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Ah les fous !

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wotan

le mardi 01 septembre 2009 à 21h55

et bien ça taquine grave, ce soir !!!

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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(compte clôturé)

le mardi 01 septembre 2009 à 22h09

Taquine, double quine... carrément le carton, ouais.

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lutevain

le mardi 01 septembre 2009 à 22h48

lutevain
Nos contrées sont plus clémentes, sans Clémentine ni le Lac hélas! Et fort peu de PA déclarés…

Pour ce qui n'ont pas suivi, session de rattrapage : Le Lac -on fait la liaison- Léman

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(compte clôturé)

le mercredi 02 septembre 2009 à 00h05

LaClément, quoi... je tilte plus, je fais tout le temps ce gag... car je m'appelle... Clément (nom de famille) :-)

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amorgen

le mercredi 02 septembre 2009 à 16h30

Clementine
Mais pourquoi serais-je moins suspecte en tant que soignante rémunérée?

Le domaine de la santé est différent, tu es payée pour des actes précis. Ce que tu apportes en plus en soutien, en dialogue, en empathie, tu le fais parce que tu le veux bien. Beaucoup de soignants se contentent de l'acte technique pour lequel ils sont formés et payés. Et en parlant de "l'intime de l'être" je ne pensais pas à l'intimité physique.
De toutes façons il y aurait beaucoup à dire aussi sur le domaine de la santé qui (en France tout au moins) se marchandise de plus en plus : l'hôpital devient une entreprise, 25% des médecins refusent les patients CMU, le budget recherche des traitements anti-calvitie dans les labos pharmaceutiques est supérieur au budget de certaines affections mortelles etc.

Le psy aussi est là pour soigner pas pour répondre à un questionnement existentiel ou spirituel. D'ailleurs pour être remboursé par la sécurité sociale, il faut que ce soit un psychiatre.

Dans mon système de références, il est vrai fortement teinté par mes questionnements spirituels, la transmission est un acte d'amour et en tant que tel il est gratuit. Sur le sujet de l'amour, de la conscience du corps, que vas m'apprendre un coach rémunéré sur un stage ? des techniques ? des trucs? des astuces? des modèles ? Quelle profondeur de transmission peut-on espérer dans un week end en compagnie d'une dizaine de participants ?


Quelle que soit la façon dont on transmet les choses, on espère toujours quelque chose en échange, ne serait-ce que la reconnaissance de l'avoir fait.

Je ne suis pas totalement en accord avec et pour te citer


ce n'est pas une vérité universelle, du simple fait que des gens ne sont pas d'accord avec toi

Le fait d'attendre quelque chose d'un don engendre nécessairement de la frustration parce qu'en général on ne reçoit jamais ce qu'on espérait. c'est ce qui rend l'amour inconditionnel si difficile.
Mais ma notion du "don" est tout sauf altruiste, je ne "donne" que si j'ai envie de le faire, trouvant satisfaction dans le fait de donner. c'est au final assez égoïste, mais cela épargne des frustrations et des non-dits.

Au final nous n'avons pas le même point de départ, ni le même point de vue. Si pour toi le domaine de compétence du monsieur en question est de l'ordre de la santé, alors tous tes arguments sont parfaitement recevables et ce brave homme a parfaitement raison de faire ce qu'il fait.
Au travers de mon prisme, il touche à quelque chose de l'ordre du spirituel et en ce cas de figure j'attache une grande importance à la gratuité, au don, à la transmission un-pour-un et ce monsieur n'est qu'un "marchand du temple" de plus.

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(compte clôturé)

le mercredi 02 septembre 2009 à 16h58

"Le domaine de la santé est différent, tu es payée pour des actes précis. Ce que tu apportes en plus en soutien, en dialogue, en empathie, tu le fais parce que tu le veux bien."

Je te détrompe: soutien, dialogue, empathie, tout ça fait partie de ma formation - on m'a enseigné les bases, comme pour le reste; j'ai été jugée à mes examens successifs de première, deuxième année et finaux, sur ces critères-là aussi... et je suis également évaluée sur cette partie-là de mon travail par ma hiérarchie.

