Polyamour.info

Siestacorta

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Discussion : Il faut bien commencer quelque-part ?

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Siestacorta

le jeudi 05 février 2009 à 11h06

Enhorabuena Benjamin !

Moins de succinssitude !

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Discussion : Il faut bien commencer quelque-part ?

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Siestacorta

le jeudi 05 février 2009 à 10h04

juste pour piapiatter, "âme soeur", ça me rappelle trop le mythe du "bon mec", des élus, du prince charmants, de la moitié arrachée et retrouvée dans le couple platonicien...

J'aime bien affinité élective, plus pragmatique, certes, mais pas moins riche...

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Discussion : Suite de notre histoire

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Siestacorta

le jeudi 05 février 2009 à 10h01

Lulutine> Tentée ? Mais le meilleur moyen de ne pas subir la tentation, c'est d'y céder, disait Wilde.

Plus sérieusement, ne joue pas la collégienne amoureuse transie... J'ai testé le point de vue masculin, ça marche pas du tout.

Par contre, et c'est un aveu de ma part... Il faut d'autant moins hésiter que le polyamour peut aussi être une "sécurité dans le risque". Oui, aussi bête et égoïste que ça : je le pratique (parmi un tas d'autres raisons) pour une question commune avec les monogames, la peur d'être seul. Avoir plusieurs vies affectives, c'est en avoir au moins une.

Oui, hein, c'est bête ?

Je sais... Mais c'est un moyen de concilier ma liberté intime et mes besoins affectifs. Je ne suis pas une île, même si des fois j'aimerai bien.
(je suis pas Lost non plus, c'est déjà pas mal)

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Discussion : Suite de notre histoire

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Siestacorta

le mercredi 04 février 2009 à 17h51

Oups, mal lu ton post...
Bon, bientôt 30 ans... Ben c'est plutôt bien, comme tu vois yen a qui mûrissent leur perception amoureuse bien plus tard !

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Discussion : Suite de notre histoire

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Siestacorta

le mercredi 04 février 2009 à 17h49

Lulutine> avec ton amie, vous avez quel âge ?

Parce que bon, faut pas croire, hein, les parents des fois ils ont eu une vie... Qui leur permet d'entendre certaine chose.
Et puis, tu peux commencer par dire que pour l'instant, votre couple est sur un mode ouvert. Ca va bien, vous êtes ensemble, vous avez des projets, mais vous avez des envies, vous vous interdisez pas d'explorer un peu.
Dans un premier temps, ce sera sans doute plus facile à dire et entendre que "oué je vais faire trembler votre structure soco-affective de merde sur se baaaaaases" :-)

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Discussion : Une femme si mystérieuse (ou chronique d'une infidélité comme une autre),

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Siestacorta

le mercredi 04 février 2009 à 11h37

Licence> merci, c'est pas toujours facile de trouver l'équilibre souriant/efficace.

Polyrateau> "et je dois avouer que je crains qu'elle ne prenne un amant, non pas pour assouvir un désir positif, mais plutôt pour se venger et me faire mal. "

C'est vrai que tel que tu racontes, elle n'a pas encore fait le même chemin que toi. Et si elle décidait de partir, même si ce ne serait pas pour les raisons qui te semblent valables, ce serait quand même triste pour toi aussi.
Maintenant, si elle prend un amant pour de mauvaises raisons... C'est pas si inintéressant. Parce que ce qui se passe dans la rencontre n'est pas ce qu'on se programme. Elle pourra éprouver du plaisir, de la compréhension pour toi, un amour... A ce moment là, il faudra à la fois être très à l'écoute sans être invasif (question d'équilibre : elle ne pouvait pas t'écouter quand tu vivais autre chose).
Mais avec la délicatesse requise, ce moment où elle fera sa fugue pourrait précéder celui où vous échangerez de façon plus directe...

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Discussion : Suite de notre histoire

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Siestacorta

le mardi 03 février 2009 à 18h33

Clem : ben oui... juger... Je suis un peu misanthrope, p-ê, mais je crois que nos proches nous jugent, et nous-même jugeons.
Après, on ne prononce pas forcément de sentence, hein.

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Discussion : Suite de notre histoire

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Siestacorta

le mardi 03 février 2009 à 14h21

Et c'est un plus de se savoir polyamoureux face aux témoins : on a quelque chose à répondre, expliquer...
Mais c'est pas simple de détecter cet instant où l'entourage préfère savoir ou ne pas savoir... Ca dépend tellement des mentalités.
C'est sûrement plus facile avec des gens qui nous connaissent de longue date, et qui ont d'autres éléments pour nous juger.

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Discussion : nos regards s'enlaçaient, un doux silence nous enveleppa, les vibrations s'échangeaient de plus en plus...

