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Qui sommes nous ? Humain dans sa diversité ou un catalogue ?

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bonheur

le jeudi 21 mars 2019 à 14h13

La question s'est posé et j'ouvre ici un fil à part. Ma réaction est venu de ce fil sur la finalité d'un nouveau site de rencontre :

/discussion/-bSv-/poly-empire-Nouveau-site-de-renc...

J'exprimais ceci :

"Heu ! Non, justement. C'était une forme d'humour. Désolée je n'avais pas précisé. Non bidi, je ne suis cliente de rien car je ne vend ni n'achète mes émotions ou mes sentiments.
Je suis gender fluid, d'où ma remarque à ce niveau-là. Autrement, le listage inscrit ci-dessus, m'a fait penser à cette entreprise de fichage génétique pour bovin. C'est juste cela.
C'est une raison qui me fera toujours détester les sites de rencontres. Pour moi, ça ressemble à un marché aux bestios. Avis que l'on n'est pas obligé de partager, évidemment."

en page 5, bidi... exprime ceci :

"Les sites n'ont pas intérêt à ça. C'est un peu compliqué, mais pour un site, il faut que les recherches amènent au plus grand nombre de "match". Si leur taux de match descend en dessous d'un certain seuil, le site ne fonctionne plus. Bien avant les logiques financières ou le côté pratique, il y a des exigences mathématiques qui les empêchent de faire ça."

Pour info, la faute à "bestios" était volontaire (traduire bestio-lol-es en tout genre). Je n'avais pas spécifié, je rétablis ici.

Mon question final et sujet de ce fil de discussion est : doit-on se laisser ficher, cataloguer, comme on le ferait dans les entreprises qui sélectionnent les bovins pour en marchander l'ADN ? En plus, la différence, c'est que le bovin n'a pas de choix, sauf celui-ci de ne pas avoir conscience de ces critères qui le caractérisent et de sa mise sur le marché.

Doit-on répondre à des critères ou doit-on laisser la vie, le sixième sens et le naturel faire son office. Quel est l'opportunité d'un site de rencontre ou de toute autre construction autre que la nature elle-même ?

Je me rappelle que Françoise Simpère, sur la couverture de son livre "guide des amours plurielles" parle également d'écologie amoureuse.

Outre le fait, que dans toute écologie, il y a la notion de "recyclage", ce qui me convient bien, je crois que dans écologie, il y a avant tout la notion de "le plus naturel possible, le moins trafiqué".

Autrement dit, si l'on considère le polyamour (quelque soit notre polyamour) devient naturel, en quoi devrions-nous entrer dans un fichage systémique ? Sans compter que la nature, avec ou sans hominidés (allez intégrons le malgré tout), a sa vie à part entière.

Utilisez les moyens de communication mis à notre disposition, c'est une chose (on est polluant, ouin !). Faire des déplacements pour se sentir en harmonie avec un autre humain ou pour échanger sur soi, sur les autres, sur l'humain en général (on est polluant, ouin !). Ca je le conçois. En particulier pour tout ceux qui sont de nature sociale, sociable, etc... Mais pourquoi vouloir faire un tri suivant des critères. Moi ça me donne l'impression d'être un bovin à qui on va regarder l'état des dents, si l'oeil est vitreux, si je ne boite pas... je trouve cela moche, comme attitude. Il y a cette notion d'achat, que je suis là pour comme l'a dit bidi... donner corps à des exigences mathématiques. Où est l'humain là-dedans ? Je ne suis pas ça et ne me sentirais jamais cela !

Le débat est ouvert...