XXXXXX

J'ai trouvé que c'était un bienfait que de cesser d'appeler les patients par ce vocable: les dénommer "clients" permet justement de sortir d'un rapport faussé, et de remettre l'église au milieu du village. Le soin est une prestation payante, remboursée en partie, mais qui a un prix et des tarifs. Et des prestataires de soin.

Peut-être que le système français et le suisse sont différents... mais je peux t'assurer que ceci est une contre-vérité:

"Le psy aussi est là pour soigner pas pour répondre à un questionnement existentiel ou spirituel."

Le psy, dans la mesure où il fait souvent office de parent de remplacement, accompagnant la personne vers sa vérité et son autonomie, EST là pour répondre à un besoin existentiel (la pyramide de Maslow est une bonne référence pour comprendre la hiérarchie des besoins et la mobilité des priorités qui les régissent).

"D'ailleurs pour être remboursé par la sécurité sociale, il faut que ce soit un psychiatre."

Chez moi, le soin peut être délégué par ordonnance à un psychologue (lequel est mieux formé, à mon sens, pour aborder les choses de manière globale).

XXXXX

Aller voir et participer à un stage est la meilleure manière de se faire une opinion; sinon, on fonctionne au préjugé. D'ailleurs, c'est l'auberge espagnole: on y trouve ce qu'on y amène, méfiance ou confiance.

La santé est un concept global qui se définit par quelque chose d'énormément plus vaste que "l'absence de maladie". Grosso-modo, par un état de bien-être bio-psycho-social.

Tout ça pour dire que si j'ai l'air du chien qui grogne sans vouloir lâcher le coussin, c'est que je me sens comme ça :-) .

Depuis 25 ans, je bataille chaque jour de travail, et souvent dans le privé- car c'est fou ce que l'infirmière éveille de fantasme en matière de douceur, de maternage, de toutes sortes d'idées reçues.
Je veux être respectée en tant que salariée, partenaire de santé, personne, individu. Il est plus que temps que les professions de la santé perdent cette espèce d'aura de "bonne sœur améliorée", qui confine au don de soi en pâture; et qu'une continuité s'installe entre des extrêmes qui ne sont pas des opposés, mais qui, à force, se sont carrés respectivement dans des rôles de "bon soignant " et "profiteurs de gens crédules".

Et par retour de balancier, que quiconque propose une bouffée d'oxygène, et aussi le moyen de l'emmener partout avec soi! soit regardé sans être automatiquement taxé d'orviétan.

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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amorgen

le mercredi 02 septembre 2009 à 17h55

blarf...je peux comprendre ton point de vue.
Je considère les soignants non pas comme des bonnes soeurs, mais comme des professionnels de la santé, mais pas à cause du salaire ou des honoraires qu'ils touchent, mais plutôt en raison de leur technicité.

Par contre transformer les patients en clients, c'est pour moi du même acabit que de transformer les hôpitaux en entreprise.
Ne pas s'étonner ensuite que lesdits "clients" fassent des procès aux médecins ou aux hôpitaux, quand tu es un client tu payes pour un produit ou un service qui doit par contrat être bien fait.
On ne faisait pas de procès aux soignants parce que l'erreur est humaine et qu'un acte de soin n'est jamais garanti à 100%, par contre personne n'a de scrupule à faire un procès à un vendeur qui vous trompe sur la marchandise.

A l'exigence de la "santé garantie à tous" qui prévalait lors de la création de la sécurité sociale on a substitué la "santé à qui peut se la payer", à force de renoncements et de propagande libérale (TINA and co.)
Que ce soit de la santé purement physique ou ta version bien-être bio-psycho-social, si t'es prolo tu oublies tu auras droit à ce qu'il faut pour survivre point-à-la-ligne.
Alors quand un énième coach-guru lance sur un site web superbement design une énième manière de mieux vivre sa vie (avec facilité de paiement), je suis désolé mais ça me révolte et ça me met en colère au point qu'une sale part de moi (que je maîtrise heureusement) irait bien lui apprendre "le corps et son espace" avec une batte de base ball.
Et si ça me révolte autant c'est parce que chaque nouvel espace, chaque nouvelle idée, chaque tentative d'échapper à une vie de consommateur est aussitôt récupérée, vidée de tout contenu subversif, markétée et mise sur le marché.

