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Discussion : Comment ne plus être jaloux

vitamines
le jeudi 23 avril 2009 à 16h21
Sans vouloir alourdir ce débat du comment du pourquoi, il est clair que nous avons tous une façon de présenter, d’expliquer et d’interpréter différemment les phénomènes existentielles. Justement, ce qui fait la richesse de cette belle brochette de chercheurs de vie et d’espoir, c’est cette diversité qui est en nous, et ensemble puissions-nous flirter sur les chemins de la vérité s’il en existe une.
Discussion : Comment ne plus être jaloux

vitamines
le mercredi 22 avril 2009 à 10h15
Pour poursuivre sur le thème de la jalousie, nous sommes bien d’accords que la possession, l’appropriation et la peur d'être abandonné sont des aspects dominants et visibles de la jalousie. Avec ma compagne nous nous sommes interrogés sur trois autres axes de réflexion que sont les sentiments d’appartenance, le contrôle et le phénomène de feedback énergétique.
Pour le sentiment d’appartenance, on sait que beaucoup d’humain ont dès le berceau compris que le monde leur appartenait.
Concernant certains pays, la femme n’est que le valet de l’homme et encore cette position semblerait être une position noble au regard de ce qu’est malheureusement le réel statut de la femme. L’homme s’arroge tous les droits comme si pour lui tout était permis, une sorte de race supérieur, c’est à en mourir de honte. Ce qui se traduit dans ces pays, par des lois en vigueur, autorisant tous les abus possibles et atroces que l’on connait. Certains poseront alors la question, à savoir si à ce niveau, on peut encore parler de jalousie!
Avant de se poser la question de la jalousie, il nous a semblé intéressant de soulever la question du contrôle. Ce que nous souhaitons mettre en évidence, c’est que même si nous n’en avons pas conscience, nous sommes avant tout des êtres de contrôle. Nous aimons tout régir, tout maîtriser. C’est pourquoi, dans nos sociétés, tout est aussi cadrer. Que nous parlions des plus petites actions de la vie quotidienne, du travail, que vis à vis d’une personne aimée ou pas. Nous retrouvons là, à des graduations différentes, la loi de contrôle.
Le feedback énergétique est un phénomène que l’on connaît plus dans le cas de la colère. A savoir, que les êtres colériques ne sont qu’en fait des manipulateurs qui vous volent et vous dilapident votre énergie. Regardez après coup, la force incroyable qu’ils ont récupéré et qu’ils peuvent déployer. Dans le cas de la jalousie, comme pour toutes les autres formes de « ramener vers soi », nous pensons que le phénomène est quasi identique. Partant du principe que pour être en vie, il faut de l’énergie, du combustible pour régir et faire avancer notre corps, on peut aussi se dire que quand nous en manquons, nous cherchons par des manières différentes à en récupérer. Comme pour l’argent, certains en veulent toujours plus que les autres et on sait aussi que certaines filières énergétiques correspondent plus, peut-être par facilité, à leurs besoins. Moi, j’appelle ça des pompeurs d’énergie et dans n’importe quel soirée on en rencontre sans problème. Voilà donc pour cette parenthèse, pensant pour nous, qu’il existe un lien avec la jalousie. Et vous qu’en pensez-vous ?
Par ailleurs, dans mon parcours personnel, je me suis interrogé sur la qualité de mon amour envers ma compagne et plus particulièrement à quoi était-il conditionné ?
Dans mon analyse, mon esprit n’a jamais occulté le fait que la jalousie ou disons l’amour que je portais à ma compagne pouvait aussi me faire dériver à des pulsions de violences plus ou moins contrôlées si certaines exigences personnelles n’étaient pas remplies.
Là, à commencer mon introspection pour bien comprendre que mon amour pour l’autre ne tenait pas à grand chose comme par exemple, je suis le seul à pouvoir la rendre heureuse ou la faire jouir, etc... Peu à peu, face à ce miroir, je me voyais tel que j’étais, bien loin de l’idée que je me faisais de moi-même. Pour me rassurer, je pensais que ma femme était totalement libre puisque je suis un gars ouvert mais tout de même avec une dure réalité « bien sous mon contrôle ». Ainsi sans m’en rendre compte, j’avais une télécommande entre les mains que j’actionnais selon mes critères de morale, voir d’humeurs.
