Participation aux discussions
Discussion : 1 er café poly à Marseille avec Lili-Lutine ☺

Yoni
le vendredi 21 février 2014 à 11h52
Je viendrai peut être (d'Aix). Toujours pas de piste pour un lieu ? Je ne connais malheureusement pas tellement la ville.
Discussion : En combien de temps tombez-vous amoureux ?

Yoni
le mardi 28 janvier 2014 à 16h09
Encore une fois chacun sa définition. Pour certains tomber/être amoureux c'est le simple pétillement dans le regard pour une personne que l'on peut ne connaître qu'à peine. Pour d'autres c'est quelque d'intense, profond et qui n'existe qu'avec une très grande complicité et connaissance de l'autre. J'aime assez la nuance de bouquetfleuri sur ses deux expressions. Il y un état un peu viscéral, immédiat et relativement éphémère, et l'autre beaucoup plus mûr qui a pris le temps de se développer et de faire partie de nous en permanence.
Pour la 1ère définition ça va toujours très vite, quelques (1, 2, 6...) fois à côtoyer la personne. Pour la seconde c'est largement 10 à 100 fois plus de temps.
Discussion : Insécurité vis à vis du physique

Yoni
le jeudi 23 janvier 2014 à 14h30
Je n'ai pas précisé mais je ne fais pas tellement allusion aux "canons" de beauté vis à vis de la société. Les deux points de vue intéressants je pense sont celui du partenaire séduit par une autre personne, et celui de l'autre partenaire qui se compare à cette personne.
Le premier pourra garder son avis pour soi, même si je pense que ça doit vite se sentir.
Le second pourra s'imaginer moins beau/belle à tort, ce qui ne l'empêchera pas de continuer à le penser (et éventuellement complexer).
Comme le disait Siesta ça reste un critère parmi d'autres, mais je pense que c'est celui pour lequel on peut se sentir le plus en danger parce qu'effectivement on n'y peut rien mais surtout, c'est sans doute celui où il y a le moins de variation dans la façon dont il est jaugé par les autres (avis totalement subjectif).
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.
Discussion : Insécurité vis à vis du physique

Yoni
le mercredi 22 janvier 2014 à 14h01
Bonjour, je me pose comme ça quelques questions en vrac. Il y a de ça un moment, un collègue (disons même une connaissance) à qui une serveuse avait totalement tapé dans l'oeil me disait hésiter à aller la voir, lui parler. Juste après qu'il n'ait finalement rien fait et que l'on s'en aille, il me sort alors la photo d'une jolie fille sur son téléphone et me dit l'air de se justifier "non et puis bon, tu tromperais ça toi ?"
Outre le "ça" qui je pense en dit long sur tout ce le mec en question peut penser des femmes. Je me suis mis à penser. Est-ce qu'au final on serait (en partie) réduits à toujours chercher des partenaires de beauté maximum ? Je veux dire en fonction de sa propre vision de soi, de sa beauté, donc (attention cliché) de notre capacité à plaire à d'autres gens d'un degré de beauté donné. Je grossis, je vulgarise, mais l'idée est là et je ne ferais pas l'erreur de sous estimer nos instincts primitifs.
On voit bien que les hommes les plus influents, les plus riches, les plus beaux/célèbrent s'entourent généralement de belles filles. Cela semble superficiel au possible, mais justement, il me semble assez possible que l'on enfouisse cet instinct basique de ne juger quelqu'un que sur son physique sous une couche de morale, de raison et l'envie "de valoir mieux que ça".
Bon ça n'est pas vraiment le sujet, peut être que c'est là dans nos têtes, plus ou moins selon les personnes. Plus ou moins assumé. Et c'est sans doute beaucoup moins simple et basique que ça (en tout cas c'est ce qu'on voudra se dire).
Mes propres propos me choquent et je m'en excuse, mais bon la nature humaine n'est pas toute rose après tout ;-)
Ma question derrière ceci est que dans notre société monogame le choix est assez restreint, certains tromperont avec tout ce qui est à leur portée, d'autres changeront de partenaire souvent avec des partenaires à beauté égale ou supérieure. Certains se sont mariés avec une beauté équivalente à la leur et d'autres se résigneront ou bien seront moins basiques que je le prétends et seront juste très bien comme ça.
Et j'imagine que dans le milieu du polyamour il peut créer de nombreuses insécurités. Je me souviens avoir lu dans Opening Up des couples qui se fixaient des règles très strictes sur les autres partenaires : pas plus jeune que moi etc. C'est bien révélateur que des critères physiques (mais au final, pas que bien évidemment) peuvent être source d'insécurité.
Est-ce que la beauté physique de nouveaux partenaires de votre partenaire a déjà été un problème pour vous, là où un partenaire "banal" l'aurait été beaucoup moins ?
Discussion : Semaine de la Saint Sylvestre à la grange (Bourgogne). Temps fort : Soirée du 31 Décembre

