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Discussion : [Livre] Des livres "pour enfants" et autre "littérature jeunesse" sur le polyamour ?

artichaut
le lundi 20 mai 2024 à 01h13
@Siestacorta dit ici
Je viens de voir cité ici le livre "Corps, amour, sexualité : les 100 questions que vos enfants vont vous poser" de Charline Vermont.
Le polyamour n'en est pas le sujet, mais il y est mentionné. Et comme les bouquins de parentalité qui mentionnent le terme sont sans doute pas légion, ça mérite d'être relevé, je crois.
Discussion : Livres de Francoise Simpere
Discussion : Quels sont vos livres de chevet ?

artichaut
le dimanche 19 mai 2024 à 21h39
Voir aussi le fil général : Bibliographie commentée sur le polyamour.
Discussion : Livres à lire ou faire lire ...

artichaut
le dimanche 19 mai 2024 à 21h39
Voir aussi le fil général : Bibliographie commentée sur le polyamour.
Discussion : [Livre] Polyamoureuse de Lucile Bellan, Larousse 2023

artichaut
le dimanche 19 mai 2024 à 21h30
Voir aussi le fil général : Bibliographie commentée sur le polyamour.
Discussion : [Livre] Des livres pour en parler...

artichaut
le dimanche 19 mai 2024 à 21h29
Voir aussi le fil général : Bibliographie commentée sur le polyamour.
Discussion : [Livre] À la recherche du livre "Le funambule du ciel" de Marc Vella, Presses de la renaissance 2006

artichaut
le dimanche 19 mai 2024 à 21h29
Voir aussi le fil général : Bibliographie commentée sur le polyamour.
Discussion : [Livre] "Et dans l'éternité je ne m'ennuierai pas" de Paul Veyne, Albin Michel 2014

artichaut
le dimanche 19 mai 2024 à 21h28
Voir aussi le fil général : Bibliographie commentée sur le polyamour.
Discussion : [Livre] « Gaia and the New Politics of Love: Notes for a Poly Planet » de de Serena Anderlini-D'Onofrio, 2010 (en anglais)

artichaut
le dimanche 19 mai 2024 à 21h27
Voir aussi le fil général : Bibliographie commentée sur le polyamour.
Discussion : [Vidéo] La Gomera : par amour des autres. Arte 2024.

artichaut
le dimanche 19 mai 2024 à 02h51
Il me sembalit bien avoir déjà vu, non pas ce reportage, mais un quasi identique sur la Gomera (avec la même construction d'une des habitantes qui retourne à la ville, etc)
J'ai un peu galéré à le retrouver.
Ce n'est pas celui-ci, ni celui-ci (2022), mais celui-là (2018).
Arte se recycle. Sauf que désormais, ça n'est pas le côté hippie qui est mis en avant, mais le côté… polyamour.
Discussion : [Vidéo] La Gomera : par amour des autres. Arte 2024.

artichaut
le samedi 18 mai 2024 à 20h29
Je ne l'ai pas encore visionné, mais voilà ce qui m'y a fait pensé :
« …Or, Dani vient d’inviter Tonique, qu’il souhaite présenter à sa compagne. Comment celle-ci réagira-t-elle lorsqu’il lui avouera qu’il les aime toutes les deux, chacune à sa façon ? »
On a tous les ingrédients nécessaires. Et on peut imaginer toute l'étendu des possibles…
Discussion : [Vidéo] La Gomera : par amour des autres. Arte 2024.
Discussion : [Lexique] Comment définissez-vous l'amour ? comment ressentez vous l'attachement?