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(compte clôturé)

le mercredi 02 septembre 2009 à 19h37

OK, je sens qu'on s'ajuste mieux, mais quelques détails me gênent.

La technique est une petite partie du travail, l'administratif et l'organisationnel prennent environ le tiers du temps... et le travail humain, qui passe le plus facilement à la trappe (la liaison, le contact, etc) est entremêlé dans le tout, mal quantifiable; un énorme paradoxe, car si on imaginait une journée sans "ça", c'est impossible. Et "ça", en poussant plus loin, passe par le toucher, la manière d'entrer en relation, parfois peau à peau, un langage silencieux, vibrant... l'exemple le plus frappant, c'est d'aller chercher en pouponnière un poupon hurlant de solitude, et de le balader aux bras: techniquement, je ne fais rien... et en même temps je fais beaucoup; le schtroumpf s'endort en bavouillant, quel pied. Les clients qui sont privés de la parole... il nous reste les yeux, le toucher... les sens, quoi.

La transformation de l'hosto en entreprise n'est qu'un symptôme, à l'origine il y a une transformation des mentalités du corps médical: demander l'autorisation de pratiquer des examens, entrer en dialogue avec le "patient", littéralement celui qui souffre, celui qui attend (les décisions, ce qu'on va faire de lui, etc...); qui devient, du coup, quelqu'un qui ayant voix au chapitre, devient partenaire, client, co-décisionnaire... donc mieux apte à refuser des prestations, réclamer la qualité, etc. Ca rétablit quelque chose de plus juste dans l'histoire générale des soins.

On ne faisait pas de procès aux soignants parce que la corporation était si forte que l'erreur passait à la trappe... le pouvoir et la puissance, donc le risque d'abus chez les soignants, c'est une réalité.
Le système d'assurances est une recherche d'égalité d'accès aux soins. Maintenant, les cliniques ne datent pas d'aujourd'hui... et même dans les CHU, le secteur privé est florissant!
La santé à deux vitesses, c'est pas nouveau...

Bon, alors pour revenir à notre mouton... t'es en pétard, ça je m'en doutais bien. Mais pourquoi aurait-il la palme du sagouin?

Pourquoi ne pas se foutre en rogne contre la supposée crédulité de ses supposées victimes? Y aller, pas y a aller, on fait ce qu'on veut... www.ah-les-cons.com ?...

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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amorgen

le jeudi 03 septembre 2009 à 09h48

Alors si j'ai donné l'impression de réduire l'acte soignant à la technique, ce n'est pas vraiment ce que je souhaitais faire comprendre. Je voulais juste dire que dans mon esprit est "professionnel" quelqu'un qui a toutes les compétences pour effectuer ce qu'il fait, pas simplement parce qu'il est rémunéré pour le faire. Ainsi certains "amateurs" ou "bénévoles" peuvent faire preuve d'un grand professionnalisme.


La santé à deux vitesses, c'est pas nouveau...

Non mais ça empire...


Mais pourquoi aurait-il la palme du sagouin?

Blarf, l'occasion fait le larron...
En bon bouc émissaire je lui ai fait porter les "péchés" de tous les autres :-)

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le jeudi 03 septembre 2009 à 10h05

Mmmhhh... au fait...

"Blarf" signifie? :-)

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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(compte clôturé)

le jeudi 03 septembre 2009 à 10h34

"Ainsi certains "amateurs" ou "bénévoles" peuvent faire preuve d'un grand professionnalisme."

Et qu'est-ce qui fait la différence, alors, avec un homme amateur, que je trouve très pro dans ce qu'il propose, d'un bénévole qui serait également très pro? Le fait qu'il cherche à gagner sa vie ainsi? A faire ce que nous cherchons tous, il me semble du moins: être payé pour faire ce qu'on aime?

