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lyon (France)

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Discussion : Amour et partage , ce à quoi aspire tout poly amoureux.. Fêtons Noël le samedi 22 décembre à la maison (région lyonnaise)

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bouquetfleuri

le dimanche 23 décembre 2012 à 11h12

Merci aux merveilleux amoureux qui ont fait de cette soirée un moment rare. Merci à nos hôtes, merci pour ce somptueux cadeau de noël.

Passez tous de bonnes fêtes, et continuez à vivre dans cette allégresse qui se distribue si bien

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Discussion : Travaux libres à la grange et préparations du Week-End

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bouquetfleuri

le vendredi 21 décembre 2012 à 19h11

Moi je me vois bien en cuisine aussi du 2 au 9 avec mon amoureuse, allez savoir pourquoi...

Message modifié par son auteur il y a 13 ans.

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Discussion : Et la tristesse bordel ? (bis)

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bouquetfleuri

le jeudi 20 décembre 2012 à 15h23

Pleure, Cendre, pleure et va au bout de tes larmes.
Il te manque, quoi de plus normal que d'avoir envie en permanence de le voir même si tu sais que ce n'est pas possible ?
Pleure, et rigole en pensant à un truc ridicule que vous vous êtes dit, marie tes larmes à tes sourires pour bien savoir que ce n'est pas que de la tristesse.
Pleure et demande toi aussi si tu n'es pas sous pression, si tu n'es pas trop fatiguée, si tu n'as pas vécu ces temps-ci quelque chose de très fort qui te demande un peu de décompresser.
Et puis, écris-lui, en secret, tous les jours, tous les matins, tous les soirs de petits mots que tu lui montreras comme un cadeau et comme un trophée : voilà ce qui m'a aidé à t'attendre et à te faire exister encore plus en moi.
Imagine le bonheur que vous aurez de lire ensemble ce que tu lui écris, mais pour cela, il faut qu'il soit absent.
Alors pleure, et souris, souris et souris.

Bon courage, il revient bientôt !

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Discussion : Le suis-je vraiment ?

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bouquetfleuri

le mardi 18 décembre 2012 à 10h02

Je surligne ce que tu dis, LuLutine, l'exemple est éclairant. Et pour moi, la vérité, quelque soit son contour et sa signification, est tout simplement un choix écologique. Elle demande moins d'effort et offre plus d'efficacité, plus de liberté et moins de barrières à franchir.
Ce qui ne veut pas dire que c'est facile, mais simplement que c'est moins difficile que le mensonge, quelqu'en soit son contour.
La vie bien sûr n'est pas binaire et dans toute affaire où l'humain s'invite un équilibre est nécessaire jusque dans ses choix les plus principiels, mais en ce qui me concerne, le choix de la vérité éclaire beaucoup les autres.

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Discussion : Le suis-je vraiment ?

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bouquetfleuri

le lundi 17 décembre 2012 à 10h04

Et la vérité, comme la raison, se trouve souvent à deux ou plus.
Je veux dire par là que sa propre vérité n'est pas intéressante si elle ne peut pas être entendue.
En revanche, faire se dévoiler une vérité utile, nécessaire aux yeux de chacun est un travail d'échange, une construction qui s'éloigne parfois de ce que l'on croyait être la vérité.

Je crois qu'on ne cherche pas la raison contre les autres, mais avec les autres.
Mais ce n'est jamais simple ou facile, parfois cela peut même être douloureux dans un premier temps.

Message modifié par son auteur il y a 13 ans.

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Discussion : Amour et partage , ce à quoi aspire tout poly amoureux.. Fêtons Noël le samedi 22 décembre à la maison (région lyonnaise)

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bouquetfleuri

le lundi 17 décembre 2012 à 07h25

J'apporterai sans doute une terrine, et de la lumière dans les yeux, parce que je viendrai avec mon amoureuse.

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Discussion : Le suis-je vraiment ?