Yoni
le mardi 07 janvier 2014 à 16h58
Loin de moi l'idée de vouloir être agressif, mais la nuance c'est souvent beaucoup moins explicite. J'ai peut être mal interprété mais je trouvais l'idée justement pas "ouverte" du tout.
Et un monde où tout est ouvert à tout le monde ...c'est déjà le notre (en théorie seulement, ok). Je ne crois pas qu'il soit légal de virer quelqu'un parce qu'on découvre qu'il est polyamoureux si ? Je veux dire ceux qui le cachent, c'est un choix personnel qui relève de la vie privée. On n'est pas obligé de faire semblant.
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.
Discussion : Semaine de la Saint Sylvestre à la grange (Bourgogne). Temps fort : Soirée du 31 Décembre

Yoni
le lundi 06 janvier 2014 à 10h24
Le-prince-charmant
C'est ce que j’appelle "extreme networking" (réseautage extrème) : mon plan à long terme serait de créer un réseau professionnel entre poly (quelque chose sur le modèle de network.ch), de manière à ne plus devoir faire semblant d'être "normaux" pendant nos heures de travail !
C'est d'un communautarisme extrême que je trouve assez malsain personnellement. Bien sûr devoir se cacher n'est pas sain non plus, mais la voie à viser serait plutôt d'être libre d'être ce que l'on veut publiquement plutôt que se couper des autres, ce qui revient exactement à vivre caché mais à plusieurs.
Je détesterais un monde où il y aurait une entreprise de noirs, une entreprise de gays, une entreprise de cathos, une autre de blonds, une autre pour les gens de plus d'1m80. Je pousse le raisonnement à l'extrême je sais ;-)
Discussion : Entre la tête et les tripes...

Yoni
le mercredi 13 novembre 2013 à 21h21
Merci pour ces réponses, très intéressantes. Et il est toujours "rassurant" de voir qu'on n'est pas le seul à avoir les tripes qui n'obéissent pas à la tête !
Discussion : Soirée Poly publique à Avignon le vendredi 25 octobre à 20H00☺

Yoni
le dimanche 27 octobre 2013 à 22h18
Merci à tout le monde pour cette soirée très sympathique dans une ambiance agréable au possible :)
Discussion : Amoureuse de 2 hommes : incapable de gérer

Yoni
le mardi 22 octobre 2013 à 22h49
Ce ne sera pas tellement utile, mais je pense que plus on s'enfonce dans le mensonge et plus difficile et douloureuse sera toute tentative de revenir à la normale.
Et j'ai aussi tendance à croire que tout mensonge ne peut que diminuer une relation. Après certains prônent l'adultère, et je veux bien admettre que ça soit la meilleure solution pour certaines personnes. Mais ce n'est pas le cas pour ton amant apparemment !
Le problème si "l'addiction" est déjà là, c'est qu'il est difficile d'accepter d'y renoncer pour retourner à une situation sans mensonge. Il est également difficile d'aller annoncer la situation actuelle au partenaire pas au courant, car déjà accepter le poly n'est pas chose facile mais accepter la trahison passée en plus ça me parait voué à l'échec.
Donc selon moi malgré la difficulté il faut accepter de le perdre au moins un peu, au moins temporairement, le temps de clarifier ta situation et ton couple ; et éventuellement préparer une nouvelle forme de relation pour à l'avenir rendre possible l'amour que tu vis aujourd'hui (et pas forcément avec ton amant).
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.
Discussion : À quel point cloisonnez vous les relations ?