[Mais pourquoi aurait-il la palme du sagouin?] Blarf, l'occasion fait le larron... En bon bouc émissaire je lui ai fait porter les "péchés" de tous les autres :-)

Bon, pour moi y'a pas photo avec certains trucs bidons, immédiatement repérables. Alors quel est le truc dans son discours qui t'a fait sauter en l'air (si je peux me permettre ce jeu de mots, heuh, bah, zut, où est cette icône qui sourit large en serrant les dents???)

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Françoise (invité)

le mardi 08 septembre 2009 à 23h09

Bonsoir,
Un poly m'a dit qu'on parlait de moi sur ce fil, donc je suis venue voir. Pour parler argent, c'est clair: Je toucherai en juin 2010 0,40 euros par exemplaire du guide vendu en 2009, et, malgré 18 livres publiés, je ne vis pas de ma plume. Ou plutôt d'une plume alimentaire: articles de presse, rédactions de brochures et de dossiers. Comme ce genre de boulot est réduit en période de récession, je n'ai pas gagné un centime d'euro depuis...mi- mai 2009. Heureusement que j'avais prévu le coup et fait des économies les années fastes.
Donc pour le côté business de l'écriture, vous repasserez, je gagnerai davantage actuellement dans n'importe quel autre métier! Mais c'est ce que j'aime et sais faire, écrire...

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oO0

le mercredi 09 septembre 2009 à 02h28

...

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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(compte clôturé)

le mercredi 09 septembre 2009 à 08h55

Françoise

Donc pour le côté business de l'écriture, vous repasserez, je gagnerai davantage actuellement dans n'importe quel autre métier! Mais c'est ce que j'aime et sais faire, écrire...

C'est bien de ça qu'il est question, et de rien d'autre! La reconnaissance de son travail, c'est une chose immense, pas évidente. "Vivre de sa plume" s'entend au sens large, ça ne veut pas dire que je pense que tu prends des bains de lait d'ânesse tous les matins. Tu es payée pour un effort que tu as mis à transmettre ce que tu as appris; et que tu aurais pu égoïstement garder pour toi...

Ma foi, ton exemple moulte fois présenté ici me paraît un parallèle évident à pointer, pour clamer ceci:

façon Françoise ou façon Philippe, demander des sous pour transmettre une expérience et en vivre, simplement... je trouve ça NORMAL.

Et si "un poly" en est arrivé à tordre ma pensée et à la répercuter façon tambour de brousse de manière à amener la dissension... je ne remercie pas son esprit, qui fait ainsi preuve de peu d'éthique.

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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(compte clôturé)

le mercredi 09 septembre 2009 à 08h56

Sam
Visiblement le débat tourne autour de l'argent, soit le fait de faire payer un service d'ordre "spirituel" sensé être gratuit.

Je me marre car cette idée de gratuité de la "spiritualité" vient principalement des institutions religieuses qui prélevaient la dîme au Moyen-Âge et dont les bons offices sont aujourd'hui en bonne partie payés, oui payés, sur l'impôt public. Ainsi, est-ce dans une pure logique de gratuité que les institutions religieuses de tous poils fleurissent de par l'histoire en une multitudes de monuments plus somptueux les uns que les autres, ce qui nous donne aujourd'hui une part très importante de patrimoine architectural mondial d'ordre religieux.

Bref, rien de plus gratuit que le spirituel.

Message modifié par son auteur il y a 3 heures.

J'aime bien lire ça, ça replace les choses. Et la spiritualité via la fesse, why not?

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fabrice (invité)

le mercredi 09 septembre 2009 à 14h23

intéressant toutes ces discussions, Clémentine, comment fait-tu pour proffiter pleinement de ton polyamour en ayant le temps de "poster" autant????...cela m'interpèle !

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le mercredi 09 septembre 2009 à 14h48

Je m'arrange... :-)

Un peu d'hyperactivité; un travail devant un PC et assez intense, donc besoin de m'offrir des respirations; aimer écrire depuis toujours, aimer réfléchir à démonter les évidences qui n'en sont pas...