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bouquetfleuri

le dimanche 16 décembre 2012 à 22h33

Je faisais une distinction entre vivre une certaine solitude et ressentir ce sentiment d'isolement, d'abandon.
Ce sentiment-là ne doit pas exister, sinon cela signifie qu'on a mal préparé, mal parlé, mal organisé l'irruption d'une nouvelle relation, qu'on ne se sent pas assez partie prenante, partie prise et emmenée.
Sinon, oui, vivre quelques moments seuls, même longs cela se supporte très bien.
Même avec de gros manques...

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Discussion : Le suis-je vraiment ?

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bouquetfleuri

le dimanche 16 décembre 2012 à 19h29

On est bien d'accord, Siestacorta. Le polyamour permet aussi de choisir une belle solitude.
Mais quelle que soit la manière de la vivre, la solution est toujours le fruit d'un dialogue.

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Discussion : Weekend poly à Lausanne

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bouquetfleuri

le dimanche 16 décembre 2012 à 19h06

QUI A RENDU MALADE LILILUTINE ?

M'enfin, c'est pas sympa pour les amoureux ! hihihi

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Discussion : Le suis-je vraiment ?

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bouquetfleuri

le dimanche 16 décembre 2012 à 19h01

Changer de partenaire, glisser d'une relation monoamoureuse vers une autre relation monoamoureuse, c'est un peu l'inverse de ce que permet le polyamour !

L'argument de la lésion détermine bien l'écueil à éviter. Bien sûr que personne ne doit être lésé, bien sûr que personne ne doit ressentir de sentiment de solitude, et pour cela, le travail à faire est bien de l'ordre de l'autorisation : c'est à votre couple, uni, qu'il revient de permettre une ouverture à une autre relation dans votre vie, directement expérimentée par toi et acceptée par ta femme. L'inverse se fera peut-être plus tard.
Vous allez bien être obligé de faire ce travail en parallèle puisque tu as commencé par le résultat.
Dans tous les cas, c'est la solidité du couple qui permet un point d'appui à ce levier amoureux, et seulement cela.
Le polyamour n'est pas une béquille pour couple bancal, jamais, sinon tout le monde se casse la figure, dans des configurations rarement heureuses.
Et si penses sérieusement manipuler ton couple avec ce projet de polyamour mal ficelé, tu risques quand même de passer à côté d'une sacrée chance, celle de connaître, ensemble, encore plus d'amour.
Peut-être que ni ta femme, ni toi, ni ton amoureuse ne méritez de passer à côté de cette chance.

Message modifié par son auteur il y a 13 ans.

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Discussion : Le suis-je vraiment ?

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bouquetfleuri

le dimanche 16 décembre 2012 à 13h13

Bexi,
un homme a autant besoin qu'une femme de savoir qu'il est aimé...

Pour ma part, je crois vraiment qu'il est possible de tout entendre dans une relation amoureuse, à condition que ce soit dit.
C'est le silence, ou ce qui est caché qui est impossible à entendre et qui génère du malheur.
Après, les solutions visant à amoindrir une souffrance, à éradiquer un problème comme à réaliser un projet heureux (c'est parfois la même chose) sont le fruit de ce dialogue amoureux, et propre à chaque relation.

On n'imagine pas à quel point les amoureux peuvent être créatifs et audacieux quand ils se sentent en confiance.

Et je suis bien d'accord avec toi, il faut être honnête, jusqu'au bout de son amour.

Plusamicalement...

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Discussion : Le suis-je vraiment ?

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bouquetfleuri

le dimanche 16 décembre 2012 à 09h19

C'était pourtant l'occasion rêvée ! (enfin, vu de l'extérieur)
Il me semble que tu ne devrais pas te charger de tout. Et qu'une fois tes deux amours mises en présence, tu saches aussi leur faire confiance pour vivre le mieux possible cette nouvelle donne.