Yoni
le mardi 22 octobre 2013 à 21h45
Je vois que la phrase a été mal comprise. Je parlais de cloisonner les relations de façon générale, ce qui inclut aussi les autres relations de vos partenaires. Autrement dit si vous êtes à la place de Cunégonde à quel point refoulez (ou intégrez) vous l'existence d'Albertine.
Mais on peut aussi étendre à tout l'opposé de ce que dit bodhicitta8 : et si jamais c'est le partenaire "du milieu" qui n'a pas envie que ses deux partenaires se connaissent (et supposant qu'ils en aient justement envie, eux).
dominik
combien ont été séduit par les valeurs et les idées "poly" mais se sont montrés bien embarrassés , voire incapable de les mettre en pratique dans la foulée ... sans temps d'adaptation ... et même parfois incapable tout court , etc, et ce, même avec la plus belle et sincère des volontés
... cela se passe tellement au plus profond de soi qu'il est impossible d'être totalement certain a l'avance de ses réactions , limites etc ...
l'expérimentation assortie de réflexion sont la voie vers la connaissance ... de soi , de l'autre ...
C'est ce que je crois (et ai vécu), on ne peut jamais prévoir (en tout cas totalement) ses réactions. C'est très bien dit :)
Mais je ne demande pas ici une formule tout faite, ou une clé pour savoir quoi faire. J'ai posté dans "Témoignage" pour simplement lire les différentes limites de chacun, celles qui ont déjà été éprouvées. Simple curiosité pour enrichir ma vision des choses !
Discussion : Je ne peux pas le vivre, j'ai tellement honte.

Yoni
le mardi 22 octobre 2013 à 21h32
Je pense qu'on est (beaucoup) plus nombreux qu'il n'y parait à avoir des difficultés, à devoir gérer cette "jalousie", et à ne pas être si facilement "équitable" à accepter les partenaires de l'autre comme on accepte le fait d'en aimer plusieurs nous même :)
Discussion : À quel point cloisonnez vous les relations ?

Yoni
le mardi 22 octobre 2013 à 14h00
Chacun vit le polyamour à sa façon, mais de ce que je peux en lire c'est le plus souvent des relations par "paires". Je ne sais pas si le modèle 1 relation principale et N relations secondaires est le plus courant. Mais dans tous les cas, si les relations restent avant tout partagées entre 2 personnes, à quel point les cloisonnez vous ?
J'entends par là, garder une part d'intimité, de secret. Également de se "concentrer" dans les moments sur une relation (une personne) plutôt que toutes, même pour des temps très courts.
Discussion : Un nouveau désespéré des relations amoureuses (multiples?)

Yoni
le mercredi 16 octobre 2013 à 14h41
C'est sans doute propre à chacun. Personnellement une rupture totale de contact avec une ex qui a rompu m'a empêché de faire le deuil de notre relation. Comme s'il manquait "la fin".
Mais je partage aussi l'avis de Green-Man-Outside. Garder une fréquentation amicale trop proche ne va pas aider à accepter que c'est terminé, on aura tendance à se leurrer et à continuer à agir comme un amoureux même si ça ne se fait que dans un sens. A moins d'avoir une grande volonté peut être ?
Discussion : Un nouveau désespéré des relations amoureuses (multiples?)