artichaut
le vendredi 17 mai 2024 à 10h27
Alabama
Je vis cette forme de curiosité à la fois dans le sentiment amoureux, et dans l'amour parental
Mais du coup je ne vois pas trop la différence que tu fait.
Perso, j'ai tendance à mettre une barrière psychologique avec la famille : je ne peux pas être amoureux de membre de ma famille.
Comme pour le sexe, c'est ce qui me permet de poser la frontière.
La sexualité/sensualité c'est les partages de corps et d'émotion que je m'interdirais, ou qui me mettrais mal à l'aise, de vivre/ressentir avec des membres de ma famille (typiquement mes enfants).
Le sentiment amoureux c'est les partages de sentiment et de projection que je m'interdirais, ou qui me mettrais mal à l'aise, de vivre/ressentir avec des membres de ma famille (typiquement mes enfants).
Or comme les sentiments que je vis pour certains membres de ma famille sont en tout point identiques à ce que je vis avec mes multiples relations, ce n'est pas du sentiment amoureux, c'est de l'amour. CQFD.
Alabama
D'ailleurs je ne serais pas contre avoir du sentiment amoureux plus souvent pour mes amies. Je trouve que je n'en serais qu'une meilleure amie.
Présenté, comme tu le présente (le sentiment amoureux), oui, ça a l'air super d'avoir du sentiment amoureux avec ses ami·e·s (curiosité élargie et envie de proximité physique, notamment).
Ça n'est peut-être rien d'autre que ça mon changement de paradigme : élargir les champs de la curiosité et de la proximité physique, à énormément plus de personnes que ce qu'on a l'habitude de faire (typiquement les seuls liens de couple)
…mais sans imposer, sans quémander, sans réclamer, …juste en allant chercher ce qui est possible là où c'est possible.
Discussion : [Lexique] Comment définissez-vous l'amour ? comment ressentez vous l'attachement?

artichaut
le vendredi 17 mai 2024 à 10h21
Xyn
Je n'ai plus le bouquin sous la main, mais Scott Peck exprime même que le sentiment amoureux réciproque est presque antinomique avec le fait d'aimer car il fige les "participants" dans une volonté de rester dans cet état (et donc empêche la croissance)
Je serais assez de cet avis. Être amoureux empêche d'aimer complétement.
Être amoureux pour moi, c'est s'aimer soi à travers l'autre, et du coup si par exemple l'autre veut s'éloigner (nous quitter, aller voir ailleurs, désintensifier le lien, etc), on le vivra mal et on risque de se sentir rejeté. Là où l'amour au contraire, va encourager l'autre à s'éloigner, si c'est ce qui est bien pour lui/elle, si c'est — selon les termes de Peck — ce qui encourage la croissance de l'autre.
Je prends souvent cet exemple de l'autre qui veut s'éloigner, car il me semble particulièrement significatif et signifiant.
Ce qui ne veut pas dire que je sois personnellement exempt de sentiments de jalousie à cet endroit, ou de sentiments de rejet, mais pour moi c'est un marqueur que je ne suis pas dans l'amour de l'autre. En prendre conscience, parfois ça me recentre sur mon amour pour moi (plus important, plus primordial), parfois inversement ça me reconnecte à mon amour pour l'autre, me reconnecte à ma compersion et évacue mon sentiment de rejet ou de détresse affective.
Discussion : Proféminisme et Polyamour

artichaut
le vendredi 17 mai 2024 à 09h42
Alatino
l'aspect révolu des termes Proféministe ou Allié. (…) je le vois toujours dit et écrit sur le net de façon récente, tout comme dans des documentaires sur Arte par exemple, récents aussi.
Il est vrai que ces termes un peu tombés en désuétude, reviennent en force ces temps-ci. Parfois pour les critiquer, mais plus souvent pour les porter.
Est-ce qu'un nouveau féminisme saura faire autre chose de ces termes que par le passé ? L'avenir dira ce qu'il en sera.
Discussion : Changer de paradigme (relationnel)