Puis j’ai compris que tous ces raisonnements pouvaient me conduire et ce, malgré le soi disant amour que je lui portais, à être satisfait du mal que j’aurais pu lui faire d’une façon direct ou indirect. C’était tout simplement pour moi, un constat affligeant et tout simplement inacceptable de moi.
Avec le temps et en pointant là où ça fait mal, je suis plus à présent installé dans le jouir, dans l’ici et maintenant de ce que la vie me propose, et sans que je ressente ma compagne comme mon bien personnel. Quand on aime vraiment quelqu'un, on ne peut décider pour elle de ce qui est bien ou mal. C’est pourquoi, quelque soit ses choix ou ses orientations, ce qui est important, c’est que ma compagne se sente heureuse dans ce qu’elle vis, avec ou sans moi. Après certaines expériences, j’ai donc pu constater que je me sentais vraiment bien avec moi-même juste avec ce simple fait de la sentir et de la voir heureuse. Après tout c’est sa vie et il me semble qu’elle doit pouvoir en disposer comme bon lui semble et même si nous vivons ensemble. Evidemment nos rapports aujourd’hui ne sont plus les mêmes et j’ai vraiment l’impression que nous avons mûri sur ces questions là, mais je me rassure en me disant qu’ils nous restent encore beaucoup chemin à parcourir pour grandir. Elle et moi, sommes conscient des travers encore bien présent de notre personnalité, mais cette recherche réciproque de la liberté et de l’authenticité nous portent dans notre soif de savoir.
Discussion : Comment ne plus être jaloux

vitamines
le mardi 21 avril 2009 à 15h15
Pour être franc Lisa et non que je veuille me dérober à votre question, je vous dirais que je n’ai aucune certitude dans ce domaine mais juste mon expérience et mon sentiment personnel.
Concernant les relations sentimentales, j’ai au cours de ma vie rencontrer des personnes avec laquelle j’ai donc pu être à certains moments avec certaines personnes d’une jalousie primaire, avec d’autres moins et d’autres encore pas du tout. Toujours est-il que peu à peu je m’apercevais que j’étais enfermé souvent dans des impressions comme s’il se passait quelque chose mais très clairement qui ne correspondait à aucune réalité. Quand la jalousie se manifestait, il me semblait entrevoir et ressentir des choses contraires à ma santé physique et biologique. Une jupe trop courte ou d’autre chose dans le genre pouvaient soulever en moi, un torrent d’inquiétude. On dit que la peur est inhérente à l’homme et que c’est aussi une qualité qui nous protège. En excès, elle vous paralyse et dans le cas de la jalousie, c’est je ne voulais pas partager ce que j’avais identifié comme mon bien, la peur qu’elle trouve mieux que moi mais aussi la peur de la perdre. Tout cela étaient alimenté par des puissants scénarios fantasques que je me projetais en boucle à en devenir malade. Pour l’avoir vécu, à un moment, la jalousie peut aussi se transformer en une véritable pathologie. M’apercevant de la fragilité interne de mon système qui ne pouvait s’adapter à quelque chose de différent de celui que l’on m’avait enseigné, je prenais conscience d’une nécessité de changement pour ne pas me perdre.
D’origine Italienne, ma mère m’avait abondamment nourri au biberon, avec cette noble idée, que je trouverais quelqu’un qui devrait respecter la charte d’une femme esclave au service de son mari. J’en rajoute un peu mais je pense que vous me comprenez. Je dois vous avouer que j’y ai malheureusement cru pendant un temps. Plus généralement dans la culture occidentale et de tout petit, on ne vous apprends pas à partager vos jouets, votre vélo, votre maison et surtout pas votre conjoint. Je pense qu’on est pas toujours obligé de parler de partage comme pour des êtres assez grand pour décider d’eux-mêmes mais au moins de liberté réciproque. Plus tard, en m’ouvrant à d’autres concepts, j’ai compris que la liberté, terme utilisé dans beaucoup de domaines, était une notion toute relative.
