que coûte", valable pour tous les cas.
Les enfants s'adaptent mieux au changement que les adultes, et surtout que leurs parents. Après une séparation, qui aura le plus de peine à faire le deuil du 'modèle social' du noyau familial ? N'est-ce pas ce point-là qui est le plus grand déchirement pour les parents, bien plus que la perte du couple (qui était déjà malade sinon mort depuis un bon moment lorsqu'on en arrive là) ?
Pour apporter une ressource utile à la discussion, on peut se référer à cet excellent petit guide sur l'enfant et la séparation des parents, édité en Suisse. Plutôt que de dire qu'il "ne faut pas" se séparer avec des enfants.
Polyamour ou pas, enfants ou pas, la relation qui va mal... va mal. La priorité est sa prise en charge, les soins qu'on veut / peut y apporter. Seulement ensuite peuvent venir les autres considérations - sans qu'elles soient pour autant des éléments "négligeables" et sans importance.
Message modifié par son auteur il y a 7 ans.