artichaut
le vendredi 17 mai 2024 à 09h31
artichaut
Dans un cas il s'agit de ramener le sexe et l'amour-amoureux à une place et une dimension qui leur incombent, dans l'autre d'élargir considérablement ces notions étriquées, pour enfin les vivre pleinement, et cesser de sur-focaliser sur quelques miettes.
Je viens d'écrire sur un autre fil, ceci :
C'est comme si le capitalisme avait juste inversé les choses : voulu nous faire croire à une recherche d'abondance (forcément vouée à la frustration) là où il y a si peu, et nous faire oublier et déconsidérer les territoires où il y a tant…
En fait, j’ai le sentiment de voir (presque) tout le monde courir dans le désert et déserter les jardin luxuriants, pourtant à portée de bras.
Ça rejoint cette notion de (sentiment de) pénurie que j’évoquais.
Si tout le monde cherche la même plante dans un désert, forcément que c’est pas très facile facile.
Et si un jour il pleut (on tombe amoureux) dans ce désert, c’est une folle luxuriance qui soudain apparaît, mais qui sera probablement de courte durée.
Et quand je disais que cette pénurie (ressentie), fait encore partie de la norme (du paradigme en place), c’est que ce « désert » me semble une construction sociale.
Discussion : Habitat et non-monogamies

artichaut
le vendredi 17 mai 2024 à 01h16
mox2
Finalement, on voit que mon habitat non-monogame est lui aussi pluriel, je ne vis pas qu'à un seul endroit, mais plutôt entre trois lieux dont un est itinérant. Aucun n'est très grand, mais ils ont l’avantage d'avoir besoin de peu d'entretien et d'être économes en besoins.
Merci pour ce descriptif.
Il correspond tout à fait à ce que j'essayais d'exprimer (nul besoin d'être riche pour avoir un habitat pluriel).
Et oui ces notions de peu d'entretien et d'économie en besoins, résonne en moi.
Je sens qu'en ce moment j'ai besoin de me délester de beaucoup de choses (et nottament de charge mentale liée à des accumulations qui loin d'amener du confort, amène de l'encombrement).
mox2
Je note que niveau relation, j'opte aussi pour la frugalité : bien que ma partenaire entretienne une autre relation, et bien que je me considère polyA, tout bien réfléchi, je n'éprouve pas pour moi le besoin "d'équilibrer la situation" et de "courir" après une autre relation. Je n'en ressens pas le besoin, et je sais aussi que je n'aurai pour une relation supplémentaire que peu de temps et d'énergie..
Ces temps-ci je bugue à chaque fois que je lis une phrase du genre "ma partenaire entretient une autre relation", "je ne ressens pas le besoin, d'une relation supplémentaire", etc.
J'ai l'impression que ce type de langage m'est devenu tellement étranger que je tend à ne plus du tout le comprendre. Qu'est-ce qu'une relation ??? Avez-vous vraiiiiiment une seule, ou même deux, relation-s dans vos vies ???
J'ai envie de répondre par de la fausse naïveté :
- Mais que votre vie à l'air triste !!!
- Êtes vous donc des ermites ?
- Ou bien êtes-vous tellement méprisant envers toutes les autres personnes de votre vie, pour à ce point ne pas les considérer ?
[pardon, tout ceci n'est évidemment pas "contre" toi @mox2 ; sans doute même qu'au contraire, pour une fois je me sens à l'aise de réagir ainsi, car je crains moins que ça soit pris pour ce que ce n'est pas]
Mais à te lire parler de frugalité, et de non-envie-de-courir-après, je me rends compte que ce que tu/vous/ils/elles apellez « relation » est ce truc normé (de type "amoureux et/ou/et sexuel") qui prend toute la place de toute littérature sur le sujet affectif, et qui a pour ainsi dire (avec grand bonheur) quasi disparu de ma vie, et vers lequel je n'ai plus du tout envie de courir.
Merci pour cette métaphore de la course, qui m'est tellement parlante (courir après sa vie, courir après des mirages).
Et du coup, je me rends compte que c'est justement cette frugalité-la — à un endroit précis, qui est celui qui est surinvestit par la norme —, qui permet l'abondance, qui permet justement une abondance… d'une tout autre nature. Une abondance affective dans son sens plein et entier.
Et dans cette abondance-la, après tout il pourrait y avoir une rikiki histoire amoureuse ou de sexe qui vienne s'installer, mais qui ne serait qu'un genre de bonus, peut-être goûtu, mais somme toute, tout à fait facultatif.
C'est comme si le capitalisme avait juste inversé les choses : voulu nous faire croire à une recherche d'abondance (forcément vouée à la frustration) là où il y a si peu, et nous faire oublier et déconsidérer les territoires où il y a tant…
Discussion : Habitat et non-monogamies