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laurent59

le jeudi 21 mars 2019 à 16h54

Bonjour @bonheur,
Amusant que tu mettes ce sujet en exergue car je discutais hier soir avec une personne sur un sujet similaire lors du café poly de Lille. Nous discutions des sites et appli de rencontre.
Cette personne m’expliquait qu’elle utilisait les sites de rencontre afin de rencontrer ‘IRL’ au plus vite les personnes avec qui elle était en contact. Elle a surtout mis un critère de localisation forte. Son objectif est de faire perdre le moins de temps possible aux personnes (et à elle-même) avec qui elle est en contact et de savoir au plus tôt si ça peut coller ou pas. Et dans son optique c’est du respect pour l’investissement émotionnel, l’énergie et le temps qu’il peut y avoir dès le premier contact que de savoir au plus tôt si une relation peut exister ou non. Cette personne m’a aussi partagé qu’elle savait clôturer un échange très tôt sur ces médias, toujours dans la même démarche (et je lui fais confiance pour que ses échanges soit toujours respectueux des autres, même pour un non).
Nous avons ensuite un peu dérivé sur la possibilité de ces sites de définir des critères de recherche plus ou moins précis. Cette personne m’a expliqué que pour elle cette fonctionnalité est limitante bien au-delà des critères proposés. Ça se rapproche un peu de ce que j’ai interprété comme une moquerie lors de ton premier post : limiter ses recherches empêche de tomber sur une surprise qui nous sorte de notre zone de confort. Plus encore cette possibilité sous entends que ce que nous supposons vouloir est bon pour nous. C’est ce point qui m’a le plus remué. Il est vrai que mes envies peuvent être conditionnées et en me laissant la possibilité de les définir comme critère de rencontre je me prive de la possibilité de croiser une personne qui est faite pour moi mais hors de mon désir conditionné.
Je suis conscient que c’est très théorique et un peu éloigné de ta réflexion sur le fait d’être traité comme du bétail, mais c’est ce que m’a inspiré ton post et ma rencontre d’hier soir.

Message modifié par son auteur il y a 4 ans.

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bonheur

le jeudi 21 mars 2019 à 21h13

Bonjour laurent59 :-) . Merci pour cette inspiration !

Le débat ne se porterait pas du coup plutôt sur : faut-il chercher une relation amoureuse ?

Depuis quelques années, j'ai pour habitude de dire que l'amour ne se cherche pas, c'est lui qui nous trouve !

Après, "tester" le plus rapidement possible et au maximum une personne pour concevoir ou non une compatibilité ? Désolée de répondre ce qui me vient direct, alors oui, sans moi illico, sans passer par la case départ et je n'ai pas envie de recevoir 20 000.

Je conçois, non l'émotion amoureuse, mais la personne qui me chamboule, comme une volonté d'apprivoisement. Prendre le temps, justement, de la découverte et même si je perçois parfois rapidement des perturbations, j'en tiendrai compte pour l'avenir, mais je continuerai malgré tout mon relationnel, gentiment, lentement. Bon ok, il y aura des "accélérateurs", liés principalement à des avancées par à coup. Une relation, ce peut être de grands coups d'accélérateurs, qui souvent nous dépassent. Moi, ça ne me dérange pas.

C'est peut être lié au fait, que les séparations, ruptures, je les vis comme beaucoup, difficilement, mais je les intègre à l'histoire amoureuse. Tout début à une fin. Ce n'est pas une fatalité, c'est un constat. La longévité est importante, ça oui. Mais un lien de quelques semaines, mois, a de la valeur, quelqu'en soit l'issue.

Après, le lien humain, on lui octroie la place que l'on désire dans l'ensemble de sa vie. Si notre métier nous offre une possibilité de découverte humaine, on s'offre de belles perspectives et ensuite c'est la vie qui fait le reste. Si dans une-des activité-s autre-s on accepte la découverte d'autrui, pas dans une optique de trouver l'amour, mais juste de création de liens, qui seront... alors la vie fait pour nous.