Il n’est par conséquent pas étonnant de rencontrer des gens jaloux autour de nous car c’est ce que l’on vous apprends à cultiver dans notre société et en plus par le biais de l’avidité. C’est pourquoi, nous sommes un peu à l’image de ce que nous mangeons et bien sûr dans ce domaine comme dans bien d’autres, nous pouvons aussi intervenir sur cette aspect important de notre vie. Reste que, en gardant l’image alimentaire, il y a là un satellite affectif qu’il n’ai pas aisé à modifier, juste en claquant des doigts. On efface pas d’un trait 30 à 40 ans d’une vie, sans compter des milliers d’années de transmission culturelle.
Effectivement, certains sur ce site disent ne pas ressentir la jalousie et c’est aussi mon cas aujourd’hui, mais ai-je vécu tous les cas de figure me permettant d’en être sûr ? Il peut aussi arriver que certains autres peuvent aussi cultiver une forme d’autoprotection juste pour ne pas rentrer dans la zone souffrance.
A mon sens, quand on veut agir sur soi, il est préférable d’avancer sans comparaison et sans compétition car les histoires d’une personne à l’autre sont bien différentes. De fait, nous n’avons pas tous les mêmes réactions comme les mêmes prédispositions. Certains sont capables de soulever 25kg et d’autres 150, c’est ainsi...
Pour finir, je dirais que pour qui veut changer sa croyance, sa façon d’opérer, que je crois à une transformation de notre être mais au prix d’efforts répétés et bien entendu sans forcément être épargnés des souffrances mais aussi des bonheurs qui accompagnent ce chemin.
Discussion : Comment ne plus être jaloux

vitamines
le mardi 21 avril 2009 à 10h41
Vaste débat que celui de la jalousie et oh combien interpellant tellement il va touché dans nos racines profondes. Voici donc pêle-mêle quelques idées qui me viennent à l’esprit.
Qui n’a jamais ressenti, depuis sa jeune enfance, ce sentiment que sa mère, son père lui appartenait. Puis plus tard, de part le matraquage social, logiquement, mari et femme nous nous appartenons, en tout cas nous le pensons ou nous aimons à le penser pour nous rassurer. Et comme beaucoup ici à l’avoir déjà évoqué, la question de confiance en soi se pose mais pas seulement pour ce sujet précis.
Pour nous résumer, j’aime ma femme, ma femme m’aime…mon dieu quel bonheur…pourvu que rien, ni personnes ne viennent me déranger dans mon sommeil car j’ai vraiment envie d’y croire à mon rêve. Et même si la comparaison est un peu différente, je crois aussi que nous aimons notre conjoint comme nous aimons tout aussi naturellement notre voiture, notre chemise, notre maison, etc... Par contre, je n’ai pas encore posé la question à ma chemise si elle était attaché à moi autant que je suis attaché à elle…sourire
Ainsi dès le biberon, nous avons l’impression que bon nombre de choses et de sujets sont acquis, que nous avons un droit et que rien ne peut remettre cela en cause. Facile puisque tout autour de nous, nous fait penser que nous sommes sur le bon chemin , dans la bonne direction.
D’ailleurs j’aurais tendance à dire que quand vous perdez cette direction bon nombre de gens vous aideront à leur manières pour la retrouver. Au moins ça ne laisse pas seul dans un univers où l’on finit par se perdre. Alors pour un type lambda ou quelqu’un qui ne s’est jamais posé de question, on peut s’imaginer aisément que cette dite question ne soit pas une priorité parce tout simplement on y perdrait ses croyances et des droits sur l’autre.
Je crois dans ce domaine comme dans tant d’autres que notre psychologie s’appuie sur une construction fragile de béquilles. En retirer ne serait-ce qu’une, nous ferait prendre un risque certain qui est celui d’écrouler notre propre maison. A ce sujet, j’ai souvent été effaré de voir les méthodes de soins utilisés par nombres de thérapeutes en tout genre, y compris sexologues, qui reposent sur du copier coller de la culture ambiante. Donc pas facile de changer quoique ce soi dans ces conditions.