artichaut
le vendredi 17 mai 2024 à 00h56
mox2
les concepts de frugalité et de sobriété peuvent nous aider à y trouver des réponses. Si l'on considère que le capitalisme peut se résumer à l'exploitation de la planète,(c'est moi, artichaut, qui souligne)
En effet ces concepts me semblent également pertinents. Y compris en matière affective et relationnelle.
Et en même temps je vise une forme d'abondance, mais toute autre que celle (amoureuse et sexuelle) qui nous est vendue à renfort de films, de livres, et de transmission générationnelle.
Donc du point de vue de la norme, en effet, les notions de frugalité et de sobriété me semble efficientes.
Et là encore, peut-être qu'un bonheur (qui ne s'achète pas, ni se capitalise) nous attend au bord du chemin.
Discussion : Habitat et non-monogamies

artichaut
le vendredi 17 mai 2024 à 00h45
mox2
Mais le temps de la construction reste pour nous une "belle époque", que nous aimons à nous remémorer. Pourtant ça n'a pas été facile. Il y avait des problèmes à résoudre tous les jours, il fallait se creuser la tête, parfois démonter et revenir en arrière, on dormait en tente et on avait pas de douche tous les jours. On mangeait des pâtes pour acheter plus de matériaux... Il fallait faire preuve d'endurance mentale et physique, se serrer les coudes, oui.
Oui voilà, il y a de belles époques.
mox2
Quelque part nous étions précaires, mais je crois que le point crucial, c'est que c'était notre choix, et que justement nous avions le choix : d'arrêter, de repartir travailler, etc..
(…)
Donc je pense que la précarité c'est plutôt une situation subie où les gens se sentent acculés, dans la pauvreté, le froid, croulant sous les factures avec l'incertitude de manger ou d'avoir un toit sur la tête le lendemain. Et dans ce cas, difficile d'être heureux. Par contre on peut choisir de vivre frugalement, sobrement, de manière minimaliste, etc.. ça nous rend un peu bizarre aux yeux des autres, ils peuvent nous considérer précaires mais ce n'est pas forcément comme ça que nous le vivons. D'ailleurs c'est peut-être de là que provient ton biais @artichaut ? Tu observe des gens qui de ton point de vue ont l'air heureux "n'ont rien ou pas grand chose" qui te semblent "précaires".. Mais peut-être que ces gens eux même aiment vivre de cette façon, qu'ils ne se sentent pas précaires et que ce mode de vie choisi les rends heureux ?
De même que les gens qui observent ta situation relationnelle de l'extérieure peuvent la juger (à leurs yeux) précaires, mais que pour toi c'est un mode de relation choisi et assumé dans lequel tu te sens en équilibre ?
Merci pour cette proposition, ça m'aide.
Oui la question du choix est important, et a toujours été cruciale chez moi. Même si certains choix, au bout d'un moment, deviennent tellement notre mode de vie, qu'il n'est pas toujours possible de faire machine arrière (arrêter, repartir travailler, etc).
Et puis il y a certains choix, qui n'en sont pas tout à fait en réalité. Car il y a aussi des difficultés/anxiétés sociales (que d'autres pourront appeler neuroatypies) qui peuvent généger des choix par obligations.
Bien sûr il y a aussi une question de capital culturel, social et symbolique (et pas seulement le capital financier) qui permet à des personnes et à des moments de faire certains choix. De faire par exemple le choix de se passer du capital financier.
Et inversement certaines précarités effectives qui empêchent d'accéder à la possibilité même du choix.
Pour autant, j'ai l'impression qu'au delà de nos capital-s, il y a aussi des tempéraments ou des parcours de vie, qui propulsent plus particulièrement dans certains choix, et même dans la dynamique de choisir sa vie (contre, ou en dépit des normes en vigueur). Et ce, au sein de toutes les classes sociales.
Et j'aurais tendance à penser que cette dynamique est un amplificateur de bonheur (quelque soit par ailleurs notre "niveau de vie" ou notre précarité factuelle).
Peut-être même que là réside le bonheur pour moi : choisir sa vie. Qui ne ressemble à aucune autre, qui ne peut se comparer à aucune norme en vigueur.
Discussion : [Lexique] Comment définissez-vous l'amour ? comment ressentez vous l'attachement?