J'en reviens à faut-il chercher ? On parle ici souvent de faire attention aux dépendances et je dirais même qu'il faut faire attention aux addictions. J'ignore si c'est le terme adapté, mais je suppose que la notion de mon discours sera comprise. Je reçois régulièrement des poly. Je n'ai pas eu souvent de coup de coeur amoureux et même avec des polys, je ne dirai pas mon amour rapidement. La lenteur, l'apprivoisement sont un préalable. J'ai toute la vie pour dire "je t'aime". Aussi, une personne qui se lassera de moi, prendra ses distances et ce sera une incompatibilité. Je ne compte plus le nombre d'échanges qui se meurt tout seul, une fois l'enthousiasme passé (ou l'aide apportée ayant atteint son apogée). L'amour ne se présente pas souvent. L'importance des échanges sera toujours essentiel.

Entre poly, on peut créer un lien, à distance ou en concret. Lors d'évènements, des discussions de groupe... lors de visite individuelle, lors de mp. Et perso, au diable que ça mène à une relation amoureuse, à une correspondance épistolaire profonde mais pas amoureuse, à un pouf qui surgit (ou pas).

On s'enrichit des autres quand on attend rien d'autres que cela, et arrive ce qui doit. Au départ on accueille et ensuite on vit. C'est mon optique intérieure : une forme de "laisser-vivre" :-D

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thatsonlylove

le jeudi 21 mars 2019 à 21h30

C'est la toute première fois que je m'exprime sur poly.info où je me rends régulièrement pour mettre des mots sur ce que je vis depuis un moment : ça me rassure quant à mon fonctionnement et m'apporte du vocabulaire !
Les plus belles rencontres que j'ai vécues l'ont été par le toucher, des mains particulièrement, et parfois les yeux bandés lors de stages de tantra. Les sites dont vous parlez et leur système de "recrutement" ne peuvent en aucun cas me satisfaire. J'ai besoin du contact. Du visuel, je m'en méfie : aucun sens n'est plus faillible que celui de la vue, par contre le contact physique m'est d'une évidence incomparable.
Pour changer de sujet, j'ai comme l'impression que la zone la plus intime de la personne n'est pas, comme on pourrait le croire le sexe et ses zones adjacentes, mais le visage. Bon, là pour un premier post ça va suffire. Merci pour toutes ces lectures que tous·tes vous m'offrez. PS. : Je vis avec plénitude et bonheur entre deux femmes, sans aucun nuage, si ce n'est quelques soupçons de culpabilité (chez moi) par rapport à cette normalité séculaire débile de modèle de couple.

Message modifié par son auteur il y a 4 ans.

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bonheur

le jeudi 21 mars 2019 à 23h02

Bonjour thatsonlylove,

Enchantée de te lire. Merci de ce que tu indiques, bien qu'effectivement en dehors du "sujet" (un peu dedans quand même). Certaines personnes sont visuels, d'autres tactiles, d'autres plus intérieures et toutes un amalgame de toutes ces formes (y compris de nombreuses autres). Le fait est que cela nous individualise.

Les zones, je pense qu'elles sont là aussi non opposables mais perçue individuellement. Moi par exemple, je déteste deux petites parties de mon corps et j'y attache peu d'intérêt chez autrui. Pourtant, j'ai appris que certaines personnes y voue parfois une admiration qu'évidemment, je ne peux "comprendre".

En tout cas, pour revenir au vif du sujet, le terme de "recrutement"... On n'a pas des compétences ou un savoir-faire, on correspond à une demande et on est l'offre. On ne peut pas tenir compte du savoir-être, puisqu'il ne peut se décrire en terme de critères.

Mon travail actuel devrait consister à l'accueil, l'écoute et l'aide éventuelle pour les personnes âgées ou en difficulté. Toutefois, on me demande un "taux de productivité". Dans le sens où tout métier doit avoir une "rentabilité", bien qu'avec réticence, je peux comprendre. Mais que dans sa vie personnelle et encore pire dans sa vie amoureuse affective, je doive offrir à un système mathématique de rentabilité, juste pourquoi ? Pérenniser une mise en relation d'une offre et d'une demande. Comme un pôle emploi ?