Pour que cela soit possible, il faut absolument en parler.
S'enfoncer dans le mensonge, c'est entrer dans une cocotte minute. Elle a beau être résistante, elle explose un jour ou l'autre.
Et surtout, ne pas imaginer de plans de com ou autres réponses qui ne viendront peut-être pas comme tu les attends.
Parler, ouvrir son coeur, simplement. Offrir à ta femme ta vulnérabilité, comme tu vas lui demander de le faire pour toi. Associer votre force et vos efforts pour regarder cet avenir incertain. Lui demander de t'aider à résoudre quelque chose qui s'impose à toi et qui te laisse démuni en l'état actuel des choses. Lui demander d'entrer dans un nouveau projet. Vous autoriser à rester amoureux.

Mais il faut parler.
Courage !

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Discussion : Concours de slogans

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bouquetfleuri

le samedi 15 décembre 2012 à 21h27

"Pas de péché originel, que des familles originales", je le trouve très bon celui-là. Celui d'Aurore est très drôle aussi
Bonne manif !

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Discussion : Rencontre poly interrégionale

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bouquetfleuri

le samedi 15 décembre 2012 à 18h39

exact, LuLutine, le Bubble Bar a refusé de réserver une salle pour une réunion poly ce jour-là...
Mais d'ici le 8 février, on devrait bien trouver

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Discussion : Weekend poly à Lausanne

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bouquetfleuri

le samedi 15 décembre 2012 à 18h06

Si, si, amusez-vous et vous nous raconterez, comme cela en partageant votre plaisir, on aura un peu moins de regrets !

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Discussion : Les signes de l'amour, et l'amour des signes

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bouquetfleuri

le samedi 15 décembre 2012 à 18h04

C'est bientôt Noël, ce texte est mon petit cadeau et si vous êtes gentils, il y en aura peut-être un autre... hahaha

L’amour est une nouvelle religion, un nouveau réceptacle du sacré ou plutôt comme le définissait Romain Rolland, nouveau sentiment océanique, cette envie de faire « un » avec le monde.
Outre sa contribution à la pérennisation de l'espèce, l'amour a pour fonction de remiser l'angoisse fondamentale, celle qui naît au contact de la vie, avec la conscience de sa vulnérabilité d’être humain, au fin fond de son être.
Et la rencontre avec l'autre rend effectivement plus vivant parce qu'elle balaie cette angoisse.
Voilà le sentiment de libération qui accompagne le sentiment d’amour.

Quand on est capable d’aimer, on peut devenir solide, et fier. Amoureux, on conquiert le monde, fier et solide.
D’ailleurs, on ne se satisfait pas d’être amoureux, il faut que cela se sache.
Ainsi, les amours coupables se trahissent dans des notes d’hôtel oubliées dans une poche pour être trouvées, des messages téléphoniques pas effacés pour être lus, un soin nouveau apporté à son apparence pour être remarqué.
Ainsi, les amours autorisées, celles qui transforment les amoureux en auteurs de leur vie, s’exposent, se montrent, se démontrent et assènent sans cesse la preuve qu’elles sont possibles parce que l’un et l’autre se sont réunis, trouvés, rencontrés, choisis au hasard ou non, et spécialement cet un et cet autre-là.

Mais, être amoureux est un état, pas une action. Le comportement amoureux lui, est une action.
En plus de tous les discours plus ou moins élaborés, l’état amoureux produit à profusion des signes inconscients que met en place, régule ou tente de réguler le comportement amoureux dans une dialectique qui relie les intuitions. C’est ainsi qu’en plus de dire à la terre entière qui on aime et comment on aime, on va aussi le dire, et différemment à celui qui répond, qui produit et élève ce même amour.
Qu’exprime-t-on à l’autre par ces signes inconscients ? On lui dit clairement : c’est grâce à toi que j’échappe à mon angoisse et je te remercie. On lui dit : tu es important pour moi. On lui dit : notre dialogue repose sur notre nature autant que notre culture, et je te montre comment tu me permets de vivre ou mieux vivre ou vivre différemment, et comment tu me permets de faire des choix qui me conduisent à me sentir moi. On lui dit : tu me fais exister à ta façon. On lui dit aussi : montre-moi comment j’existe pour toi et comment je te permets d’être heureux. Parfois on souligne tout cela avec des mots connus, avec des gestes répertoriés, consciemment.