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Siestacorta

le lundi 02 février 2009 à 12h08

"Entre résignation et accepter les choses comme elles sont, il y a peut être une nuance... "

Oui : les choses telles qu'elles sont ne sont pas les choses telles qu'elles seront. Tandis que si tu te résignes, tu choisis de maintenir les choses en place.

"En vivre plusieurs en même temps, cela nous enrichit-il vraiment ?"

Ce n'est pas parce que c'est plusieurs que c'est enrichissant en termes quantitatifs...
Je vais encore faire mon immoraliste. Prenons un homme polyamoureux qui d'un côté, aurait une compagne principale, et de l'autre, enchainerait les aventures courtes.
Il apprendrait un peu, peut-être, mais ce dont il a besoin en plus de son couple, c'est d'une certaine qualité d'excitation, de séduction... De façon constante. Ca ne vient pas s'accumuler, c'est intégré dans son mode de vie.

"ou nous empêche t'il de "passer" un cap avec notre relation principale, pour aller encore plus loin ?"

Ca peut... On peut effectivement être dans l'évitement d'une difficulté de couple. L'intérêt du polyamour étant que la fuite ne serait qu'une fugue, avec retour, tu te change les idées, et tu as l'esprit plus frais pour analyser le dysfonctionnement... le tout sans avoir pipoté personne. Sauf éventuellement toi-même, un premier temps.
Maintenant... si c'est ça, choisis la monogamie, tu verras si la question revient une fois le cap passé.
Par contre, le "plus loin" dans un couple... je ne vois pas trop où, dirais-je un peu pour provoquer. Un couple, ça évolue, mais son idéal, c'est de rester "figé" dans l'amour, non ? Ce que je veux dire, c'est qu'il n'y a sans doute pas de bonus à passer ton cap, il y a "je veux être en couple mono et j'assume" ou les autres choix (le célibat, c'est bon de temps en temps, aussi...).

"N'est-ce pas, la résultante que notre relation (en cours) n'est pas suffisamment "vivante" et ne nous comble pas entièrement ?"

Si, mais ça c'est le constat basique des polyamoureux : nous ne sommes pas comblés par une seule personne, et ça nous parait normal.

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Discussion : Maitresse

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Siestacorta

le lundi 02 février 2009 à 11h41

Très juste, Noémie...
Il ne suffit pas que je sois libre, il faut encore que les autres le soient aussi.
C'est une maxime forte, et les conséquences pour Oasis existent réellement.

Malgré cela, oui, je tolère qu'une partie de la constellation ignore qu'elle est autre chose qu'un couple.
Au moins temporairement.
Parce que dans un univers "officiellement" monogame mais souvent très tenté par les aventures, la situation arrivera de toute façon, et en particulier à des polyamoureux, qui eux, ne se sentent pas trompé si il y a un tiers ailleurs. Ca facilite les dialogues.

Par ailleurs, en polyamoureux, on prend ses responsabilités, on assume ce qu'on fait. Oui, Oasis sera dans la position de maîtresse dans certaines situations, et pas dans d'autres : par exemple, elle n'est pas dans l'attente que la première partenaire disparaisse du paysage.... Par ailleurs, en polyamoureux, on est pas hypnotisé par l'idée d'un amour unique à ne pas faire capoter, quel que soit le sacrifice... Donc quand ça ne marche plus, on le dit, on dialogue, et si ça n'avance plus, on arrète...
Donc si elle peut vivre avec ces contraintes, qu'elle comprend la position de son amant, qu'elle trouve quelque chose dans la relation, pourquoi pas ?

A la rigueur, le "danger" de la liberté de sa polyamoureuse peut être positif pour l'homme adultère : il se dit que si il se retrouve tout seul dans son froc, c'est sa responsabilité. Dons soit il reconnaît son besoin de polyamour, et l'assume face à sa femme, soit il econnaît qu'il est mieux dans son couple, et basta.

Oui, avouer à la femme, le polyamour c'est cool, tu devrais t'y mettre, moi j'en fais depuis 4 mois... C'est coton.
Disons que l'aveu ne se fera sans doute pas sous cette forme, mais plutôt : "je te trompe, mais je ne veux plus mentir..."
Autre sortie probable : un mensonge qui introduit le réel.
"Que pense-tu du polyamour ? Réfléchis, lis-ceci, parlons en. Tu es d'accord ? quelques mois plus tard... Ben j'ai rencontré quelqu'un, bon, oui, il y avait un peu de tension entre nous avant notre accord et c'est vrai que ça a m'a motivé, mais en soi, mon amour pour toi et mon besoin de non exclusivité sont les mêmes..."

Je ne trouve aucun charme au mensonge, le polyamour est là pour l'éviter, et la situation idéale est de commencer avec cartes sur table.
Mais je trouve que le monde a tendance à pas attendre qu'on pose les règle pour jouer... Dans beaucoup de cas, comme pour le reste de le vie, il faut prendre le train en marche.