Donc, oui, la comparaison avec la notion de "recrutement" est possible. La preuve, la plupart des sites sont payants, on monnaye... le tout étant de savoir quoi exactement. Serait-ce de cela qu'il faut avoir conscience ? Prendre conscience pour ne pas ressentir comme une obligation d'entrer dans le circuit commun d'alimenter cette forme de commerce.

Je te souhaite thatsonlylove, à cette heure qui commence à être tardive, de beaux rêves déculpabilisés, entre l'amour et l'amour :-D

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pkd

le vendredi 22 mars 2019 à 13h51

A titre personnel, je ne vois absolument pas le rapport entre des sites de rencontres qui mettent en relation des humains qui veulent en rencontrer d'autres et une action de catalogage...
Un site n'est qu'une forme différente de la diversité des personnes que l'on croise. Ni plus ni moins.
Certes le côté virtuel fait que certains et certaines se permettent des comportements inadéquats. Mais bon un goujat ou une goujate en virtuel ou en réel reste ce qu'il ou elle est.
On peut faire de très belles rencontres et croiser des personnes que l'on aurait jamais croisé dans la vraie vie, car on a souvent une vie qui fait que l'on rencontre les personnes des mêmes groupes sociaux et mêmes environnements.
Chacun y trouve ce qu'il y apporte.

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bonheur

le vendredi 22 mars 2019 à 14h30

S'assoir sur un banc et sourire aux gens, qui viendront (ou pas) s'assoir sur le même banc... "quel soleil magnifique, vous ne trouvez pas ?" et etc...

Ce n'est qu'un exemple, puisqu'il fait un beau soleil aujourd'hui :-D .

Le catalogage consiste en quoi ? Offrir des références ! Ca me dérange que l'on puisse consentir à se laisser caractériser de la sorte.

Aussi, on me dit parfois que je suis inconsciente, d'aller dans la nature seule me promener, d'adresser la parole à n'importe qui, mais là, le faux est monnaie courante et les intentions souvent les mêmes (et parfois malsaine).

Ce n'est donc pas plus dangereux par internet qu'en réel et surtout c'est plus humain. On a l'envie ou non de se laisser aborder, le principe est le même, mais c'est vrai, franc, honnête...

Pas plus tard qu'hier j'ai pris un auto-stoppeur, juste pour rendre service. Il s'avère que non, cet personne est gentille mais vraiment à très petite dose. Je l'ai déposé et point barre. J'ai fait ma BA, lui a été heureux que je l'ai avancé dans son trajet (enfin je pense), et voilà. Bon après, évidemment, si on ne regarde pas le bord de la route, si on s'isole quand on prend l'air sur un banc... si on fuit le contact humain, on restera en effet dans l'enfermement d'un cocon coutumier.

Je n'empêche personne de s'inscrire sur un site (ou des) de rencontres, mais avoir conscience que l'on devient un "produit". Ne pas se voiler la face à ce niveau-là. Evidemment, aucune pub vous expliquera ce QUE (et non qui) vous êtes, ce ne serait pas vendeur. Mais c'est simplement du commerce, gratuité ou non. Bidi a parfaitement expliqué cette logique de chiffres. Je déplore cette combinaison de données.

Le fait qu'il y ai des goujats, ben il y en a en boite de nuit, dans la rue, même au travail... Il faut savoir appréhender ces personnes et les remettre à leur place. Ce n'est pas une question de milieu, c'est une question de responsabilisation humaine.

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Lili-Lutine

le vendredi 22 mars 2019 à 15h36

Je n’ai rien contre les sites de rencontres, chacun.e fait bien ce qui lui plait.
On est tous.tes diffrents.es et sur tellement d’aspects.

Nos façons de nous aimer et de nous rencontrer, c’est à chaque fois un univers à découvrir et parfois à explorer.

Moi ça me stress les rencontres virtuelles... a peine inscrite il y a déjà trop de gens qui veulent communiquer avec moi.... impossible que je sois apaisée et tranquille avec ça.