Par ailleurs, il faut reconnaître qu’il est très difficile pour le mental de changer un formatage établi depuis des lustres. Puisque nous sommes dans les lustres, pouvoir éclairer son esprit d’une autre conception, d’un autre mode de vie, n’ai pas aisé pour tout le monde, j’y entends en particulier les facteurs environnementaux. Néanmoins pour ma part, je reste convaincu qu’avec de la volonté, de l’instruction et de l’ouvrage, que rien n’est impossible.
Pour ma part, j’ai choisi de gravir cette ascension en ouvrant ma conscience par niveau afin de donner du temps au temps dans le changement souhaité. Parler, réfléchir est une chose mais c’est quand même l’action qui fait la différence et permet de nous révéler par de nouveaux comportements. Ainsi, ma compagne et moi, avons depuis quelques années, été proche d’une liaison à trois, sans jamais avoir pu concrétiser ces histoires de vie. Auparavant ou parallèlement, nous avons eu des expériences libertines dans le milieu échangiste sans jamais ressentir de jalousies respectives. Mais il faut reconnaître que les constructions relationnelles sont bien différentes donc les risques sont minimes.
Pour réponde à la question de Sam, je ne pense pas que la jalousie soit une démonstration d’affection tout au plus une réaction archaïque et inconsciente de nos systèmes de fonctionnement. Il y a à mon sens bien d’autres manifestations plus glorieuse de l’intérêt que nous portons vers une personne.
Discussion : Vitamines

vitamines
le jeudi 16 avril 2009 à 15h17
Tout d'abord merci pour ce site et à tous vos commentaires qui aident à voir plus clair et prendre du recul face aux évènements.
En effet, il y a quelques temps, j’ai découvert l’existence de votre site et ayant moi-même vécu une histoire assez forte, je vous propose de vous la raconter. Je ne sais si mon histoire pourra être assimilé à du polyamour mais c’est en tout cas ce que j’aurais souhaité vivre.
Il y a dix sept ans de cela, dans le cadre d’un enseignement privé, j’ai connu une personne plus jeune de 13 ans que moi. J’y étais élève et elle mon professeur. A cette époque, je m’apprêtais à sortir d’un mariage et donc des conditions d’unions constituant une relation monogame.
Dans cette transformation de vie, et contre toute attente, j’ai rencontré à ce moment là, une autre personne qui devint ma nouvelle compagne de vie. Les choses se compliquant pour moi sur le plan matériel et financier, je dus arrêter les cours avec mon professeur et je ne revue plus cette jeune fille que j’appellerais Irène pour faire simple.
Puis, il y a quatre ans j’ai eu l’occasion de croiser Irène dans un commerce. Visiblement, cette rencontre inattendue marquait nos paroles et nos attitudes d’une certaine gène qui elle-même témoignait d’une émotion réciproque. Plus tard encore, nous nous sommes de nouveau croisés en échangeant quelques banalités et des battements de cœur se faisant plus intense.
Puis sur une autre rencontre en présence de ma compagne, je décidais de me lancer en l’invitant pour un repas à la maison. Petit à petit, nous avons créer un lien en nous et elle, sans nous voir très souvent. Mais peu à peu, le lien entre elle et moi devenait plus fort et je compris que la gène que j’avais décelé lors de nos différentes rencontres, cachait en réalité une attirance réciproque certaine.
Notre envie d’être plus proche de l’autre devenait incontournable. Nous avions fini inévitablement par tomber dans les bras l’un de l’autre et nous embrasser avec la force des premiers baisers.
Au cours de nos différentes rencontres, nous nous sommes avoués notre envie d’être prêt de l’autre, de l’amour très fort que nous nous portions, depuis bien longtemps.
Ayant une éducation différente d’Irène, et bien qu’heureux de ces instants magiques avec elle, je ne m’illusionnais pas sur la qualité de cet amour qui pour moi, n’était que le fruit de conditions que l’on établi seulement par pur recherche d’équilibre personnel.