artichaut
le jeudi 16 mai 2024 à 22h41
Alabama
Théorique= généraliser, donner des définitions
Ah ok. Comme tu disais vouloir mes définitions personnelles, ça m'a perdu.
Alabama
Tu vis du sentiment amoureux ?
Ça m'arrive. Mais plutôt j'aime pas trop, ou en tout cas, je m'en méfie beaucoup. Car l'expérience m'a montré que ça tend à fabriquer incompréhensions, quiproquos, conflits inutiles, etc.
Je préfère l'amour au sentiment amoureux.
Alabama
Si oui ça se traduit comment ?
J'idéalise l'autre, je ne vois que les bons côtés de la personne. Je peux éventuellement ressentir des papillons dans le ventre. Je pense beaucoup (trop) à l'autre (trop car ça en devient envahissant même si initialement ça semble joyeux et empouvoirant comme sentiment). Je peux me sentir seul, triste, vide ou mélancolique en l'abscence de l'autre.
Parfois ça me donne de l'énergie et me motive à faire plein de trucs, parfois ça me cloue au lit.
Alabama
De l'attachement ?
Oui.
Je pensais avoir un attachement sécure (je vis plutôt assez bien les abscences de l'autre, je suis compersif, je ne fuis pas la relation et j'ai le sentiment d'être quelqu'un qui s'engage).
Ma psy m'a dit que j'avais un attachement insécure.
Il est vrai que plus je me rends vulnérable, plus je vis d'anxiété.
Alabama
De la dépendance ?
Oui. De façon variable.
Et je tâche de la travailler.
À savoir : accepter qu'il y en ai (on est des êtres sociaux interdépendants), essayer le moins possible de la vivre avec une (ou des) personne(s) nominative(s) (=rendre ma dépendance adaptable, transposable à d'autres), revenir sans cesse à moi, tâcher de diversifier la manière de nourrir mes besoins, etc.
Alabama
Etc...
Je disais : je préfère l'amour au sentiment amoureux.
Ce que je nommais dans mes définitions : apprécier une personne pour ce qu'elle est, vouloir son bien, son bonheur, quelqu'il soit.
J'aime ce sentiment, et j'ai envie d'en ressentir plein dans ma vie. Et de fait j'en ressent plein, avec pas mal de personnes, même si c'est de façon variable, selon les personnes (avec certaines personnes c'est presque tout le temps, avec d'autres c'est de temps en temps, avec encore d'autres c'est très ponctuel).
Ce sentiment m'aide énormément à résoudre les conflits quand il y en a. Et m'aide beaucoup à accepter les choix de l'autre quand ils me semblent étranges, ou quand ils sont contradictoires avec mes envies.
J'aime sentir que c'est réciproque, mais ça n'est pas indispensable. Je dirais même que quand je le ressent ça n'est pas dans la réciprocité, c'est à sens unique, dirigé vers l'autre. Mais sans doute que la réciprocité nourrit ce sentiment sur la durée.