Et puis je ne sais pas vraiment si la personne est vraiment celle qu’elle dit être...
Quelques unes de mes relations utilisent les sites de rencontres et elles aiment bien ça, ça leur convient parfaitement.

Je trouve que c’est un super outil ces sites de rencontres pour les personnes qui savent le gérer émotionnellement, je connais plein de personnes qui ont fait de magnifiques rencontres.

Rencontrez-vous comme il vous plait de le faire, faites des essais par ci par là, c’est toujours un bon moyen pour apprendre sur soi et ses limites.

J’ai essayé les sites de rencontres, je n’ai pas réussi à apprivoiser mon stress,

j’ai donc décidé que ce n’était pas bon pour moi, mais ça l’est pour plein plein d’autres personnes, donc les sites de rencontres, oui ça marche,, et ç’est même créateur de beaux échanges pour les personnes à qui ça convient.

Message modifié par son auteur il y a 4 ans.

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bidibidibidi

le vendredi 22 mars 2019 à 16h19

Lili-Lutine
Moi ça me stress les rencontres virtuelles... a peine inscrite il y a déjà trop de gens qui veulent communiquer avec moi.... impossible que je sois apaisée et tranquille avec ça.

Je te rejoins sur ça. Les sites de rencontre sont, à mes yeux, un environnement violent. Alors, c'est pas une zone de guerre, mais il y a quand même un mélange de sursollicitation, de non réponse, de goujaterie, de manque de certitude sur la personne en face. Dans la vraie vie, je reconnais qu'on est quand même beaucoup plus dans quelque chose de direct, de simple.

bonheur
S'assoir sur un banc et sourire aux gens, qui viendront (ou pas) s'assoir sur le même banc... "quel soleil magnifique, vous ne trouvez pas ?" et etc...

Quelque chose que je suis incapable de faire :-)
D'un côté, je n'aime pas les sites de rencontre. D'un autre, c'est l'une des rares manières que je connaisse pour rencontrer des gens et qui fonctionne pour moi.

Message modifié par son auteur il y a 4 ans.

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bonheur

le vendredi 22 mars 2019 à 20h51

La culpabilité vient quand on est pas bien dans sa peau et je suis la première à être à l'écoute, présente et en dialogue pour atténuer/éviter cela.

Après, ce que j'indique est à mes yeux une réalité (comme de dire que telle boisson peut être mauvaise à la santé à cause de sa teneur en sucre, par exemple). De là à ce que le discours "culpabilise", il faut vraiment s'interroger sur la notion de défendre un point de vue peu commun (que j'ai mis sur un fil dédié) ou non dit dans le discours traditionnel, et que celui-ci mène à une réflexion personnelle. C'est curieux comme, dès que l'on dit ce que l'on pense et que cette pensée est peu commune, ça y est, on nous investi de ce qui n'est pas. Après tout, on peut aussi dire l'inverse, que les inconditionnels des sites, ne serait-ce que par la publicité imposée, culpabilisent les personnes qui ne s'y sentent pas bien. Je trouve cela aussi stupide que le raisonnement inverse.

Le poids de la "société" ? N'est-il justement pas : "tu n'es pas inscrit sur un site de rencontres ?" (tu es ringard, tu es nul, tu n'es pas de ton temps, etc). Tout comme "tu n'as pas de X à boire dans ton frigo ?". On peut aussi voir les choses ainsi, je pense.

Donc, oui, ce fil interroge sur la notion de facteur humain dans les sites de rencontres. En quoi est-ce "culpabilisant" ? Je trouve au contraire ce questionnement très actuel et une possibilité de découvrir, etc...

bidi...
Quelque chose que je suis incapable de faire :-)

Je me rappelle que nous en avions déjà longuement parlé en mp.

Merci à Bidi... d'être une personne avec qui l'on peut débattre de tout, sans obligatoirement être en adéquation.

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