Voilà pourquoi les amoureux ont besoin de signes, non pour acter une possession, ou enregistrer une exclusivité, encore moins poser une assurance sur le temps à venir, mais pour apprécier tout le bien qu’ils peuvent faire à l’autre, ce bien que l’on ne peut pas se faire à soi-même. Les amoureux attendent ces signes de l’être aimé, toujours, et sont prêts à les recevoir, en permanence. Aucun amoureux ne trouve inappropriée telle manifestation d’amour, aucun amoureux ne trouve qu’on lui dit trop à quel point il est aimé. Il en va de même avec les signes inconscient, mais ces signes varient comme varie l’amour.

Quand on aime plusieurs personnes, on produit encore plus de signes. Et quand on offre à l’un les signes amoureux destinés à un autre ou aux autres, c’est une richesse supplémentaire, à la condition expresse que les signes destinés aux autres ne se substituent pas mais s’ajoutent à ceux destinés à l’un. Sinon, c’est l’effet inverse, il y a appauvrissement de la syntaxe, désuétude de la sémiologie amoureuse, répartition calculée, partage d’un butin, vision commerciale d’un sentiment à consommer ensemble. L’amour ne se consomme pas, ce n’est pas une matière et les signes ne se distribuent pas comme le temps qu’il faut organiser pour permettre aux relations de se construire.
L’injonction paradoxale « je t’aime , sois tranquille » ne sera jamais entendue, si les signes de votre amour n’accompagnent pas ce message, pas les preuves, les signes, ceux que l’on ne maîtrise pas, ceux qui se libèrent de vous et transmettent au-delà de votre volonté la nature exacte de votre amour.
On ne peut travestir sa réalité, on peut un peu mentir avec les mots, par omission parfois, mais on ne triche pas avec l’étincelle qu’il y a dans les yeux, encore moins avec celle qui disparaît, des yeux ou du corps, de la pensée, de l’interrogation, du besoin de dire, du besoin d’une réponse. Parce que les signes ne se fabriquent jamais.
Ils existent ou pas.
Il arrive aussi que l’on se retienne. Retenir les signes que l’on envoie, être moins générateur de signes amoureux, c’est comme fabriquer et demander de fabriquer de l’indifférence. L’indifférence n’est pas seulement une diminution des signes, c’est faire exister moins, soi et l’autre, bref, tout l’inverse de l’amour et sans doute tout l’inverse de l’amour pluriel…
À cette indifférence atroce peut enfin s’ajouter le sentiment d’insécurité. Jouer avec l’insécurité de l’autre, c’est d’abord jouer. Et autant les jeux de l’amour, charnels et verbaux, spirituels et prosaïques, inscrits dans un quotidien partagé, de proximité ou à distance dans l’espace comme dans le temps, autant ces jeux peuvent être époustouflant de vérité et de plaisir mêlés, autant ils peuvent donner du corps à cette liberté offerte, autant le jeu avec l’angoisse de quelqu’un peut être destructeur : à quoi peut bien se rattraper celui ou celle qui se voit retomber dans son angoisse originelle ? Cette violence ne peut pas faire partie du registre de l’amour.