Yoni
le mardi 15 octobre 2013 à 20h59
Comme gcd68 je pense qu'il est très important de d'abord te demander ce que toi tu désires, quels sont tes besoins affectifs/sexuels et ensuite essayer de voir ce qu'elle pourra/voudra t'apporter ou non. Comme elle semble très instable, cet écart entre ce qu'elle a à t'offrir et ce que tu voudrais qu'elle t'offre risque de changer énormément et très souvent, mais je pense qu'il est important de rester à l'écoute de ce qui te manque et de lui en faire part (pas en tant que réclamation, mais en simple constat).
A toi de voir aussi si tu peux t'appuyer sur des amis, des activités ou pourquoi pas même d'autres relations, pour mieux vivre cette période tumultueuse ! Mais on oublie trop souvent de penser à soi ;-)
Discussion : S'auto-suffire nécessite-t-il un minimum de distance ?

Yoni
le mardi 15 octobre 2013 à 01h08
J'avais déjà lu cette idée dans un livre psy, et je trouve ça assez vrai, même si plus facile à lire qu'à faire. Et justement cette idée de s'abreuver à sa propre fontaine c'est ce que je voulais dire par auto-suffisance. Qui permet du coup de "donner" plus facilement car on est déjà relativement comblé par soi même. Peut être que cet état là permet de réduire cette distance dont je parle à terme, pour rester très proche quand les moments le permettent et "occupé ailleurs" le reste du temps.
Discussion : S'auto-suffire nécessite-t-il un minimum de distance ?

Yoni
le lundi 14 octobre 2013 à 23h54
Oui je n'ai pas évoqué la possibilité de rester fusionnel et poly car ça me semble quand même difficilement réalisable. Je vois plutôt ça pour des couples très unis qui ajoutent des partenaires mais qui ne vivent pas réellement de relations indépendantes avec d'autres. Enfin ça existe peut être quand même, mais je suppose que ça reste une microrité (c'est comme une minorité mais en plus petit, j'appelle Larousse sur le champ pour déposer l'idée).
Sinon je me retrouve assez dans ce que tu dis sur le comportement un peu rêveur, introspectif et contemplatif. En fait je ne sais pas trop où je veux en venir avec ce fil, mais je me demande de façon vague à quel point le mode de vie poly "réduit" la proximité/l'aspect-fusionnel. Comme l'équilibre est différent, forcément certaines choses se retrouvent dosées différemment je suppose (dont l'aspect fusionnel).
Discussion : S'auto-suffire nécessite-t-il un minimum de distance ?

Yoni
le lundi 14 octobre 2013 à 22h07
gcd68
Après, si par distance tu veux dire faire de ton côté des activités, des rencontres...
Non pas vraiment, plutôt (en exagérant beaucoup) ne plus compter sur l'autre, accepter l'idée de ne compter que sur soi même, même si ça n'est pas définitif et même si c'est en réalité plutôt faux.
Il ne s'agit donc pas d'ignorer la nouvelle personne et tout ce que ça apporte/transforme dans la relation existante. Mais prendre un certain recul, je ne saurais pas expliquer comment, pour que ces impacts soient "extérieurs" à soi.
@dominik : effectivement tout ça rejoint sans doute ce que tu décris, le déséquilibre d'avoir trop compté sur le désir de l'autre et d'avoir comme un trou d'air dans ce qu'on reçoit de l'autre. Et c'est justement cette recherche d'un nouvel équilibre qui me faisait penser qu'on devait s'auto-suffire. Et donc prendre un minimum de distance ?
Comme gcd68 je trouve que la limite amitié/amour est floue, certains amis ont des relations sexuelles, certains amoureux n'en ont pas. Et si on commence en plus à faire la distinction entre la passion (relativement éphémère) et l'amour de longue date, ça devient encore plus compliqué de classer les relations !
Et ce n'est pas mon fil, c'est un débart ouvert, livre de dévier où il déviera ;-)
Pour en revenir au sujet, les termes étaient un peu forts mais en même temps ils ne semblent pas tellement exagérés. De ce que j'ai pu lire ici, beaucoup semblent être relativement indépendants et donc quelque part "auto-suffisants". Ce qui ne veut pas dire qu'on peut se passer des autres sans problèmes, juste que même sans eux on ne se casse pas la gueule :)
Mais je peux me tromper.
D'où la question de savoir, de quelle façon était vécue cette indépendance (ou disons plutôt comment elle était atteinte !).
Discussion : S'auto-suffire nécessite-t-il un minimum de distance ?