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Discussion : Suite de notre histoire

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Siestacorta

le lundi 02 février 2009 à 01h01

Bon courage.

Conseil : tout le monde n'est pas obligé de savoir exactement votre "statut"... Fais le tri entre ceux qui "doivent" le savoir, ceux qui peuvent l'entendre, et ceux qui seront plus à l'aise si vous gardez les apparences d'un couple classique...

Mais que vous en ayez discuté, en soi, c'est du bon !

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Discussion : Racontons-nous, un peu, beaucoup...

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Siestacorta

le dimanche 01 février 2009 à 14h42

Amorgen ?
Rien à voir avec l'ours, par hasard ?

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Discussion : Sur la jalousie

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Siestacorta

le samedi 31 janvier 2009 à 21h23

Un peu pareil que ce que dit Noemi...
Je ne suis pas vraiment sujet à la jalousie.
Ce dont mon partenaire a besoin, qu'il aille le prendre. Si je me sens pas rejeté / écarté après, et si j'ai le droit au même traitement.

Par contre, je suis sujet à la peur. Peur d'être regardé avec plus de critique, par comparaison. Que le voile se déchire, et que derrière on voit tous mes défauts et qualités manquantes... Bref, oui, me comparer à l'autre en ma défaveur, là, j'ai peur.
Mais ça ne se traduit pas par de la possessivité. J'ai plutôt des penchants de compléxé, je me dirai "ben ouais, elle a trouvé mieux, pas de quoi t'étonner, t'es nul".
Ca se retourne plus contre moi que contre l'autre, voilà pourquoi je parle de peur.

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Discussion : nos regards s'enlaçaient, un doux silence nous enveleppa, les vibrations s'échangeaient de plus en plus...

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Siestacorta

le samedi 31 janvier 2009 à 21h16

"les désirs, les besoins : "remonter" à leur source
- mettre en lumière certain "mobile" inconscient... (...) pour apprendre à entre mieux aimer l'autre - et tout le tuti psyho et Cie)
- (...)l'approche bouddhiste de la source des désirs et de la guirlande de tout ce qui indubitablement est est lié "

Ouéouéoué.
Ce sera un travail super enrichissant, et sur pas mal de forums liés au développement personnel, tu auras de l'écho là dessus.

Mais mon point de vue poly, c'est que ça ne vaut le coup de comprendre ces désirs que si c'est pour les accepter... Pas pour les mettre sous verre une fois qu'on les a bien dépoussiéré de ce qui nous empêchait de les voir.
Tu fais du travail sur toi, sur ton couple, c'est bien, il y en a tant qui n'en sont même pas là. Mais si comprendre ce qu'on veut est essentiel, le côté bouddhiste qui aboutit à ne plus avoir besoin du désir, j'y crois moins...
On peut être heureux comme ça, hein... Il y a des yogi qui vivent de rien, aussi...

Pour essayer de résumer mon sentiment, on doit essayer de distinguer l'honnêteté envers soi-même et un désir de pureté, de transparence.
L'un est certes un peu individualiste, mais accessible, quand le second peut être une sorte d'illusion lumineuse faite pour embellir notre difficulté à nous accorder à nos principes...

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Discussion : Un couple à trois

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Siestacorta

le samedi 31 janvier 2009 à 15h42

"Elle a ajouté en parlant de ma femme "c'est mon ennemie" si je pouvais la tuer, je le ferai. Elle a 17 ans."

Brut...
Mais justement, elle a 17 ans.
Ces mots sont à la fois très forts... et on le côté théâtral de l'adolescence.

Je remplis peut-être trop vite les trous avec ce que je connais de la situation (un de mes défauts principaux, assumé, donc renvoyez-moi-z-y en cas de malentendu, ça ne me blessera pas...), mais dis moi si je touche pas juste.

Je te la joue madame soleil...

Tu as un caractère fort. Pas forcément au quotidien, mais dans le long terme, disons persévérante/obstinée pour parler des deux faces.
Tu n'es pas vraiment dans les valeurs traditionnelles dures, mais tu as conservé un certain socle moral.
Tu as toi même du être dans quelques beaux conflits avec tes parents.

Bon, là je m'amuse, c'est pas bien grave et c'est hors débat.

Plus précisément pour te répondre, est-ce que vos enfants n'auraient pas de toute façon eu des rapports conflictuels avec vous, vu leur âge ? Et vu ton caractère ?

En fait, je dis ça pour deux images qui me frappent.
- toi dans la pièces si tes compagnons font l'amour. Je me garde bien de juger, je le prend juste comme "indice" sur ton caractère.
- la lionne avec ses petits.