... et puis la vie offre un polyamour différent à chaque polyamoureux.

Le mien est aussi fait de jardins secrets que je ne livre pas, ou alors à quelques rares personnes... mais surtout pas à quelqu'un qui ne s'inscrit pas, la la la...

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(compte clôturé)

le jeudi 10 septembre 2009 à 10h19

Comme me l'a dit hier mon cher Leo, c'est bien de chez nous en Europe, de se justifier quand on gagne sa vie avec des prestations de mieux-être (livres, coaching, pratique du tantrisme), sans être accrédité par des instances comme les assurances et autres fourgueurs de papiers officialisant des pratiques...

A croire que pour être digne de confiance, il faut pouvoir dire à sa clientèle qu'elle peut se faire rembourser... donc, quelque part, cautionner l'idée qu'il n'y a qu'à attendre d'être assez mal pour avoir besoin de soins...

... c't'un chouïa grotesque, tout ça... et la prévention, bordel...

Aux Etats-Unis, y'a quand même des choses intéressantes!

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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titane

le jeudi 10 septembre 2009 à 17h44

Mouais... je me souviens d'un collègue anglosaxon qui est venu me voir un jour et qui m'a demandé comment je faisais pour "travailler" gratuitement (bénévolement). Je lui ai retourné la question qui me paraissait idiote. Il m'a dit que pour lui la valorisation de son travail était son tarif... donc il ne supportait pas de "travailler" pour un tarif nul... il y en a qui se construisent des prisons avec pas grand chose !!

Deux solutions :

1- décider que le bénévolat n'est pas un travail
2- reconnaître qu'il y a d'autres façons d'être valorisé y inclu celui de ne pas l'être !

Et oui donner sans reconnaissance est, on le sait, valorisant en soi, en nous... pas besoin d'être reconnu de l'extérieur...

Attention Clémentine, je ne pose pas de jugement de valeur sur aucune de ces autres façons de se sentir valorisé... j'aime mon salaire ! ce qui ne m'empêche pas de faire la même chose bénévolement souvent, par plaisir... C'est cette liberté que j'aime... oui, je sais, parce que 'j'AI un salaire (of course)...

Mais on parle de reconnaissance et de valorisation d'un travail... ne nous fixons pas sur une façon en particulier. Il me semble que Françoise fait la différence entre ses activitiés "alimentaires" et ces activités (moins rémunérées) qui lui sembleraient pourtant plus valorisantes (livres)... elle a besoin de personne pour "valoriser" son travail d'écrivain... son plaisir suffit. Non ?

Bises à toutes et tous

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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(compte clôturé)

le jeudi 10 septembre 2009 à 18h03

titane
Attention Clémentine, je ne pose pas de jugement de valeur sur aucune de ces autres façons de se sentir valorisé... j'aime mon salaire ! ce qui ne m'empêche pas de faire la même chose bénévolement souvent, par plaisir...

Ben moi aussi...

C'est cette liberté que j'aime... oui, je sais, parce que 'j'AI un salaire (of course)... Mais on parle de reconnaissance et de valorisation d'un travail... ne nous fixons pas sur une façon en particulier.

Oui, c'est aussi ce que je pense, que toutes les manières d'en retirer quelque chose sont OK, si on reste dans l'équation gagnant-gagnant. Donc, qu'on ne peut décider pour les autres: quiconque a le pouvoir de faire ce qu'il veut du contenu de son porte-monnaie n'a de comptes à rendre à personne, s'il trouve qu'il est gagnant. Ca me paraît aussi peu éthique que de dire "La tehon sur ouat de sortir avec un tel thon".

Kiskssa peut me foutre à moi si Lulu s'éclate avec Loulou, hein? D'koi kejme mêle?

Youps, je rajoute: à service égal, je trouve qu'il y a des gens qui essaient de profiter de moi (consciemment ou pas), et d'autres qui sont réglos (consciemment ou pas).

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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