Yoni
le lundi 14 octobre 2013 à 18h31
Tout d'abord, comme je l'ai lu ici je ne sais plus où, il s'agit plutôt de lire des témoignages et des expériences que des conseils ;-)
@dominik : je ne parlais pas spécialement de désir en parlant d'envie, car je généralisais à un peu tout, une envie de faire quelque chose ensemble pas forcément charnel, juste partager quelque chose.
Bien entendu, la limite entre les "envies" avec les amis et celles avec les amoureux(ses) se situe sans doute autour du désir. Mais bon à la limite la question peut se poser pour absolument n'importe quel type de relation, y compris amicale.
(gcd68 merci !)
Vous parlez d'accueillir dans un cercle, laisser la place à quelqu'un. Moi j'avais plutôt en tête des relations 1 à 1 en l'occurrence ! Comme je le lisais dans un autre fil (http://polyamour.info/discussion/-va-/Partir-en-week-end-ou-en-vacances-avec-une-amoureuxse-et-les), tout le monde n'a pas le même comportement mais on a quand même tendance à se "concentrer" sur une personne quand on passe du temps avec elle. Je pensais surtout à ces moments là où l'autre ne sera pas présent (ou peu) car avec quelqu'un d'autre. Des moments où au final il faut apprendre à "se débrouiller avec soi même", ou en tout cas s'occuper autrement.
Après bien sûr que il ne s'agit pas de distance de façon générale, plutôt à certains moments.
Discussion : S'auto-suffire nécessite-t-il un minimum de distance ?

Yoni
le lundi 14 octobre 2013 à 15h09
Bonjour, je m'excuse d'avance je vais certainement mal formuler mon propos car c'est assez vague dans ma tête.
Pour bien vivre le fait que son partenaire passe du temps avec quelqu'un d'autre, de façon intime (émotionnellement et/ou physiquement), je pense qu'il faut se détacher de l'autre. Sans pour autant cesser de penser à l'autre, j'aurais tendance à croire qu'on ne peut pas se sentir bien si on ne se recentre pas sur soi même, sans replacer son "point de gravité" sur soi, quelque part s'auto-suffire.
Je vois ça un peu comme un équilibre, lorsqu'on s'appuie sur quelqu'un et qu'à un moment il s'enlève, on doit retrouver appui sur ses deux jambes.
Avec une expérience trop fraiche mais pas mal d'introspection, j'en viens à me dire que cet équilibre nécessite un minimum de distance avec l'autre, ou plutôt de "laisser du mou" aux connexions que l'on a avec lui/elle. Sinon ça tire, et ça peut même arracher des parties de nous. Par connexions, je veux dire besoins/désirs/attentes et probablement beaucoup d'autres choses. Tout ce qui fait qu'on a envie/besoin de l'autre.
D'un autre côté je me dis que ça peut venir avec le temps, qu'on s'habitue à être en équilibre et s'auto-suffire sans pour autant se reculer, s'éloigner ; juste que l'on tient mieux sur ces jambes même quand on est "tirés".
Ou alors ça dépend avant tout des personnes (avoir cette force ou pas) et pas tellement de l'expérience. Qu'en pensez vous ?
Discussion : Amour = Souffrance

Yoni
le vendredi 11 octobre 2013 à 11h38
aviatha
Et je crois que Yoni rebondissait sur la situation de missbliss, il ne me semble pas non plus que tu ai dit quelque chose dans ce sens.
Effectivement, même si je rebondissais aussi sur les différents propos qui semblent dire que ne pas faire de choix est une éventualité. Selon moi il ne s'agit pas d'un choix de missbliss, mais plutôt d'un choix à trois, est-ce que la situation est inacceptable définitivement et si oui je pense qu'il faut trouver les réponses aux questions que je posais dans mon message précédent :)