Plus nous avancions, plus nous nous rapprochons de nos failles et de son côté, une grande difficulté par rapport à tout ce qui est rapport au corps, tant dans sa nudité, que dans sa sexualité. Comme pour beaucoup d’humain d’aujourd’hui, la rengaine affiché était, il ne peut y avoir de sexualité sans engagement et sans sentiments clairement définis. Etant diamétralement opposé dans ce type, j’avoue que ce que je découvrais d’elle me refroidissais, voir me glaçait.
Irène m’avait parlé d’une relation amoureuse conflictuelle dans laquelle elle n’était pas encore complètement sorti mais qui était à priori sur la fin.
Dans le même temps elle commençait à installer sa toile d’araignée, me signifiant en quelques sortes les conditions d’adhésions (sourire). Jour après jour, elle me confirmait ses aspirations dans le cadre d’une relation amoureuse et je compris désormais que tout cela allait à contrario de mes idéaux, un retour à l’archaïsme et le côté primaire de l’amour. J’entends et je comprends tout les beaux discours sur la monogamie et évidemment avec tout le sens que le mot exclusivité peut revêtir. Mais il n’était point question pour ma part de rogner sur une certaine idée que j’ai de la liberté amoureuse.
Cette revendication de sa part était tellement forte, qu’elle en devenait malade avec l’apparition de véritables pathologies psychologiques et biologiques (douleurs diverses dans son corps) .
Avec ma compagne de vie, étant des personnes très ouvertes aux expériences de vie, nous avions longuement discuter de cette nouvelle situation dans notre vie sans forcément la prendre au départ de l’histoire, comme un obstacle mais le voyant plutôt comme un renouveau et de belles expériences à venir pour nous faire grandir et peut-être vivre l’unité avec d’autres personnes.
Les semaines passant et au regard de l’attitude controversée d’Irène qui ne jurait que par l’exclusivité, elle m’avait fait part de sa volonté de ne pas aller plus loin dans notre relation, mais tout en marquant malgré tout, sa volonté de continuer à me voir.
Pensant que pour vivre libre dans sa tête et dans son corps, il faut avoir accompli un certain travail personnel, j’ai pris la décision de mettre un terme à notre relation qui devenait autant pour moi que pour ma compagne difficile à gérer. Irène nous avait malheureusement habitué à un pas en avant et dix pas en arrière. J’ai aussi pris conscience que j’étais le seul à nourrir la relation et qu’elle ne faisait que répondre à mes sollicitations. A savoir que quand je ne lui proposait pas de nous voir, elle pouvait rester sous silence des jours. Elle avait pris l’habitude de se contenter juste de nos échanges par e-mails et prétendait se sentir très pris par l’amour qu’elle me portait. Pour moi, c’était juste entretenir un peu plus le flou dans mon esprit.
Pour ne pas cultiver les jugements divers et variés, je pense cette décision était la meilleure compte tenu des paramètres que je vous ai exposé. Pour autant, n’étant pas quelqu'un remplie de certitude, je me dis que j’ai fait comme j’ai pu en fonction de mes moyens du moment.
Je ne me réjouis donc pas d’une situation me laissant un goût amer dans mon être et sais qu’il me faut à présent traverser une phase difficile. Quoi qu’il en soit, je considère que tout est à vivre le bon comme le mauvais, et j'apprends à accepter aussi ce qui est difficile. Après tout, la souffrance n’est-elle pas inhérente à l’homme et le travail que nous avons à faire n’est-il pas de nous regarder et de nous aimer comme nous sommes, sans vouloir forcément que les choses soient toujours parfaite, réussie du premier coup ou à notre image.
Ce qui est sûr, c’est que cette histoire m’a fait prendre conscience à la fois de ma fragilité et de ce besoin de rencontres nouvelles afin de partager l’enthousiasme et l’amour que j’ai pour la vie et de ses humains.
Discussion : Rencontre polyamour.info - Paris - mercredi 6 mai 2009 ?

vitamines
le jeudi 16 avril 2009 à 15h01
Bonjour à tous,
Tout nouveau sur votre site, moi je serais intéressé par ces rencontres polyamour sauf que je travaille en soirée sur les mercredis et lundis. Pour les autres jours à part le Wk, généralement 20h ça fait court pour moi ou pour nous.
Oui, Il se peut que je sois accompagné de ma douce et tendre femme.
A bientôt