L’amour ne réclame pas de preuves, il réclame seulement des signes. Il faut savoir recevoir ces signes, et il faut savoir les émettre.
Les signes de l’amour sont ses mots. Comme les mots définissant un concept, les signes définissent la qualité et parfois la nature d'un amour.
Aimer, être amoureux n'est pas une occupation à temps partagé, c’est une vie à temps plein. Que l’on soit deux, trois, quatre ou plus ne change rien à l’affaire
Parfois c’est difficile à faire, toujours c’est heureux. C’est parfois difficile à faire parce que l’on ne se rend pas toujours compte que l’amour n’a pas à combler seulement son aspiration personnelle, et même s'il est acquis que l'amour est une conjonction bien comprise d'égoïsmes, on a une responsabilité dans l’amour de l’autre et on n’a pas le droit d’en faire fi, sauf à prôner une vision utilitariste de l’amour. C’est toujours heureux, parce que les signes établissent leur propre dialogue, présidant à d’autres, permettant d’appréhender une difficulté, un problème, une bonne nouvelle, une arrivée.

Ne négligeons pas les signes inconscients, ils font bien partie de l’amour que l’on offre. Ils font même partie de notre vie et de celle de l’autre. Sans le savoir tout le temps.

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Discussion : Weekend poly à Lausanne

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bouquetfleuri

le vendredi 14 décembre 2012 à 17h59

ouiiiinnnnnnnnnnn, je voudrais vous rejoindre ! (pour mille bonnes raisons)

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Discussion : Polyamoureuse ou femme adultère ?

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bouquetfleuri

le vendredi 14 décembre 2012 à 08h38

Les seuls principes qui tiennent, Judith, sont ceux qui président au bien-être de chacun. Si tu as besoin de taire certaines choses pour préserver ton conjoint, tais les. Le problème se pose quand, pour faire vivre deux belles histoires, l'une a besoin de publicité et l'autre a besoin de silence.

La vie et la poursuite de son bonheur prime sur tous les principes. C'est d'ailleurs le premier principe du polyamour, hihihi.
Toi seule peux faire le bon choix, trouver le bon équilibre entre la tranquillité nécessaire au développement harmonieux de ce que tu vis et la transparence ou la franchise constitutive d'une certaine liberté. Il n'y a pas de recettes, la multiplicité des parcours en témoigne.

Et tout le monde a sa place sur ce forum, surtout celles et ceux qui font réfléchir en exposant un problème qui est tout de même une constante de toutes les expériences amoureuses et plurielles.

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Discussion : Le suis-je vraiment ?

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bouquetfleuri

le jeudi 13 décembre 2012 à 16h23

Y a-t-il une autre solution que d'en parler avec la mère de tes enfants, qui est surtout comme l'indique ton lapsus ta femme ?
La manière de s'organiser dépend pour beaucoup de ce que tu veux partager avec elle et comment tu le vis, comment vous continuez votre projet affectif et également de l'importance que tu apprécies de l'existence et du développement de cette nouvelle relation.
C'est (peut-être) l'occasion de prendre un nouveau départ, empli à nouveau de cette foi en vous, en toi, et qui semble te faire défaut en ce moment.
Mais de toute manière, la seule solution acceptable et viable sera toujours celle construite à partir d'un dialogue entre vous deux, et mieux encore, entre vous trois.
Il te faudra de la patience et de l'envie, du respect et de la sollicitude, que de beaux éléments d'une relation plurielle.

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Discussion : La place de l'autre

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bouquetfleuri

le jeudi 13 décembre 2012 à 12h00

Je souscris totalement, chère Dakhla.

L'indépendance, à mes yeux du moins, passe forcément par une forme d'indifférence. Il n'y a d'ailleurs pas à charger cette indifférence de valeur négative ou positive, l'envisager comme un outil qui permet de se sentir bien dans des situations contrastées est déjà pas mal.
Je n'arrive pas bien à l'expliquer, mais ce terme de "polyamour" induit cela, je lui préfèrerais un terme qui au lieu de signifier plusieurs amours se contenterait de signifier plus d'amour.
En même temps, on n'a pas besoin de terme enfermant dans une définition quelque chose qui par essence y échappe.
C'est bien le meilleur moyen de respecter le spectre assez joli de toutes les expériences amoureuses, toutes légitimes.

On devrait en parler à notre petit noël...

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