Disons que je me dis du coup que tu as dû être aussi très présente et très fusionnelle avec tes enfants... et que leur propre émancipation vers l'âge adulte aurait de toute façon été marquée par ça, selon mon interprétation présente.
C'est à dire que votre découverte de la triogamie serait alors plutôt l'occasion d'exprimer certains sentiments et certaines passions que la source de ces mêmes sentiments difficiles.

Vous avez déjà envisagé les choses sous cet angle ?

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Discussion : nos regards s'enlaçaient, un doux silence nous enveleppa, les vibrations s'échangeaient de plus en plus...

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Siestacorta

le vendredi 30 janvier 2009 à 16h33

Mémémé... en fait je voulais dire la même chose, mais en insistant sur la prise de conscience des besoins.

C'est à dire que cette démarche vers le polyamour ne peut tenir que si on a arrêté de rejeter ses désirs... C'est dans nos désirs, dans le fait de se reconnaître légitimement aimant, qu'on va trouver la force de corresponde aux exigences d'honnêteté, de partage...

C'était juste une façon de bien mener les boeufs avant de charger la charruer, quoi :-)

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Siestacorta

le vendredi 30 janvier 2009 à 15h40

Je ne diminue pas ton courage actuel de vivre en te limitant, hein.
Je pense que ça demande de l'endurance, de la force, aussi, de subsister avec ses doutes et de ne pas tout balancer quand ça nous prend...
Cela dit, on s'appuie sur l'acquis, alors les apparences nous aident un peu.

Mais si ta force, celle de rester sur le droit chemin, ne sert pas à te rendre heureux, Brel te le dit, tu vas te rendre triste, et avec cet état d'esprit, rendre malheureux ton entourage, sans le vouloir, doucement, mais sûrement...

Comme aujourd'hui tu sais et pressens ce que tu veux, ça te fait un poids de plus à porter. De plus que si tu étais juste gêne aux entournures... Tu es conscient de tes possibles.

Cela dit, tu pourrais t'aider de quelques lectures, que ce soit des livres de Françoise Simpère ou de Paule Salomon ("Bienheureuses infidélités.".. je crois que la parti pris est moins radical que celui du polyamour, mais justement, tu trouveras peut-être les mots du mi-chemin avec ta femme...)

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Discussion : nos regards s'enlaçaient, un doux silence nous enveleppa, les vibrations s'échangeaient de plus en plus...

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Siestacorta

le vendredi 30 janvier 2009 à 13h08

Ouep. Et c'est là, dans l'idée d'un "autre bonheur possible", que le polyamour vaut mieux que le choix de la double vie.

C'est que tu fais une démarche intérieure, puis vers d'autres, pour assumer tes besoins multiples...

LE tout, c'est de démontrer, par tes actes, que la valorisation de tes désirs et besoins n'entrainera pas la dévalorisation de ta vie maritale.
Si tu aimes encore, bien sûr... si tu n'es pas juste coincé dans la situation par des valeurs, mais aussi par de vrais sentiments positifs.

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Discussion : nos regards s'enlaçaient, un doux silence nous enveleppa, les vibrations s'échangeaient de plus en plus...

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Siestacorta

le vendredi 30 janvier 2009 à 12h50

J'abonde, tu dois changer, à mon avis...
Menfin ta femme peut changer après aussi, hein.

Mais à mon avis, ça commence quand même par toi.

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Discussion : nos regards s'enlaçaient, un doux silence nous enveleppa, les vibrations s'échangeaient de plus en plus...

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Siestacorta

le vendredi 30 janvier 2009 à 11h05

Un bête copier-coller d'une partie de ce que j'ai répondu à Dolphin, qui était dans une situation similaire.

Je vais prendre quelques paroles de Brel dites à un journaliste, pour passer du particulier au général :

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- Et on ne peut pas vivre tout le temps en renonçant à ses envies, n’est-ce pas ? On devient fou, on devient malheureux et on emmerde son entourage.
-Mais ce besoin que tu as…
- C’est pas un besoin ! Je trouve anormal de refuser la peur tout le temps ! Je trouve anormal cette espèce de sécurité qu’ont… qu’ont bien des gens – je ne leur en veux pas du tout, bon sang que je les aime bien et que je les respecte ! – mais je ne pourrais pas, moi, vivre sans avoir peur, sans cette espèce de… mais calculé, pas bêtement, hein ! pas du tout ! c’est pas vivre, enfin, il vaut mieux être mort, quoi !
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Je suis peut-être un peu brutal, ta situation n'est pas drôle, et j'ai pas ta famille à gérer, bien sûr.
Mais si tu sors le nez du guidon, si tu prends de la hauteur...
Comme dit le personnage de Daroussin dans "le coeur des hommes", "ça vous prend jamais de vous demander qu'est-ce que vous feriez si vous étiez moins con ?"

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